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Documents disponibles dans cette catégorie (44)


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Evaluation of support for organic farming in draft CAP Strategic Plans (2023-2027) - 3 March 2022
Dans le cadre de lélaboration de la nouvelle Politique agricole commune (PAC), les États membres de l'Union Européenne (UE) devaient soumettre, à la Commission Européenne, leurs plans stratégiques nationaux (PSN) avant le 1er janvier 2022. Ce rapport évalue le soutien à l'agriculture biologique dans les projets de PSN des différents pays membres de lUnion Européenne : Allemagne, Autriche, Belgique (partie Wallonie et partie Flandre), Bulgarie, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Slovaquie et Suède. Il apporte aussi des informations sur le soutien à lagriculture biologique dans des pays voisins non membres de lUE : Suisse et Royaume-Uni. Ce rapport se base sur un processus de consultation (questionnaire et entretiens), entrepris, d'avril 2021 à février 2022, par IFOAM - Organics Europe auprès de ses membres. Il contient également des recommandations pour améliorer le soutien à l'agriculture biologique et relever l'ambition des PSN afin qu'ils contribuent à atteindre les objectifs définis dans le cadre de la nouvelle PAC, ainsi que ceux fixés dans le cadre du Green Deal, de la stratégie « Farm to Fork » et du plan européen pour la biodiversité. Au travers de cette évaluation, IFOAM - Organics Europe souhaitait également s'assurer que la Commission Européenne allait disposer de toutes les informations nécessaires pour signaler à chaque pays, dans ses prochaines lettres d'observation, les manques de soutien à l'agriculture biologique, et veiller à ce que les États membres disposent de plans garantissant a minima une croissance continue de la production biologique au cours de la prochaine PAC (2023-2027).
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Perspectives à l'export pour les produits biologiques français : Allemagne, Italie, Pologne, Royaume-Uni
Adeline NOËL-GRAUTMANN, Auteur ; Jean PLASSART, Auteur ; Luigina TRENTO, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 14 (7 Boulevard Saint-Jacques, 75 998, FRANCE) : BUSINESS FRANCE | 2022Cette étude, réalisée par Business France, en partenariat avec le ministère en charge de l'Agriculture, analyse le marché des produits biologiques pour 4 pays européens (Allemagne, Italie, Royaume-Uni et Pologne). L'objectif est de donner, aux entreprises françaises, les clés de compréhension, ainsi que des propositions concrètes pour exporter leurs produits sur ces marchés. Elle permet de mieux connaître les tendances de consommation de produits biologiques, le fonctionnement des circuits de distribution, ainsi que les principaux importateurs et distributeurs en Allemagne, en Italie, en Pologne et au Royaume-Uni. Elle indique aussi les besoins et les attentes des différents distributeurs, ainsi que des clés pour se démarquer des offres concurrentes. Pour finir, des recommandations sont formulées à l'égard des exportateurs français souhaitant se lancer ou améliorer leurs connaissances sur ces marchés.
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Perspectives à l'export pour les produits biologiques français : Synthèse : Allemagne, Italie, Pologne, Royaume-Uni, Pays Nordiques
Ce document fait la synthèse d'une série d'études réalisées, en 2021, par Business France, en partenariat avec le ministère en charge de l'Agriculture, sur différents marchés européens porteurs pour les produits biologiques. L'objectif de ces études était de donner, aux entreprises françaises, les clés de compréhension, ainsi que des propositions concrètes, pour exporter leurs produits sur les marchés allemand, danois, finlandais, italien, norvégien, polonais, suédois et britannique. Ce document aborde les thématiques suivantes : 1) Évolution du marché des produits biologiques ; 2 - Impact du Covid-19 sur la consommation de produits biologiques ; 3) Spécificités des marchés européens matures ; 4 - Circuits de distribution des produits biologiques ; 5) Principaux importateurs/distributeurs de produits biologiques ; 6) Concurrents de l'offre française ; 7) Opportunités pour les produits bio français ; 8) Recommandations.
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Podium : Des PPAM polonaises et bulgares
RÉUSSIR FRUITS ET LÉGUMES, AuteurEn 2018, la surface européenne des plantes à parfum, aromatiques et médicinales (PPAM) bio était estimée à 98 500 ha, soit 17 % de plus quen 2017. La Pologne est le premier producteur européen, suivi par la Bulgarie, puis lEspagne et la France. Le marché des huiles essentielles est très concurrentiel. En France, la production dhuiles essentielles (lavandin, lavande, sauge sclarée, immortelle, camomille ) a globalement été assez bonne sur lensemble du territoire. En revanche, en 2020, la sécheresse et la canicule ont perturbé la production, entraînant des résultats mitigés suivant les régions.
