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Elevage de porcs en plein air : Un bien-être animal assuré par des infrastructures adaptées et une gestion maîtrisée
Anna JENNI, Auteur ; Barbara FRÜH, Auteur ; Eva FÜRST, Auteur ; ET AL., Auteur | FRICK (Ackerstrasse 113, Case Postale 219, CH-5070, SUISSE) : FIBL (Institut de recherche de l'agriculture biologique) | 2019En plein air, les porcs sont soit en extérieur toute lannée, soit seulement pendant la période de pâturage. Ce type délevage porcin est peu répandu en Suisse, alors quil peut présenter divers intérêts en AB. Cette fiche technique, rédigée par le FIBL, BioSuisse, KAGfreiland et le Canton de Vaud, reprend les points clés à prendre en compte pour un élevage plein air performant, aussi bien au niveau économique, que par rapport à la charge de travail, la santé des animaux et la protection de lenvironnement. Ainsi, cette fiche revient sur les plus et les moins de ce type délevage ; le choix des parcelles ; les critères à respecter pour les cabanes, les mangeoires et les abreuvoirs ; le nombre danimaux et les besoins de ces derniers en bains de boue et en matière de protection contre les courants dair, le froid, le soleil ; la nécessité davoir des clôtures sécurisées (contre la faune sauvage) ; les races adaptées ; lalimentation ; la gestion de la pâture ; la stratégie de vaccination et de traitement antiparasitaire ; le besoin de surveillance quotidienne ; les exigences règlementaires et de protection de lenvironnement ou encore les coûts de production (coût des infrastructures plus limité mais temps de travail supérieur). La bonne réussite dun élevage de porcs en plein air suppose la prise en compte de ces divers points clés, au travers notamment d'un système bien réfléchi et planifié.
Fiche biodiversité : La féverole
Isabelle MONTIGAUD, AuteurLa féverole est appréciée par les viticulteurs qui souhaitent semer un engrais vert. En étant implantée sur un tiers de la surface dune parcelle, cette légumineuse peut apporter jusquà 30 unités dazote grâce à une bonne activité symbiotique. Ses dates de semis sont assez souples (fin dété à octobre), ce qui permet deffectuer des semis tardifs après les vendanges. Elle présente aussi lavantage de sadapter à de nombreux sols et daméliorer leur structure grâce à sa racine pivot. Toutefois, cette plante couvre peu le sol, cest pourquoi elle est souvent associée à dautres espèces. En agriculture biologique, il faut aussi prendre en compte le coût des semences certifiées bio qui est assez élevé.
Mesure de l'introduction des produits bio en restauration collective : Rapport d'étude : Octobre 2019
Ce baromètre concernant la restauration collective présente les résultats d'une enquête menée auprès de responsables de la restauration en charge du choix et/ou des achats de produits alimentaires pour des entreprises publiques ou privées, des hôpitaux, des cliniques, des maisons de retraite, des établissements pénitentiaires, des écoles, des lycées et des universités. Parmi les résultats, il est à noter que 65 % des établissements de la restauration collective ont introduit des produits bio au cours de l'année 2019. La restauration scolaire est le segment dans lequel le bio est le plus présent (86 % des écoles en achètent) ; dans la restauration du travail, c'est 58 % ; et dans celle de la santé et du social, 38 %. Les produits bio le plus souvent introduits sont les fruits et légumes frais et les produits laitiers. Les chiffres clés sont présentés dans le détail : évolution de l'introduction des produits biologiques dans les différentes catégories d'établissements, dans le temps et selon les régions, facteurs d'introduction, origine des produits, familles de produits, etc.
Mesure de l'introduction des produits bio en restauration commerciale : Rapport d'étude : Octobre 2019
Ce baromètre concernant la restauration commerciale relatif à lannée 2019 présente les résultats d'une enquête réalisée à partir de 1040 entretiens téléphoniques avec des responsables de la restauration, gestionnaires, cuisiniers ou gérants intervenant dans différentes catégories de restauration commerciale en France : restauration traditionnelle, cafétérias et autres libres services, restauration rapide, traiteurs, débits de boissons et hôtels/hébergements similaires. En 2019, 43 % des établissements ont introduit des produits bio dans leurs menus et projettent en majorité d'augmenter cette part à l'horizon 2022. Concernant l'origine des produits bio introduits, 80 % étaient d'origine française. L'approvisionnement en produits locaux est encouragé. La catégorie de produits bio introduite en plus grande quantité est celle des légumes frais, avec des nuances selon les régions. Pour 42 % des établissements n'ayant pas introduit de produits bio dans leurs menus, le principal argument concerne les coûts engendrés.
Des méteils fourrages riches en matières azotées : Est-ce possible ?
