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Perspectives à l'export pour les produits biologiques français : Pays nordiques
Arnaud DUPRAT, Auteur ; Majbritt LEENAERT, Auteur ; Manon CLEMENT, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 14 (7 Boulevard Saint-Jacques, 75 998, FRANCE) : BUSINESS FRANCE | 2022Cette étude, réalisée par les bureaux Business France de Suède, du Danemark et de Finlande et par la Chambre de Commerce Franco-Norvégienne, en partenariat avec le ministère en charge de l'Agriculture, analyse le marché des produits biologiques pour les 4 pays nordiques. L'objectif est de donner, aux entreprises françaises, les clés de compréhension, ainsi que des propositions concrètes pour exporter leurs produits sur ces marchés. L'étude permet de mieux connaître les tendances de consommation de produits biologiques, le fonctionnement des circuits de distribution, ainsi que les rôles des principaux importateurs et distributeurs au Danemark, en Suède, en Finlande et en Norvège. Elle indique aussi les besoins et les attentes des différents distributeurs et aborde les aspects de concurrence. Pour finir, des experts partagent leurs recommandations à l'égard des exportateurs français souhaitant se lancer ou améliorer leurs connaissances sur ce marché.
Perspectives à l'export pour les produits biologiques français : Synthèse : Allemagne, Italie, Pologne, Royaume-Uni, Pays Nordiques
Ce document fait la synthèse d'une série d'études réalisées, en 2021, par Business France, en partenariat avec le ministère en charge de l'Agriculture, sur différents marchés européens porteurs pour les produits biologiques. L'objectif de ces études était de donner, aux entreprises françaises, les clés de compréhension, ainsi que des propositions concrètes, pour exporter leurs produits sur les marchés allemand, danois, finlandais, italien, norvégien, polonais, suédois et britannique. Ce document aborde les thématiques suivantes : 1) Évolution du marché des produits biologiques ; 2 - Impact du Covid-19 sur la consommation de produits biologiques ; 3) Spécificités des marchés européens matures ; 4 - Circuits de distribution des produits biologiques ; 5) Principaux importateurs/distributeurs de produits biologiques ; 6) Concurrents de l'offre française ; 7) Opportunités pour les produits bio français ; 8) Recommandations.
Phasing out peat in growing media – results from Scandinavian studies
Susanne FRIIS PEDERSEN, Auteur ; Anne-Kristin LØES, AuteurCe rapport est composé de deux grandes parties. La première partie aborde l’exploitation des tourbières dans trois pays scandinaves : le Danemark, la Norvège et la Suède. Les tourbières sont des milieux naturels sensibles qu’il est nécessaire de protéger dans un contexte de changement climatique et de diminution de la biodiversité. Les autorités et plusieurs organisations non gouvernementales agissent pour réduire l'utilisation de la tourbe, qui rentre notamment dans la composition des supports de culture (terreaux) en raison de ses propriétés fertilisantes et physico-chimiques uniques. En agriculture biologique, comme la tourbe ne peut pas être substituée par des engrais azotés de synthèse ; il est donc nécessaire d’élaborer des supports de culture adaptés au secteur bio à partir de matières organiques riches en nutriments autres que la tourbe (ex : le compost). La deuxième partie de ce rapport présente des études scandinaves sur des supports de culture contenant peu ou pas de tourbe. Ces études sont nombreuses, mais les résultats ne sont pas toujours traduits ou expliqués en anglais. D’où la publication de ce rapport. Les substrats à base de bois, éventuellement compostés, sont pertinents pour remplacer la tourbe en Scandinavie où la matière ligneuse est abondante. Divers types de composts, obtenus à partir de différentes matières organiques, ont également été étudiés. L’incorporation de ces (nouveaux) substrats dans les milieux de culture doit encore être étudiée, à la fois séparément et en mélange. La paludiculture (culture de sphaignes) est également une alternative brièvement abordée dans ce rapport. Quelques produits sans tourbe, disponibles sur le marché scandinave en 2021, sont également présentés. Ce document a été rédigé dans le cadre du projet Horizon 2020 Organic-PLUS, qui cherche des alternatives aux intrants controversés en agriculture biologique.