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The ambition gap: Assessing organic farming support measures in current draft national CAP Strategic Plans for the Common Agricultural Policy 2023-2027 - 18 November 2021
Les États membres de l'Union Européenne avaient jusqu'au 1er janvier 2022 pour soumettre leurs Plans stratégiques nationaux (PSN) pour la future Politique agricole commune (PAC) à la Commission européenne. Cette dernière devait examiner les PSN et les approuver au cours du premier semestre 2022, avant leur mise en uvre à compter du 1er janvier 2023. IFOAM-Organics Europe a interrogé ses adhérents, issus de 19 États membres, entre avril et novembre 2021 sur limpact estimé de ces PSN sur le développement de l'agriculture biologique (mesures, budgets ), afin de vérifier que l'ambition des PSN était en adéquation avec les objectifs de lUnion Européenne (Green Deal, stratégie « Farm to Fork » ). Globalement, IFOAM-Organics Europe sest montré très préoccupé par le manque de sollicitation de ses adhérents - les représentants nationaux de l'agriculture biologique - dans les consultations nationales, ainsi que par l'insuffisance des ambitions et des budgets pour inciter davantage d'agriculteurs à se convertir à l'agriculture biologique. Les PSN récompensent également mal les agriculteurs biologiques alors que ces derniers fournissent des externalités positives bénéfiques à tous. Ce document est composé de trois parties : 1 - Analyse et recommandations aux États membres et à la Commission européenne pour améliorer les PSN et la future PAC ; 2 - Analyse comparative des projets de PSN : 3 - Explications par pays (Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Croatie, Danemark, Espagne, Finlande, France, Hongrie, Irlande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Suède).
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Waste derived biochar as an alternative filler in biocomposites - Mechanical, thermal and morphological properties of biochar added biocomposites
A. PUDELKO, Auteur ; P. POSTAWA, Auteur ; D. DROZDZ, Auteur ; ET AL., AuteurCette étude polonaise a examiné le potentiel d'utilisation du biochar comme composant alternatif pour fabriquer des composites biodégradables non issus dénergies fossiles (alternative au plastique non biodégradable). Le biochar (aussi appelé biocharbon) est un charbon produit à partir de biomasse. Dans cette étude, deux types de biochars dérivés de déchets, à savoir du biochar issu de bois et du biochar issu de boues de station dépuration, ont été utilisés comme composants pour produire de l'acide polylactique (PLA, un polymère biodégradable utilisé pour fabriquer des films biodégradables) et du Bioplast GS2189 (un type de bioplastique), avec un taux allant jusqu'à 20 % de biochar (en poids). Les échantillons de tests fabriqués par un laboratoire ont ensuite été soumis à différents tests et analyses : adsorption d'eau, résistance à la traction, résistance aux chocs, calorimétrie différentielle à balayage (DSC), analyse mécanique dynamique (DMA), microscopie optique et microscopie optique à balayage (SEM). Les résultats ont montré que l'ajout de biochar avait un effet sur tous les paramètres étudiés, y compris sur les propriétés mécaniques, thermiques et optiques. Les biocomposites obtenus ont montré une absorption d'eau et une rigidité plus élevées. Ceux obtenus à partir de biochar issu des boues de station d'épuration avaient même de meilleures propriétés mécaniques et thermiques. Le biochar peut ainsi être utilisé pour produire des accessoires agricoles biodégradables, tels que des clips et des supports pour les cultures (par exemple, en culture de tomate). Après la récolte, ces accessoires biodégradables peuvent être éliminés avec les résidus végétaux et traités par compostage, ce qui permet déviter la création de déchets plastiques difficiles à gérer.
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Lettre Filières FNAB - Lait n° 14
GAB 85, Auteur ; Julia SICARD, Auteur ; Danaé GIRARD, Auteur ; ET AL., AuteurLa Lettre Filières FNAB - Lait n° 14 est composée des articles suivants : - Santé animale : Focus sur la méthode OBSALIM® ; - Le pâturage des chèvres sous toutes ses coutures ; - Didier Larnaudie et Alain Beyer - Bovins lait - Aveyron ; - L'agriculture biologique s'engage pour le climat - Tome 2 ; - Note de conjoncture du lait bio en France et en Europe - Premier semestre 2019 ; - Les freins à la conversion en élevage caprin ; - Favoriser l'usage des plantes en élevage ; - Quel foin pour quels objectifs ?
