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Bio-portrait : En Kanette, chez les pionniers de la bière fermière bio et paysanne ; Pourquoi produire du houblon Nature & Progrès ? ; Pourquoi et comment faire sa bière ?
Jérôme GOUST, Auteur ; Annie KERGOURLAY, Auteur ; Julien GUNTHER, AuteurDans cette série d'articles dédiés à la production de bière, le premier met à l'honneur Annick et Christian Garland, paysans-brasseurs dans le Sud du Tarn. Éleveurs caprins et producteurs de fromages de chèvre bio depuis 1979, le couple a ensuite complété sa production avec des céréales (orge, blé) qu'ils transformaient en farine. C'est au début des années 1990, après l'abandon de la fromagerie, qu'Annie et Christian ont créé leur première production de bière, d'abord avec du houblon sauvage. D'essai en essai, la production s'est développée et la ferme s'est agrandie pour faire place à de nouveaux bâtiments. Des outils ont été conçus maison pour répondre aux besoins de la chaîne de fabrication. Aujourd'hui co-gérée par leurs filles Julia et Flora, la ferme est autonome en houblon. La bière est commercialisée en bouteilles et en fûts sur les circuits courts de la région (vente directe, épiceries, cafés et restaurants, événements, etc.). L'article suivant traite de l'évolution de la culture de houblon et fournit des informations sur les propriétés médicinales de cette plante, ainsi que des éléments techniques pour la cultiver, de l'implantation à la récolte. Trois houblonniers bio avec la mention Nature & Progrès partagent leurs expériences : Johann Laskowski dans les Yvelines (78), Riquier Thévenin dans le Nord (59) et Antoine Floury en Bretagne. Pour finir, le troisième article présente le guide du brassage amateur, publié par Julien Gunther de la Brasserie Grenaille, en Meurthe-et-Moselle.
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Mutyne : Des produits ménagers écologiques, éco-conçus, aussi efficaces que ceux du conventionnel
BIO-LINEAIRES, AuteurCe publi-reportage présente la marque familiale Mutyne, co-fondée en 2019 par Ghizlane et Romain Jougleux, dans le Nord (59), et qui propose des produits détergents écologiques. Les produits sont fabriqués dans le respect d'un cahier des charges précis. Ils intègrent, dans leur formulation, les dernières innovations issues de la chimie du végétal et sont parfumés avec des ingrédients 100 % naturels et sans allergènes. La marque Mutyne, exclusivement distribuée en magasins bio et en épiceries vrac, promet des produits aussi efficaces que ceux du conventionnel, tout en allant plus loin dans des solutions écologiques ; les produits sont efficaces à froid, ce qui permet de baisser la température de lavage (économies énergétiques, réduction de l'impact environnemental, durabilité des textiles...).
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Les atouts d'un atelier ovin complémentaire en bio
Robin HORRIOT, Auteur ; Damien HARDY, AuteurDe nombreuses exploitations biologiques décident de se diversifier avec la mise en place dun atelier ovin. Les moutons apportent, en effet, de nombreux avantages, notamment pour les fermes uniquement tournées vers les productions végétales (fertilisation, protection des végétaux ). Ils permettent aussi, certaines fois, de renforcer la trésorerie. Cet article illustre les complémentarités entre les ovins et dautres productions, au travers de divers exemples de fermes biologiques du Grand Est et du Nord. En Alsace, le domaine viticole Muller travaille avec un berger bio : 150 brebis pâturent les différentes parcelles de fin juin à mi-août. Les brebis ne restent que quelques jours par parcelle et mangent les feuilles des vignes trop vigoureuses, ce qui permet au viticulteur de ne pas avoir recours à un effeuillage mécanique. Un échange entre un berger et un arboriculteur sest également mis place : les moutons mangent les feuilles mortes à lautomne, ce qui permet de diminuer le risque de tavelure. Dans les Ardennes, Laurent Cousin, producteur de lait, a mis en place un troupeau ovin pour préparer linstallation de son fils. Le pâturage mixte favorise la pousse du ray-grass, tout en diminuant le tri et les refus. Dans le Nord, Bernard et Yves Carpentier associent grandes cultures et ovins. Les brebis pâturent les prairies temporaires et les couverts végétaux au cours de lautomne. Les effluents exportés de la bergerie permettent de fertiliser les cultures.
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Maraîchage bio : le sens du métier face à l'usure du corps
Germain BONNEL, AuteurGermain Bonnel, post-doctorant en sociologie à l'Université de Lille, a réalisé une thèse portant sur le travail en production légumière biologique dans le Nord et le Pas-de-Calais. Il a cherché à comprendre les raisons pour lesquelles les agriculteurs restent dans le métier malgré des conditions de travail difficiles. Si la pénibilité n'est pas un enjeu perçu comme important par le maraîcher les premières années suivant l'installation, certains événements, comme la survenue d'un accident, peuvent être à l'origine d'une prise de conscience. Des agriculteurs n'hésitent pas alors à repenser leur organisation et à inventer de nouvelles façons de faire. En simplifiant le désherbage, en facilitant les déplacements sur la ferme ou encore en construisant des outils plus appropriés, ils atténuent la fatigue et la pénibilité souvent attachées au métier de maraîcher bio.
