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Documents disponibles dans cette catégorie (425)


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Confiant malgré la conjoncture, Biocoop continue de porter haut ses valeurs
Julien THIVIN, AuteurEn 2021, le marché global de la bio a connu un fléchissement de 4,6 %. Malgré le ralentissement de la croissance de la bio, Biocoop, leader indépendant de la bio, demeure le seul distributeur à progresser en part de marché (+ 2 points), et ce, malgré la baisse, légère, de son chiffre d'affaires (1 %). Confiants, Pierrick De Ronne, président de Biocoop, et Sylvain Ferry, directeur général, partagent leur analyse et leurs objectifs pour 2022.
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Distribution spécialisée bio : l'immobilisme masqué par la crise Covid
ECOZEPT, AuteurCet article présente l'analyse d'Ecozept qui met en lumière les facteurs de décroissance qui ont touché la bio spécialisée allemande à l'été 2021. Avec la hausse des prix à la consommation, la distribution spécialisée fait face à de nombreux défis : ne pas creuser l'écart des prix avec l'offre en conventionnel, fidéliser sa clientèle, se démarquer par ses compétences en conseil et par l'originalité de son offre, le tout face à une concurrence dynamique.
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Dossier : La pertinence d'un rayon "cuisines du monde" en réseau bio
Laura DUPONCHEL, Auteur ; François LABBAYE, Auteur ; Angélique HOULBERT, Auteur ; ET AL., AuteurAvec 646 millions d'euros de chiffre d'affaires en GMS, le rayon des cuisines du monde pourrait bien devenir un relais de croissance pour le réseau spécialisé. Au vu de la demande des consommateurs fidèles du réseau bio, le marché des cuisines du monde a un fort potentiel : en effet, le chiffre daffaires en produits du monde (hors café et thé « classique ») en magasins spécialisés sélève, en 2021, à 67 millions deuros. Au sommaire : - En GMS, la cuisine dailleurs est un vrai marché ici ; - Les cuisines du monde dans le détail ; - En réseau bio, les cuisines du monde sont aussi un marché à fort potentiel ; - Cuisines du monde : ce quen pensent les clients des magasins bio ; - Mise en place d'un rayon : « C'est l'expérience qui prime » ; - Les avantages nutritionnels des cuisines du monde.
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Fruits, légumes, céréales Des pesticides à risque partout !
Elsa ABDOUN, Auteur ; Cécile LELASSEUX, Auteur« Les produits phytosanitaires les plus problématiques pour la santé sont censés être interdits dusage en Europe. Notre étude suggère pourtant quun aliment sur deux, en France, contient des résidus potentiellement dangereux ». Pour arriver à cette conclusion, les auteures ont repris des résultats danalyses faites, en 2019, par les autorités françaises sur plus de 14 000 aliments et qui avaient abouti à la détection de 238 résidus de pesticides. Cette liste de résidus présents dans les aliments a été comparée à deux listes établies en 2021, soit par lANSES, soit par lEurope, de substances à effet potentiel sur les voies hormonales ou cancérigènes, mutagènes ou encore reprotroxiques, montrant que plus de 50 % des denrées végétales non bio analysées contenaient au moins un de ces résidus de pesticides et même plusieurs pour un tiers dentre elles. Les produits bio, du fait du cahier des charges lié à cette production, sont beaucoup moins concernés : 1 aliment végétal bio sur 8 touché, mais dans ce cas pour cause de pollutions accidentelles. Par ailleurs, les substances analysées sont interdites dusage en Europe depuis 2009. Néanmoins, des subtilités dans la législation permettent encore leur présence dans les aliments : des différences danalyses des risques selon les organismes ; des délais importants pour la prise en compte des apports de la recherche ou pour faire de nouvelles évaluations des risques ; des dérogations possibles aux interdictions ou encore des interdictions qui ne sappliquent pas aux produits importés. Bruxelles promet de nets progrès comme la « non-utilisation de pesticides dans lUnion Européenne prévue à lhorizon 2050 ». Si cela savérait, ce serait un vrai bouleversement pour les acteurs agricoles, mais aussi pour les citoyens, sachant quaujourdhui personne néchappe totalement à la contamination par les pesticides, étant donné les niveaux de pollution dans nos environnements.
