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Documents disponibles dans cette catégorie (41)


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Dossier : Des chemins qui tiennent la route
Costie PRUILH, Auteur ; Véronique BARGAIN, AuteurPour valoriser au mieux l'ensemble des pâtures d'une exploitation laitière, les vaches doivent pouvoir y avoir accès dans de bonnes conditions. Ainsi, les chemins ont une importance particulière et il ne faut pas les négliger. Dans ce dossier, sont présentés les grands principes à respecter pour la conception de chemins de qualité, mais aussi de boviducs. Quelques témoignages, en France, en Angleterre et en Irlande, viennent illustrer cela : mélange terre-chaux recouvert de mâchefer, mélange chaux-ciment, dalles alvéolées, béton, ou encore pierres de carrière et finition en sable gris chez Nicolas Rubin, éleveur bio en Ille-et-Vilaine.
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Evaluation of support for organic farming in draft CAP Strategic Plans (2023-2027) - 3 March 2022
Dans le cadre de lélaboration de la nouvelle Politique agricole commune (PAC), les États membres de l'Union Européenne (UE) devaient soumettre, à la Commission Européenne, leurs plans stratégiques nationaux (PSN) avant le 1er janvier 2022. Ce rapport évalue le soutien à l'agriculture biologique dans les projets de PSN des différents pays membres de lUnion Européenne : Allemagne, Autriche, Belgique (partie Wallonie et partie Flandre), Bulgarie, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Slovaquie et Suède. Il apporte aussi des informations sur le soutien à lagriculture biologique dans des pays voisins non membres de lUE : Suisse et Royaume-Uni. Ce rapport se base sur un processus de consultation (questionnaire et entretiens), entrepris, d'avril 2021 à février 2022, par IFOAM - Organics Europe auprès de ses membres. Il contient également des recommandations pour améliorer le soutien à l'agriculture biologique et relever l'ambition des PSN afin qu'ils contribuent à atteindre les objectifs définis dans le cadre de la nouvelle PAC, ainsi que ceux fixés dans le cadre du Green Deal, de la stratégie « Farm to Fork » et du plan européen pour la biodiversité. Au travers de cette évaluation, IFOAM - Organics Europe souhaitait également s'assurer que la Commission Européenne allait disposer de toutes les informations nécessaires pour signaler à chaque pays, dans ses prochaines lettres d'observation, les manques de soutien à l'agriculture biologique, et veiller à ce que les États membres disposent de plans garantissant a minima une croissance continue de la production biologique au cours de la prochaine PAC (2023-2027).
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Fourrages et prairies 2.0
C. ALLAIN, Auteur ; Jérôme PAVIE, Auteur ; P. GAUTIER, Auteur ; ET AL., AuteurCe numéro de la revue « Fourrages » est consacré à lutilisation de nouveaux outils, notamment des nouvelles technologies (objets connectés) et des jeux sérieux, pour optimiser la gestion des fourrages et des prairies. Les différents articles regroupés dans cette revue portent ainsi sur : 1 lintérêt des objets connectés appliqués aux fourrages, à la conduite des prairies et à la surveillance des animaux ; 2 lutilisation de données satellites pour quantifier la production dherbe et de biomasse ; 3 le recours à la télédétection pour prédire la biomasse du maïs ; 4 la prévision de la croissance de lherbe en Irlande ; 5 la spectrométrie dans le proche infra-rouge pour évaluer la valeur alimentaire des fourrages ; 6 lutilisation de colliers de monitoring pour optimiser le pâturage des vaches laitières ; 7 la prise en main de clôtures virtuelles pour gérer le pâturage ; 8 la mise en réseau dacteurs de la prairie pour accélérer les échanges et les innovations ; 9 lappropriation, par des agriculteurs en Cuma, des stations météo connectées et des outils daide à la décision associés ; 10 - les jeux sérieux en élevage pour transférer les connaissances ; 11 lanimation de séances de diagnostic prairial en collectif pour favoriser le vieillissement des prairies temporaires (outil PERPET) ; 12 un jeu sérieux pour tout comprendre sur les prairies du Massif Central (AEOLE-le-jeu) ; 13 peu doutils numériques en élevage pâturant ; 14 la mesure de la hauteur despèces fourragères pérennes par photogrammétrie.
