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Produire des pommes biologiques
Compte-rendu d'un essai de production de pommes biologiques mis en place par le Cirea en Lot-et-Garonne. Si la production de pommes biologiques est économiquement intéressante grâce au prix de vente élevé des pommes, elle reste marginale, et inférieure à la demande car elle présente des risques techniques élevés. De nouvelles techniques devront être affinées pour mieux lutter contre le carpocapse, la tavelure et surtout le puceron cendré.
Programme d'Expérimentation Recherche en Agriculture Biologique - Arboriculture - Rapport final 97
Rapport final 1997 du Groupe de Recherche en Agriculture Biologique. Les essais ont porté sur la lutte contre les maladies et les ravageurs (le puceron cendré, la zeuzère, le carpocapse, et la mouche de l'olivier), sur des itinéraires techniques en pommier et poirier, sur l'entretien du sol sur le rang et sur la maîtrise de la charge pour réguler la production.
Programme d'Expérimentation Recherche en Agriculture Biologique - Maraîchage - Rapport final 97
Rapport final 1997 du Groupe de Recherche en Agriculture Biologique. Les essais maraîchage ont porté sur la tomate, le concombre, le poivron, ainsi que sur des thèmes transversaux, fertilisation, désherbage et lutte contre les maladies. Tous les essais sont détaillés et analysés. La rareté des références techniques font de ces rapports des outils précieux pour les maraîchers et les techniciens.
Le psylle de la carotte Trioza apicalis Förster : l'état de la question
J. FREULER ; S. FISCHER ; C. TERRETTAZDans REVUE SUISSE DE VITICULTURE ARBORICULTURE HORTICULTURE (N° Vol. 30, n° 4 01/07/1998) / p. 217-223 (7)Le psylle de la carotte Trioza apicalis Förster, dont les populations semblent en phase de recrudescence, a causé d'importants dommages dans diverses régions de Suisse romande durant ces 2 dernières années. Les dégâts qu'il commet sont principalement dus à une toxine salivaire très virulente que possèdent les femelles immigrant dans les cultures au printemps. Ce travail fait le point sur les connaissances actuelles de la biologie du ravageur. Il aborde également les questions liées aux possibilités d'évaluer les populations et leur nuisibilité et esquisse les voies de recherche concernant les stratégies de lutte à mettre en oeuvre.
Le purin d'ortie : trop beau pour être vrai ?
Depuis plusieurs années, Jean-Claude Chevalard se consacre à l'étude et à la diffusion de traitements naturels. Après avoir testé sur ses propres cultures les purins d'ortie, décoctions de prêle et autres purins de fougère, il joue maintenant un rôle de conseiller auprès des producteurs et propose également des purins. Des essais satisfaisants ont été mené sur le terrain, mais il n'y a pas encore d'expérimentations scientifiques .
Le purin d'orties : quand une recette millénaire et le savoir-faire se rencontrent...
Reportage chez Jean-Claude Chevalard, connu par la plupart des maraîchers bios comme étant le roi du purin d'orties. Bien sûr, il n'a pas inventé la recette mais il a mis au point un certain nombre de mélanges qui viennent à bout par exemple du Phytophtora sur fraises ou de la Rouille sur haricots verts.
Les purins populaires en biodynamie, deuxième partie - La prêle, vous connaissez ?
La prêle des champs, parfois appelée queue de renard, est une plante utilisable pour prévenir les maladies fongiques. Elle est récoltée en plante entière, quand elle est rugueuse sous la main, car c'est à ce moment-là qu'elle a accumulé le maximum de silice sous forme végétale. La silice, qui est un oxyde de silicium, est la substance à laquelle on prête la plus grande partie des propriétés anti-fongiques de la plante.