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Glyphosate : Un risque mal dosé
Elsa ABDOUN, AuteurUn rapport d'évaluation sur les effets du glyphosate a été publié par des agences réglementaires européennes, indiquant qu'« aucune classification de danger cancérogène n'est justifiée pour le glyphosate ». Cette assertion, mise en doute par l'association Générations Futures, présente un enjeu de taille, puisque si elle est validée par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa), elle pourrait amener Bruxelles à renouveler, fin 2022, l'autorisation de cet herbicide en Europe. L'association française Générations Futures, qui lutte contre l'usage des pesticides, a identifié deux problèmes majeurs dans le document européen : 1) l'exclusion de 98 % des études académiques, en particulier celles qui s'intéressent, notamment, aux effets du glyphosate sur les animaux non-mammifères et à ses mécanismes d'action aux niveaux moléculaire et cellulaire ; 2) des données fournies par les industriels, qui ont tout intérêt à présenter des résultats rassurants, ont été jugées fiables, malgré de sérieuses faiblesses méthodologiques dans leurs expérimentations. Cet article fait le point sur les différentes études qui ont été menées sur les effets du glyphosate.
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La mission TOFoo : Développer des analyses pour authentifier les produits bio dont le lait AB Episode 2/2
Hélène DEBETENCOURT, Auteur ; Guillaume NARET, AuteurEn 2020, le projet TOFoo (True Organic Food) est né de la nécessité de réassurer le consommateur sur la conformité des produits biologiques. Pour cela, les équipes des partenaires du projet (dont Biolait) travaillent à développer de meilleurs outils d'analyse des produits biologiques, pour compléter les moyens de contrôle qui étaient, jusqu'ici, limités à la détection des résidus de pesticides ou d'OGM. Les travaux, ciblés sur les végétaux et les produits laitiers, reposent sur la comparaison des produits analysés avec des échantillons de référence, contenus dans une base de données. L'analyse couvrira l'ensemble des critères définis par le cahier des charges de l'agriculture biologique, afin d'authentifier les produits. Les premières techniques d'analyses biochimiques qui permettent d'obtenir un taux de classification correcte des produits en AB ou en conventionnel, à plus de 90 %, sont présentées.
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Lobservatoire des exploitations légumières en 2020 : Un résultat global en progression et une situation financière renforcée
Nasser SEYNI, AuteurAfin de mieux connaître les résultats économiques et financiers des exploitations légumières, le CTIFL, FranceAgriMer, Légumes de France et le CNIPT ont mis en place un observatoire de la production légumière. Cet outil analyse les données comptables de 453 exploitations représentatives de la diversité des systèmes de culture et des bassins de production (20 % de ces exploitations sont en bio). En plus danalyser la santé financière des exploitations légumières, cet observatoire fournit aussi des éléments dinterprétation. Globalement, pour tous les types dexploitations confondus, le résultat courant est positif en 2020, et a largement progressé par rapport à 2019. Les situations économiques sont donc saines, ce qui permet de rémunérer les exploitants, de renforcer la trésorerie, voire dinvestir. La main duvre salariée est le premier poste de dépenses, devant les charges dintrants et de mécanisation. Le sous-échantillon bio a lui aussi enregistré un résultat positif, mais en baisse (- 40 %) comparé à 2019. Ceci sexplique en partie par des charges plus importantes quen conventionnel (elles ont notamment augmenté trois fois plus que les produits). La situation financière des exploitations bio est donc assez fragile.
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Prix du frais emballé bio en GSA et MSB : avantages GSA !
OPTI-MIX, AuteurBio Linéaires publie, en partenariat avec Opti-Mix, le comparatif des prix de produits frais emballés bio disponibles en grande surface alimentaire (GSA) et en magasin spécialisé bio (MSB), pour un panier comprenant viande de boeuf, viande de volaille et fromages. Les prix relevés en GSA sont inférieurs à ceux relevés en magasin bio, avec un écart global entre les deux circuits s'élevant à 19,2 %. Le plus faible écart (87 centimes) se trouve sur le poulet prêt à cuire.
