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Documents disponibles dans cette catégorie (42)


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Élevage : Exploiter les vertus du sainfoin, en pur ou dans les mélanges multi-espèces
Catherine VENINEAUX, Auteur ; David STEPHANY, Auteur ; Samuel L'ORPHELIN, AuteurUn point est réalisé sur les atouts (adaptation aux sols calcaires et superficiels, grande résistance au sec, propriétés antiparasitaires ) et sur les faiblesses du sainfoin (difficulté de séchage pour une récolte en fourrage ou en grain, inadaptation aux sols hydromorphes ). Cette plante rustique a en effet perdu du terrain face à la luzerne, mais elle présente toutefois de nombreux intérêts. Le FiBL a mené un travail sur le sainfoin et de nombreuses informations sont disponibles. Des témoignages dagriculteurs qui le cultivent en pur ou en association illustrent cet article. En cultures pures, Dominique Truc, La Ferme du Forest à Montbrand (05) ; - En cultures associées, Christian Ville, GAEC des Vorsys à St-Martin-de-Clelle (38) et Tao Ferrier, GAEC des Muriers à Belmont-Luthézieu (01). Une expérience d'association sainfoin et cameline testée dans la Drôme est également présentée.
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Système naisseur-engraisseur en agriculture biologique : Avec vente directe de vaches, boeufs et génisses
Isabelle GUIGUE, Auteur ; Christophe GILLIER, Auteur ; Sébastien GUION, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS Cedex 12 (Maison Nationale des Eleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2018Cette fiche présente un cas-type de système naisseur-engraisseur en bovins viande biologiques. Elle a été réalisée par léquipe Inosys Rhône-Alpes-PACA des Réseaux délevage en 2018. Le système décrit correspond à une exploitation ayant choisi de finir ses animaux et de les commercialiser en filière courte. Elle peut se situer en zone périurbaine, dans les zones de plaine ou de piémont, dans les Hautes-Alpes ou en Rhône-Alpes. Sur les 90 ha de la ferme, 10 ha sont en cultures (méteil et triticale). Le cheptel est de 81 UGB, avec 38 vêlages par an. La fiche décrit la conduite du troupeau avec les périodes de vente, le système fourrager et l'alimentation des animaux, l'assolement, les bâtiments et les équipements, ainsi que la commercialisation.
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Bovin viande biologique : Synthèse technique, économique et réglementaire
Ce document aborde les aspects réglementaires et techniques de la conduite d'élevage des bovins viande bio : - Les fondements de l'agriculture biologique ; - La production animale : - Les pratiques d'élevage (L'alimentation ; La finition ; Les conditions de logement et d'espace en plein-air ; La santé du troupeau) ; - La gestion des animaux (Identification des animaux ; Achat d'animaux ; Mixité ; Mixité avec des troupeaux non bio : la transhumance ; Le transport et l'abattage ; Les mutilations).
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Caprins laitiers biologiques : Synthèse technique, économique et réglementaire
Ce document aborde les aspects réglementaires et techniques de la conduite d'élevage des caprins laitiers bio : Les fondements de l'agriculture biologique ; La production animale : - Les pratiques d'élevage (L'alimentation ; Les conditions de logement et d'espace en plein-air ; La santé du troupeau ; La reproduction) ; - La gestion des animaux (Identification des animaux ; Achat d'animaux ; Mixité ; Mixité avec des troupeaux non bio : la montée en alpages ; Le transport et l'abattage ; Les mutilations).
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Hautes-Alpes : Soutenir et appuyer des dynamiques locales d'agroécologie paysanne
Julien KAQUET, Auteur ; Véronique DUBOURG, Auteur ; Vanessa PICARD, Auteur ; ET AL., AuteurDans les Hautes-Alpes, des paysans, un ethnopastoraliste et une chercheuse en écologie politique ont mis en place un projet de relocalisation de lagriculture dans un projet agroécologique. En effet, ce département connaît une forte diversité de production, avec une bonne capacité dadaptation aux aléas et semble être en mesure de nourrir la population locale. Cependant, les politiques du département sont souvent plus tournées vers les filières longues en lait et pomme. Ce projet de relocalisation a obtenu un financement pour 3 années de travail, de 2015 à 2017. Les démarches et étapes de mise en place du projet, ainsi que les premières actions sont présentées : production de semences de ferme, création dun groupe déchanges de 15 paysannes, réouverture et reprise de deux abattoirs de proximité...
