Thésaurus
> SCIENCE > SCIENCES HUMAINES > GEOGRAPHIE > MONDE > EUROPE > FRANCE > NOUVELLE-AQUITAINE > POITOU-CHARENTES > CHARENTE MARITIME
CHARENTE MARITIME |
Documents disponibles dans cette catégorie (68)
Ajouter à la sélection Affiner la recherche
Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
En Charente-Maritime : Un bon complément pour une petite exploitation (Dossier : Agritourisme)
Véronique BARGAIN, AuteurEn 1991, Régine a repris l'exploitation de ses parents, située à Mortagne-sur-Gironde (Charente-Maritime), et a développé l'élevage ovin en agriculture biologique. Par ailleurs, depuis dix ans, elle accueille des vacanciers, de Pâques à mi-septembre. Elle cultive aujourd'hui 50 ha de terres dont 40 hectares de prairies, et élève 160 brebis qu'elle commercialise en vente directe. Après avoir reçu des enfants en gîtes pendant six ans, elle propose aujourd'hui six emplacements de camping, un gîte pour dix personnes, une table paysanne réservée aux résidents du camping et du gîte et la location d'ânes bâtés avec itinéraires de balades. Pour Régine, membre du réseau Accueil Paysan, l'accueil des vacanciers est avant tout basé sur les relations humaines... Au plan matériel, Régine a aménagé le gîte, une salle de cantine et installé des sanitaires, une piscine et des jeux pour enfants. La communication s'appuie surtout sur Internet. L'agritourisme apporte 30 % du revenu de l'exploitation de Régine. En termes de travail, c'est un temps plein, pour l'été, alors que les brebis sont à l'herbe à proximité ou à quelques kilomètres. Après la saison, les brebis sont ramenées sur l'exploitation et pâturent notamment sur le camping. L'éleveuse a, pour l'avenir, d'autres projets, comme développer la randonnée avec les ânes.
Dossier : Lutte contre les vivaces - Lutte mécanique : Sécher et épuiser
Catherine MILOU, AuteurLe désherbage mécanique permet de réduire et/ou de maintenir la pression des adventices à condition de l'utiliser en condition pédoclimatique sèche et d'adapter sa stratégie au système racinaire des vivaces présentes. Contre les vivaces, le désherbage permet d'affaiblir les organes souterrains et oblige les vivaces à puiser dans leurs ressources pour se développer. Ainsi, Joseph Pousset propose un itinéraire contre le chardon des champs (ou autre vivace à système racinaire profond) en travaillant le sol de plus en plus profondément à l'aide de déchaumeur, engrais vert, labour alliant stratégie d'extraction à celle d'épuisement. L'extraction permet, en remontant les organes, de dessiquer la plante. Cependant, la stratégie à adopter doit tenir compte du mode de reproduction de la plante visée. Contre les graminées, un déchaumage précoce permet d'extraire et de dessiquer les plantes au système racinaire peu profond comme le chiendent rampant. Comme en témoignent les membres du Gaec de la Champagne en Charente-Maritime, le choix d'outils adaptés allié à des conditions météorologiques chaudes permettent une lutte efficace.
Dossier : Strip-till : Travailler moins pour gagner plus
Ludovic VIMOND, Auteur ; Gaëtan COISEL, AuteurLe strip-till est une méthode de travail du sol qui consiste à ne travailler qu'une faible bande de terre sur la ligne de semis et qui est adaptée pour des cultures à fort espacement entre rangs, principalement semées en monograine. Cette technique, importée du Middle West américain, connaît un essor en France car elle permet des gains de temps, de carburant, de rendements et donne des bénéfices agronomiques à moyen terme. Cet article n'est pas spécifique à l'agriculture biologique, mais c'est une technique culturale qui peut être utilisée dans des systèmes en agriculture biologique. Une étude américaine a comparé, de 2004 à 2007, l'utilisation de cette technique à celle du sans labour classique. Les résultats montrent des gains de rendements avec le strip-till. Ce dernier laisse une grande partie de la surface du sol non travaillée ce qui favorise le développement des micro-organismes, évite le tassement par les roues du tracteur et permet un meilleur développement racinaire. Un deuxième article présente les trois types d'appareils existant pour cette technique. Le reste du dossier est composé de témoignages d'agriculteurs utilisant cette technique : Philippe Pastoureau, agriculteur dans la Sarthe, utilise le strip-till sur sols limoneux ; Yoahn Delage, agriculteur en Charente, utilise cette technique sur sols argileux ou caillouteux ; Régis Négrier, agriculteur en Charente-Maritime, l'utilise sur terres argilo-calcaires.
