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Documents disponibles dans cette catégorie (44)


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Alternatives, compléments, stratégies adaptées Comment diminuer lusage du cuivre ?
Arnaud FURET, AuteurCet article effectue un tour dhorizon des alternatives au cuivre en viticulture biologique. Bien que la stratégie de protection de la vigne doive être réfléchie de manière globale (contexte pédoclimatique, sensibilité des cépages ), une règle sapplique à tous : être vigilant au moment de la chute des capuchons des fleurs. Les baies néoformées sont très sensibles et doivent être protégées. Par ailleurs, divers produits alternatifs au cuivre ont été testés ces dernières années, avec un constat : il est impossible de se passer de cuivre sans prendre des risques importants. Néanmoins, certains de ces produits, associés à de faibles doses de cuivre, apportent une protection efficace : décoction de prêle ou de bourdaine, infusion de saule ou de reine-des-prés, extrait fermenté dortie Largile et le lithothamne, qui assèchent le milieu, présentent également un intérêt. Cependant, les produits utilisés ne sont pas la seule clé du succès : la qualité de la pulvérisation et le positionnement des traitements sont également essentiels. Il est aussi possible de recourir à des moyens de protection physiques, tels que la mise en place de bâches de manière automatisée en cas de pluie. En complément de cet article, David Giachino (vigneron biodynamiste en Savoie) explique sa stratégie pour diminuer son utilisation de cuivre.
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Ecolos, mes produits de jardin ?
Guylaine GOULFIER, AuteurCet article passe en revue des produits dorigine naturelle utilisés couramment aujourdhui dans les jardins. Lauteure sinterroge sur la composition et la provenance de ces produits et donne des conseils sur leur bonne utilisation dans le respect de lenvironnement, notamment pour : - le terreau ; - la vermiculite et la perlite ; - le lithothamne et la terre de diatomée ; - les insecticides naturels ; - les huiles essentielles ; - les granulés anti-limaces.
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La méthode Lemaire-Boucher : Dans les coulisses d'une mise en pratique précoce de l'agriculture biologique - 1ère partie
Florian ROUZIOUX, AuteurCet article retrace la vie et les actions de 2 pionniers de l'agriculture biologique, Raoul Lemaire (1884-1972) et Jean Boucher (1915-2009), avant leur rencontre, en 1959, et leur association, en 1963, qui a débouché sur la formalisation de la méthode agrobiologique Lemaire-Boucher. Raoul Lemaire, à l'origine négociant en semences de blé, s'est tout d'abord consacré à la recherche d'un blé panifiable riche en protéines. Au milieu des années 1950, convaincu que l'usage excessif de la chimie agricole nuit à la santé des élevages comme à celle des consommateurs, il a commencé à étudier les propriétés du maërl, un dépôt littoral formé de sable coquillé et de débris de lithothamne, une algue calcaire riche en magnésium, qui servait alors d'amendement organique sur les pâturages bretons. Son souhait : mettre au point une méthode agricole naturelle, sans fertilisants ni pesticides de synthèse. Jean Boucher, de 30 ans son cadet, était ingénieur horticulteur lorsqu'il a commencé, dès 1947, à porter un regard critique sur la chimie agricole, notamment sur le DDT. Rapidement, il s'est intéressé à la microbiologie du sol et a lancé une expérimentation sur le compostage de fumiers de bovins du marais vendéen, dans le but de lutter contre les maladies des cultures légumières nantaises. Après avoir rejoint, en 1956, l'Association Française pour la Recherche d'une Alimentation Normale (AFRAN), il s'est impliqué comme conseiller technique au sein du Groupement d'Agriculture Biologique de l'Ouest (GABO), tout nouvellement créé, dont il est vite devenu un membre pilier. La rencontre des 2 hommes, unis par la conviction de l'importance de créer un label commercial pour distinguer les produits agricoles sans engrais ni pesticides de synthèse, marquera l'histoire du développement de l'agriculture biologique, en inaugurant une méthode basée sur 4 grands principes : la culture de blés à hauts rendements, l'utilisation du lithothamne comme amendement, le compostage de la fumure organique et l'association céréales/légumineuses.