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The ambition gap: Assessing organic farming support measures in current draft national CAP Strategic Plans for the Common Agricultural Policy 2023-2027 - 18 November 2021
Les États membres de l'Union Européenne avaient jusqu'au 1er janvier 2022 pour soumettre leurs Plans stratégiques nationaux (PSN) pour la future Politique agricole commune (PAC) à la Commission européenne. Cette dernière devait examiner les PSN et les approuver au cours du premier semestre 2022, avant leur mise en uvre à compter du 1er janvier 2023. IFOAM-Organics Europe a interrogé ses adhérents, issus de 19 États membres, entre avril et novembre 2021 sur limpact estimé de ces PSN sur le développement de l'agriculture biologique (mesures, budgets ), afin de vérifier que l'ambition des PSN était en adéquation avec les objectifs de lUnion Européenne (Green Deal, stratégie « Farm to Fork » ). Globalement, IFOAM-Organics Europe sest montré très préoccupé par le manque de sollicitation de ses adhérents - les représentants nationaux de l'agriculture biologique - dans les consultations nationales, ainsi que par l'insuffisance des ambitions et des budgets pour inciter davantage d'agriculteurs à se convertir à l'agriculture biologique. Les PSN récompensent également mal les agriculteurs biologiques alors que ces derniers fournissent des externalités positives bénéfiques à tous. Ce document est composé de trois parties : 1 - Analyse et recommandations aux États membres et à la Commission européenne pour améliorer les PSN et la future PAC ; 2 - Analyse comparative des projets de PSN : 3 - Explications par pays (Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Croatie, Danemark, Espagne, Finlande, France, Hongrie, Irlande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Suède).
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La distribution des produits naturels et bio en Irlande
Michel KNITTEL, AuteurMalgré la forte influence du Royaume-Uni, l'Irlande du Sud présente un paysage de la distribution des produits biologiques différent de celui de son voisin. Petit pays insulaire de 4,9 millions d'habitants, sa surface est de 72 000 ha et la part de sa SAU en bio n'est que de 1,5 %. En 2019, on y comptait un peu plus de 2 100 opérateurs bio, dont 1 700 agriculteurs. D'après l'agence officielle irlandaise de promotion de l'industrie agroalimentaire, le marché bio se situerait, pour 2018, autour de "plus de 200 Mio ", représentant une croissance de + 10 % entre 2017 et 2018. Près de 94 % des ménages irlandais achètent des produits bio, en moyenne une fois toutes les 2 semaines. Les principales motivations sont la qualité des produits bio, le fait qu'ils soient labellisés, mais aussi les bienfaits pour la santé, le goût et l'origine irlandaise. Le principal frein à l'achat reste le prix, pour 48 % des consommateurs, selon une étude consommateurs réalisée en 2017. La production nationale concerne essentiellement des produits carnés (bovins, ovins) et souffre d'un manque de gros producteurs de fruits et légumes, impliquant une forte dépendance aux importations. La distribution des produits bio s'opère en grande partie via les grandes surfaces, avec 70 % des achats réalisés en 2017. La plupart des grandes enseignes conventionnelles possèdent leur propre marque de produits bio, comme SuperValu, leader de la distribution bio en GMS, et qui a lancé une gamme de 19 fruits et légumes bio avec des emballages compostables. La vente directe est bien présente, avec de nombreux marchés et des possibilités d'achats à la ferme. De nombreuses boutiques indépendantes, baptisées "magasins bio", existent, mais ce sont en général de petites supérettes proposant peu de produits frais. Les "health stores" proposent surtout des produits diététiques, des compléments alimentaires et des cosmétiques. Organisés sous forme de coopératives, certains magasins associent alimentaire et non-alimentaire, bio et non-bio, ou se consacrent au 100 % local, dont du bio...
