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10 signaux prouvant que la transition agricole et alimentaire a commencé
En 2016, lagriculture responsable a gagné du terrain, les Français ont consommé de plus en plus responsable, la restauration a amélioré ses pratiques et les nouveaux modes de distribution (circuits courts, supermarchés coopératifs) ont progressé... Sur tous les fronts, on constate des avancées qui ne peuvent plus être ignorées. WWF France présente 10 signaux démontrant que la transition agricole et alimentaire est déjà à luvre. Selon lorganisation, il existe, en France, une partie de la population composée d'agriculteurs, de consommateurs, de collectivités locales, de producteurs et dentreprises qui mènent déjà, à leur échelle, la transition vers un nouveau modèle agricole et alimentaire.
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Le 12ème Baromètre Greenflex : Tous acteurs ! Les Français et la consommation responsable - Edition 2017
Greenflex présente les résultats dune étude réalisée sur un échantillon représentatif de la population française de 3 800 personnes de 15 à 74 ans et visant à mesurer l'évolution de la consommation responsable. Les tendances 2017 exposées concernent les préoccupations des consommateurs (pollution, réchauffement climatique, bien-être animal...), leur vision de la consommation responsable, leur avis sur l'importance des différents acteurs pour agir concrètement en faveur du développement durable (entreprises, individus, État, distributeurs), leurs attentes vis-à-vis des entreprises (offre de produits plus sains, étiquetage, éthique...), et les différents profils de consommateurs avec leurs caractéristiques.
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Accessibilité de la bio : Des outils développés par la FNAB et la fondation MACIF
VEGETABLE, AuteurFace aux inégalités observées en matière d'accessibilité aux produits bio, des initiatives se développent : paniers de légumes à tarifs adaptés, ateliers de cuisine, épiceries solidaires, distribution au cur des quartiers ou dans les zones rurales isolées... La FNAB soutient ces initiatives et les valorise pour les aider à se déployer plus largement. En 2011, par exemple, elle a édité un recueil d'expériences innovantes, puis réalisé deux boîtes à outils pour accompagner la mise en place d'actions par les collectivités territoriales et par les producteurs. En 2013, elle a organisé trois colloques qui ont permis aux différents acteurs de partager leurs expériences. En 2014, deux brochures à destination des collectivités et associations locales ont vu le jour pour encourager les initiatives en matière d'accessibilité des produits bio. En particulier, un kit d'aide au montage de projet du "Défi Familles à Alimentation Positive".
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Lagriculture moteur de léconomie circulaire
TRAVAUX ET INNOVATIONS, AuteurEn agriculture, léconomie circulaire sarticule autour de trois domaines : offre, demande et gestion des déchets. Concernant loffre, lagriculture sappuie sur des modes de production en cohérence avec les principes de lagroécologie et utilise une approche bioéconomique afin de valoriser la production de biomasse. Au niveau de la demande, léconomie circulaire est représentée par une consommation responsable (réduction du gaspillage, adaptation de son régime, achats responsables, etc.). Enfin, la gestion des déchets seffectue au travers de leur valorisation et de la gestion des coproduits (déjections animales, etc.). Pour la connaissance et la mobilisation des ressources, léchelle territoriale est fondamentale. Sur un territoire, léconomie circulaire peut influer sur de nombreux enjeux socio-économiques : développement territorial via la progression et le maintien dactivités économiques, création de liens entre les acteurs, etc. Le projet CAPDOR analyse des situations concrètes et fait ressortir les freins et les leviers à la mise en place dune économie circulaire.