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La méthode Lemaire-Boucher : Dans les coulisses d'une mise en pratique précoce de l'agriculture biologique - 2ème partie
Florian ROUZIOUX, AuteurCet article poursuit lexploration des origines du mouvement de lagriculture biologique à partir du rôle joué par Raoul Lemaire (1884-1972) et Jean Boucher (1915-2009), fondateurs de la méthode agrobiologique qui porte leurs noms. La société Lemaire-Boucher occupe une place importante, avec ses nombreuses activités : organisation de sa chaîne de production semences/blé/farine, lancement du pain biologique Lemaire (1964), création du Répertoire International Lemaire. Après 10 ans dexistence, la méthode Lemaire-Boucher accompagne plus de la moitié des agriculteurs engagés dans lagriculture biologique en France, avec également des activités en Belgique. Larticle revient aussi sur les dimensions scientifiques de la méthode. La scientificité avancée par les fondateurs, concernant la vie du sol, et notamment l'utilisation du lithothamne comme solution d'amendement universelle, fait naître une polémique. Du côté du mouvement biologique, André Louis et Mattéo Tavera choisissent de se retirer de lAFAB (Association Française d'Agriculture Biologique, quils avaient créée avec Jean Boucher en 1961), pour fonder une association sans attache commerciale. En 1968, Raoul Lemaire cède les rênes de la société à ses 2 fils, Jean-François et Pierre-Bernard, puis séteint en 1972 à lâge de 88 ans. Dans le même temps, certaines voix du mouvement écologique naissant se font entendre. Le respect de la nature, au sens des écosystèmes, devient le cur de lagriculture biologique. Linfluence de Jean Boucher au sein de la société Lemaire-Boucher décline peu à peu. Au final, avec son circuit semence-blé-farine-pain et ses nombreuses initiatives, la société Lemaire-Boucher aura marqué les débuts de la culture biologique et la structuration de la filière malgré les critiques qui lui ont été adressées (approche trop commerciale, lithothamne non adapté aux sols calcaires...).
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Spiruline paysanne et bio française : De lor vert en bassins
Claire KACHKOUCH SOUSSI, AuteurSuzanne Vandamme cultive de la spiruline bio, en Loire-Atlantique, sur sa ferme nommée Dana Spirulina. Cette jeune productrice a choisi de cultiver cette cyanobactérie selon des méthodes paysannes, différentes des méthodes bio industrielles étrangères. Laventure a commencé avec son père, Roland Blain, en 2016, avec un premier bassin. Maintenant, la ferme compte deux serres et quatre bassins de 150 m2. En hiver, les faibles températures et le peu de lumière empêchent la multiplication de la cyanobactérie. La période de production se situe davril à octobre, dans une eau entre 20 et 38 °C, légèrement salée et avec un pH alcalin à 10,2. Pour éviter la photolyse de la spiruline, le dessus et les côtés de la serre sont recouverts de tissus afin dombrager les bassins. En bio, lun des principaux défis est darriver à nourrir la spiruline avec de lazote organique dorigine végétale. Un encart apporte dailleurs plus dinformations sur ce sujet, et un second encart décrit le combat réglementaire réalisé par la Fédération des spiruliniers de France pour distinguer la spiruline bio française des spirulines provenant de pays tiers. Suzanne Vandamme commercialise sa production sous forme fraîche ou desséchée (paillettes ou comprimés).
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Spiruline, tout baigne pour ce super-aliment
Véronique BARGAIN, AuteurAprès plusieurs expériences dans le secteur agricole, Ludovic Bzdrenga sest installé en tant que producteur de spiruline. Sur un terrain de 2,2 ha en Vendée, Ludovic Bzdrenga a installé trois bassins de production de 160 m². Récupérée sous forme de concentré, la spiruline est cultivée un à deux ans dans un milieu de culture composé deau courante, de bicarbonate de soude, de sel, dazote, de magnésium, de phosphore et de potassium. Elle nécessite une température supérieure à 20°C pour se développer. Les spirulines sont ensuite récoltées, séchées, concassées, conditionnées et vendues sur lexploitation, par internet, sur les marchés et dans les magasins. Le rendement est environ de 800 g à 1kg/m². Aujourdhui, la Fédération des spiruliniers de France, créée en 2010, estime la production de sa centaine de producteurs à 30 t/an. Cette activité est en fort développement et les techniques et le matériel saméliorent. Néanmoins, les premières difficultés de commercialisation voient le jour face à la concurrence avec des laboratoires qui sapprovisionnent avec des produits importés. Un travail avec la Fnab et lInao est en cours pour établir un cahier des charges bio.
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Agriculture biologique, une approche scientifique
Lagriculture biologique est lart de cultiver les bactéries et les champignons en les nourrissant de matières organiques, pour aboutir à la mise à disposition des plantes de tous les minéraux nécessaires à lobtention de récoltes abondantes et saines. Ce livre décrit et explique le fonctionnement dun monde souterrain, en perpétuel mouvement, où animaux et végétaux, la plupart du temps microscopiques, se côtoient, se dévorent, sempoisonnent, sassocient, se livrent des guerres ethniques ou fratricides pour semparer de la nourriture disponible. Ils rejettent ainsi dans le sol des quantités de substances chimiques de plus en plus fines, des antibiotiques, des enzymes sous le commandement implacable des plantes qui orchestrent ces guerres telluriques pour leur seul bien-être. Ce livre est le résumé des nouvelles pratiques agricoles mises au point par les chercheurs et les agriculteurs pionniers depuis 40 ans. Il se veut pratique. Le lecteur est invité à entrer au cur des écosystèmes pour comprendre pourquoi la « vraie agriculture biologique » est simple. L'ouvrage présente les diverses applications de la biologie du sol à toutes les formes dagriculture : céréaliculture, maraîchage, viticulture, arboriculture, jardinage Dans la 2ème partie, par métier, lauteur montre comment chaque agriculteur peut concrètement améliorer ses pratiques de production et préparer lagriculture de demain.