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Lettre Filières FNAB - Lait n° 14
GAB 85, Auteur ; Julia SICARD, Auteur ; Danaé GIRARD, Auteur ; ET AL., AuteurLa Lettre Filières FNAB - Lait n° 14 est composée des articles suivants : - Santé animale : Focus sur la méthode OBSALIM® ; - Le pâturage des chèvres sous toutes ses coutures ; - Didier Larnaudie et Alain Beyer - Bovins lait - Aveyron ; - L'agriculture biologique s'engage pour le climat - Tome 2 ; - Note de conjoncture du lait bio en France et en Europe - Premier semestre 2019 ; - Les freins à la conversion en élevage caprin ; - Favoriser l'usage des plantes en élevage ; - Quel foin pour quels objectifs ?
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Optimising economic and environmental performances of sheep-meat farms does not fully fit with the meat industry demands
Marc BENOIT, Auteur ; Rodolphe SABATIER, Auteur ; Bertrand DUMONT, Auteur ; ET AL., AuteurCette étude analyse les performances économiques et environnementales de cinq systèmes de production européens en ovins viande. Ils sont situés dans des zones géographiques contrastées, allant de lIrlande aux parcours méditerranéens français. Lanalyse de ces systèmes de production a mis en évidence leurs différences en matière de performances économiques et environnementales, de consommation daliments concentrés. Selon les systèmes, la productivité varie de 0,82 à 1,66 agneau/brebis/an, et la consommation de concentrés de 0 à 148 kg/brebis/an. Parmi ces cinq systèmes, deux systèmes se basent plus sur le pâturage de prairies et de parcours naturels. Ils affichent les meilleures performances économiques et environnementales, ce qui sexplique par une bonne concordance entre les besoins alimentaires du troupeau et la disponibilité en fourrages. Cependant, ces systèmes génèrent une forte saisonnalité de la production, ce qui ne répond pas à la demande de lindustrie agroalimentaire qui souhaite avoir un approvisionnement régulier tout au long de lannée. Le système irlandais suit également une stratégie dautonomie en fourrages, mais ses performances environnementales et économiques sont plus faibles en raison de son intensification, des prix plus élevés des terres, et du prix plus faible de la viande. Le système reposant sur trois agnelages en deux ans et le système en agriculture biologique génèrent un approvisionnement plus régulier en agneaux, mais ils consomment plus de concentrés, ce qui affecte négativement leurs performances. Ces résultats montrent que loptimisation des performances économiques et environnementales ne correspond pas entièrement à la demande de lindustrie de la viande. Les systèmes délevage basés sur lherbe et à faible productivité, mais entièrement autosuffisants, peuvent atteindre dexcellents rendements économiques, mais nécessitent des compétences spécifiques et une adéquation sur le plan de la commercialisation.
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Performances, impacts and bundle of services provided by five autonomous sheep meat farms in France and Ireland
Ce document a été écrit dans le cadre du « 6th International Symposium for Farming Systems Design », qui sest tenu à Montevideo (Uruguay) en 2019. Il analyse les performances multidimensionnelles de cinq systèmes délevage ovins viande. Actuellement, les systèmes délevage sont fortement remis en question par la société, notamment en ce qui concerne leurs impacts sur le changement climatique, la pollution, l'utilisation des terres et le bien-être des animaux. Cette étude analyse les performances, les impacts et lensemble des services fournis par cinq exploitations ayant des systèmes de production efficients en ovins allaitants, dont une en agriculture biologique. Ces fermes, basées en France et en Irlande, ont des systèmes très contrastés, notamment en ce qui concerne leurs stratégies d'alimentation et leurs contextes pédoclimatiques. Lhypothèse, sur laquelle se base cette étude, est que ces différentes stratégies mises en uvre se traduisent par des compromis différents vis-à-vis des services écosystémiques. Ainsi, après avoir présenté les performances techniques, économiques et environnementales de ces cinq systèmes, cette étude réalise des focus sur deux dentre eux. Ces focus détaillent les différents services quils fournissent et leurs impacts sur la production, lemploi (à la ferme et en dehors de la ferme), lutilisation dintrants, lenvironnement (biodiversité, pollution de l'eau, prédation ) et la dimension sociale (paysage, prévention des incendies, évènements culturels ). Ces analyses ont mis en évidence un lien positif entre la maximisation des ressources fourragères et la plupart des performances économiques et environnementales. Les systèmes d'élevage à faible productivité peuvent ainsi fournir simultanément des produits de haute qualité et une multitude de services. Une prochaine étape consistera à évaluer la sensibilité de ces exploitations à plusieurs types de risques.
