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Documents disponibles dans cette catégorie (249)


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Vente directe : De multiples possibilités
Avec la quantité croissante de produits biologiques passant par la grande distribution, les magasins spécialisés ou encore la restauration hors foyer, la proportion écoulée par la vente directe a tendance à diminuer. Reste qu'avec 10% du chiffres d'affaires réalisé en bio, selon les estimations de l'INRA-UREQUA en décembre 2000, les marchés bio, magasins à la ferme ou autre distribution de paniers ont encore de beaux jours devant eux. Description d'initiatives anciennes et originales à travers les régions de France.
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L'analyse énergétique des fermes bio
"L'analyse énergétique d'une ferme consiste à comptabiliser les énergies non renouvelables entrant dans les systèmes de production et les énergies brutes sortant sous forme de produits végétaux. Elle permet de fournir des données concernant la capacité des fermes à utiliser les ressources locales énergétiques renouvelables, de quantifier les ressources des énergies non renouvelables consommées pour produire des végétaux ou élever des animaux, et ainsi, de mesurer l'impact des activités agricoles sur les ressources énergétiques. Suite à la demande des producteurs, une étude intitulée ""Analyse énergétique de fermes en agriculture biologique"" va être réalisée au niveau du réseau FRAB, à raison de 10 analyses par département, au cours de l'année 2001."
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Finies les prophylaxies systématiques!
Le réseau sanitaire bovin nouvelle formule est testé dans douze départements pilotes. Ce réseau comportera deux phases : une phase d'éradication pour en terminer rapidement avec les derniers foyers de brucellose et tuberculose, et une phase de prévention pour que ces maladies ne réapparaissent pas dans les zones indemnes.
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Finistère - Fausses céréales bio : que la lumière soit faite !
Avec le boum de la bio, les élevages de poulets bio se sont multipliés. Mais, les surfaces nécessaires en céréales bio pour alimenter tous ces poulets n'ont pas suivi. Résultat : obligation d'importer et contrôle déficient. Un immense traffic vient d'être mis à jour, où les céréales conventionnelles importées en France ont été vendues comme céréales bio. C'est la filière elle-même qui a dénoncé ce scandale, en espérant que les cahiers des charges se durciront, obligeant l'éleveur à produire au moins une partie de l'alimentation sur sa ferme. La Parquet de Morlaix, saisi le 24 mars, n'a pas encore bouclé son enquête.
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Mini-légumes : les plus grands se les arrachent
De l'Elysée au Buckingham palace, de Berlin à Hong-Kong, le groupement de producteurs finistériens "l'Armorique maraîchère" livre ses légumes originaux à la très haute restauration française et internationale. Un créneau qui a permis de réintroduire des variétés oubliées et de créer des légumes miniatures grâce à des techniques culturales bien gardées. La coopérative est ainsi la plus diversifiée d'Europe en légumes frais (150 légumes différents sont produits par les 70 adhérents) et réalise 55 % de son chiffre d'affaire avec une gamme de mini-légumes, fleurs comestibles, légumes anciens ou sauvages. De quoi cultiver la biodiversité !
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Quels soins pour nos arbres à pépins ?
Lucien Gorvan, arboriculteur bio au verger de Belon partage son expérience et apporte quelques éléments de réponse. La première chose à faire est de s'assurer que les besoins nutritifs du végétal en macro-éléments et oligoéléments sont satisfaits par les apports du sol et de vérifier que le pH du sol est favorable à l'assimilation de ces éléments par le végétal. Deuxième point essentiel : veiller au maintien de la faune auxiliaire (insectes prédateurs, araignées, oiseaux) en préservant haies, bosquets et talus où elle niche. Lucien Gorvan propose un rapide tour d'horizon des moyens de lutte en arboriculture bio pour lutter contre les principaux parasites (pucerons, carpocapse...) et maladies cryptogamiques (tavelure, chancres...).