Emmeline BEYNET, Auteur ; Anne-Laure VEYSSET, AuteurDepuis deux ans, les Chambres dagriculture de Charente-Maritime et des Deux-Sèvres effectuent des essais en plein champ afin de produire des méteils fourragers riches en MAT (Matières Azotées Totales). Pour cela, sept mélanges ont été testés. Les résultats montrent que la date de récolte est importante pour atteindre 15 % de MAT. Il faut se baser sur le stade des céréales et non sur celui des légumineuses. Les méteils fourrages ont ainsi été récoltés au stade « dernière feuille pointante de la céréale ». Il faut toutefois faire attention au stress hydrique : lors de la première récolte (le 17 avril), les céréales ont montré des signes de stress hydrique suite à la faible pluviosité hivernale, ce qui sest traduit par une MAT plus faible que celle de la deuxième récolte (le 29 avril) qui ne souffrait plus du stress hydrique. Il aurait été préférable de décaler la récolte après la pluie. Quant aux calculs des coûts de production, ils mettent en évidence les coûts élevés des semences certifiées bio (de 132 à 212/ha). Si le méteil est récolté à maturité, il peut servir de semence fermière lannée suivante et cela peut contribuer à faire baisser ces coûts. Le cas du GAEC de Villechaise (Charente) est détaillé en fin darticle. Il produit des méteils grains en bio depuis 30 ans pour nourrir ses bovins lait et viande.
Observatoire 2018 des produits biologiques en restauration hors domicile
Les Français plébiscitent le bio et veulent pouvoir en disposer partout, que ce soit pour consommer chez eux ou hors domicile (restauration collective ou commerciale). Ces attentes sont particulièrement fortes pour la restauration scolaire. Lobservatoire national des produits biologiques en restauration collective suit, depuis 2009, lévolution du marché et les perspectives de développement. En 2018, le marché de la restauration collective a progressé de 28 % par rapport à 2017, et celui de la restauration commerciale de 11 %. Ce document présente les chiffres clés de l'évolution du bio en restauration collective : pourcentage d'établissements ayant introduit des produits bio dans la composition de leurs menus, familles de produits bio les plus représentées, origines des approvisionnements, perception des produits bio en restauration collective, pour les convives et pour le personnel, coût de l'introduction des produits bio pour les établissements.
Observatoire national de la restauration collective bio et durable : Résultats de l'enquête annuelle - Novembre 2019
Un Plus Bio publie les résultats de l'enquête 2019 de l'Observatoire national de la restauration collective bio et durable. 280 collectivités ont répondu au questionnaire de lObservatoire, créé en 2017 par Un Plus Bio, Ecocert et le programme de recherche Lascaux. En tout, les pratiques de 4000 cantines ont été décortiquées, qui représentent les usages de 590 000 convives. Le document présente une cartographie des communes participantes, la description de l'échantillon (taille de la commune, type de gestion, etc.). Parmi les principaux enseignements à retenir cette année : Manger bio à coûts constants, cest possible à condition de faire évoluer les pratiques. En 2019, un repas à 25 % de bio coûte 1,87 de denrées alimentaires ; L'approvisionnement local se fait plus facilement lorsque les collectivités réussissent à mobiliser leurs équipes pour travailler des produits bruts et de saison ; Manger bio et local à la cantine peut permettre à une collectivité d'agir sur l'aménagement et le développement de son territoire.
Occitanie : Le chant des vignes
Maude LE CORRE, AuteurPour éviter la mortalité de leurs pieds de vigne, six producteurs de Chasselas de Moissac (AOP) testent la génodique. Julien Custody est lun deux. Il perd 2 à 3 % de pieds par an à cause de différentes maladies (Esca, Eutypiose et Black-dead-arm), et estime sa perte de production directe à 3000 /an. Pour lutter contre ces maladies fongiques, ce groupe de producteurs sest équipé de boîtiers pour diffuser huit minutes de musique matin et soir (cest-à-dire les moments où le vent est le plus faible), de mai à septembre. La musique est en effet un moyen de transport pour les ondes vibratoires, qui peuvent stimuler ou inhiber la synthèse de protéines en lien avec le stress de la plante. Ici, lobjectif est de stimuler la synthèse de la protéine qui intervient dans la composition de la lignine afin de renforcer les pieds de vigne. Les taux de mortalité des pieds seront comptabilisés durant trois ans et comparés à ceux des années précédentes. Cette démarche est soutenue par lAOP qui a aidé les producteurs volontaires à hauteur de 30 %. Au total, pour la pose des boîtiers et la formation nécessaire à leur utilisation, ces producteurs ont payé, à six, 18 000 .