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Optimiser en élevage caprin : "Priorités à la croissance et au pâturage" ; Des chèvres en plaine ou en montagne : S'adapter pour être cohérent
Frédéric RIPOCHE, AuteurLe parasitisme est une question clé en production caprine, en particulier dans les systèmes utilisant du pâturage. Cependant, une bonne maîtrise de la croissance et du poids des animaux est aussi un facteur de succès. Ces divers points sont abordés à travers deux articles. Le premier présente des repères, de la naissance au pâturage, issus dune interview dYves Lefrileux, de lInstitut de lÉlevage et responsable des expérimentations à la ferme caprine Le Pradel (Ardèche). Par exemple, il est important que les futures primipares aient un poids de 35 kg à la saillie. Pour atteindre cet objectif, il faut particulièrement suivre la croissance (avec notamment des pesées régulières) afin didentifier très tôt tous les problèmes, la chèvre ayant peu de capacité de croissance compensatrice. Le poids à la naissance est aussi essentiel et, de fait, il faut veiller à donner une ration riche en protéines aux femelles gestantes. Par ailleurs, il est essentiel de faire pâturer les chevrettes sur des parcelles saines toute la saison, séparées des chèvres. Le pâturage mis en place au Pradel est basé sur des blocs fourragers, ensemble de parcelles exploitées pendant 60 à 70 jours qui sont suivis dune rupture de plusieurs semaines, plus ou moins longue selon la saison, ce qui permet de réduire fortement la présence des larves infectantes qui peuvent survivre plusieurs mois. Le second article présente les cas de deux élevages caprins biologiques avec pâturage, lun en plaine (Vendée) et lautre en montagne (Hautes-Alpes). Dans ces deux élevages, les pratiques ont été réfléchies (et évoluent encore) pour renforcer la cohérence du système, selon leurs contraintes propres, avec, dans chaque cas, une vigilance au niveau pâturage et gestion du parasitisme.
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Poules pondeuses biologiques : Synthèse technique, économique et réglementaire
Ce document aborde les aspects réglementaires et techniques de la conduite d'élevage des poules pondeuses bio : - Les fondements de l'agriculture biologique ; - La production animale : - Les pratiques d'élevage (L'alimentation ; Les conditions de logement et d'espace en plein-air ; La santé du troupeau) ; - La gestion des animaux (Achat d'animaux ; Mixité ; Les mutilations) ; - Le marquage des ufs et la vente.
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La culture du génépi
Éric FRANÇOIS, AuteurLe génépi est une armoise naine qui pousse dans les Alpes et dans les Pyrénées, à très haute altitude. L'espèce Atemisia umbelliformis est cultivée pour être ensuite transformée en liqueur. En France, la production est estimée à moins de 400 kg/an pour une dizaine de producteurs. Philippe Allec, technicien de la Chambre d'agriculture des Hautes-Alpes, a lancé un projet d'Indication Géographique (IG) "Génépi des Alpes" du côté français. 5 liquoristes français ont d'ores et déjà entamé des démarches pour être certifiés.