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Le Wwoofing, un mode de voyage durable et solidaire
Hélène COLNAT-BREUNE, Auteur ; Benjamin MERCIER, AuteurLe Wwoofing est un moyen de voyager, dans les milieux ruraux, en aidant à la ferme contre le gîte et le couvert. Ce principe, datant des années soixante-dix, sest disséminé dans 120 pays, dont les paysans-hôtes sont aujourdhui référencés sur le site internet du réseau Wwoofing (World wide opportunities on organic farms). Hélène et Benjamin racontent leurs expériences de Wwoofing en Outre-manche et leurs échanges, riches, avec les agriculteurs.
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Réduire de 15 % l'empreinte carbone est réalisable
Cyrielle DELISLE, AuteurLe projet « Life Beef Carbon » (2016-2020) cherche à réduire de 15 % lempreinte carbone de la filière viande bovine en dix ans. Ce projet est piloté par lInstitut de lélevage et regroupe 57 partenaires. Il doit évaluer lempreinte carbone de 2000 fermes de quatre pays européens (France, Irlande, Espagne et Italie) pour ensuite promouvoir les pratiques à faibles émissions de gaz à effet de serre (GES). En France, lagriculture contribue à 20 % de leur émission, dont 5 % sont liés à lélevage bovin (méthane entérique 50 %, gestion des effluents 23 %, achats de paille 6 %, fertilisation 6 %, énergies directes 5% et achats dengrais 4 %). Les premiers résultats obtenus sur 1050 fermes montrent de grandes disparités entre les exploitations faiblement émettrices et la moyenne : leur empreinte carbone est 35 % plus faible que la moyenne, ce qui laisse supposer quil existe bien des marges de manuvre pour réduire de 15 % les émissions de GES et quelles existent dans ces exploitations. Les principaux leviers identifiés sont la diminution des UGB improductifs et de la fertilisation minérale, une meilleure gestion des effluents et loptimisation des rations (en favorisant le pâturage).
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Pâturer avec un robot de traite : une diversité de stratégies
Valérie BROCARD, Auteur ; Françoise LESSIRE, Auteur ; Estelle CLOET, Auteur ; ET AL., AuteurAu cours du projet Autograssmilk, différentes stratégies ont été testées pour maximiser la production de lait (et réduire les coûts alimentaires) en combinant robot et pâturage dans une large gamme de contextes : des systèmes très pâturants à faibles coûts alimentaires, jusqu'à des systèmes plus intensifs tournés vers la recherche de productivité animale. Ainsi, les points clés de la réussite d'un système combinant robot de traite et pâturage ont pu être décrits, notamment concernant le choix d'un mode de gestion de l'alimentation (et son adaptation aux variations d'herbe disponible), la circulation des vaches (selon le nombre de vaches traites par robot), la distance des parcelles (possibilité d'utiliser un robot déplaçable). Les animaux ont la faculté de s'habituer à un nouveau mode de fonctionnement.