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Le paradoxe de la Pologne : Demande en hausse, cultures en baisse
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLa bio et en particulier la biodynamie se sont très tôt développées en Pologne (entre 1920 et 1940). En 2013, ce mode de production a atteint son paroxysme avec 670 000 ha pour 26 700 exploitations. Depuis, il ne cesse de diminuer et il est tombé à 20 256 exploitations certifiées en 2018. Ce recul sexplique en grande partie par des aides à la conversion et au maintien moins attractives que dautres mesures agro-environnementales (la Pologne a fait le choix de privilégier des mesures plus faciles à mettre en place que la production bio). De plus, lagriculture polonaise repose principalement sur des structures familiales de semi-subsistance : 40 % des exploitations bio ont moins de 10 ha. Le système fiscal, les exigences sanitaires et la peur du collectivisme liée au passé empêchent les producteurs de transformer à la ferme. Sans valorisation suffisante, ils nont pas dintérêt à se convertir ou à se certifier bio. Pourtant, la demande en produits bio est croissante dans les villes, notamment en produits transformés. Cet écart entre loffre et la demande aboutit à un paradoxe : la Pologne exporte 70 % de sa production et importe 70 % de sa consommation.
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Séminaire international de lAgence BIO : Une bio pour tous plus équitable
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLe séminaire international de lAgence BIO sest tenu le 18 juin dernier. A l'ordre du jour de cette journée, les discussions en cours sur la prochaine Pac dont la filière bio attend beaucoup, notamment pour le financement dactions de préservation de la biodiversité, selon Philippe Henri, nouveau président de lAgence BIO. Le rapport de lOrganisation des Nations Unies pour lalimentation et lagriculture (FAO) confirme le déclin de la biodiversité, qui est une menace pour la sécurité alimentaire. Plusieurs autres sujets ont été abordés au cours de cette journée, comme linstauration de flux internationaux plus vertueux, la présentation dinitiatives en bio, le respect des conditions de travail, la bio accessible à tous, etc. Au Sénégal, Ibrahima Seck, coordinateur de la Fenab, témoigne du fait que sa fédération arrive à vendre une partie du bio au même prix que le conventionnel, pour rendre les produits bio plus accessibles, malgré le fait que la bio ne bénéficie daucune subvention dans son pays. Catherine Closson, quant à elle, a réalisé une étude « Transition écologique et progrès social » visant à faciliter laccès à lalimentation bio, notamment pour les précaires. Florent Guhl, directeur de lAgence BIO, estime que le bio hard discount pour les populations les plus fragilisées nest pas la solution à long terme. Rendre les prix plus abordables passe aussi par la hausse des volumes, avec les risques d'industrialisation qui y sont liés.
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Trends in animal production from organic farming (review)
Pawet SOLARCZYK, Auteur ; Monika LUKASIEWICZ, Auteur ; Kamila PUPPEL, Auteur ; ET AL., AuteurCette étude bibliographique dresse un bilan des principales évolutions de lagriculture biologique en Pologne, en Europe et dans le monde. Lobjectif est de déterminer le potentiel de production biologique actuel de la Pologne comparé aux autres. Pour cela, des données statistiques sur lagriculture biologique sont comparées, des années 90 à nos jours. Le document commence par présenter un bref historique de lagriculture biologique au niveau mondial. Les données concernant ce type dagriculture en Pologne sont ensuite comparées à la situation européenne et mondiale (nombre de fermes biologiques, taille de ces fermes...). Les caractéristiques des marchés bio polonais, européen et mondial sont également décrites via les ventes de produits biologiques.
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La production de fruits bio progresse
Maude LE CORRE, AuteurEn 2015, avec près de 23 000 ha de vergers certifiés en agriculture biologique, la France était le quatrième pays producteur de fruits bio, derrière l'Espagne, l'Italie et la Pologne. La progression des surfaces concerne les fruits à coque (environ 11 000 ha) et à noyau (près de 5 000 ha), alors que les vergers de fruits à pépins sont en régression (-10 % entre 2014 et 2015, soit plus de 7 000 ha en 2015).