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Réseau de fermes de démonstration du Finistère : Recueil d'expériences
Ce recueil de fermes du Finistère montre en quoi l'agriculture durable est une agriculture économiquement viable, écologiquement saine, socialement équitable et liée au sol. Les 11 exemples relatés dans ce recueil sont ceux de personnes, de familles appartenant à PARADES (paysans autonomes vers une agriculture durable et solidaire), une association membre des réseaux CIVAM et RAD. En effet, ces exemples pratiques montrent que l'agriculture durable nécessite souvent une technicité bien supérieure aux modèles de production classique. Elle apporte de réelles solutions aux importants problèmes environnementaux et s'efforce de répondre aux enjeux de société. Si chaque expérience est unique, les réflexions à mener sur les pratiques de chacun sont, elles, largement reproductibles. C'est l'ambition de ce recueil que de vouloir faire partager des voies d'évolution, certes différentes, mais convergentes vers l'agriculture durable.
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La bio en Bretagne : un développement qui se confirme
Un bilan de 1998 et quelques chiffres provenant de l'agriculture biologique dans la région Bretagne. L'Observatoire de la production bio en Bretagne, réalisé par la FRAB, dresse un bilan optimiste. Durant l'année 1998, le nombre de fermes en bio ou en conversion a progressé de plus de 38%, confirmant le fort dynamisme de la bio en Bretagne. Les résultats de l'enquête restent cependant contrastés selon les départements et les filières. La bio profite d'une embellie génarale sur la Bretagne, tendance qui devrait s'accentuer dans les années à venir. Les dossiers de conversion instruits par les GAB laissent présager pour l'année 1999 environ 200 nouvelles conversions.
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Finistère : il n'y a pas que la pensée unique
Itinéraire d'un couple d'éleveurs bretons (bovins laitiers), qui après avoir débuté en agriculture intensive (gros investissements en bâtiments, en matériel, un atelier taurillons...), passent progressivement à l'agriculture biologique dans une démarche de groupe. Les Prim'holstein sont peu à peu remplacées par des Pis Noir Bretonnes et les éleveurs rêvent d'un atelier de transformation du lait en "beurre de Cornouaille". Tout un programme !
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Jean-Pierre et Philippe Nicol, cap sur le bio !
Après avoir orienté leur système vers davantage d'herbe et moins de charges, Jean-Pierre et Philippe Nicol ont choisi d'entamer une reconversion à l'agriculture biologique. C'est l'aboutissement logique de l'évolution de leur système.
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Etude sur la production légumière en agrobiologie en Bretagne
Devant le manque de références en production légumière, la FRAB, le CER et la Chambre d'Agriculture du Finistère ont décidé de lancer une étude afin de travailler sur l'élaboration de références. Les objectifs de celles-ci ont été de détecter une typologie des producteurs et les résultats économiques de ces types, d'établir des références par légumes et de construire une méthode pour établir les temps de travaux. Une première enquête auprès de 28 producteurs de légumes, dont 20 en production biologique, a permis de conclure qu'il y avait une grande hétérogénéité technique et économique, ce qui a posé des difficultés pour établir une typologie ou des références par légumes. Un travail complémentaire devra être réalisé pour avancer dans cette recherche de références.
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Goulven et Elizabeth Thomin, l'esprit de la terre
Littéraires de formation, ils découvrent l'agriculture biologique. motivés par le retour à la terre, ils décident de produire des légumes biologiques. Leur ferme emploie aujourd'hui six personnes.
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Jean-René Cotten, la science de l'agrobiologie
Jean-René Cotten produit du lait biologique depuis 1989. Agronome très averti, il expérimente un système herbager remarquable en associant des graminées et des légumineuses. Ses résultats sont à la hauteur de sa technicité.
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Lucien et Chantal Gorvan, des pommes, des poires... et du goût
Acteurs du développement mais également témoins de quinze années de pratiques agricoles peu respectueuses du milieu en Afrique, Lucien et Chantal décident de revenir en Bretagne en 1989. Ils produisent aujourd'hui des pommes et des poires biologiques.