Rendements et qualités de la récolte 2011 en blé tendre bio : Présentation des résultats du réseau Sud ITAB
Ce document présente, dans un premier temps, les conditions météorologiques enregistrées sur la campagne 2011 sur les régions Aquitaine et Midi-Pyrénées. La deuxième partie du document présente les résultats des essais variétaux (18 variétés) du réseau blé bio 2011 sur tout le sud de la France. Le réseau comporte 5 zones de suivi différentes. Des graphiques et tableaux présentent les rendements et pourcentage de protéines pour chaque variété testée. Le document aborde également les résultats obtenus sur 5 variétés de blé dur.
Les actualités de la filière PPAM bio : La filière bio se développe. Voici les initiatives mises en place dans différentes régions
HERBA BIO, AuteurDans le département des Hautes-Alpes, département de montagne, les producteurs s'organisent, avec l'appui de la Chambre d'agriculture, pour relancer localement une production de PPAM en mettant en avant les atouts de leur territoire : Création d'une association de producteurs de plantes rares alpines ; Projet de conversion de la distillerie de Rosans. Dans la région de Grasse, pour relancer une production locale, des producteurs ont initié notamment un partenariat avec des parfumeurs pour valoriser les plantes aromatiques et médicinales sur ce territoire... En Charente-Maritime, après deux années de réflexion, 6 producteurs, accompagnés par le GAB (Groupement des agriculteurs biologiques) du département, se sont fédérés au sein d'un groupement d'intérêt économique, le GIE Biolo PAM 17 (mis en place en mai 2010). Son objectif est la collecte, la transformation et la commercialisation de plantes aromatiques... En Languedoc-Roussillon, la filière "Plantes Aromatiques et Médicinales bio" est en développement avec, pour moteur, les besoins des entreprises et groupements de producteurs locaux : Arcadie, les Laboratoires Gravier et la SICA Biotopes dans le Gard, et Golgemma dans l'Aude. Le CIVAM Bio du Gard est chargé de la coordination régionale du développement de la filière. L'avancement des projets par département est détaillé : Hérault, Gard, Aude.
Agroforesterie : Planter des arbres pour mieux valoriser ses parcelles
Cyrielle DELISLE, Auteur ; Sophie BOURGEOIS, AuteurLe remembrement et la mécanisation ont conduit à la diminution du nombre d'arbres et de haies sur les parcelles agricoles. Pratiquée depuis l'Antiquité, l'agroforestrie connaît aujourd'hui un regain d'intérêt : 160 000 hectares, dont 140 000 de pré-vergers, sont actuellement conduits de cette façon. L'association arbres-cultures procure de nombreux avantages (meilleure productivité, stockage de carbone, captation des nitrates ) et a de nombreuses utilisations (bois de chauffe, production fruitière, ébénisterie). Un diagnostic pédo-climatique, des données technico-économiques et le recours à un conseiller aident à choisir l'essence optimale. Des évolutions réglementaires récentes favorables à l'agroforesterie permettent aux mesures de soutien européennes de couvrir jusqu'à 70 % des coûts de plantation.