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Les consommateurs face à l'affichage environnemental (Etudes & documents n° 74 - Novembre 2012)
Nila CECI-RENAUD, Auteur ; Willy THAO KHAMSING, Auteur | LA DÉFENSE CEDEX (SERVICE DE L'ÉCONOMIE, DE L'ÉVALUATION ET DE L'INTÉGRATION DU DÉVELOPPEMENT DURABLE, Bureau des Territoires - Tour Séquoïa, 92 055, FRANCE) : MINISTÈRE DE L'ENVIRONNEMENT, DE L'ÉNERGIE ET DE LA MER - COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE | Économie et évaluation, ISSN 2012-4723 | 2012Dans le cadre des engagements législatifs des lois Grenelle « I » et « II », le Commissariat général au développement durable est chargé du pilotage de la mise en place de l'affichage des impacts environnementaux pour les produits de grande consommation, au titre duquel une expérimentation est en cours depuis juillet 2011. Dans la perspective des réflexions sur les suites à donner à cette expérimentation, cette étude présente une revue de la littérature statistique et économique sur les attentes et les comportements des consommateurs face à une telle mesure. Il en ressort quelques enseignements majeurs : - les défaillances des marchés légitiment une action publique dans le sens d'un affichage généralisé, en complémentarité avec les autres politiques d'offre en faveur de modes de production et de consommation durables ; - les consommateurs français et européens sont demandeurs d'une information environnementale de meilleure qualité qu'aujourd'hui ; - l'information sur les impacts environnementaux des produits est susceptible d'influencer les comportements d'achat et de production dans un sens favorable à l'environnement ; - l'information environnementale doit être présentée sur le lieu d'achat dans un format de restitution synthétique, clair et comparable entre produits pour être prise en compte par les consommateurs dans leurs achats courants ; - l'achat de produits éco-labellisés concerne actuellement surtout les catégories sociales supérieures, mais un affichage environnemental obligatoire favoriserait la démocratisation des démarches de consommation responsable dans le domaine environnemental, notamment par les économies d'échelle liées à la massification de la production pour répondre à la demande plus forte.
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Consommation : Distribution : quel avenir ? Comprendre la grande distribution : innovation & Points faibles (3/6)
BIO-LINEAIRES, AuteurCet article constitue la troisième partie du dossier sur les grandes mutations sociétales qui impactent les enseignes alimentaires et distributeurs spécialisés conventionnels, et achève de décrire leurs stratégies d'adaptation face à ces grands enjeux. La grande distribution n'en est pas moins dotée de points faibles structurels importants qui sont autant de pistes stratégiques à mener pour la distribution spécialisée bio Plusieurs aspects sont abordés : Innovations MDD, marketing, production ; Le retour en grâce progressif de la relation humaine. Un chapitre particulier est consacré aux points faibles de la grande distribution : Une capacité d'innovation remarquable mais sans véritable direction « de sens », et freinée par des logiques financières ; Une culture du prix bas chevillée au corps ; Et une fidélité client peu durable ; Produits bio, Made in France et consommation responsable, des engagements qui trouvent leur limite (les GMS étant souvent peu engagées sur la bio et ayant tendance à en faire de simples produits d'appel, les clients ont des doutes et se détournent parfois du produit). 3 livres pour aller plus loin sont mentionnés.
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Consumer concerns : Is organic food important in an environmentally responsible diet ?
David PEARSON, AuteurEn Australie, des recherches ont porté sur l'impact environnemental des choix de consommation, notamment alimentaires. Cet article rapporte le rôle spécifique de l'agriculture biologique vis-à-vis de cette thématique. Parmi un panel de 163 consommateurs australiens, nombreux sont ceux qui recherchent un régime alimentaire responsable d'un point de vue environnemental et la plupart pensent que l'agriculture biologique peut y contribuer. 17 % des personnes interrogées citent le bio comme très important et 73 % d'entre elles ont cité la qualité comme premier critère de leurs choix. Parmi neuf stratégies d'alimentation durable, l'augmentation de la consommation de produits biologiques est en tête pour 3 % des enquêtés et le fait d'éviter l'eau en bouteille pour 17 % d'entre eux. 54 % des personnes interrogées se sont dites prêtes à augmenter leur consommation de produits biologiques.
