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TRANSFORMATION A LA FERME |
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Cécile cultive des légumes à 1650 m d'altitude
Agnès THIARD, AuteurCécile Andrieux s'est installée en maraîchage en 2016, hors cadre familial et sans aides, dans un milieu atypique pour ce type de production : la haute montagne. En effet, elle fait pousser ses légumes à 1650 m d'altitude, en Isère, dans un ancien pré de 3000 m² qu'elle loue à l'Association foncière pastorale de son village. Son crédo : "s'intégrer dans cet écosystème sans le déséquilibrer". Pour ce faire, elle a notamment dû rechercher des espèces et variétés adaptées à cet environnement. Elle cultive une dizaine de plantes (ail, radis, oignons, salades, fèves, pommes de terre, courgettes, haricots, fraises...), pour lesquels elle a testé plusieurs variétés. Avec une saison hivernale longue et rigoureuse, elle s'est tournée vers des variétés de saison courte, résistantes à la sécheresse et/ou résistantes au froid. La gestion des ravageurs se fait sans pesticides, grâce à la présence de nombreux auxiliaires, favorisés par la grande diversité de plantes sauvages laissées en place juste aux abords de la parcelle cultivée. Le désherbage est notamment assuré par l'occultation par bâche. Afin de diversifier sa production et de pouvoir en vivre, Cécile a construit un atelier de transformation de 8 m², le "Tiny Lab", pour valoriser légumes et plantes sauvages en condiments et biscuits.
Céréales mineures : Pas de la mauvaise graine
Morgan MAIGNAN, AuteurLe projet "Renaissance des Céréales Mineures" a pour but de développer un réseau de production de céréales dites "mineures" dans le Nord-Ouest de la France, via la valorisation et la multiplication de semences paysannes et avec une valorisation des récoltes en filières courtes et locales : farine, pain, galettes, pâtes, biscuits... Lancé fin 2016 par le réseau GAB-FRAB, l'association Triptolème (développement de la biodiversité cultivée dans l'Ouest) et l'INRA, le projet s'appuie sur des groupes locaux de paysans et d'artisans boulangers (Cornouailles, Centre-Bretagne, Région de Dinan...). Au total, plus d'une centaine d'essais de multiplication ont été menés, en 2017, au sein du réseau d'une vingtaine de fermes bio et autour d'une dizaine d'espèces de céréales : millet, amidonnier, avoine, orge brassicole, engrain, épeautre, blé poulard, sarrasin, seigle. En janvier 2018, une journée d'essais de transformation a eu lieu à la boulangerie bio Pains Maritimes de Saint-Nazaire, au cours de laquelle 8 recettes de pains ont été expérimentées. D'autres essais sont prévus en 2018, dans le but de caractériser les qualités boulangères des espèces et variétés produites. Un zoom présente les activités du groupe Cornouailles, dans le Sud Finistère. A partir des témoignages d'Olivier Hebert, du Collectif "On y est" (29), et de Paul Canevet, producteur à Plounéour-Lanvern (29), qui ont participé à des essais de culture du millet, un focus sur cette culture est proposé.
Conversation avec Andrew COCUP, paysan-boulanger dans le Gers
Entretien filmé avec Andrew Cocup, paysan-boulanger bio dans le Gers, qui élève aussi des bovins et de la volaille. Il présente son parcours et ses convictions, ses techniques culturales (semis sous couvert, traction animale ), la transformation (meules de pierre, qualité du pain ), ainsi que lefficacité économique de la ferme.
Convertir son troupeau caprin en agriculture biologique : A quelles conditions ?