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Dossier : Région Hautes-Alpes / Isère
Marie COUVAL, Auteur ; Nicolas GHIOTTO, Auteur ; Marie MALLET, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier est consacré à la collecte laitière sur la région Hautes-Alpes / Isère, territoire de montagne, dans lequel BIOLAIT collecte le lait bio depuis le début de l'année 2016. Les nombreux entretiens qui émaillent ce dossier témoignent d'une grande diversité de situations, mais d'une même volonté pour peser sur un développement agricole protecteur de l'environnement et plus juste socialement. Au sommaire : - Introduction : Un travail collectif pour aboutir à la mise en place d'une collecte ; - 2 régions, 2 départements, une problématique de territoire équivalente ; - Mutualisé 14 ans, et enfin revoir le camion de BIOLAIT (GAEC des Vorsys (38)) ; - Témoignage de Christian Ville, sur l'histoire avec BIOLAIT ; - BIOLAIT, le retour... (GAEC Ferme de la Jarjatte (26)); - La bio, la montagne : système évident, mais sans valorisation avant BIOLAIT (GAEC des Counières (05)) ; - Une nouvelle dynamique sur les Hautes-Alpes avec l'arrivée de BIOLAIT (GAEC Ferme des Baumugnes (05)) ; - Après 40 ans, la valorisation du lait en AB redonne de la pérennité à notre ferme (Marie-Do et Michel Ollivier) ; - De nouveau, je vais pouvoir livrer mon lait en AB (Jean-Noël Mathieu (05)) ; - Une collecte de lait bio dans le Trièves : nous l'espérions (EARL Les Bayles (38)) ; - Une collecte bio permet d'assurer la continuité du GAEC (GAEC La Grange de Morge (38)) ; - La mise en place de la collecte facilite vraiment mon installation (GAEC Ferme de la Tuilière (05)) ; - GAEC Ferme de la Tuilière, entre Provence et Dauphiné.
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Découvrez les Talents bio 2015
Le Salon Tech & Bio met à l'honneur des agriculteurs bio qui se distinguent par leurs résultats remarquables. Lors du Salon des 23 et 24 septembre 2015, à Valence (26), une table ronde autour des témoignages des 15 lauréats a été organisée, en parallèle à l'exposition de leurs portraits. Dans cette brochure, les 15 "Talents Bio" sont présentés, avec une description de leur exploitation ou de leur entreprise : - Le GAEC des Cordiers (Savoie) ; - Denis Valentin (Drôme) ; - Le Clos des Monts (Puy-de-Dôme) ; - Le GAEC Le Bouquet Savoyard (Haute-Savoie) ; - Le GAEC des Pieds de moutons (Lozère) ; - La Ferme du Forest (Hautes-Alpes) ; - L'EARL Gobard (Île-de-France) : - Damien Olivier (Calvados) ; - L'EARL Saint-Germain (Charente-Maritime) ; - Philippe Nouvellon et Luc Devienne (Tarn) ; - L'EARL Guézenoc (Finistère) ; - Le GAEC des Marzelles (Loire-Atlantique) ; - Julien Taton (Saône-et-Loire) ; - Arlette Martin (Alpes-de-Haute-Provence) ; - Yves Dietrich (Bas-Rhin).
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Dossier : L'élevage paysan, c'est la vie !
CAMPAGNES SOLIDAIRES, Auteur ; Annie SIC, Auteur ; Sophie CHAPELLE, Auteur ; ET AL., AuteurFace aux questions sociétales liées au bien-être animal, aux dérives de l'élevage industriel et aux technologies de création de "viande" in vitro, ce dossier, à travers de nombreux témoignages, vise à défendre l'élevage paysan, à taille humaine. Ce dernier est porteur d'emplois, de solutions contre la déprise rurale, pour la conservation de la biodiversité, agricole ou non, ou encore de réponses face au changement climatique. L'élevage paysan a pour fondement le bien-être, de l'animal et de l'éleveur, en intégrant notamment la question de sa juste rémunération. Ce dossier revendique « un regard juste » sur la production de viande, non limité à un arbitrage entre abolition et fermes-usines, redonnant sa place à l'élevage paysan, à ce jour le plus important en France.