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Dossier : Bio et GMS : un marché toujours performant
BIO-LINEAIRES, Auteur ; ECOZEPT, Auteur ; Juliette FAVRE, AuteurCe dossier, publié par Bio Linéaires en partenariat avec IRI et Ecozept, fait la synthèse de l'évolution, entre 2016 et 2021, de la bio en grande distribution. Une première partie détaille l'évolution du marché et de l'offre bio entre 2016 et 2020 en France, en passant à la loupe les différentes familles de produits, les marques bio, les Marques De Distributeurs (MDD), ainsi que les circuits. Dans la deuxième partie du dossier, IRI fait une analyse sur deux ans, 2019 étant l'année de référence avant la crise, pour faire la lumière sur la légère décroissance des produits bio en GMS entre juin 2020 et juin 2021, en France. IRI propose également ses prédictions pour 2022, en rappelant cependant que, avec l'épidémie de Covid-19, la donne est susceptible de changer avec l'évolution de la crise sanitaire. Pour terminer, la troisième partie du dossier, proposée par Ecozept, est consacrée à la bio dans les GMS et les discounts en Allemagne. Le paysage de cette distribution conventionnelle allemande y est dépeint : alors que les enseignes spécialisées en bio restent en phase de test, l'engagement des enseignes conventionnelles envers les producteurs bio allemands se développe, avec des « superlabels bio » exigeants, et semble ouvrir la voie à un marché bio plus structuré.
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Durabilité et qualité des aliments biologiques
Ursula KRETZSCHMAR, Auteur ; Mirjam SCHLEIFFER, Auteur ; Mike CURRAN, Auteur ; ET AL., Auteur | FRICK (Ackerstrasse 113, Case Postale 219, CH-5070, SUISSE) : FIBL (Institut de recherche de l'agriculture biologique) | 2021
Les attentes des consommateurs à l'égard des produits biologiques sont élevées en matière de qualité : ils doivent être sans résidus de pesticides, goûteux, sains, mais également produits dans des conditions respectueuses de l'environnement et socialement acceptables. Ce dossier, réalisé par le FiBL (Suisse), examine certains aspects de la durabilité et de la qualité et présente les différences entre les aliments biologiques et les aliments conventionnels. La publication passe également en revue les mesures prises par le secteur biologique pour répondre aux attentes élevées en matière de qualité.
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Etude de démarches de durabilité dans le domaine alimentaire : Rapport d'analyse transverse
Christophe ALLIOT, Auteur ; Marion FEIGE-MULLER, Auteur ; Delphine MC ADAMS-MARIN, Auteur ; ET AL., Auteur | LE PRÉ-SAINT-GERVAIS (35/37 Rue Baudin, 93 310, FRANCE) : WWF FRANCE | 2021Depuis plusieurs années, les démarches de durabilité alimentaire se sont multipliées : labels, certifications, marques privées, démarches de progrès... Si cette multiplication a pu générer un manque de lisibilité pour les consommateurs, elle a également amené les pouvoirs publics à mettre en place des politiques de soutien favorisant certaines de ces démarches. Forts du constat qu'il nexiste pas, à lheure actuelle, détude analysant de façon systémique les impacts sociaux, économiques et environnementaux engendrés par les différentes démarches de durabilité alimentaire, les auteurs ont souhaité répondre à ce besoin, afin d'éclairer les consommateurs et les décideurs politiques. A partir d'une grille de durabilité comportant 14 problématiques (7 associées aux limites écologiques de la planète et 7 associées aux droits fondamentaux des personnes), 11 démarches françaises de durabilité alimentaire ont été étudiées : Agriculture biologique, Bio Equitable en France, Demeter, Nature & Progrès, Agri Confiance, Zéro Résidu de Pesticides, Haute Valeur Environnementale, Bleu-Blanc-Cur (filière bovine et filière porc-volaille), Appellation dOrigine Protégée (filière Comté et Cantal), Label Rouge (filière volaille de chair et filière porcine), Cest qui le Patron ? (filière lait liquide et filière jus de pomme). Pour chacune de ces démarches, les impacts environnementaux et socio-économiques sont analysés. Les auteurs énoncent ensuite des recommandations visant à attirer l'attention des politiques publiques sur des démarches dont les impacts réels ne sont pas à la hauteur des intentions affichées, au vu des résultats de l'étude. L'utilité de disposer d'une grille d'indicateurs et d'analyse de la durabilité des démarches alimentaires est soulignée, tant pour les acteurs à l'origine des démarches alimentaires, pour les acteurs économiques (opérateurs de l'industrie agroalimentaire, de la restauration collective, etc.), que pour les décideurs publics.