Le projet BioRéférences vise à apporter des réponses à un besoin majeur de références technico-économiques sur les systèmes de production biologiques du Massif Central et, ainsi, à contribuer à laccompagnement et au développement délevages ruminants biologiques viables, vivables et en cohérence avec leur territoire et leurs filières/marchés. Concernant lélevage caprin bio, lAgence BIO recensait, en 2016, dans les 22 départements intégrés en partie ou en totalité dans le Massif Central, 295 exploitations caprines certifiées ou en cours de conversion. Sur la zone du Massif Central, le marché des produits fabriqués à base de lait de chèvre biologique est en plein développement. Ce document est complémentaire à la synthèse des suivis dexploitations caprines réalisés dans le cadre du projet BioRéférences. Après une présentation du contexte de la filière caprine en AB dans le Massif Central, il donne les points-clés de la conversion du troupeau en AB en abordant les questions suivantes : élever des chèvres, valoriser des surfaces pour lalimentation du troupeau, valoriser le lait produit en transformation fromagère fermière, valoriser le lait produit en livraison, optimiser le coût de production.
Un cultivateur hors du commun
Valérie ROSENWALD, AuteurGatien Barberon, 25 ans, cultive du cresson bio dans lEssonne. Plus jeune, il voulait être designer automobile, mais en raison du coût des études et de son handicap (Gatien est sourd de naissance), il a renoncé pour faire une formation dans le bâtiment. En 2014, une cressonnière est mise en vente à proximité de la ferme familiale (ses frères et ses parents sont également producteurs de cresson). Ses parents lui suggèrent alors de la reprendre. Comme les finances ne sont pas au rendez-vous, Gatien fait appel à Terre de Liens qui accepte de le suivre et réunit largent dont il a besoin grâce au don citoyen et à un fort appui de lAgence des espaces verts dIle-de-France. Trois ans après, Gatien passe une partie de lannée les pieds et les mains dans leau pour cultiver cette plante. La récolte seffectue de septembre à mai. Durant lété, le cresson nest plus ramassé et monte en fleurs. Les graines sont ensuite récoltées manuellement, avant de vider et de nettoyer les fossés. Les semis sont ensuite effectués pour la récolte suivante et remis en eau petit à petit. La récolte familiale est livrée à Rungis et est essentiellement destinée à des Chefs parisiens ou des Chefs étoilés (il ny a que deux producteurs de cresson bio en France). Une autre partie est transformée (la mère de Gatien a créé un laboratoire de transformation) : purée, pâté végétal, fricassée. Gatien compte bien étendre cette gamme et ouvrir un point de vente directe.
Diversifier les produits de la ferme pour être plus résilient
Cindy SCHRADER, AuteurDepuis leur reprise de la ferme familiale en 1985, dans les Côtes d'Armor, François et Hervé Talbourdet ont apporté de nombreux changements à un système qui leur convenait de moins en moins. Le système initial comportait un élevage laitier et un élevage de taurillons, avec des rations basées sur le maïs. En 2000, ce dernier atelier a été abandonné : le système est devenu tout herbe, les vêlages ont été groupés à l'automne et la mono-traite a été instaurée. L'élevage se rapprochant de plus en plus des exigences de l'agriculture biologique, la conversion a été décidée et effective en 2003. Sans collecte de lait bio sur la zone, il a alors fallu se lancer dans la transformation à la ferme. Autre gros tournant : des brebis laitières sont venues remplacer les bovins, finalement mal adaptés à la zone séchante dans laquelle se situe l'élevage. En 2015, Marie, la nièce de François et Hervé, est venue les rejoindre avec un atelier apicole. Des farines, huiles et lentilles sont aussi produites et vendues sur la ferme.
Dossier : Lautonomie des fermes céréalières bio du Grand Est
Y. MICHAUD, Auteur ; A. LAURENT, AuteurLa question de lautonomie, aussi bien à léchelle du système que du territoire, est un sujet de questionnement permanent pour les céréaliers bio du Grand Est. Cela touche divers points : la fertilité du sol, les semences paysannes, le triage et le stockage à la ferme, la maîtrise de la commercialisation aussi bien en circuits longs que courts, ou encore lautonomie gagnée par des échanges entre agriculteurs. Ce dossier reprend donc des questionnements ou des témoignages de céréaliers de lEst de la France autour de trois grands thèmes touchant à lautonomie : i) gérer la fertilité de son sol sur le long terme (via ses pratiques, lintroduction de lélevage, les rotations, lintroduction de légumineuses, les modalités de travail du sol ) ; ii) Pouvoir stocker et trier toutes ses cultures (Pourquoi ? Quels équipements ?) ; iii) Garder la valeur ajoutée grâce à la vente directe ou aux structures collectives de commercialisation. Sur ce dernier thème, témoigne notamment un paysan boulanger qui pousse sa recherche dautonomie jusquà la sélection de ses semences en variétés anciennes.