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Élevage ovin viande : Plus d'autonomie pour optimiser
Frédéric RIPOCHE, AuteurLes conversions en ovins viande augmentent : plus 14 % au niveau national entre 2013 et 2014. Pour un résultat économique viable, l'éleveur bio doit être vigilant sur certains points majeurs : l'optimisation du coût alimentaire, la gestion du parasitisme ou encore la reproduction (avec désaisonnement ou non, selon notamment sa stratégie de commercialisation). Ce dossier, qui regroupe les interviews d'un ingénieur de l'INRA et d'un vétérinaire, ainsi que deux témoignages d'éleveurs, donne des repères clés sur ces éléments. Par exemple, il est important d'optimiser le niveau de concentrés consommés par couple mère/agneau. S'il est inférieur au niveau de productivité numérique (ex : pour une productivité de 110 agneaux produits pour 100 mères, l'idéal est de consommer moins de 110 kg par couple mère/agneau), cela contribue à dégager de meilleures marges. Ainsi, en AB, la solution n'est pas la recherche d'un haut niveau de productivité numérique, mais d'avoir un système économe (par exemple avec un agnelage par brebis et par an). La gestion de la ressource fourragère est aussi déterminante, aussi bien pour des questions de parasitisme (ex : éviter le surpâturage, 80 % de la population parasitaire se trouvant dans les 5 premiers cm d'herbe) que d'autonomie alimentaire. Valoriser au mieux les ressources fourragères est essentiel pour limiter la consommation de concentrés. Cela est rendu possible par des mises à l'herbe réfléchies pour profiter des pics de pousse, l'usage de prairies avec légumineuses ou encore la récolte de foins de qualité.
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Petit manuel du berger d'alpage
Ce petit manuel est destiné à faciliter la préparation et le bon déroulement de l'estive. Conçu et rédigé avec l'aide de plusieurs berger-e-s, il s'adresse en premier lieu aux berger-e-s, mais également aux visiteurs de l'alpage, curieux d'en savoir davantage... Objectif : préserver et conforter le plaisir, voire la passion, qu'on éprouve à garder un troupeau en estive. Car le plaisir de passer une saison près des cimes auprès des brebis est une des principales motivations des berger-e-s d'alpage. Plaisir, passion, certes, mais sans perdre de vue que "faire le berger" implique un mélange de prudence, d'humilité, de respect de soi et des autres, d'amour, de soins et de respect des animaux que l'on vous confie, de savoirs et de savoir-faire divers, de techniques et de valeurs, révélés au fil des pages... et des jours. Car il est vrai qu'à tout âge le berger a toujours à apprendre de la montagne, du troupeau et de son métier.
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Une vallée bio tournée vers l'élevage
Pierre-Louis BERGER, AuteurParti d'une volonté de mieux valoriser les produits de l'agriculture biologique et de favoriser un développement centré sur le territoire, de la production à l'organisation de la filière, le projet de vallée bio dans le nord des Hautes-Alpes a, petit à petit, pris forme. En 2013, un travail de recensement des exploitations a permis d'identifier les acteurs locaux motivés pour le projet, de l'amont à l'aval de la filière, et un comité de pilotage a été mis en place pour accompagner les éleveurs volontaires à la conversion biologique. Une dynamique s'est enclenchée. Parmi les personnages moteurs du projet, deux éleveurs particulièrement impliqués et passionnés : Pierre Bellot, éleveur bio ovin allaitant à Barratier (05) et en charge de la bio à la Chambre d'agriculture, et Marc Viossat, éleveur bio ovin laitier à Embrun (05) et conseiller départemental. Tous les deux font partie du noyau dur qui défend la création d'une vallée bio dans les Hautes-Alpes. Un grand nombre de partenaires doivent maintenant travailler ensemble et se fédérer autour de la bio. L'initiative bénéficie, sur trois ans, d'un financement CASDAR et le ministère de l'Agriculture souhaite la mise en place d'un GIEE.
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Adaptation de l'agriculture aux changements climatiques : Recueil d'expériences territoriales
Le RAC-F (Réseau Action Climat France) publie cette étude, à destination des acteurs des territoires, sur les stratégies d'adaptation de l'agriculture aux changements climatiques. Elle fait suite à une première étude intitulée "Atténuer les émissions de GES du secteur agricole en France - Recueil d'expériences territoriales". Dans une première partie, sont détaillés les effets attendus des changements climatiques, l'état de la science sur le sujet, et les outils institutionnels déjà existants, les stratégies d'adaptation identifiées et les rôles possibles des territoires. Dans une deuxième partie, sont décrites 5 expériences territoriales ayant mis en place des actions concrètes : la communauté de communes Le Grésivaudan, le parc national des Ecrins, la Chambre d'agriculture de la Creuse, le Conseil général du Lot-et-Garonne et le territoire de la Mayenne (CIVAM AD 53 et Chambre d'agriculture).