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Documents disponibles dans cette catégorie (63)


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La consommation bio en Europe
RÉUSSIR FRUITS ET LÉGUMES, AuteurEn 2018, les consommateurs de lUnion Européenne ont dépensé plus de 42 milliards deuros pour des produits biologiques. Les pays aux cinq plus gros marchés (Allemagne, France, Italie, Suède et Royaume-Uni) représentent à eux seuls 33 milliards. Pour chacun de ces pays, plusieurs données sont fournies, concernant le marché bio national, les dépenses en bio par habitant et par an, ainsi que la répartition entre les différents circuits de distribution.
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Participation au groupe européen « Santé de labeille » ; Eip Agri focus group « bee health and sustainable beekeeping » : - Partage dexpérience avec le réseau
Florence Aimon-Marie est chargée de mission Agri-environnement et Apiculture à la Chambre dagriculture de la Charente-Maritime. Dans le cadre de sa mission pour lAPCA (Assemblée Permanente des Chambres dAgriculture), elle a intégré le groupe européen « Santé de labeille et apiculture durable ». Ce groupe a été formé en 2019 et sinscrit dans le cadre du Partenariat Européen pour lInnovation « pour une agriculture productive et durable » (PEI AGRI). Après avoir donné de plus amples informations sur le PEI AGRI et sur les « Focus Groups », Florence Aimon-Marie présente les axes de travail du groupe. Le document comporte aussi des fiches de présentation des projets et expériences découverts : 1 Rencontre avec un couple dapiculteurs suédois (Kurt et Mona Oldeskog) qui a su adapter ses pratiques à son environnement : sélection des abeilles, gestion du varroa ; 2 Rencontre avec léquipe de recherche Björn Lagerman de lUniversité dUppsala (Swedish University of Agricultural Sciences) qui a mis au point une application sur smartphone, nommée Bee Scanning, pour décompter les varroas phorétiques à partir de photos des cadres dune ruche ; 3 Rencontre avec un utilisateur et avec les concepteurs de loutil NOMADI-App, développé par une association italienne, qui est destiné à faciliter le suivi de ruchers transhumants en collectant des données consultables à distance par lapiculteur ; 4 Rencontre et visite de CONAPI, la plus importante coopérative dapiculteurs en Europe ; 5 Restitution dune table ronde avec les différents acteurs de la filière apicole dÉmilie Romagne (Italie) ont présenté les multiples actions quils ont mises en place afin de soutenir une apiculture durable.
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Lagriculture suédoise : Agriculture la plus propre du monde ?
Guillaume EVAIN, AuteurDébut septembre 2019, un groupe déleveurs laitiers bio et conventionnels, nommé « Prospective IdréA » et basé dans le Morbihan, sest rendu en Suède pour découvrir la filière lait de ce pays. Guillaume Evain (éleveur bio) effectue un retour sur ce voyage détude. Ils ont commencé par rencontrer le seul syndicat agricole suédois (Lanbrukarnas Risk Forbund) qui joue un rôle important dans la promotion des produits agricoles. Un conseiller agricole leur a également présenté la coopérative Växa. Cette dernière regroupe de nombreux services : contrôle laitier, centre dinsémination, vétérinaires, GDS. Ils ont également pu visiter la plus grosse laiterie suédoise collectant du lait bio (ARLA), ainsi que des exploitations laitières bio et conventionnelles. Ces dernières affichent de très fortes productions par vache (entre 9 000 et 12 000 L) et très peu décarts sont observés entre les systèmes bio et conventionnels. La production moyenne par vache, selon l'organisme Växa, est de 8 900 L. Le prix moyen du lait conventionnel est de 372 / 1000 L et de 462 / 1000 L en bio. Les coûts de production sont très élevés en raison du haut niveau de production (le ratio fourrage/concentré est quasiment de 50/50, même en bio) et les conditions climatiques de la Suède (froid, pluie, neige) obligent à affourager les animaux doctobre à fin avril.