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"L'outil prolonge la main"
Ingrid VAN HOUDENHOVE, AuteurAujourd'hui à la retraite, André Anckière, ancien agriculteur bio, conserve intacte sa passion pour le jardinage biologique qu'il pratique dans son potager de 280 m2, dans le Nord. Inventif, André a toujours bricolé ses outils pour améliorer et faciliter le travail au jardin, tout en limitant les coûts. Pour lui, l'outil doit être adapté à la fois à la main du jardinier et à la terre cultivée. Il a, par exemple, conçu et fabriqué un "crochet solitaire", sorte de herse étrille à une seule dent qui lui permet de préparer une ligne d'oignons à planter sans retourner toute la parcelle. Avec Annette, son épouse, ils ont récemment étendu leur surface grâce à l'acquisition d'une nouvelle parcelle de 1 800 m2 sur laquelle ils cultivent des céréales pour leur consommation personnelle. 400 m2 de verger et 120 m2 de serres complètent leur domaine qui leur assure une grande autonomie en fruits et légumes. A cela, s'ajoute un petit élevage de poules, poulets, lapins et canards...
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Dans le Nord, le déclic du bio
Bérenger MOREL, AuteurAntoine Deltour est chevrier dans le Nord, désert caprin comme le reste de la région Hauts-de-France, doù un fort scepticisme de ses confrères à la création de sa chèvrerie, au moment de la reprise de la ferme familiale, alors en grandes cultures de vente. En labsence de laiterie, il opte pour la transformation à la ferme et la vente directe. En 2019, suite à une prise de conscience sur des impacts des pesticides sur la santé, il décide de convertir sa ferme en AB, dabord les cultures, puis le troupeau en juillet 2019. Son exploitation compte aujourdhui 112 chèvres poitevines en lactation, sur une SAU intégrant 3,5 ha en pâturage et 110 ha cultivés (17 en prairies temporaires et le reste en cultures de vente), pour 3 unités de main-duvre. Le bâtiment de la chèvrerie, construit en 2016, intègre la salle de traite et le séchage en grange. Afin de produire toute lannée, cet éleveur a installé des spots à LED dans la chèvrerie, avec un programme lumineux pour le desaisonnement. Autre changement avec la conversion : la généralisation progressive de la distribution de lait maternel aux chevrettes, préféré à lachat de lait en poudre, très cher en AB. De même, la ration a évolué vers un arrêt du maïs. Le séchage en grange permettant doptimiser les coupes de foin, au final, ce producteur est autonome en fourrages, concentrés et paille.
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Dossier : Retour d'expériences sur le méteil
Costie PRUILH, Auteur ; Franck MECHEKOUR, AuteurBien quécrit dans un contexte conventionnel, ce dossier apporte des informations intéressantes pour l'AB sur les méteils. Il aborde le choix du mélange (un focus est réalisé sur les espèces adaptées aux conditions pédoclimatiques de lAin et de la Normandie) et litinéraire cultural en sattardant sur les points clés : les dates de semis, les densités, les dates de fauche et le temps de séchage au sol. Ce dossier fournit également quatre témoignages dagriculteurs, dont lun est en AB. Il sagit de Benoît Moreel, éleveur laitier installé dans le Nord sur 75 hectares avec une référence de 400 000 L de lait. Pour augmenter lautonomie de son exploitation, il a intégré des méteils dans sa rotation, quil récolte en grains. Il a opté pour deux types de mélanges : un à base davoine et de féverole, et un autre à base de triticale et de pois fourrager. Le mélange avoine-féverole est incorporé à hauteur de 4 à 5 kg/VL/J dans la ration hivernale. Les rendements des deux méteils sont très variables puisquils oscillent entre 30 et 60 quintaux par hectare.
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Lettre Filières FNAB - Lait n° 12
Lucille LUTUN, Auteur ; BIOLAIT, Auteur ; Philippe DESMAISON, Auteur ; ET AL., AuteurLa Lettre Filières FNAB - Lait n° 12 est composée des articles suivants : - Médecines alternatives : Des vaches laitières au naturel ; - Nos vaches et nous - 2 films de Biolait ; - Pâturages caprins : Bien appréhender les surfaces à prévoir ; - Autonomie en élevage bovin bio : Quels leviers ? ; - Séverine et Michel Gabriac - Polyculture-élevage laitier - Moselle ; - Marie Laflotte - Cheffe d'exploitation de la Ferme de la Marchande - Lycée agricole - Moselle.