Dossier : Terres agricoles : Endiguer le grignotage
Marie-Gabrielle MIOSSEC, Auteur ; Myriam GUILLEMOT-SILENKO, Auteur ; Isabelle LEJAS, AuteurPour faire face à l'artificialisation des terres agricoles, des outils existent. Dans le Finistère, des agriculteurs, également élus municipaux, se forment auprès de la Chambre d'Agriculture afin de mieux prendre en compte le foncier agricole dans la réalisation de documents d'urbanisme sur leur territoire. L'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale sur l'agglomération de la Rochelle, un travail de concertation avec les agriculteurs, a permis de préserver des espaces agricoles, même si les souhaits des élus locaux diffèrent parfois des contraintes agricoles locales. En Ille-et-Vilaine, le Conseil général a conventionné avec la SAFER afin de mettre en réserve 23 hectares de terres agricoles sur la commune de Bruz, et ce afin d'installer des maraîchers en agriculture biologique pour faire face à la hausse de la demande de produits issus de l'agriculture périurbaine. Malgré l'existence de documents d'urbanisme censés modérer la consommation d'espace agricole, l'équivalent de un département français tous les 10 ans est artificialisé. C'est pourquoi la nouvelle loi de modernisation agricole prévoit de créer un observatoire de la consommation de l'espace agricole et la mise en place d'une taxe sur les plus-values des terres devenues constructibles.
Economie : Boulettes bio et restauration collective : Les marchés
Anne-Marie FILLOUX, Auteur ; Pauline DUPOUY, Auteur ; Jérémy MORISSE, AuteurLe lycée de l'alimentation ENILIA-ENSMIC de Surgères (17) a désiré créer des boulettes bio à base de légumes pour compléter la gamme déjà existante, mais également pour répondre à la circulaire du "Grenelle de l'environnement" qui vise à introduire plus de produits biologiques en restauration scolaire (15 % en 2010, 20 % en 2015). Le produit créé devra être certifié AB et avoir une conservation longue, soit une DLUO (Date Limite d'Utilisation Optimale). Pour cela, le produit sera surgelé. La première étape de ce projet (mené dans le cadre de la licence professionnelle à la conduite de projet) a été de réaliser une veille documentaire sur le sujet posé. Les résultats sont exposés dans l'article et organisés comme suit : - Le marché du bio (un marché en augmentation constante, un panier qui s'élargit, la restauration collective et le bio) ; - Les boulettes de légumes (les GMS (Grandes et moyennes surfaces), les magasins spécialisés, les magasins bio).
Jardin sauvage, entretien minimum
Brigitte LAPOUGE-DEJEAN, AuteurGuy Vaultier, pépiniériste en Charente-Maritime, fait le pari d'aider à l'organisation de jardins sans contraintes. Il propose de réfléchir à un jardin plus libre... Il préconise quelques promenades, carnet en main, pour observer et noter tout ce qui pousse, fleurit... Sont ainsi repérées les plantes qui prospèrent spontanément avant d'envisager l'aménagement de l'espace autour de la maison (avec un minimum d'intervention). A chacun d'envisager, en fonction de de la superficie, de son rapport à la nature ou de sa vie de famille, comment gérer cet espace qui peut évoluer... Plusieurs conseils sont donnés : - Installer la vie sauvage ; - Et maintenant, on plante ! ; - Entretien minimum... En outre, des encarts sont consacrés à la mise en place du jardin sauvage, à la pépinière de Guy Vaultier (Les filles du vent) et un tableau donne des indications sur les choix de plantes en sol ordinaire, en sol humide (plantes, floraison/feuillage, caractéristiques).
