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The Mediterranean region
R. TADIC ; AF. CALLEJA ; U. ADLER ; ET AL.ABM, ou AgriBioMediterraneo, a été créé lors d'une rencontre à Vignola (Italie) en 1990 et, en 1997, il devient groupe régional officiel d'IFOAM pour les pays méditerranéens. Aujourd'hui, ABM est composé de plus de 130 membres d'IFOAM de trois continents (Afrique, Asie, Europe) et de 19 pays situés en bordure de la Mer Méditerranée. ABM s'occupe des questions relatives à l'agriculture biologique méditerranéenne, notamment en ce qui concerne la commercialisation, la recherche & développement, les normes et la certification, et la formation. Ce dossier d'Ecology and Farming offre un voyage à travers le monde biologique méditerranéen, et propose des articles sur l'AB dans différents pays : Malte, Israel, Grèce, Maroc, Espagne, Portugal, Albanie, Chypre, Syrie.
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Varieties of organic products from dairy sheep and goats production systems in the Mediterranean region
Cette intervention a eu lieu lors de l'ESF Exploratory Workshop on "Product Quality and Sustainability of Organic Sheep and Goat Production in Mediterranean Countries", qui s'est déroulé à Thessaloniki, en Grèce, du 15 au 17 juin 2007. Si la Grèce détient le plus important nombre de fermes en ovins et en caprins, l'Espagne la dépasse toutefois pour le nombre total d'ovins. En revanche, c'est l'Italie qui a le plus d'ovins biologiques et la Grèce de chèvres biologiques. Les principaux produits bio provenant des ovins et des caprins sont : le lait (frais, UHT, fromage), la viande (jeunes ou adultes), la laine et le cuir. Des données statistiques en agriculture biologique précises existent pour la France et l'Espagne, mais sont plus aléatoires pour l'Italie et la Grèce, où la production de lait est très importante. Le document propose ensuite des études de cas pour les différents pays.
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Willingness to pay for pesticides' reduction in E.U. : nothing but organic?
Pascale BAZOCHE, Auteur ; Frank BUNTE, Auteur ; P. COMBRIS, Auteur ; ET AL., Auteur | IVRY-SUR-SEINE (65 Boulevard de Brandebourg, 94 205, FRANCE) : INRA - ALISS (Alimentation et Sciences Sociales) UR 1303 | 2012La réduction de l'utilisation des pesticides est aujourd'hui un des enjeux majeurs de l'agriculture européenne. En lien avec l'environnement et la santé, c'est aussi une préoccupation importante des consommateurs. Ainsi, ces derniers semblent être de plus en plus prêts à soutenir les politiques environnementales. Dans cet article, les auteurs ont cherché à évaluer la motivation réelle des consommateurs, notamment leur volonté à payer plus cher pour des produits agricoles ayant une garantie de réduction de l'utilisation de pesticides. Pour cela, des enchères expérimentales sur des pommes ont été effectuées dans quatre pays : la France, la Grèce, les Pays-Bas et le Portugal. Elles concernaient plusieurs systèmes de bonnes pratiques agricoles pouvant être signalées aux consommateurs, issus de stratégie publiques et privées et allant de la production intégrée au mode de production biologique. Les résultats sont relativement homogènes sur les quatre pays testés, et montrent que le renforcement de l'information sur la réduction des pesticides peut avoir des conséquences sur le comportement des consommateurs. Dans tous les tests de cette expérimentation, les pommes pour lesquelles les consommateurs sont prêts à payer le plus après une information quant à la quantité de pesticides utilisée sont celles issues de l'agriculture biologique. Les pommes issues de production intégrée sont ensuite choisies, devant celles de l'agriculture conventionnelle.