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Organic farming supports spatiotemporal stability in species richness of bumblebees and butterflies
Romain CARRIÉ, Auteur ; Johan EKROOS, Auteur ; Henrik G. SMITH, AuteurLa stabilité spatio-temporelle d'organismes sauvages, tels que les insectes pollinisateurs, est essentielle pour garantir des niveaux élevés de biodiversité dans les agroécosystèmes. Dans cette étude suédoise, la stabilité temporelle et la stabilité spatiale, de deux groupes dinsectes pollinisateurs (papillons et bourdons) sont comparées sur neuf exploitations conventionnelles et dix exploitations biologiques. À l'échelle du champ, la stabilité durant l'année de la richesse en espèces de bourdons est plus élevée dans les prairies biologiques que dans les prairies temporaires conventionnelles, en raison d'une plus grande continuité des ressources florales dans le champ. Des analyses ultérieures ont montré que les ressources florales de fin de saison dans les prairies biologiques étaient essentielles car, à cette période, la plupart des colonies de bourdons produisaient de nouvelles reines. La stabilité d'une année à l'autre de la richesse en espèces de bourdons était plus élevée dans les champs de céréales biologiques que dans les champs de céréales conventionnels, alors que celle en espèces de papillons n'était pas influencée par le système d'exploitation. À l'échelle de la ferme, l'étude a conclu que la stabilité spatiale de la richesse en espèces de papillons et de bourdons était plus élevée dans les fermes biologiques que dans les fermes conventionnelles, bien que cela ne s'expliquait pas par une plus grande continuité spatiale des ressources florales. Létude montre que l'agriculture biologique réduit les fluctuations spatiotemporelles de la richesse en espèces de bourdons et de papillons. En outre, laugmentation des ressources florales profite aux bourdons et aux papillons, quel que soit le système de production. Lagriculture biologique et la disponibilité croissante de ressources florales contribuent donc au maintien de la stabilité dans lannée et entre les années, des bourdons et des papillons, dans les paysages agricoles.
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La Bio dans l'Union Européenne - Les carnets de l'Agence Bio - Edition 2016
L'Observatoire National de l'Agriculture Biologique a publié l'édition 2016 du carnet "La Bio dans l'Union européenne". La surface cultivée en bio (certifiée et en conversion) dans l'Union européenne a été estimée à plus de 11,2 millions dhectares fin 2015. Elle représentait environ 6,2 % de la SAU de l'UE. Plus de 268 000 exploitations agricoles certifiées bio ont été enregistrées en 2015. Le marché bio de l'Union européenne a été estimé à 25,5 milliards en 2014. Le carnet donne les statistiques sur la production et le marché bio dans l'Union européenne et présente des focus sur les marchés bio allemand, britannique et suédois, sur les produits bio en RHD, les productions végétales bio, l'élevage bio et les politiques publiques en faveur de l'AB.
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La Bio dans l'Union Européenne - Les carnets de l'Agence BIO - Edition 2017
L'Observatoire National de l'Agriculture Biologique a publié l'édition 2017 du carnet "La Bio dans l'Union européenne". Fin 2016, d'après les premières estimations, 291 326 exploitations agricoles cultivaient plus de 12 millions d'hectares en bio dans l'Union européenne. Entre 2015 et 2016, le nombre de fermes et la surface bio de lUE ont progressé respectivement de 8,4 % et de 7,6 %. En 2016, 70 % des exploitations bio de lUE étaient localisées dans 6 pays : Italie (22 %), Espagne (12 %), France (11 %), Allemagne (9 %), Pologne (8 %) et Autriche (8 %), avec, au sein de chaque pays, des spécificités régionales marquées. Plus de 46 000 préparateurs bio (10 600 en France) ont été recensés, avec trois principales catégories de produits transformés : fruits et légumes, céréales et lait. Lestimation de la consommation de produits bio dans l'Union européenne pour 2016 est de 32,6 milliards deuros. Le carnet donne les statistiques sur la production et le marché bio dans l'Union européenne et présente des focus sur les marchés bio allemand, français, suédois et britannique, sur les produits bio en RHD, les productions végétales bio, l'élevage bio et les politiques publiques en faveur de l'AB.