Un jardin sur la côte
Brigitte LAPOUGE-DEJEAN, AuteurPrésentation d'un jardin d'ornement sur le littoral, au bout de l'Île de Ré, sur lequel Bruno et Hélène Derozier ont ancré une petite pépinière entièrement dédiée aux végétaux de bord de mer. Les espèces botaniques rares qui y sont présentes s'adaptent au sable et aux embruns. Elles ont été patiemment collectées pour en assurer la préservation et la diffusion. De ce long travail de connaissance d'un milieu fragile, Bruno Derozier a tiré des enseignements essentiels qu'il met en partage pour que les jardins du littoral retrouvent une vraie diversité - et leur identité ! Les clés de réussite d'un jardin d'ornement sur littoral consistent à considérer : l'adaptation des plantes sur les dunes (arbustes persistants, graminées...) ; la plantation de haies brise-vent en mélange d'essences et de hauteurs de plantes ; l'association de plantes : planter par groupes, créer des massifs (arbustes, vivaces moyennes et couvre-sol), varier les systèmes racinaires... ; l'entretien (léger apport de compost, sol jamais retourné...). Présentation également de la démarche de Bruno Derozier qui, avec l'amorce d'une réorientation professionnelle (en 2003), crée cette pépinière de collection étendue sur 400 m², nommée la Criste Marine.
Viticulture : L'entretien du cavaillon en viticulture biologique : Journée technique organisée par Vitibio, 22 avril 2010 - A Jonzac
GAB 17, AuteurUne journée technique a été organisée par Vitibio dans le but de présenter les solutions d'entretien du cavaillon (bande de terre que la charrue vigneronne n'atteint pas entre les pieds de la vigne) afin de limiter le développement du couvert végétal. 400 viticulteurs ont assisté aux démonstrations d'entretien du couvert végétal. Deux ateliers ont été organisés. Le premier, consacré au travail mécanique du sol, a permis de tester les performances de décavaillonneuses et d'interceps. Le second, consacré à l'entretien de l'herbe, a comparé différentes techniques : tonte de l'herbe ou désherbage thermique. Il n'existe cependant pas de programme-type. La maîtrise du couvert végétal peut se faire grâce à la succession de différents outils en fonction de facteurs externes : pluviométrie, croissance de l'herbe et disponibilité du viticulteur.
L'agriculture biologique peut-elle être une réponse adaptée aux enjeux territoriaux et environnementaux de qualité de l'eau ? : Les termes du débat national et les jeux d'acteurs autour des captages de La Rochelle
Julie BERTRAND, Auteur ; Souha GAMRI, Auteur ; Ségolène MONTEILLER, Auteur | PARIS CEDEX 05 (16 Rue Claude Bernard, 75 231, FRANCE) : AGRO PARIS TECH - ENGREF | 2009L'étude, objet d'un travail en groupe d'élèves de première année de l'ENGREF (Ecole Nationale du Génie Rural des Eaux et des Forêts), a été commandée par le service de la statistique et de la prospective du ministère de l'Agriculture et de la Pêche qui cherche à mieux comprendre si l'agriculture biologique est une réponse adaptée aux enjeux liés à la qualité de l'eau. Au vu de la dégradation de la qualité de l'eau, de l'évolution du contexte législatif tant au niveau européen que national (notamment la loi sur l'eau et le milieu aquatique de 2006 qui prévoit la mise en place de programmes d'actions sur les bassins d'alimentation de captage jugés prioritaires), et d'un programme de diminution de l'utilisation des produits phytosanitaires, le plan EcoPhytos 2018, la notion de territorialisation des actions par la notion de bassins d'alimentation de captage se fait jour. En outre, l'agriculture biologique est de plus en plus couplée aux enjeux environnementaux comme l'attestent les objectifs de développement de l'agriculture biologique inscrits dans les conclusions du Grenelle de l'environnement. Localement, le mode de production biologique semble être privilégié par plusieurs collectivités sur des bassins d'alimentation de captage présentant des problèmes de qualité de l'eau. En introduction, sont exposés le contexte motivant la commande, le cadrage de l'étude et la méthodologie suivie, puis sont présentés les termes du débat national et l'étude de cas portant sur le projet de La Rochelle (éléments de contexte, présentation du projet de La Rochelle, modes d'intervention des acteurs en terme de prévention des pollutions, résultats de l'étude de cas).