Dossier : Choisir son circuit de découpe
Cyrielle DELISLE, Auteur ; François D'ALTEROCHE, Auteur ; Sophie BOURGEOIS, AuteurSi un agriculteur veut sinvestir dans la vente en circuits courts pour commercialiser sa viande, en particulier bovine, la question de la découpe et de la transformation se pose. Diverses solutions peuvent exister : mise en place dun atelier de découpe individuel, collectif, ou encore le recours à la prestation. Cela doit être réfléchi au cas par cas. Tout faire soi-même est possible, mais il faut avoir les compétences bouchères nécessaires, en particulier en bovins viande, investir dans un atelier, veiller au respect des normes sanitaires et bien calculer ses coûts de production afin davoir des marges suffisantes. Latelier collectif est une alternative qui offre certains avantages comme un investissement moindre. La prestation, quant à elle, peut être faite via un boucher ou alors une entreprise spécialisée. Ce dossier fait le tour des grandes questions à se poser pour faire son choix et intègre quatre articles. Lun porte sur la question des marges. Les trois autres illustrent trois solutions possibles : i) lexemple dun atelier de découpe détenu par un GAEC, dans la Sarthe ; ii) la présentation dune entreprise dans le Grand-ouest qui fait de la prestation de labattage à la transformation (avec une offre modulable et diversifiée, selon les demandes des éleveurs) ; iii) le cas dune famille, organisée en GAEC, qui découpe et transforme tous ses animaux (des Salers) dans une boucherie installée sur lexploitation, avec une commercialisation à la ferme, sur des marchés, en restauration ou encore auprès de collectivités locales.
Éric et Marie-Lise Berjon, en Gironde : Des céréales bio au milieu des vignes
Jean-Martial POUPEAU, AuteurEric et Marie-Lise Berjon, céréaliers bio depuis plus de 30 ans, témoignent de leur expérience. Leur exploitation dispose de 120 ha de SAU (blé dhiver, féverole dhiver, soja, luzerne, tournesol ), de 30 ha de bois en ceinture et dun lac artificiel permettant dirriguer le soja. Leur assolement a beaucoup évolué ces dernières années pour simplifier le travail et la gestion des cultures (8 cultures par an contre 15 avant). La féverole, introduite il y a trois ans, est en plein développement (30 ha en 2018 en pur et 4,5 ha en mélange). Deux coupes annuelles de foin sont réalisées pendant les trois années dimplantation de la luzerne. Le labour a été abandonné depuis 10 ans (sauf pour démonter une prairie) pour des raisons de gain de temps, de lutte contre lérosion et damélioration de la vie microbienne. Le salissement nest pourtant pas plus élevé quavant. Le soja offre plusieurs débouchés : vente directe, approvisionnement de deux sociétés et d'une entreprise. Dès leurs débuts en bio, les exploitants ont décidé de transformer leurs produits à la ferme : toutes les récoltes de blé, épeautre, blé noir et petit épeautre sont transformées en farine et la récolte de tournesol est transformée en majorité en huile (et une partie est vendue en graines). Les circuits de vente sont diversifiés (Amap, Biocoop, magasin à la ferme, cantines ) afin de rester indépendants.