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Les légumineuses fourragères, indispensables à l'élevage de demain
L. DELABY, Auteur ; J. PAVIE, Auteur ; B. MC CARTHY, Auteur ; ET AL., AuteurL'intensification basée sur les engrais chimiques et la spécialisation des productions a fait régresser les légumineuses en Europe, alors qu'en Amérique du Sud, la luzerne (pâturée ou associée avec l'ensilage de maïs) reste la base des systèmes de production laitière. Les légumineuses ont des atouts (fixation symbiotique, transfert de fertilité et richesse en protéines) qui ont des conséquences agronomiques et zootechniques à plusieurs niveaux, de la parcelle à l'exploitation, de l'assolement à l'alimentation des troupeaux. Leurs exigences et fragilités justifient des pratiques bien adaptées, mais les légumineuses permettent de renforcer l'autonomie des systèmes d'élevage et, selon le contexte de prix des intrants, la rentabilité économique des exploitations. Leur développement futur semble s'appuyer sur leurs atouts environnementaux et nécessiter une politique volontariste durable.
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Projet Life Beef Carbon : « Jai calculé mon empreinte carbone pour me positionner »
Cyrielle DELISLE, AuteurLancé en 2015, le programme européen Life Beef Carbon associe 4 pays (France, Italie, Irlande, Espagne), 57 partenaires, 2000 fermes de démonstration et 170 fermes innovantes. Lobjectif pour la filière viande bovine est de réduire de 15 % son empreinte carbone en dix ans. Lélevage de Julien Boulet, en Ille-et-Vilaine, fait partie des exploitations auditées via loutil CAP2ER. Léleveur témoigne dans cet article.
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The Little Milk Company : une initiative de commercialisation collective par des producteurs laitiers bio en Irlande
LETTRE FILIÈRES FNAB - LAIT, AuteurEn Irlande, on compte seulement quelques centaines de producteurs laitiers bio. Les prix du lait fixés par les collecteurs n'étant pas suffisants, des éleveurs se sont réunis pour mettre en place un système original de valorisation en lien avec des artisans fromagers. En 2011, un groupe de 10 producteurs de lait bio de différentes régions d'Irlande a créé, avec le soutien de fonds européens, nationaux et locaux, The Little Milk Company, une entreprise collectant le lait bio pour la transformation fromagère. Ils ont employé des personnes spécialisées dans le développement de produits, la vente et le marketing, afin de pouvoir continuer à se concentrer sur la production, tout en maîtrisant complètement la valorisation commerciale. Après un démarrage un peu difficile, dû notamment à un retard de trésorerie, cette structuration s'avère efficace pour réduire la vulnérabilité des fermes laitières bio irlandaises vis-à-vis des fluctuations de prix et augmenter la rentabilité de ces fermes, en particulier dans le contexte de la fin des quotas laitiers.
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Approches coopératives du développement rural : Manuel pour les opérateurs bio
Stephen MEREDITH, Auteur ; Effimia CHATZINIKOLAOU, Auteur ; Thomas FERTL, Auteur ; ET AL., Auteur | BRUXELLES (Rue du Commerce 124, 1000, BELGIQUE) : IFOAM EU GROUP | 2015Dans le cadre de la Politique Agricole Commune (PAC), un programme européen de développement rural a été mis en place, pour lequel il existe des déclinaisons nationales et régionales dans les États membres pour la période 2014-2020. Leurs objectifs sont : - d'encourager le transfert de connaissances et l'innovation ; - de préserver et d'améliorer la santé des écosystèmes ; - de promouvoir un usage efficient des ressources et d'agir sur le changement climatique ; - et de favoriser l'inclusion sociale et le développement économique des zones rurales. Les programmes offrent ainsi de réelles opportunités pour aider à la structuration des filières et à la coopération entre acteurs agricoles, notamment en agriculture biologique. Pour illustrer cela, sept exemples de coopération en AB dans des zones rurales sont présentés dans ce document : en Autriche, en Belgique, en France, en Irlande, aux Pays-Bas, en Espagne, et en Suède.