Chez Allain et Nadia Richard, en Charente-Maritime : Des silos transformés en parcs stabilisés d'hivernage (Dossier : Bâtiments économes)
Cyrielle DELISLE, AuteurCet article relate l'expérience d'un couple d'éleveurs en Charente-Maritime qui a transformé des silos utilisés pour l'ensilage des aliments d'un troupeau laitier en logements pour des vaches allaitantes. Cet aménagement de parcs stabilisés d'hivernage s'inscrit dans une modification de l'activité principale de l'exploitation constituée par un troupeau laitier vers un système de vente directe de viande en production biologique. Le coût de l'aménagement revient à 200 par mère. Un suivi expérimental, réalisé par l'Institut de l'Elevage sur le thème « bâtiments d'élevage simplifiés, innovants et économes », a souligné la remarquable propreté des animaux sur cette installation.
Dossier : Les circuits courts court-circuitent la distribution
Myriam GOULETTE, Auteur ; Christophe REIBEL, Auteur ; Laurence GUILEMIN ; ET AL.Demande des consommateurs, mouvement de fond chez les producteurs : les circuits courts se développent avec la multiplication des points de vente collectifs, des AMAP, de la vente à la ferme, en France mais aussi dans toute l'Europe. En introduction, le dossier revient sur les mesures du plan annoncé par Michel Barnier, le 14 avril 2009, pour favoriser le développement des circuits courts ; les modes de commercialisation en circuit court, ainsi que sur les disparités en Europe quant à leur développement (Allemagne, Royaume-Uni, Autriche, Espagne, Pays-Bas). En France, beaucoup reste à faire, mais les consommateurs, le secteur public et institutionnel et les producteurs eux-mêmes plébiscitent ce mode de vente. Le dossier fait ensuite état d'expériences où se construit la relation producteur/consommateur et où sont valorisées les productions agricoles : - Politique : Des collectivités s'engagent pour une agriculture périurbaine (c'est le cas à Besançon (Doubs), à Lille (Nord), à Marmande (Lot-et-Garonne), à Auxonne (Bourgogne)) ; - Ile-de-France : Les paniers entrent en gare (dans trente gares franciliennes, à l'initiative de la Chambre d'agriculture d'Ile-de-france et du Transilien SNCF, l'opération "paniers fraîcheurs" permet à des maraîchers de la région de vendre leurs légumes en paniers et en direct) ; - Des paniers pour les salariés (les jardins du Ried, en Alsace, livrent entre 100 et 250 paniers composés de neuf produits aux employés d'un fabricant de cuisines ; 100 à 150 paniers à un producteur d'appareillage électrique...) ; - Lot-et-Garonne : Le camion fruitier de Prayssica sillonne les campagnes (la coopérative Prayssica commercialise et met en avant la qualité des fruits de coteaux avec un camion fruitier posté dans différentes bourgades du département) ; - Charente-Maritime : En direct dans toute la France (les noisettes transformées en huile s'écoulent sur les marchés et jusque dans les restaurants étoilés) ; - Tarn : Terra local pour rester au pays (A Gaillac, dans le Tarn, sur la route d'Albi, une nouvelle boutique de producteurs a vu le jour, avec pour objectif de favoriser l'installation de jeunes producteurs) ; - AMAP : "Les producteurs veulent être maîtres de leur avenir" (entretien avec Gaëtan Vallée, coordinateur régional Alliance Provence, réseau des Amap de Provence-Alpes-Côte d'Azur).
Les marais des bords de mer sauvés par les éleveurs
Emile DURAND, AuteurAu niveau écologique, les marais jouent un rôle important. Bien souvent, ces terres sont asséchées. Toutefois, certains éleveurs exploitent ces marais. Témoignages de Frédéric Signoret à Notre Dame de Monts (85,) et Jean-Paul et Stéphane Gaillot à La Vallée (17). Les marais, de par leur diversité floristique, fournissent des fourrages appétents. Mais les zones envahies par les eaux salées ne permettent pas la récolte de foin et peuvent être néfastes aux animaux. Les canaux, bien utiles pour l'abreuvement des animaux, peuvent représenter un danger pour ces derniers.