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Des coopératives alimentaires auto-gérées : Le modèle des Diony-Coop à Saint-Denis
Jean-Claude RICHARD, AuteurDepuis environ 5 ans, se sont développées des petites structures destinées à fournir à leurs membres les compléments nécessaires aux produits fournis par les AMAP. Ces structures sont totalement indépendantes et fonctionnent selon les principes de l'éducation populaire : l'Indépendante, Coopaparis (18ème arrondissement de Paris), Coopali (Champigny-sur-Marne), l'Epi Castelfortain dans les Yvelines, Solibio sur l'Île de Saint-Denis, ou encore les Diony-Coop, à Saint-Denis (93). Ces dernières se sont installées à Saint-Denis pour permettre aux 110 000 habitants d'acheter des produits bio ou de qualité à des prix "raisonnables", dans un contexte d'absence totale d'enseignes bio dans cette commune... Fin 2016, la première Diony-Coop offrait plus de 900 références de produits au prix d'achat et regroupait 300 coopérateurs. Un deuxième magasin a été ouvert en 2017. Aujourd'hui, les deux magasins regroupent plus de 550 familles. Ce modèle et cette nouvelle façon de consommer ont été présentés en septembre 2017 à Saint-Denis, lors d'une rencontre nationale des coopératives alimentaires autogérées, où environ 200 personnes sont venues découvrir et apprendre comment ouvrir une telle coopérative, basée sur des pratiques autogestionnaires. L'article aborde ainsi les principes de fonctionnement, au cur duquel se trouvent la participation et la responsabilité individuelle, les différentes modalités d'approvisionnement, l'organisation, etc.
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Dictionnaire du commerce équitable : Etat des lieux des recherches universitaires
Vivien BLANCHET, Auteur ; Aurélie CARIMENTRAND, Auteur ; Céline CRAVATTE, Auteur ; ET AL., Auteur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2012
Le commerce équitable connaît un fort développement qui ne se dément pas depuis près de vingt ans. Mais de quoi s'agit-il exactement ? Quels sont les acteurs locaux et internationaux ? Qui l'a inventé et quelles sont les filières concernées ? Voici un dictionnaire qui permet de répondre à ces questions fondamentales tout en présentant une synthèse des recherches menées depuis une quinzaine d'années. Il est le fruit d'un travail collaboratif mené par des chercheurs spécialistes du commerce équitable et des échanges alternatifs, réunis au sein de l'association Fairness. Les différents courants du commerce équitable sont décrits et analysés en prenant en compte les avis des acteurs concernés. L'analyse est pluridisciplinaire et couvre la sociologie, l'anthropologie, les sciences politiques, le droit, l'économie et les sciences du management. Les entrées proposées concernent trois grands domaines : les principes fondamentaux et l'éthique du commerce équitable ; les différents acteurs du commerce équitable ; le développement du commerce équitable. Cet ouvrage de référence s'adresse tout autant aux chercheurs désireux d'étudier le phénomène qu'aux étudiants en sciences sociales ou aux militants, entrepreneurs et citoyens s'interrogeant sur l'équité dans les relations commerciales.
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Dossier : Bio et local, c'est l'idéal !
Gaëlle RUBEILLON, Auteur ; Yuna CHIFFOLEAU, Auteur ; Florent GUHL, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier, consacré à la consommation bio et locale, comporte les articles suivants : - Manger local, la nouvelle tendance ; - Amap, Ruche et Cie : les circuits courts sont de retour ! ; - Bio et local : quelles politiques agricoles ? ; - Du jardin à l'assiette : l'autonomie alimentaire ; - Consommer équitable, pour marier éthique et écologie ; - Produire local, un atout économique ; - Santé : redécouvrons les plantes de chez nous.
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Dossier : Bio sociétal
Sauveur FERNANDEZ, Auteur ; Cédric ROUSSELET, AuteurCe dossier, intitulé "Bio-Sociétal", comporte les articles suivants : - Bio, RSE et grands enjeux sociétaux : 1 - Introduction : vers de nouveaux paradigmes ; 2 - Le développement durable ; 3 - La RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) ; 4 - Les tendances récentes de la RSE ; 5 - Les normes et labels de la RSE ; 6 - L'économie circulaire ; 7 - Bio sociétal : retour aux sources et nouvelle ère. - La prise de conscience : Le premier pas vers la liberté ! (sondage, sur le sujet du développement durable ou de l'économie circulaire, auquel 654 consommateurs ont participé en mars 2016).
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Dossier : Consommer autrement
Véronique GALLAIS, Auteur ; Hugues TOUSSAINT, Auteur ; Sylvie SIMON, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier, intitulé "Consommer autrement", est composé des articles suivants : - Sortir du consommationnisme ; - Manger bio, ça veut dire quoi ? ; - Prenons en main notre santé ; - La consommation locale en question ; - Vers un hi-tech responsable ? ; - Vers la sobriété énergétique ; - Emballages jetables : le fléau ; - Comment consommer équitable et écologique ? ; - Publicité : un outil à apprivoiser ?