Les purins populaires en biodynamie, première partie : le purin d'ortie
Les purins de plantes sont utilisés depuis longtemps en agriculture. Quels sont ceux qui sont les plus importants ? Le purin d'ortie et de prêle sont les deux premiers, et celui d'ortie, tonique universel, mérite certainement d'ouvrir cette série d'article sur les purins. De la fabrication à l'utilisation, avec des conseils tirés de son expérience personnelle, l'auteur propose un synthèse qui pourra être judicieusement complétée par l'ouvrage de Bernard Bertrand, "Les secrets de l'ortie".
Pyrale : l'ennemi n° 1 du maïs
La pyrale est le ravageur du maïs le plus nuisible et le plus difficile à combattre. Le point sur la biologie de cet insecte ainsi que les moyens et les méthodes de lutte.
Que font donc les limaces dans les fermes bio ?
Un biodynamiste présente les méthodes qu'il a testées pour lutter contre les limaces.
Quel avenir pour les matières riches en protéïnes en alimentation animale biologique ?
L'essor de l'agriculture biologique, et en particulier des productions animales biologiques, pose la question de l'approvisionnement en matières riches en protéïnes dans les élevages. Dans un contexte de non-traçabilité du soja transgénique, la demande de protéagineux pourrait devenir significative. Deux questions se posent alors : Quels sont les besoins de l'alimentation animale en matières riches en protéïnes ? Quels sont les principaux problèmes inhérents à la production de protéagineux biologiques ?
Rapadura : le sucre de canne complet et bio de Rapunzel
Reportage à la finca Jacutinga (au sud du Brésil), convertie à l'agriculture biologique depuis 1977, particulièrement dans la production de canne à sucre biologique. La culture des cannes, la récolte, la fabrication du sucre, la qualité. L'action sociale de la ferme, qui fait partie du programme de réinsertion "Main dans la Main".
Recherche d'espèces végétales à propriétés allélopathiques
De nombreuses espèces végétales synthétisent des molécules capables d'agir sur le développement des plantes avoisinantes. Ce phénomène appelé allélopathie peut jouer un rôle intéressant dans le contrôle des adventices en cultures, par le biais de l'enherbement, de sous-semis ou de cultures intercalaires. Un essai a donc été conduit sur 17 espèces ou variétés pour tester ces propriétés, tant en laboratoire, qu'en serre ou au champ. Quatre espèces se distinguent ainsi, Bromus tectorum, Plantago lanceolata, Sanguisorba minor et surtout Artemisia annua par ses effets sur Amaranthus retroflexus et Chenopodium album.Il reste maintenant à déterminer le mode d'action pour envisager des applications à grande échelle.
La reconversion d'une exploitation en polyculture sans élevage est-elle possible ?
Présentation d'une exploitation, située dans la Champagne berrichonne, à l'ouest de Bourges, reconvertie à l'agriculture biologique sur 287 ha de polyculture, dont la production est entièrement destinée à la vente. En 1993, le GAEC récoltait sa première culture bio : 35 ha de tournesol.
Résultats des expérimentations sur les systèmes de production 1996-1997 sur le site de Duran, Gers
L'année 1996-1997 est la huitième année des essais systèmes sur le site de Duran dans le Gers. La conduite des essais systèmes aboutit à la production d'un compte-rendu visant d'une part à exprimer le poids des facteurs climatiques et des interventions culturales et d'autre part à comparer les résultats de l'année aux objectifs initiaux en matière de production et de qualité des cultures céréalières et fourragères. Ainsi, l'année 1997 se caractérise par son côté atypique du point de vue climatique et agronomique. Les céréales d'hiver ont souffert d'un fort déficit hydrique au printemps et les composantes du rendement ont été particulièrement faibles, mais les PMG et les teneurs en protéines ont présenté des valeurs record. Pour les cultures d'été, les rendements sont très satisfaisants grâce à une pluviométrie abondante en été. Quant aux culture fourragères, les parcelles de première année ont connu une faible production tandis que les prairies déjà implantées ont atteint ou dépassé leur objectif de rendement.