Le Point sur Les gels de printemps
Juliette DÉMARET, AuteurIl existe plusieurs moyens pour prévenir et limiter leffet des gels printaniers dans les vergers. De manière préventive, il est conseillé de limiter la hauteur dherbe, de favoriser laération et de soutenir le matériel végétal à partir des premiers boutons jusquau stade nouaison. Pour cela, des apports dengrais foliaires à base dalgues (riches en acides aminés) peuvent être réalisés. Il existe plusieurs formes de gel : gel de rayonnement nocturne (aussi appelé gelée blanche), gel dadvection et gel dévaporation. Leurs caractéristiques sont plus amplement détaillées dans larticle. Il faut savoir que les différents moyens de lutte active seront plus ou moins adaptés et efficaces selon le type de gel. Ces moyens de lutte sont aussi décrits dans larticle : techniques daspersion (aspersion sur frondaison classique, aspersion sur frondaison par micro-aspersion, aspersion sous frondaison), protection par chauffage (bougies de paraffine, bûches calorifiques, Frostbuster, Frostguard) et brassage dair (tour à vent). A chaque fois, leur fonctionnement, leurs conditions optimales dutilisation et leur coût sont détaillés. En fin darticle, un arbre décisionnel aide à choisir le système anti-gel le plus approprié en fonction des caractéristiques du verger et du type de gel.
Pourquoi/Comment : Valoriser les déchets verts à la ferme
Cette brochure explique pourquoi et comment utiliser les déchets verts pour améliorer la fertilité de ses sols. Les déchets verts sont en effet une excellente source de matière organique, notamment en zone méditerranéenne où il est difficile de se procurer des effluents délevage et où les sols sont fragilisés. Après avoir effectué quelques rappels sur limportance de la matière organique dans les sols, cette brochure explique comment créer un partenariat (entre une collectivité et un agriculteur) pour sapprovisionner en déchets verts, et liste les avantages pour les deux parties. Les différentes étapes de transformation des déchets verts pour obtenir du compost ou pouvoir sen servir comme paillage sont tout dabord présentées. Quelques points réglementaires sont également précisés. Des expériences concrètes sont ensuite retranscrites à laide dune série de témoignages. Le premier est celui dune collectivité territoriale, le SMEPE (Syndicat Mixte Entre Pic et Étang), qui regroupe 88 communes et 34 déchetteries dans lHérault et le Gard. Elle explique ce qui la poussée à mettre en place un tel partenariat, la démarche qui a été mise en uvre, les coûts, les avantages et inconvénients, ainsi que les facteurs de réussite. Huit interviews dagriculteurs sont aussi présentées. Ils sont tous basés dans le Sud de la France, et ont des productions variées : maraîchage, arboriculture, viticulture, grandes cultures, prairies. Trois dentre eux sont en bio. Ils expliquent les impacts quils ont constatés sur leurs sols, sur leurs cultures, sur leur organisation de travail et sur leurs coûts de production.
Provence-Alpes-Côte dAzur : Cantines bio sans surcoût
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurDans les Alpes-Maritimes, les cantines de Mouans-Sartoux (10 000 habitants) servent des repas 100 % bio depuis 2012, ce qui représente aujourd'hui 150 000 repas par an. La volonté de sorienter vers une alimentation bio, de qualité et durable a émergé dans les années 90. 85 % des légumes viennent de la régie municipale agricole, soit 25 tonnes de légumes produites par trois agriculteurs salariés (la mairie avait préempté sur 6 ha au nord de la ville pour lutter contre la pression foncière). Le pain est fabriqué par un boulanger du village, le miel est produit par des apiculteurs du département et les autres produits proviennent de grossistes (principalement Naturdis). Ainsi, 70 % de la totalité des achats sont régionaux. Le passage au 100 % bio sest effectué sur quatre ans et les coûts matière restent maîtrisés, avec 2,04 /repas. Cette maîtrise est surtout rendue possible par une réduction de 80 % du gaspillage alimentaire : pesée quotidienne des restes, ajustement des quantités adéquates à cuisiner, individualisation des portions (par exemple, les fruits sont servis par quartiers et aucun gramme nest jeté). Le passage au bio na pas nécessité dinvestissements spécifiques. Toutefois, pour aller plus loin, la municipalité sest dotée de nouveaux fours (pour cuire plus vite et laisser plus de temps à lépluchage) et de matériel de surgélation (pour surgeler le surplus de production).