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Dossier : Fait main
Marie-Noëlle BUDINI, Auteur ; Alain DELACOUR, Auteur ; Mireille SAIMPAUL, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier, intitulé "Fait main" est composé des articles suivants : - Faire soi-même ? ; - C'est moi qui l'ai cuisiné ! - L'autoconstruction : quelle aventure ! ; - Fabriquer soi-même ses cosmétiques naturels ; - Produire soi-même une bonne part de son alimentation ; - L'autonomie électrique : un rêve ? ; - Produits ménagers : faire autrement !
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Dossier de presse : La bio change d'échelle en préservant ses fondamentaux
Daprès les derniers chiffres du Baromètre Agence BIO / CSA, près de 9 Français sur 10 (89 %) ont consommé des produits bio en 2016 et près de 7 sur 10 (69 %) disent en consommer régulièrement. Pour rappel, en 2003, 46 % des Français ne consommaient jamais de produits bio. Ce dossier de presse dresse les grands traits de cette évolution, qui a lieu dans un contexte où les Français accordent de plus en plus dimportance à la préservation de lenvironnement dans leurs actes dachat et disent trouver dans la bio une réponse à leurs attentes, à savoir une agriculture davenir, basée sur le respect de lenvironnement et du bien-être animal, qui favorise lemploi et le développement territorial. La demande de produits bio est en forte hausse, comme le montrent les derniers chiffres enregistrés par lObservatoire de lAgence BIO. Tous circuits confondus, y compris en restauration collective, les ventes de produits issus de lagriculture biologique dépassent les 7 milliards deuros fin 2016, contre encore 5,76 milliards fin 2015, soit 20 % de plus en 1 an. Les magasins spécialisés enregistrent en particulier des hausses spectaculaires de leurs ventes, de lordre de +25 %. Face à cette forte demande, la production bio monte en puissance en France. Plus de 1,5 million dhectares sont engagés en bio fin 2016 (33 % en conversion), soit +16 % par rapport à fin 2015. Désormais, on atteint 5,7 % de la SAU en bio, contre 4,9 % fin 2015. La grande majorité des Français connaissent les fondamentaux de ce mode de production et pensent que les produits bio contribuent à préserver lenvironnement, sont meilleurs pour la santé, ont meilleur goût et sont source demplois. Les Français veulent pouvoir consommer des produits bio chez eux et hors domicile. La consommation bio sinscrit en général dans une démarche plus globale de consommation responsable, entraînant un changement des habitudes et des comportements chez une grande partie des consommateurs.
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Dossier : S'habiller solidaire : Mode bio - Mode éthique
Catherine FERLAND BLANCHET, Auteur ; Paméla VENNE, Auteur ; Elsa VECCHI ; ET AL.Au Canada, s'habiller bio et éthique n'est pas si compliqué. Dans ce dossier, sont d'abord évoquées, dans deux premiers articles, la production de coton dans le monde, les conséquences environnementales et sociales d'une production conventionnelle et les perspectives de la production d'un coton biologique, ainsi que la culture du chanvre. Interdite de culture au Canada jusqu'en 1998, la plante a recouvré sa légalité grâce au règlement sur le chanvre industriel du gouvernement fédéral. Malgré ses avantages (résistance de la fibre, propriétés antibactériennes...), il ne reste que très peu cultivé pour sa fibre au Canada. Un article est ensuite consacré à ModEthik 2008, 3ème édition d'un salon reconnu comme étant le seul donnant l'exclusivité à la mode éthique et équitable au Québec. Un quatrième article tente de définir ce qu'est un vêtement éthique, et de comprendre s'il serait possible de changer le monde en s'habillant bio et écolo. Le cinquième article fait une présentation du Pavois créé en 1989. Cet organisme à but non lucratif, qui vise l'insertion et s'intéresse à l'environnement, chapeaute quatre entreprises dont une travaille dans le domaine de la récupération de vêtements. Pour finir, deux derniers articles s'intéressent au karité certifié équitable et notamment à sa place parmi les produits de soins écologiques ; à l'artisanat nigérien qui, grâce à un groupement d'intérêt économique, se fait connaître au Québec.