Les tiers-lieux, une opportunité pour revitaliser l’agriculture
Céline MAREC, AuteurPour pallier l’isolement et dynamiser leur territoire, des citoyens créent des tiers-lieux, afin de développer le « faire ensemble » et retisser des liens. Les activités de ces tiers-lieux contribuent au développement économique et à l’activation des ressources locales. Ces tiers-lieux peuvent prendre plusieurs formes : coworking, campus connecté, atelier partagé, fablab, garage solidaire, café associatif… Après avoir donné la définition d’un tiers-lieu et réalisé un historique rapide sur leur développement depuis les années 1980, cet article se focalise sur les tiers-lieux en lien avec l’agriculture. Ces derniers ont principalement un lien avec au moins l’un des six axes suivants : agricole (ex : installation paysanne), alimentaire (ex : conserverie coopérative), sensibilisation et formation (ex : verger-conservatoire), laboratoire (ex : fablab), touristique (ex : agro-tourisme), foncier (ex : foncière agricole). Un focus est réalisé sur les fablab à la ferme, ou Farmlab, c’est-à-dire des laboratoires à la ferme qui rendent l’invention possible en ouvrant l’accès à des outils de fabrication numérique. Trois d’entre eux sont plus particulièrement détaillés : le MIT-Fablab Norway, le Fablab des 3 lapins et l’Atelier Paysan.
La distribution des produits naturels et bio en Norvège
Michel KNITTEL, AuteurLa Norvège (385 000 km2) présente une densité de population peu élevée (13,8 habitants/km2). L’agriculture biologique et la consommation bio ne s’y expriment pas autant que dans beaucoup d’autres pays européens. En 2017, seule 4,7 % de la SAU était cultivée en bio (6,4 % en France, 14,4 % en Suisse, la même année…). Bien que ne faisant pas partie de l’Union européenne, la Norvège a adopté les exigences européennes pour sa propre certification. L'organisation privée Debio, créée en 1986, est le seul organisme national certificateur. En 2018, le chiffre d’affaires de la bio en circuit conventionnel s’élevait à 286 Mio €. La même année, 60 % des ventes bio ont été réalisées dans les magasins à prix réduits qui ont fortement augmenté leur offre et dont la part de marché croît régulièrement. Les magasins conventionnels proposent des produits bio similaires à ceux du réseau spécialisé, et à des prix inférieurs. Les données pour le bio vendu en dehors des magasins conventionnels ne sont pas précises. Sous le terme « Spezialbutikker », se trouvent de petits points de vente alimentaires indépendants proposant un large choix d’aliments bio, mais aussi des produits d’origine locale, sans emballage plastique, etc. La distribution bio est aussi assurée par les « helsekostbutikker » (l’équivalent des health-food stores anglo-saxons), qui vendent essentiellement des compléments alimentaires, des produits diététiques pour sportifs, des cosmétiques et un peu d’alimentation bio. Pour la vente directe, la Direction de l’Agriculture norvégienne dénombre 72 coopératives fermières (coopération à long terme entre producteurs et consommateurs) qui proposent des légumes, des fruits et des plantes culinaires. 60 % d’entre elles sont certifiées par Debio (les autres travaillent de façon écologique) et leur chiffre d’affaires est estimé à 1,05 Mio € pour 2018. L’équivalent des Amap existe aussi (37 initiatives avec 400 producteurs). Les marchés fermiers en ville sont en baisse. En revanche, les grossistes livrant aux professionnels de la restauration collective ont vu leur chiffre d’affaires augmenter de 3 % en 2018.
Amélioration du contrôle des normes sociales à l'étranger
Jörg SCHUMACHER, Auteur ; Gabriela STRAUB, AuteurLes consommateurs suisses sont de plus en plus critiques à l'égard de la durabilité sociale des denrées alimentaires importées. Or, certains produits Bourgeon (bio) importés proviennent de régions où cette durabilité sociale n'est pas assurée. Aussi, en collaboration avec des organisations labellisatrices d'autres pays importateurs, Bio Suisse entend améliorer la situation sur place et avoir des contrôles plus efficaces.