Qui sont les mangeurs bio ? Episode 2
Gaëlle RUBEILLON, Auteur ; Sandrine COSTANTINO, Auteur | MONTREUIL (10 Rue Beaumarchais, 93 100, FRANCE) : BIO CONSOM'ACTEURS | 2019Dans ce second épisode de la web bande-dessinée de létude BioNutriNet, léquipe de recherche a étudié de plus près les comportements alimentaires pour chercher à mesurer les effets d'une alimentation bio sur lenvironnement et la santé. Léquipe sest appuyée sur 30 000 volontaires, issus de la cohorte des 70 000 volontaires de l'étude Nutrinet-Santé. Données techniques à lappui, cet épisode aborde les questions de surpoids et dobésité, de gaz à effet de serre, de pesticides, ou encore de risque de cancer
Recueil de pratiques : Témoignages, les paysans sadressent aux paysans Sadapter aux changements et aléas climatiques
Valérian LEBON, Auteur ; Niels BIZE, Auteur | CESSON-SEVIGNÉ (FRAB, 12 Avenue des Peupliers, 35 510, FRANCE) : RÉSEAU GAB-FRAB BRETAGNE | 2019Face aux aléas climatiques de plus en plus fréquents, les agriculteurs sont dans lobligation dadapter leur système et leurs pratiques. Ce recueil a été réalisé dans le cadre du projet Cap Climat (Comment sAdaptent les Producteurs au Climat), initié en 2018 sous limpulsion du réseau GAB-FRAB Bretagne, en partenariat avec le Groupe Rocher. Les producteurs enquêtés dans le cadre de ce projet, bio et non bio, sont des éleveurs de bovins, en système allaitant ou laitier, répartis sur la zone géographique de létude CAP Climat (cest-à-dire les territoires de Redon Agglomération ou de lOust à Brocéliande Communauté). Ce document commence par présenter les évolutions du climat et citer les différents risques que ces changements peuvent provoquer selon les éleveurs. Il synthétise également le travail réalisé par ces éleveurs lors de travaux de groupe : ils ont évalué la faisabilité dune dizaine de pratiques pour sadapter au changement climatique (haies fourragères, pâturage tournant, chargement adapté ) à laide de différents indicateurs. Ce document rappelle également les différents outils de diagnostic disponibles, ainsi que les différents programmes de recherche en lien avec cette problématique. Enfin, il rapporte les témoignages des huit éleveurs bio : Pascal Capihan et Nathalie Chamaillard ont implanté des haies pour limiter le ruissellement, faire de lombre pour les vaches et leur donner du fourrage ; Benoît Colleaux et Maxime Quesnel ont revu leur manière de gérer les stocks fourragers en fonction de la qualité de ces derniers ; Sébastien Baron a adapté ses cultures à son terroir en implantant du maïs population ; Jean-Marc Braud a installé un système dabreuvement en salle de traite ; Cyrille Tatard a opté pour des animaux rustiques (vaches Nantaises) ; Jean-Yves Davalo, qui est en système tout herbe, a, quant à lui, optimisé sa gestion du pâturage.
Réglementation : Bilan des contrôles bio
BIO-LINEAIRES, AuteurCebio est l'association qui réunit les principaux organismes de contrôle agréés par l'INAO pour effectuer des contrôles et de la certification liés au règlement bio. En 2017, elle comptait, parmi ses membres, 8 organismes : Alpes Contrôles, Biotek, Bureau Veritas, Certipaq Bio, Certisud, Certis, Ecocert, Eurofins et Qualisud. En 2017, 97, 2 % des opérateurs de la filière bio française contrôlés étaient membres de Cebio. L'article fournit les chiffres clés des contrôles effectués en 2017 : nombre d'inspections, d'analyses, cas de non-conformités relevés, coûts des contrôles, etc.
Robots en cuma, c'est possible !
Emmanuelle BORON, Auteur ; Raphaëlle POISSONNET, Auteur ; Pierre CRIADO, AuteurDans la Drôme, la cuma des Marais est la première en France à sêtre dotée dun robot de désherbage (robot Oz de chez Naïo ). Cette cuma a été initiée en 2017 et compte neuf adhérents (maraîchers, arboriculteurs et grandes cultures semencières). 90 % dentre eux sont en agriculture biologique où le désherbage est une étape cruciale et chronophage. Ces producteurs ont fait le choix dinvestir dans le robot Naïo pour diminuer la pénibilité du travail et pouvoir se consacrer à dautres tâches. Naïo désherbe mécaniquement et de manière autonome un hectare en huit heures (son autonomie est de dix heures). Il peut aussi embarquer dautres outils (broyeur, herse étrille, cultivateur ) et travailler la nuit (sauf pour le désherbage puisquil a besoin de détecter les nuances de vert). Son utilisation implique toutefois quelques contraintes : un terrain plat, non motteux, sans enherbement, portant et un inter-rang de 65 ou 120 cm. Pour lacquérir, la cuma des Marais a investi 23 000 , dont 30 à 40 % devraient être subventionnés. Son utilisation est facturée à lheure aux adhérents, sur la base dun forfait de 100 heures. Par ailleurs, le Forum international de la robotique agricole sest tenu en décembre 2018, à Toulouse. La question de la cible des innovations y a été abordée et les constructeurs ont confirmé que les cuma font partie de la réponse.