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Spiruline, une filière paysanne française en développement
Agnès CATHALA, AuteurSi elle est encore confidentielle, la production de spiruline se développe en France. Cette cyanobactérie, qui se présente sous la forme de filaments microscopiques enroulés en spirale, se cultive dans des bassins peu profonds, sous serre, dans une eau saumâtre et alcaline. Elle a aussi besoin de chaleur et de lumière. Cette production a fait son apparition dans les années 90 dans l'Hexagone et compte, en 2018, pas loin de 220 producteurs et porteurs de projet. 161 d'entre eux sont réunis au sein de la Fédération des Spiruliniers de France (FSF). Créée en 2009, celle-ci oeuvre pour le développement de la filière spiruline paysanne française, et porte aussi des actions de recherche-développement et de formation (2900 heures dispensées en 2017). Elle défend de fortes valeurs de solidarité et d'entraide et prône une filière de qualité. A travers la charte de la FSF, les adhérents s'engagent, entre autres, à cultiver leur spiruline sans OGM ni pesticide, sans colorant ni conservateur de synthèse.
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Les vertus insoupçonnées des algues
Sarah JUHASZ, Auteur ; Maria BARDOULAT, Auteur ; Sylvie HAMPIKIAN-LE NIN, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier, consacré aux algues et à leur utilisation par l'homme (alimentation, santé, agriculture...), présente une grande sélection de variétés d'algues présentes sur les côtes françaises et en Europe. Naturopathes, pharmaciens, journalistes spécialisés, passionnés de produits naturels partagent leurs connaissances de ces plantes de la mer aux nombreuses vertus : - Une consommation millénaire ; - Nos nouvelles alliées santé ; - Un ingrédient phare des cosmétiques ; - Microalgues, maxi potentiels ; - Lithothamne : l'engrais bio des débuts ; - Récolte des algues : mode d'emploi ; - Les cuisiner, c'est les adopter !
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Une micro-algue préventive
Marie-Noëlle CHARLES, AuteurUne algue aux propriétés fongicides, identifiée par lentreprise ImmunRise, avait donné de bons résultats en laboratoire contre le mildiou et le botrytis. Testée cette année en conditions réelles sur vignes, elle savère peu efficiente en traitement curatif, mais les essais menés en préventif sont encourageants. Cette micro-algue marine, dite extrait D, appliquée à 0,3 g/l avec des cadences de passage de 10 à 14 jours (8 passages au total), abaisse les densités dattaques par rapport aux témoins non traités (de 5,6 à 0,14 pour le mildiou et de 2,2 à 0,39 pour le botrytis, sur une échelle de 0 à 15). ImmunRise prévoit de déposer un dossier traitement "viti" à lAnses.
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Le point avec Certipaq : Les dernières modifications de la réglementation bio
Gwénaël LEREBOURS, AuteurLe 29 avril 2016, le règlement (UE) n°2016/673 a été validé. Il vient compléter le règlement (CE) n°889/2008 relatif à la production biologique et à l'étiquetage des produits biologiques. Les principales modifications, explicitées dans cet article, portent sur : - les produits phytosanitaires autorisés (annexe II du règlement (CE) n°889/2008 modifiée dans sa présentation, et nouvelles substances actives autorisées) ; - l'élevage (dérogation pour l'introduction d'animaux non bio) ; - la vinification (procédés de vinification autorisés) ; - l'alimentation animale (liste des additifs autorisés modifiée dans sa présentation, et nouvelles autorisations) ; - les denrées alimentaires (liste des additifs et auxiliaires technologiques autorisés modifiée) ; - les algues marines (règles de production étendues à la production de microalgues).
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Règlement d'exécution (UE) 2016/673 de la Commission du 29 avril 2016 modifiant le règlement (CE) n° 889/2008 portant modalités d'application du règlement (CE) n° 834/2007 du Conseil relatif à la production biologique et à l'étiquetage des produits biologiques en ce qui concerne la production biologique, l'étiquetage et les contrôles (Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE)
Le Règlement d'exécution (UE) 2016/673 de la Commission du 29 avril 2016 modifiant le règlement (CE) n° 889/2008 portant modalités d'application du règlement (CE) n° 834/2007 du Conseil relatif à la production biologique et à l'étiquetage des produits biologiques en ce qui concerne la production biologique, l'étiquetage et les contrôles (Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE) est paru au Journal Officiel de l'Union Européenne du 30/04/2016.