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Un chantier rondement mené
Ronan LOMBARD, AuteurEn Suède, la ferme en agriculture biologique gérée par Per-Ake Nilsson fait l'objet d'une organisation minutieuse, indispensable tant l'unité de production est grande : plus de 1000 hectares et un atelier laitier comptant 450 vaches. Le cahier des charges bio suivi par l'élevage nécessite une ration composée essentiellement d'herbe, dont sept mois minimum au pâturage. Concernant les fourrages conservés, c'est l'ensilage d'herbe qui est majoritaire. Dans cet article, le chantier d'ensilage est décrit. Il dure quatre jours. Comme chez 80 % des éleveurs chez qui travaille l'entreprise de travaux agricoles mobilisée, de l'acide organique de conservation est incorporé à l'ensilage. En France, ce taux serait plutôt inférieur à 10 %, d'après le fabricant du produit utilisé. Le gérant de la ferme estime son autonomie alimentaire à 93 %.
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Dossier : L'animal respecté à l'abattoir
Marie-Astrid BATUT, AuteurLe respect du bien-être animal à labattoir est une préoccupation actuelle importante. Ce dossier présente différents aspects liés à labattage des ovins en France. Il présente tout dabord la réglementation en vigueur en termes de respect du bien-être animal à labattoir, en passant par la chaîne, de larrivée jusqu'à la saignée, mais aussi en termes de formation du personnel. La concentration des abattoirs a engendré une diminution de leur nombre, ce qui est une limite pour le développement des circuits courts. Labattoir municipal de Sisteron (04) est ensuite présenté. Il sagit du plus gros abattoir ovin de France, qui abat notamment des animaux sous signes de qualité : Label Rouge et Agriculture Biologique. Par ailleurs, le collectif "Quand labattoir vient à la ferme" développe un projet dabattoir ambulant qui permettrait de réduire le temps nécessaire à labattage tout en donnant la possibilité à léleveur de contrôler les conditions dabattage. Un tel projet est déjà mis en place en Suède, mais demanderait, en France, d'obtenir une dérogation de la part de l'État.
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Pâturer avec un robot de traite : une diversité de stratégies
Valérie BROCARD, Auteur ; Françoise LESSIRE, Auteur ; Estelle CLOET, Auteur ; ET AL., AuteurAu cours du projet Autograssmilk, différentes stratégies ont été testées pour maximiser la production de lait (et réduire les coûts alimentaires) en combinant robot et pâturage dans une large gamme de contextes : des systèmes très pâturants à faibles coûts alimentaires, jusqu'à des systèmes plus intensifs tournés vers la recherche de productivité animale. Ainsi, les points clés de la réussite d'un système combinant robot de traite et pâturage ont pu être décrits, notamment concernant le choix d'un mode de gestion de l'alimentation (et son adaptation aux variations d'herbe disponible), la circulation des vaches (selon le nombre de vaches traites par robot), la distance des parcelles (possibilité d'utiliser un robot déplaçable). Les animaux ont la faculté de s'habituer à un nouveau mode de fonctionnement.