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Superdiet : La garantie de faire le bon choix
BIO-LINEAIRES, AuteurNaturopathie, filières bio, innovation permanente et fabrication en interne, les laboratoires Superdiet sont, depuis 1961, une référence dans le monde du complément alimentaire bio. Son fondateur, René Haussin, était gérant d'un commerce d'alimentation, épicerie fine et produits de la ferme, dans les Hauts-de-France, depuis 1956. Convaincu des bienfaits des aliments naturels, il avait ajouté un rayon de produits diététiques dans son magasin. Une des premières références bio de Superdiet a été le radis noir. Aujourd'hui, l'entreprise est toujours implantée à Wavrechain-sous-Denain (59), et emploie près de 200 personnes. Elle valorise tous les acteurs de la filière, à commencer par les agriculteurs des Hauts-de-France, comme la famille Dervaux qui produit le radis noir depuis 2 générations... D'autres filières bio et 100 % françaises ont été créées : ginkgo bio, vigne rouge bio ou encore passiflore bio. Le radis noir, mais aussi Drainaflore (mélange de 15 plantes), qui accompagnent depuis de nombreuses années la détoxification de l'organisme, restent des produits emblématiques de la marque. En 2018, Superdiet a lancé une nouvelle gamme de super-aliments bio et vegan, comme le "Mix Vitalité".
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Territoires : Le Douaisis a mis les petits plans dans les grands
Julie BEAUCÉ, AuteurDans le Nord, l'agriculture est historiquement tournée vers l'industrie et centrée sur les céréales, les oléo-protéagineux, la betterave sucrière, etc. Avec une forte densité de population, très urbanisé, le territoire est marqué par des difficultés socio-économiques importantes. En 2006, alors qu'elle commençait à élaborer sa Trame Verte et Bleue, l'agglomération du Douais (triangle Lille-Arras-Valenciennes) a pris conscience de la diminution du nombre des exploitations et a décidé duvrer pour préserver ses espaces ruraux et son activité agricole. Après une série d'actions pilotes, dès 2011, Douaisis Agglo (nouveau nom de la Communauté d'Agglomération) est devenue, en 2013, l'une des trois agglomérations à signer avec la Région un Contrat d'Agriculture et d'Alimentation Périurbaine (CAAP'Agglo). Grâce à un nouveau financement, elle a pu renforcer son programme d'actions. Une des actions a été dédiée au développement de l'agriculture biologique. Ainsi, alors qu'en 2013, on comptait 6 agriculteurs bio ou en conversion, on en dénombrait 14 en 2017, et la SAU bio est passée de 54 ha à 203 ha au cours de ces 4 ans. En 2016, Douaisis Agglo s'est engagée dans un PAT (Projet alimentaire territorial) et a fait le pari de le décliner à l'échelle de 2 communes et de 2 établissements scolaires, afin de toucher plus de bénéficiaires. L'agglomération est allée encore plus loin sur les questions d'alimentation et de santé en devenant, en 2018, l'un des premiers territoires à signer la charte "Villes et territoires sans perturbateurs endocriniens".
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Adopte un supermarché
Omar MAHDI, AuteurSuperQuinquin, tel est le nom du "supermarché" coopératif qui a ouvert ses portes à Lille (59), le 1er avril 2017. Nicolas Philippin, ancien consultant en accompagnement de projets en économie sociale et solidaire, a rencontré Tom Boothe, Américain fondateur de La Louve, à Paris, sur le modèle de Park Slope Food, et réalisateur du documentaire Food Coop. Grâce à ses conseils, Nicolas et la dizaine de personnes intéressées pour créer un lieu dachat dans cet esprit ont franchi le pas. En créant SuperQuinquin, ils ont pour ambition "d'offrir une solution pour faire toutes ses courses au même endroit et d'y trouver des produits de qualité, bio ou locaux, qui restent accessibles". Mais c'est la force du collectif et l'humain qui restent les principaux moteurs de l'aventure. Seuls les coopérateurs, qui donnent de leur temps pour faire fonctionner le magasin, peuvent s'y approvisionner. Ils décident ensemble de ce qui est mis en magasin, pourquoi et à quel prix. L'acte d'achat s'en trouve chamboulé, mais seul ce changement de point de vue, comme l'illustrent les témoignages des coopérateurs engagés dans SuperQuinquin, permettra aux supermarchés coopératifs de représenter, à terme, une véritable alternative au consumérisme.
