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L'agriculture énergétique : Une approche énergétique pour les soins du sol et des plantes : ... une vraie révolution agronomique !
À la croisée des approches orientales et occidentales, cet ouvrage plonge dans l'univers des énergies : sons, odeurs, couleurs, yin et yang, doshas (forces dynamiques dans la philosophie ayurvédique) Ces énergies agissent sur leur environnement, et, grâce à elles, il est possible de prendre soin différemment des plantes et des sols, en pratiquant une agriculture basée sur un rééquilibrage des énergies. Éric Petiot donne les clés pour mieux comprendre ce qui nous entoure. Il établit de nombreux diagnostics et donne des solutions (remèdes, astuces et conseils) pour améliorer la qualité de vie d'une plante ou pour lutter de façon naturelle contre les maladies.
La dynamisation
Jean-Luc PETIT, AuteurDepuis le début du vingtième siècle, de nombreux chercheurs et praticiens se sont intéressés à cette méthode qui vise à modifier la nature subtile de l'eau en lui infligeant un mouvement. L'article revient sur les trois grandes catégories de dynamisation : 1) Les vortex. Faire tourbillonner l'eau a été d'abord expérimenté pour la dépolluer, puis les biodynamistes se sont emparés de la technique pour en découvrir les effets bénéfiques sur les plantes, les hommes et les animaux ; 2) L'électrovibration grâce à des électrodes plongées dans l'eau. Selon Marcel Violet, la structure même de l'eau en serait modifiée, puisqu'elle peut prendre cinq états différents. Or, certains états sont plus intéressants que d'autres pour les êtres vivants ; 3) La Dynamisation Marcel Violet. Il s'agit d'une amélioration de la méthode précédente qui vise à simuler les conditions dans lesquelles se trouve l'eau de pluie lors d'un orage, associée à une transmutation d'une partie du métal de l'électrode en énergie. Ce transfert d'un oligo-élément à l'eau pourrait donc résoudre certains problèmes de carence. Quatre méthodes d'analyse bio-énergétique de l'eau sont brièvement décrites.
Récolte et éclaircissage : Des vibreurs toujours plus sensibles
L'ARBORICULTURE FRUITIERE, AuteurLes vibreurs sont de plus en plus utilisés, pour la récolte, mais aussi pour l'éclaircissage. Ils permettent de réduire la main d'uvre, mais peuvent causer des blessures et n'atteignent pas la qualité d'un éclaircissage manuel. De plus, l'utilisation du vibreur pour l'éclaircissage peut réduire le retour à fleurs l'année suivante. Pour pallier ces risques, les constructeurs proposent des vibreurs dont la force et la durée de vibration peuvent être modulées par différents mécanismes. Ils proposent également des systèmes de maintien des arbres permettant de limiter les blessures. Il existe de nombreux modèles, attelés à l'arrière, à l'avant ou automoteurs, pour un coût allant de 14 000 à 120 000 suivant les équipements. Il existe également des systèmes de récolte à associer au vibreur.
Bruit et vibrations lors de la traite
Cette étude, menée par la station de recherche suisse ART, avait pour but d'évaluer l'impact du bruit et des vibrations lors de la traite sur le bien-être animal et humain. Trois modalités ont été comparées aux conditions initiales (70 dBA pour le bruit et 0 m/s² pour les vibrations) : 80 dBA, 0,5 m/s², et une combinaison de ces deux valeurs. Le bruit et les vibrations ont été créés de manière artificielle. Le stress des animaux, évalué grâce à des observations comportementales, n'a pas montré de différence significative entre les modalités. Une étude préalable de Nosal et al. avait montré, quant à elle, une augmentation du stress et du taux de cellules quand le bruit et les vibrations produits par la machine à traire augmentaient. La présente étude permet donc de supposer que les problèmes relevés alors étaient liés à la cause du bruit et des vibrations au niveau de la machine à traire, et non pas au bruit et aux vibrations en eux-mêmes. Concernant les trayeurs, s'ils n'ont pas particulièrement ressenti les vibrations, ils ont trouvé le bruit de 80 dBA particulièrement gênant, et nuisible à leur qualité de travail.