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La vache rouge polonaise : La race typique des montagnes Beskid Wyspowy
Tomasz SAKOWSKI, Auteur ; Rainer SUPAN, AuteurLa vache rouge polonaise descend du type sauvage "Bos brachyceros", qui vivait dans la partie Est de l'Europe centrale et en Scandinavie. Elle représentait, entre les deux guerres, plus de 25 % du troupeau polonais. En 1969, les autorités chargées de la gestion du troupeau polonais ont décidé de remplacer la vache rouge par des races plus productives, et le nombre de vaches rouges polonaises a considérablement diminué. Pourtant, la vache rouge polonaise est une race autochtone particulièrement adaptée aux conditions de vie et de production de ce pays : grande résistance, très bonne santé, longévité, excellente fertilité, vêlages faciles et, de plus, lait d'une valeur biologique supérieure. Elle présente, en outre, une aptitude pour des conditions environnementales difficiles, une tolérance dans la sélection des fourrages et une habileté à réduire la production pour mieux passer le cap de la saison difficile. Aujourd'hui, des éleveurs souhaitent préserver l'élevage de cette race, alors que beaucoup d'autres éleveurs polonais ont pour objectif de créer une nouvelle race par croisement de vaches rouges polonaises, danoises, suédoises et norvégiennes. La production biologique pourrait être une nouvelle voie pour les éleveurs de vaches rouges polonaises, qui multiplient les actions (création d'une coopérative, participation à un important concours agricole...) pour essayer de valoriser les vaches rouges polonaises locales.
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La bio dans l'Union européenne - Les carnets de l'Agence Bio - Edition 2014
Fin 2012, 254 086 exploitations agricoles cultivaient près de 10,2 millions d'hectares selon le mode biologique dans l'Union européenne à 28 (y compris les surfaces en conversion). La bio représentait 5,6 % de la Surface Agricole Utile (SAU) européenne. Le nombre d'exploitations agricoles et la surface bio ont respectivement augmenté de 7,4 % et 6,8 % entre 2011 et 2012 dans l'UE à 28. Fin 2013, 257 323 exploitations agricoles cultivaient plus de 10,3 millions d'hectares. La bio représentait 5,7 % de la Surface Agricole Utile (SAU) européenne. Entre 2012 et 2013, le nombre d'exploitations agricoles et la surface bio de l'UE à 28 ont progressé de 1,3 % et 1,1 %. Ce document rassemble l'ensemble des statistiques générales sur la production et le marché bio dans l'Union européenne, par pays et par régions. Il offre également plusieurs focus : sur les marchés bio allemand et britannique ; sur les produits bio en restauration hors domicile ; sur les productions végétales bio dans l'Union européenne ; sur l'élevage bio dans l'Union européenne.
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Preventing GMO contamination An overview of national « coexistence » measures in the EU
Ce rapport, édité par IFOAM Europe, donne un aperçu des mesures nationales de « coexistence » visant à prévenir les contaminations par les OGM. Après une présentation du cadre juridique, et un aperçu des principales mesures de « coexistence » mises en place dans les États membres, des exemples plus précis sont analysés en Espagne, Pologne, Roumanie, Allemagne et Autriche. Ce rapport montre que l'interdiction des OGM reste la mesure la plus efficace contre les éventuelles contaminations et pour éviter des coûts supplémentaires pour l'industrie agroalimentaire, les autorités publiques et le secteur de l'agriculture biologique. En effet, les mesures dites de « coexistence » sont coûteuses, difficiles à concevoir et à mettre en uvre, et ne permettent pas une prévention suffisante contre les contaminations. Enfin, les auteurs dressent des recommandations pour les échelles européenne, nationales et régionales.
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Evaluation des fonctions des prairies par les acteurs européens
Agnès VAN DEN POL VAN DASSELAAR, Auteur ; Piotr GOLINSKI, Auteur ; Deirdre HENNESSY, Auteur ; ET AL., AuteurUn questionnaire en huit langues a été mis au point et envoyé dans différents pays européens. Les 2 000 réponses proviennent principalement de Belgique, France, Irlande, Italie, Pays-Bas et Pologne. Les personnes enquêtées comportent non seulement des éleveurs, mais aussi des chercheurs, conseillers, enseignants, etc. Ils sont appelés à se prononcer sur leur perception de la durabilité et des services écosystémiques fournis par les prairies grâce à un système de notation. Tous les groupes d'acteurs enquêtés reconnaissent les fonctions et les vertus des prairies. Elles doivent donc être préservées, ce qui constitue un défi de taille puisque leur surface a considérablement baissé depuis quarante ans.