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Prevalence of production disease related indicators in organic dairy herds in four European countries
M. KRIEGER, Auteur ; K. SJÖSTRÖM, Auteur ; I. BLANCO-PENEDO, Auteur ; ET AL., AuteurL'objectif de cette étude était d'évaluer la prévalence des indicateurs liés aux maladies de production dans 192 fermes laitières bio en Allemagne, en Espagne, en France et en Suède. Les indicateurs suivants ont été utilisés : nombre de cellules somatiques élevées (> 100 000 cellules / ml, mammite subclinique), taux élevé de graisse / protéine (risque de cétose), faible teneur en graisse du lait (risque d'acidose), intervalle de vêlage prolongé, boiterie clinique et mortalité des veaux et des vaches. La prévalence des indicateurs évalués variait largement entre les fermes et les pays. La prévalence médiane (intervalle interquartile) était de 51,3% (15,4) pour la mammite subclinique, 10% (7,7) pour le risque de cétose, 3,2% (4,7) pour le risque d'acidose, 42% (20,7) pour un intervalle de vêlage prolongé et 14,2% (20,4) pour la boiterie clinique. Le risque de mortalité des veaux de 1 à 90 jours était de 0,002 (0,043) par mois. La mortalité des vaches a été de 0,026 (0,048) par an. L'évaluation a montré qu'un ensemble complet d'indicateurs peut être calculé à partir de données facilement disponibles, épargnant la nécessité d'établir des procédures nouvelles et coûteuses. Les recherches futures devraient se concentrer sur les stratégies d'utilisation de l'information de manière plus efficace pour réduire le niveau de maladies de production dans les fermes laitières biologiques.
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Actes : 11ème Séminaire International d'information et de réflexion sur l'agriculture biologique : La Bio en Europe et dans le monde : Jeudi 3 mars 2016 - Paris
Le 11ème Séminaire International d'information et de réflexion sur l'agriculture biologique a été organisé par l'Agence Bio le 3 mars 2016, à Paris. Au sommaire des Actes : - Avant propos ; - Ouverture ; - Panorama de la Bio dans le monde, dans l'Union Européenne et en France : Quels mouvements en profondeur ? ; - Focus sur la Bio en Suède ; - Focus sur la Bio en Bulgarie ; - État d'avancement de la mise en uvre du plan d'actions pour l'avenir de la production biologique dans l'Union Européenne ; - Accueil de Stéphane Le Foll, Ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt par Didier Perreol, Président de l'Agence Bio ; - Intervention de Stéphane Le Foll, Ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt ; - La Bio aux États-Unis ; - Table-ronde sur la dynamique de développement de la Bio en Afrique ; - Clôture du Séminaire ; - 4ème édition des Trophées de l'Excellence Bio : Remise des prix ; - Annexe : Liste des inscrits au Séminaire.
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La distribution des produits naturels et bio en Suède
BIO-LINEAIRES, AuteurEn Suède, le mouvement bio ne date pas d'aujourd'hui : l'association de biodynamie, "KRAV", a vu le jour en 1940, celle de promotion et de certification de l'AB a été fondée en 1985. Les Suédois sont, dans l'ensemble, très sensibles à tout ce qui touche à la santé, à l'environnement et au bien-être animal, et le marché bio, qui s'est développé rapidement à partir des années 1980, y est bien établi. Trois enseignes principales se partagent la distribution des produits bio, une des particularités de la Suède étant la quasi-inexistence d'un réseau de magasins bio, qu'il s'agisse de magasins indépendants ou de chaînes spécialisées. En juin 2014, cependant, "Paradiset", le premier supermarché bio du pays, a ouvert, à Stockholm, avec pour projet de nouvelles ouvertures dans les prochaines années. L'article présente un panorama des acteurs de la distribution de produits bio en Suède et de ses particularités, comme, par exemple, les "Systembolaget", littéralement "entreprises du système", une chaîne de 420 magasins de vins et spiritueux appartenant à l'État suédois.