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Les biostimulants comme alternative davenir
Thierry BECQUERIAUX, AuteurLe Pôle Légumes région Nord s'intéresse aux biostimulants. La définition officielle dun biostimulant selon la Commission européenne date de 2016 : cest un fertilisant qui stimule le processus de nutrition dans le seul but daméliorer une ou plusieurs caractéristiques des végétaux. Gaëtan Marq, représentant de lAfaia (syndicat professionnel des acteurs de la filière légumes), voit en eux une alternative davenir. Toutefois, il reconnaît que les producteurs peuvent être désorientés car ces produits sont souvent associés à dautres termes (inducteur de résistance, stimulateur de défense naturelle, stimulateur de croissance, activateur de sol ). LAfaia travaille à la reconnaissance officielle de ces produits qui ne sont reconnus ni par le Code rural, ni par lAnses. Par ailleurs, Els Pauwels, du Centre de recherche sur les cultures ornementales en Belgique, cheffe de file du projet Bio4safe (2017-2021), apporte des éléments sur ce projet. Celui-ci implique la Grande-Bretagne, les Pays-Bas, la Belgique et la France et son but est d'étudier si les biostimulants réduisent la consommation deau (20 %) et dengrais (10 %) selon les cultures.
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Communauté de communes du Pays Solesmois (CCPS) : du PLUI au projet bio territorial
EAU, BIO & TERRITOIRES, AuteurDans le département du Nord, à 70 km au sud-est de la métropole lilloise, limpulsion d'un élu et de son équipe a permis à une communauté de communes rurale de se mobiliser en faveur de lenvironnement en collaboration avec le monde agricole. En 2015, une démarche de concertation exemplaire a réuni de nombreux acteurs du territoire pour évaluer lintérêt de développer lagriculture biologique en Pays Solesmois. Cette démarche a abouti au programme Agribio, lancé en 2016. Ce programme, mené en parallèle dun projet intercommunal dentretien écologique des espaces verts, favorise une concertation multi-partenariale qui rassemble les autorités locales, les groupes dagriculteurs fédérés dans diverses associations, les organismes responsables de la gestion de leau, mais aussi les instituts de formation comme la Maison Familiale Rurale de Haussy. La dynamique fait naître des collaborations nouvelles avec Terre de Liens pour la veille sur le foncier agricole, par exemple - et des projets innovants une étude de faisabilité pour la construction dun moulin à céréales est en cours de réalisation. L'article développe l'historique et le développement de ce projet, présente les actions en cours et met en exergue les difficultés rencontrées, les facteurs de réussite et les perspectives du projet.
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Retour sur lAG !
Alain GUIFFÈS, Auteur ; Frédéric DENHEZ, Auteur ; Isabelle MACHABERT, Auteur ; ET AL., AuteurParmi les composantes de lAG 2018 de Biolait, trois temps forts sont repris dans ce dossier. Le premier article reprend des éléments de lintervention de Frédéric Denhez, journaliste écrivain, sur la question de lavenir de la bio, et tout particulièrement sur les enjeux des messages et images à diffuser aujourdhui sur cette agriculture dans un contexte de doute. Si on ne communique sur lAB que comme LA solution pour rester en bonne santé, ou encore si on la cantonne au seul « sans » (sans OGM, sans pesticide...), cest la couper de ses valeurs (sociales, notamment), la confiner dans une seule matière pour lagro-alimentaire et fragiliser son image. « Le monde du bio doit se prendre en mains [ ] pour au moins communiquer sur des valeurs, et cesser de faire des promesses intenables ou donner des leçons de morale ». Cette AG a aussi été loccasion de parler dun projet porteur de sens : le partenariat entre Biolait et un ESAT, la ferme du Pont de Sains, qui transforme, depuis 2015, 270 000 litres / an de lait « Biolait » en Maroilles bio. Ce dossier reprend aussi le discours hommage fait suite au départ de Christophe Baron du poste de président de Biolait.
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La RSE et la distribution spécialisée en bio...
BIO-LINEAIRES, Auteur"Harmonie Nature" est le premier magasin bio indépendant en France à s'être engagé dans une démarche officielle de RSE. Créé il y a 20 ans, à Lille, par Marie-Christine et Gérard Faucheux, le magasin est aujourd'hui géré par Raphaël, leur fils. En juin 2016, lors d'une journée NatexBio, celui-ci prend conscience de l'intérêt de s'engager officiellement dans la RSE. Pour lui, il s'agissait de faire tout d'abord un état des lieux des pratiques de l'entreprise (10 salariés), de rédiger une politique et de mettre en place un plan d'actions. L'accompagnement par le Synabio a été précieux, car il a permis de faire tomber les derniers obstacles et d'obtenir la labellisation Bioentreprisedurable®. Raphaël Faucheux témoigne des motivations qui l'ont poussé à entreprendre cette démarche, comment cela s'est passé, mais aussi ce qu'il en attend, et donne des exemples concrets de mesures mises en place, parmi lesquels la valorisation et la réduction des déchets de l'entreprise, la mise en place du télétravail, l'engagement de 3 jours de formation par collaborateur par année, etc.