Scientific report of EFSA : The 2012 European Union Report on pesticide residues in food
En 2012, plus de 78 000 échantillons de produits alimentaires ont été prélevés dans tous les Etats-membres de l'Union Européenne, ainsi qu'en Norvège et en Islande. L'objectif est d'obtenir une représentation statistiquement fiable des résidus de pesticides. Ce rapport détaille la nature et les concentrations de résidus de pesticides pour chaque catégorie d'aliment. Parmi tous les échantillons testés, 98,3 % d'entre eux respectent les limites maximales de résidus (LMR), mais contiennent toutefois des pesticides. 55 % des échantillons ne contiennent pas de quantité détectable en résidus de pesticides. Eu égard aux régimes alimentaires des habitants de l'UE et à l'état actuel des connaissances scientifiques, l'Efsa considère que les résidus de pesticides ne présentent pas de risque à long terme pour la santé des consommateurs. Les produits dépassant le plus fréquemment les LMR ou contenant le plus de résidus de pesticides différents sont les brocolis, le chou-fleur, le raisin de table, le poivre, les aubergines, la banane et le blé.
Biodynamistes en Norvège
Jean-Michel FLORIN, AuteurAu nord d'Oslo (Norvège), la ferme de Fokhol est un grand domaine collectif acquis dans les années 1990. Actuellement, l'ensemble du domaine avec les terres, les bâtiments, les animaux et les machines appartient a une fondation d'intérêt général sans but lucratif (recherche et formation). Inge y est responsable de la maison d'accueil et du jardin potager avec son verger ; Rune, l'agriculteur, est chargé des cultures de base (rotation de 3 années de légumineuses-graminées, 1 an de seigle, 1 an d'épeautre à laquelle s'ajoutent des légumes de plein champ, le travail est effectué avec des chevaux ardennais). Sigune, la vachère, a un troupeau de vaches de race rouge de Norvège. Morten, le mari de Sigune, travaille à collaborer avec les voisins et aussi à faire connaître la bio-dynamie au grand public. Le chiffre d'affaires global de la ferme est d'environ 400 000 euros par an. Près d'Hamar, au nord d'Oslo, Benthe Pünther et Gertjan Snaijer élèvent, sur la chèvrerie artisanale de « Ommang », des chèvres et des vaches : le rendement global du fromage et du fromage brun (spécialité norvégienne produite avec du petit-lait) atteint environ 20 %. Le lait de chèvre est transformé sur place, une partie du lait de vaches est commercialisée en bio à la laiterie proche. La commercialisation est faite en vente directe ; une sorte d'Amap a été créée. Dans une région plus élevée de Norvège (entre Oslo, Trondheim et Bergen), Ola Aukrust est installé sur un domaine de 15 ha de surface labourable, avec des pâtures, de la forêt et des alpages sur lesquels sont élevées 15 vaches laitières avec un quota laitier de 75 000 litres. Outre les vaches laitières, Ola et sa femme ont développé du maraîchage et la production de plantes médicinales. Ola s'est également impliqué dans la mise en place d'une commercialisation de produits de terroir de la vallée de Gudbrandsdalen, et a construit une nouvelle maison culturelle, sur son site, dans le cadre des fermes culturelles Gudbrandsdalen.