Les exploitations caprines en agriculture biologique du Massif Central : Résultats de la campagne 2016
Le projet BioRéférences vise à apporter des réponses à un besoin majeur de références technico-économiques sur les systèmes de production biologiques du Massif Central et, ainsi, à contribuer à laccompagnement et au développement délevages ruminants biologiques viables, vivables et en cohérence avec leur territoire et leurs filières/marchés. Concernant lélevage caprin bio, lAgence BIO recensait, en 2016, dans les 22 départements intégrés en partie ou en totalité dans le Massif Central, 295 exploitations certifiées avec un cheptel caprin. Sur la zone du Massif Central, le marché des produits fabriqués à base de lait de chèvre biologique est en plein développement. Corollaire de cette évolution, la laiterie de La Lémance, la Bergerie de Lozère (groupe Triballat-Noyal) et Val dOrmeze cherchent à développer leur collecte pour satisfaire leurs fabrications actuelles et la demande croissante de leurs clients. Cette synthèse présente les résultats techniques et économiques de la campagne 2016 des 13 exploitations caprines laitières et fromagères suivies dans le cadre du projet BioRéférences. Ces suivis ont été réalisés par les Chambres dagriculture de Corrèze, Drôme, Loire et Lozère, lAssociation de Promotion de l'Agriculture Biologique en Aveyron (APABA), et lassociation Bio Bourgogne. Les 13 exploitations caprines suivies en 2016 se répartissent en deux systèmes distincts : 5 exploitations sont des systèmes livreurs dont la majorité de la production de lait de chèvre est commercialisée à une laiterie ; 8 exploitations sont des systèmes fromagers dont la majorité de la production est transformée à la ferme et commercialisée en circuits courts.
Ferme Champignol : L'agriculture peut être aussi une source d'énergie
Francis GIOT, AuteurLa Ferme de Champignol (Wallonie), en polyculture élevage, est principalement orientée vers la production laitière, et plus particulièrement la fabrication du beurre, commercialisé en vente directe. Marie et Dimitri Burniaux ont repris la ferme des parents de Dimitri en 1996, avec une conversion bio en 2011. La ferme est constituée de 30 ha de prairies permanentes, 20 ha de prairies temporaires et 30 ha de céréales. 2/3 de la production de céréales alimentent la filière bio, 1/3 est destiné à l'alimentation des vaches. Pour compléter leur offre, ils se sont lancés dans le maraîchage, en particulier pour faire découvrir à leurs consommateurs des légumes oubliés. Ils revendent également des fromages produits par des collègues. Ils ont récemment accueilli un nouveau partenaire, qui transforme le lait de la ferme en une nouvelle gamme de fromages, sous le nom de Champignol. Pour chauffer leurs deux serres et leur table de semis, ils ont décidé de produire eux-mêmes l'énergie, grâce à deux dômes dédiés à la méthanisation. Le gaz est produit avec les déchets de la ferme, mais aussi avec des déchets de céréales, des sous-produits de betteraves et de pommes de terre et avec des tontes de pelouses, qui leur sont apportés par des céréaliers, des sucreries, des agriculteurs, des professionnels des parcs et jardins et par la commune. Le gaz est destiné à produire de l'eau chaude, qui est non seulement distribuée sur la ferme, mais qui permet également dalimenter en eau chaude 16 logements aux alentours...
La ferme Larock en Wallonie
Marie-Ange GHESQUIERE, Auteur ; Anne GERDOM, AuteurC'est à Rotheux, au sud-ouest de Liège (Wallonie), que les auteurs ont rencontré Louis, Cyrille, Peter, Laurence, Eline et Aurore, qui font vivre la ferme de Larock à travers de nombreuses activités. Cette ferme a fait partie, dans les années 1980-1985, des pionnières en biodynamie. Depuis 5 ans, la ferme, à l'origine familiale, se transforme en ferme collective. L'évolution du domaine est présentée, depuis 1986, époque où Louis Larock s'est installé, avec en tête un projet à forte dimension sociale : accueil d'artistes, d'écoles, d'adolescents, organisation de fêtes... Son idéal : une agriculture ferment d'une nouvelle culture. Le maraîchage a été installé durablement par Peter en 2010. La ferme sert de terrain à une formation à la biodynamie, dans laquelle interviennent, outre Louis (pour l'élevage) et Peter (pour le maraîchage), des personnes extérieures (apiculture, pain, botanique...). Un jardin d'enfants a également vu le jour en 2015. Chacun sur la ferme est responsable d'une activité. La commercialisation des productions se fait en paniers via une AMAP, et sur place, dans le magasin de la ferme, géré par Aurore. Cyrille s'occupe de la partie élevage, avec 50 poules et un troupeau de 50 vaches. Le projet collectif s'est concrétisé en octobre 2018 à travers la création d'une coopérative. Dans la deuxième partie de l'article, Louis Larock, à l'origine de cette dynamique, raconte son parcours, sa rencontre avec la biodynamie et l'importance à ses yeux de la transmission.