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Focus rayon : Algues bio
BIO-LINEAIRES, AuteurLes algues bio prennent place de plus en plus dans les rayons : fraîches, en paillettes, en marinades, mélangées à du sel ou comme additifs. Elles présentent de nombreux atouts, à la fois culinaires, nutritionnels et environnementaux. La production d'algues marines bio destinées à la consommation humaine est autorisée depuis 2010 avec l'entrée en vigueur du règlement bio européen n°710/2009. Un premier article, "Algues bio : une production exigeante...", fait le point sur la règlementation liée à la production des algues marines bio. Seules certaines variétés sont autorisées (8 algues brunes, 11 algues rouges, 2 algues vertes et 3 micro-algues), d'autres étant exclues en raison de leur concentration en métaux lourds ou en iode et selon des critères microbiologiques. Pour les deux types de production - récolte ou culture bio -, les conditions portent principalement sur la qualité de l'eau, la gestion des ressources naturelles et les modes de transformation. Le deuxième article, "Algues bio : bien les valoriser en magasin...", met en évidence les apports nutritionnels des algues marines bio et leurs différents modes de consommation. Les algues sont à la fois riches en iode, en protéines, vitamines, sels minéraux et oligoéléments, et pauvres en lipides. En magasin, elles bénéficieront de préférence d'un emplacement et d'une présentation privilégiés, au rayon frais comme au rayon épicerie. Des conseils sont donnés pour bien informer le consommateur et le guider dans ses choix. Un tableau présente, par type d'algues (laitue de mer, dulse, nori, wakamé, kombu royal, haricots de mer) leurs saveurs, leurs textures et formes...
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La spiruline : De l'aliment ancestral à une aquaculture moderne
Association Spiruline et Progrès, Auteur ; Fédération des Spiruliniers de France, AuteurLa spiruline (Arthrospira platensis) est une des premières formes de vie sur la planète. Apparue il y a environ 3,5 milliards d'années, cette algue microscopique est en réalité une cyanobactérie, grâce à laquelle, par un mécanisme de photosynthèse où le gaz carbonique a été transformé en matière organique et où de l'oxygène a été dégagé, les conditions de l'apparition du vivant sur la terre ont été créées. La spiruline fait partie de l'alimentation traditionnelle depuis des temps ancestraux, par exemple chez les Aztèques, qui la consommaient déjà. Aujourd'hui, ce sont, entre autres, les peuples du nord-est du Tchad qui la récoltent et la font sécher, avant d'en faire des galettes qu'ils intègrent dans leur alimentation. En Occident, elle a été découverte au milieu des années 1960 par un botaniste belge. Sa valeur nutritive est exceptionnelle. Elle renferme, en effet, 5 nutriments essentiels : protéines (65% digestes à 92%), contenant les 20 acides aminés ; Bêta-carotène (précurseur de la vitamine A) ; fer ; vitamine B12 ; acide gammalinoléique. Elle contient encore de nombreux autres éléments, dont la phycocyanine, de couleur bleue, stimulant du système immunitaire. Cette micro-algue manifeste une très grande capacité d'adaptation. Si on l'observe à l'état sauvage dans différents endroits du globe, elle fait aussi aujourd'hui l'objet d'une culture par des "spiruliniers". La spiruline se cultive facilement, se récolte et se prépare très simplement. En France, depuis les années 2000, des fermes artisanales de production de spiruline sont apparues. L'article aborde la question du mode de production de la spiruline : aquaculture de laboratoire, artisanale ou industrielle ? L'article explique les principes de culture et le rendement de l'algue, et ce qu'il en est d'une éventuelle certification bio. Ce super-aliment est précieux pour la santé, car il peut jouer le triple rôle de nourrir, de détoxiquer l'organisme et de stimuler le système immunitaire. Dans le cadre sanitaire, il a déjà permis de réduire des cas de malnutrition aigüe en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud et fait désormais figure de proue dans la lutte contre la malnutrition au plan mondial.
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Méthode agrobiologique Lemaire-Boucher
Jean-François LEMAIRE, AuteurRaoul Lemaire et Jean Boucher font partie des précurseurs de l'agriculture biologique hexagonale. Dans une brochure de 1971, ils proposèrent un « nouveau type d'agriculture », basé sur quatre pratiques : le travail du sol sans retournement ; le compostage de la fumure organique ; les associations de cultures ; l'apport de lithothamne commercialisé par la Société S.V.B Lemaire. Cet article revient sur ces quatre pratiques.