Factors associated with cattle cleanliness on Norwegian dairy farms
S.J. HAUGE, Auteur ; C. KIELLAND, Auteur ; G. RINGDAL, Auteur ; ET AL., AuteurSoixante troupeaux de vaches laitières norvégiennes ont été suivis pour faire le lien entre l'hygiène des animaux et la qualité du lait. D'après l'abattoir qui recevait les animaux de réforme, la moitié de ces troupeaux étaient considérés comme « propres » et l'autre moitié, comme « sales ». Les fermes comptaient en moyenne 39 vaches de race norvégienne rouge produisant 6 616 kg de lait : 30 % des troupeaux étaient en stabulation entravée et 70 %, en stabulation libre. Les troupeaux « propres » avaient une moyenne de lait de 6 933 kg avec un CCS de 169 000 c.s./ml, comparativement à 6 300 kg avec un CSS de de 206 000 c.s./ml pour les troupeaux « sales ». Les vaches étaient plus propres que les génisses et les génisses étaient plus propres que les bouvillons. Les producteurs des troupeaux « propres » démontraient plus d'efforts à brosser ou raser les animaux (73 %) comparativement aux producteurs des troupeaux « sales » (51 %). Les producteurs de troupeaux « propres » nettoyaient le plancher plusieurs fois dans la journée (83 %) comparativement aux autres producteurs (50 %). L'humidité de l'air était également associée à la propreté des animaux. Les étables ayant un taux d'humidité plus faible avaient des animaux plus propres. Une bonne ventilation est donc essentielle pour diminuer la condensation durant l'hiver et éviter que les animaux et la litière soient trempés. Les abreuvoirs mal ajustés étaient également une cause au manque d'hygiène dans les troupeaux « sales ». Cette étude montre clairement que la propreté des bovins affecte directement la qualité du lait, la thermorégulation, la santé et la qualité de la peau. Une alimentation optimale, une bonne conception du logement et de la ventilation, une aire de couchage sèche et propre et une bonne santé sont des éléments clés du maintien de la propreté.
School meals
Melanie LUKAS, Auteur ; Anne-Kristin LØES, Auteur ; Benjamin NÖLTING, Auteur ; ET AL., AuteurL'article présente le programme iPOPY (innovative Public Organic food Procurement for Youth), programme de recherche qui a étudié, de 2007 à 2010, les habitudes alimentaires des enfants et la consommation de produits bio, en Italie, au Danemark, en Finlande, en Norvège et en Allemagne.
Effects of repeated clover undersowing, green manure ley and weed harrowing on weeds and yield in organic cereals
Helge SJURSEN, Auteur ; Lars Olav BRANDSAETER, Auteur ; Jan NETLAND, AuteurUne étude impliquant un semis en engrais vert associé, de trèfle ou de trèfle combiné avec du ray-grass a été réalisée dans une production d'avoine et de blé biologiques. L'équipe de recherche norvégienne a évalué pendant 4 ans et sur 2 sites, l'effet de la compétition de ces engrais verts sur les populations de mauvaises herbes, sur les banques de graines et sur les rendements des céréales. Un total de 7 traitements a été instauré, incluant un témoin sans engrais verts ni désherbage (obtenant ainsi la plus forte pression de mauvaises herbes) et une parcelle de céréales sarclées (afin de comparer la performance des engrais verts aux pratiques standards de désherbage de l'agriculture biologique). Les résultats obtenus démontrent que les engrais verts ensemencés n'ont pas réduit les populations de mauvaises herbes et ont plutôt apporté de l'azote à la culture et aux adventives. Ce résultat va à l'encontre de ceux normalement publiés dans la littérature scientifique. Une augmentation du rendement des céréales de 116 et 121 % a été mesurée dans l'un des deux sites avec un sous-semis de trèfle. L'implantation de ray-grass comme engrais verts s'est avéré efficace à réduire la biomasse des mauvaises herbes de l'ordre de 70 et 74 % en comparaison aux parcelles témoins. Une année complète d'engrais vert de trèfle n'a pas contribué à augmenter les rendements de la culture suivante, mais a favorisé une baisse de la banque de graines d'adventices. Finalement, les auteurs concluent que les effets de la fertilisation attribuables aux engrais verts ont dominé, même surpassé, les effets de fertilisation des adventices et la compétition avec la culture que cela engendre.
Filière lait "bio" européenne : AEOMP, 10 ans déjà !