Fermebioscopie : Un système simple, optimiste et créateur d'emploi
Adrien LECHARTIER, AuteurAdrien Lechartier a repris la ferme familiale, située à quelques kilomètres du Mont Saint-Michel (50), en 2003 : 32 ha d'un seul tenant et un quota de 287 000 l. La ferme était alors conduite en conventionnel en système maïs-soja et très intensive. Il est passé en bio en 2013. Aujourd'hui, sur ces terres fertiles et arrosées, le potentiel agronomique est optimisé par une conduite en bio réfléchie. Les vaches pâturent toute l'année. En 2016, il crée avec Olivier, éleveur installé à 2 km de sa ferme, la SAS Pivette et Pilorette qui transforme 20 000 litres de lait bio par ferme en yaourts, crèmes dessert, riz au lait, qui sont vendus en magasins et en restauration collective. L'objectif d'Adrien à court terme est d'embaucher un salarié sur sa ferme pour se libérer du temps.
Au GAEC Biquette de la Jaubernie : Une future transmission d'élevage bien cadrée
Bérenger MOREL, AuteurEn Ardèche, Gilles et Véronique Léon élèvent une soixantaine de chèvres alpines depuis 1996. A l'époque, 5 années leur ont été nécessaires pour construire le bâtiment, la fromagerie et leur maison, tout en autoconstruction. Passée en bio en 2010, la ferme de la Jaubernie profite des 26 000 habitants du bassin de vie du chef-lieu de l'Ardèche pour commercialiser ses produits, majoritairement en circuits courts. Chevreaux et poules pondeuses apportent un complément d'activité. Les deux éleveurs prennent plaisir à transmettre leurs connaissances et leurs savoir-faire, régulièrement, aux stagiaires présents sur la ferme ou lors de l'accueil d'élèves des lycées agricoles et du centre de formation du Pradel. Cependant, aujourd'hui, c'est leur ferme que Véronique et Gilles s'apprêtent à transmettre. Céline et Marceline, toutes les deux la trentaine, se sont associées et ont commencé à travailler en vue de la reprise. Les conditions sont favorables pour leur permettre de se former aussi bien à la conduite technique de l'élevage qu'à la transformation. Elles ont décidé de suivre une formation sur le travail à plusieurs car, pour elles, savoir travailler ensemble est plus important encore que la maîtrise technique.
Guide Grandes cultures biologiques
Ce guide régional (Occitanie), consacré aux grandes cultures bio, est construit suivant 3 entrées : - Des fiches "cultures" (fiches 1 à 19) : blé tendre d'hiver, mélange variétal de blés anciens panifiés sur la ferme, petit épeautre, seigle, maïs semence, etc. ; - Des fiches témoignages (fiches 20 à 38) : houe rotative, herse étrille, binage, rotation culturale, synergie entre grandes cultures et élevage en systèmes mixtes, éléments de réflexion pour réussir la conversion, stockage des grains à la ferme, etc. ; - Des fiches dinformations plus génériques sur les grandes cultures biologiques en Occitanie (fiches A à G) : fertilisation, adventices, associations de cultures, conversion, accompagnement...