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Dossier : Se réapproprier et maîtriser les abattoirs
Yves Pierre MALBEC, Auteur ; Sophie CHAPELLE, Auteur ; Benoît DUCASSE, Auteur ; ET AL., AuteurLa disparition des bouchers artisanaux et la fermeture des abattoirs ont été progressives, faisant peu à peu de l'abattage une activité externe à l'élevage et qui échappe aux éleveurs. Aujourd'hui, 75 % de l'abattage est réalisé dans des grosses unités appartenant à des groupes industriels et privés. Pour reconquérir cet outil de production, et aussi pour répondre à une demande de produits locaux et de qualité, des paysans, des bouchers et des transformateurs se mobilisent, avec l'appui de chercheurs et le soutien de consommateurs. Des modèles et des solutions sont proposés, de l'abattage à la ferme sans intermédiaires à des ateliers collectifs, en passant par des abattoirs mobiles. Certaines de ces pratiques sont en cours dans d'autres pays de l'UE, notamment en Autriche, Belgique, Suède et Allemagne. Mais ceux qui les pratiquent se heurtent parfois aux directives des contrôles sanitaires et à des normes, souvent plus structurelles que fonctionnelles. Ce dossier apporte divers éclairages pour appréhender les problématiques actuelles de l'abattage : - Les enseignements à tirer après la diffusion des vidéos choc de L214 : Abattoir du Vigan : "Maltraiter une bête juste avant de tuer, c'est une énorme faute professionnelle" ; - Austérité budgétaire : L'inspection ante-mortem : une mission délaissée par l'État ; - Quelles normes pour l'abattage paysan ? : Traçabilité : Vers un label éthique pour valoriser une filière viande de qualité ; - Statut coopératif : "La transparence passe par la mise en place d'une meilleure gouvernance" ; - Initiatives pour améliorer le processus d'abattage : Un abattoir mobile sillonne les campagnes de Suède ; Au service des circuits courts (abattoir coopératif dans les Vosges) ; - En Allemagne, un abattoir permet d'accompagner l'animal jusqu'au bout (témoignage d'un éleveur alsacien qui a choisi d'abattre ses animaux en Allemagne) ; - Point de vue : On a beaucoup à apprendre du corps en saignant ; - Abattre les animaux de ferme : l'exigence d'un excellent travail (Jocelyne Porcher, sociologue et directrice de recherche INRA) ; - Étudier les conditions d'un abattage socialement, économiquement et écologiquement acceptable.
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Effects of water level and grassland management on alpha and beta diversity of birds in restored wetlands
Michal ZMIHORSKI, Auteur ; Tomas PÄRT, Auteur ; Tomas GUSTAFSON, Auteur ; ET AL., AuteurEn Suède, une étude a été réalisée sur 137 prairies humides restaurées afin dévaluer limpact de la gestion de tels espaces sur les populations doiseaux. Leffet des niveaux deau dans ces prairies humides a aussi été étudié. La gestion de ces espaces par le pâturage, plutôt que par la fauche, est favorable à la préservation despèces doiseaux. Les prairies humides permettent le maintien dun paysage diversifié, offrant des zones de végétation variées.
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Organic farming affects the biological control of hemipteran pests and yields in spring barley independent of landscape complexity
K. BIRKHOFER, Auteur ; F. ARVIDSSON, Auteur ; D. EHLERS, Auteur ; ET AL., AuteurCertains insectes de la famille des hémiptères (pucerons, cicadelles...) peuvent causer des dégâts importants sur les cultures céréalières. Les effets de différents modes de production (conventionnel, biologique anciennement converti et biologique récemment converti) et de la complexité des paysages sur les ravageurs, les auxiliaires des cultures et le contrôle biologique, sur une culture d'orge de printemps, ont été étudiés. Les liens entre rendement et taux d'infestation ou contrôle biologique ont aussi été analysés. Cette expérimentation a été réalisée dans le Sud de la Suède. Les résultats obtenus montrent qu'il est possible d'améliorer le contrôle biologique des pucerons et les rendements de l'orge de printemps par des pratiques agricoles ayant des effets positifs sur la présence d'auxiliaires, indépendamment de la complexité du paysage. Cependant, la réussite de telles pratiques dépend fortement du ravageur visé et des types d'auxiliaires des cultures présents naturellement.