Nadine SAVARY, Auteur ; Rainer SUPAN, AuteurL'Alliance des producteurs de lait biologique européens (AEOMP) s'est réunie pour la première fois en janvier 2001. Son but était de renforcer le développement du marché de lait bio en Europe, d'influencer une réforme de la PAC, et de créer une alliance avec les consommateurs. Depuis 2005, les rencontres ont lieu lors du salon Biofach de Nuremberg, en Allemagne. Cette année, en plus des échanges sur les volumes de lait produits et leurs prix de vente, la discussion a porté plus particulièrement sur le label « sans antibiotiques », appliqué aux USA, et sur la nouvelle loi de modernisation française. Cette rencontre, ainsi que la réunion de Bioland, ont également permis de qualifier l'état de la filière laitière biologique de différents pays européens : l'Allemagne, l'Autriche, le Danemark, la Hollande, la Belgique, l'Angleterre, la Pologne et la Norvège.
Increasing organic consumption through school meals - lessons learned in the iPOPY project
Anne-Kristin LØES, Auteur ; Benjamin NÖLTING, AuteurLe développement de la consommation de produits biologiques peut passer par leur introduction en restauration scolaire. Cette étude compare les systèmes d'approvisionnement des cantines scolaires dans différents pays européens : le Danemark, la Finlande, l'Allemagne, l'Italie et la Norvège. Il décrit également les outils qui permettent d'encourager l'utilisation de produits biologiques. La comparaison porte sur cinq critères : les types de service de restauration, le niveau de financement public, le niveau d'implication politique et administrative dans l'approvisionnement, le niveau de soutien spécifique pour l'introduction de produits bio, et la disponibilité de produits biologiques adaptés à la restauration scolaire. Il apparaît que l'utilisation de produits biologiques augmente avec la mise en place de stratégies. Ces dernières apparaissent d'autant plus efficaces si elles sont couplées à un projet plus global au niveau de l'établissement.
The Organic Market in Europe : Overview and Market Access Information
Lukas KILCHER, Auteur ; Helga WILLER, Auteur ; Beate HUBER, Auteur ; ET AL., Auteur | FRICK (Ackerstrasse 113, Case Postale 219, CH-5070, SUISSE) : FIBL (Institut de recherche de l'agriculture biologique) | 2011Le marché du bio est en pleine expansion. Pour importer des produits bio en Suisse et dans l'Union européenne, il faut bien connaître les conditions d'entrée sur le marché. Le Swiss Import Promotion Programme (SIPPO), programme intégré au dispositif suisse de promotion économique de l'Osec, et l'Institut de recherche de l'agriculture biologique (FiBL) ont joint leurs efforts pour publier «The Organic Market in Europe», un ouvrage d'information novateur destiné aux pays en développement ou en transition en quête de débouchés pour leurs produits bio en Europe. En 150 pages, ce guide fait le tour des marchés biologiques de l'Union européenne et de l'AELE (Association Européenne de Libre-Échange) et compare les règlementations européenne et suisse. Ce manuel a pour mission d'aider les producteurs des pays en développement ou en transition à se positionner plus facilement sur le marché européen du bio.
Final report for 1881 Innovative Public Organic food Procurement for Youth (iPOPY)
Le projet européen iPOPY, sur la mise en place de marchés publics innovants pour la consommation de produits biologiques par les jeunes, notamment à l'école, est mené dans cinq pays européens (Norvège, Danemark, Italie, Allemagne et Finlande). L'étude des services de restauration scolaire avait pour but de détecter les stratégies et les politiques les plus efficaces pour l'intégration de produits bio à l'école. Ainsi, l'objectif majeur de ce projet était de contribuer au développement d'une alimentation saine et issue de l'agriculture biologique en Europe. Ce rapport présente les principaux résultats et conclusions. Les observations sur les cinq groupes de travail du projet sont également explicitées : la gestion du projet, les conclusions et la diffusion des résultats ; l'analyse des politiques et mesures aux niveaux national et local ; la gestion de l'approvisionnement et la certification des produits ; les perceptions et habitudes alimentaires des consommateurs ; et le lien entre l'alimentation et la santé.