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Kit à destination des agriculteurs bio : Comment réduire le risque de contamination à la parcelle ? : Kit n°1
Ce document fournit des outils concrets aux producteur-rices bio pour réduire le risque de contamination de leurs parcelles par les traitements de pesticides du voisinage. Les solutions proposées s'adaptent au type de relations entretenues avec le voisinage. Elles ne sont donc pas les mêmes si le dialogue est possible ou s'il est plutôt difficile. Au sommaire : - Je souhaite trouver des solutions avec mon voisin (échange de parcelles, traitement des bordures avec des produits UAB...) ; - Le dialogue est difficile : Je souhaite dissuader mon voisin et/ou me protéger (connaître la réglementation sur les pesticides, connaître les instances chargées de faire respecter la réglementation...) ; - Haies, filets... des outils pour intercepter la dérive (barrières artificielles, bandes de non-traitement...) ; - Comment réaliser une analyse de résidus ?
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Porcs bio : Des parasites pas très digestes
Guillaume MICHEL, AuteurOn trouve trois parasites majeurs chez les porcins : lascaris, le trichure et le strongle. Ces parasites atteignent le système digestif et nuisent à la croissance des porcs, y compris dans les élevages bio. Connaître le cycle de vie du parasite et évaluer la pression parasitaire grâce à différents outils permettent de mieux définir la stratégie dintervention. Un tableau reprend les avantages et les inconvénients des différents outils de diagnostic. La maîtrise de la pression sanitaire passe, avant tout, par la limitation de lingestion des ufs de parasites par les porcs et, donc, par un nettoyage soigné des cases et des lieux de vie. Par contre, le recours aux désinfectants ne doit pas être systématique. La densité des animaux doit être limitée pour diluer la charge parasitaire et, si possible, il est également judicieux de faire tourner les animaux sur les parcours. Afin de prévenir le parasitisme, lauto-renouvellement est recommandé. Si ce nest pas possible, il est intéressant de connaître létat parasitaire de lélevage de provenance et il faut, dans tous les cas, prévoir une mise en quarantaine ou un déparasitage allopathique systématique des animaux rentrés. Il faut tenir compte du cycle du parasite pour intervenir au bon moment, ainsi que du stade physiologique des porcs, et respecter les posologies. Les médecines naturelles peuvent jouer un rôle préventif mais daprès, Vincent Müller, vétérinaire, elles ne donnent pas de résultats au niveau curatif. On voit que, sur le terrain, lintervention allopathique est souvent nécessaire ; un important travail est donc à mener en termes de recherche pour des alternatives aux antiparasitaires chimiques ou pour des lignées plus rustiques.
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Pour une alimentation saine et durable : Analyse des politiques de l'alimentation en France : Rapport pour l'Assemblée nationale
Julien FOSSE, Auteur ; Peggy FURIC, Auteur ; Cyril GOMEL, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS Cedex 07 (20 Avenue de Ségur, TSA 90725, 75 334, FRANCE) : FRANCE STRATÉGIE | 2021France Stratégie publie un rapport sur les politiques de lalimentation dans leurs composantes économiques, sociales, environnementales et de santé publique, réalisé à la demande de Richard Ferrand, président de lAssemblée nationale. La politique agricole et agroalimentaire fait face à de nouveaux défis : relève de générations chez les agriculteurs, impacts environnementaux des modèles de production, adaptation au changement climatique, amélioration des revenus et diminution de leur irrégularité, transformations à venir de la politique agricole commune vers un meilleur équilibre entre les considérations de production et de productivité, et celles denvironnement. Les instruments mobilisés par les politiques nationales de nutrition et dalimentation napportent que des réponses partielles à ces grands défis. Cependant, une politique de lalimentation peut contribuer à rechercher de nouvelles convergences envers laction à mener pour une alimentation plus saine, et la nécessité de produire les aliments de manière plus respectueuse de lenvironnement. France Stratégie propose, dans ce rapport, ses recommandations.
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Les revenus de lagriculture biologique en Pays de la Loire 2021 (Données 2020)
Cette publication sur les revenus 2020 de 821 fermes bio des Pays de la Loire permet de comparer les résultats des exploitations et daccompagner le montage de projets dinstallation de nouveaux agriculteurs, dans un contexte où le renouvellement des générations est un enjeu majeur, ainsi que des conversions. Ce document montre une grande disparité de résultats pour une même production. Les résultats sont relativement stables sur les 3 dernières années, pourtant marquées par une météo ne respectant pas les normes saisonnières, que ce soit avec les dégâts du gel, ou des excès, puis du manque deau. De plus, lannée 2020 aura été marquée par une envolée de la demande en produits bio durant le printemps, demande qui sest largement tassée en fin dannée.