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La valorisation de la viande bio locale dans les différents circuits de distribution
Le projet BioViandes, qui a pour objectif de contribuer au développement de filières durables de viandes biologiques de ruminants sur le Massif Central, sest intéressé à la question de la valorisation des viandes bio locales dans différents circuits de distribution. Pour cela, des enquêtes qualitatives ont été menées en 2022 auprès dopérateurs basés dans le Massif Central. Des premières enquêtes ont été réalisées par un groupe détudiants de la MFR (Maison familiale rurale) d'Anneyron auprès de cinq magasins bio, trois boucheries, deux restaurants, deux GMS (grandes et moyennes surfaces) et une plateforme de distribution multi-produits. Lobjectif était didentifier les stratégies de commercialisation de la viande bio par ces distributeurs, la place des circuits-courts au sein de ces stratégies, ainsi que les attentes des consommateurs vis-à-vis de la viande bio. Une seconde série denquêtes a été réalisée par une élève ingénieure de lENSAIA (École d'ingénieurs de Nancy) auprès dune douzaine dopérateurs de la restauration hors domicile (RHD) et déleveurs bio. Lobjectif était alors didentifier leurs attentes respectives, ainsi que les besoins et les contraintes spécifiques à ce circuit commercial (RHD). Globalement, les résultats montrent quen magasin bio, la présence dun rayon traditionnel stimule les ventes de viande bio ; tandis que dans les GMS, la viande bio nest souvent disponible quemballée en libre-service (pas en rayon traditionnel), et un approvisionnement local ne semble pas forcément être une priorité pour les GMS. Les boucheries visent, quant à elles, une viande locale de bonne qualité organoleptique, et le bio est un plus pour les convaincus. En restauration collective, le surcoût lié à lachat de viande bio reste le premier frein à son introduction régulière dans les menus. Pour ce circuit de commercialisation, il faut tenir compte de la triple contrainte prix loi logistique.
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Bio PGC FLS : les GMS accélèrent en ce début d'année
BIO-LINEAIRES, AuteurLes ventes bio pèsent 3,9 % du chiffre d'affaires des produits de grande consommation et du frais libre-service (PGC FLS) des grandes surfaces à fin février 2018 (3,2 % en début d'année 2017). Fin février 2018, la croissance du bio s'établissait à + 23,3 % (contre 21,9 % à fin février 2017), pour un chiffre d'affaires de 622 millions. Le drive et les Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP) enregistraient les plus fortes croissances sur ces deux premiers mois pour le bio PGC FLS. Une croissance record du bio est à noter dans les rayons entretien.
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Le Bio PGC-FLS (Produits de Grande Consommation - Frais Libre-Service) en GSA (Grande Surface Alimentaire) : une forte croissance soutenue par une offre encore plus importante...
BIO-LINEAIRES, AuteurSur les 4 premiers mois de 2018, alors que le chiffre d'affaires des produits de grande consommation et du frais libre-service (PGC-FLS) a stagné à + 0,3 %, la part de marché du bio a poursuivi sa croissance dans tous les formats de la Grande Surface Alimentaire (GSA) pour atteindre 4 % du chiffre daffaires.
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Premier semestre en GMS : + 23,5 % en valeur pour le bio PGC FLS
BIO-LINEAIRES, AuteurAu premier semestre 2018, les PGC FLS bio (Produits de Grande Consommation - Frais Libre-Service) ont connu une augmentation en valeur, portés par un développement de l'offre. Sur une carte de France, sont renseignées les zones où le chiffre d'affaires du bio est le plus important par rapport au chiffre d'affaires régional, ainsi que le cumul des surfaces des magasins bio par département.
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Dossier : Produits de grande consommation : Analyse des ventes : pourquoi les 40 % des volumes LS ?
BIO-LINEAIRES, AuteurLes produits en libre-service représentent 40 % des unités de vente consommateurs en magasin bio. Les produits concernés sont des "moteurs" des points de vente bio. Ils représentent en effet 1/4 du chiffre d'affaires. Ce dossier est consacré à ces produits "de grande consommation" en magasins spécialisés bio (uniquement les produits à code barre et hors fruits et légumes, vrac et activité service arrière). Il analyse les ventes (évolution mensuelle du chiffre d'affaires, etc.) de certains produits au cours de l'année 2016 : - Ultrafrais : un rayon toujours en croissance... ; - Épicerie sucrée : La plus grande... ; - Épicerie salée : forte volatilité des rotations... ; - Liquide : la plus fluide... ; - ufs et laits ; - Boisson végétale et desserts végétaux ; - Chocolat tablette et huiles ; - Rupture : comportement irrationnel... (cas particulier du beurre, en rupture en 2016, et dont les ventes ont cependant été très importantes) ; - Eau et jus de fruit. Le dossier s'intéresse ensuite au point de vue des consommateurs bio quant à leur appréciation des principaux réseaux de distribution de produits alimentaires bio (magasins bio, marchés, vente directe et GMS) : - Un réseau bio en pleine santé, mais... la concurrence des grandes surfaces est là !
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Réussir une activité de cueillette en libre-service
Marion VANDENBULCKE, AuteurLa libre cueillette, ou cueillette en libre-service, est un concept qui propose au consommateur de venir cueillir ou ramasser, seul ou en famille, légumes et fleurs directement dans les champs. Pour réussir une telle activité, à cheval entre production et accueil pédagogique à la ferme, des facteurs de réussite et des points de vigilance sont à prendre en compte dans la stratégie de l'exploitation. Des conseils sont proposés en ce sens, concernant la surface à dédier à l'activité libre cueillette, l'organisation du travail, l'accueil sur l'exploitation, la gestion de la production destinée aux visiteurs, des besoins en main-duvre, etc.
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Nouvel étiquetage des viandes au rayon libre-service
BIO-LINEAIRES, AuteurCet été, la DGCCRF a donné son accord pour un nouvel étiquetage qui faciliterait la compréhension des morceaux de viande par les consommateurs. Ces derniers, notamment ceux âgés de moins de 40 ans, connaissent peu les morceaux et les modes de cuisson de la viande. Il comportera trois informations : nom ou type de morceau ; potentiel de qualité, gradué avec des étoiles ; mode de cuisson. L'interprofession Interbev met à disposition pour les professionnels des outils techniques sur son site Internet.
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Rayon fruits et légumes bio : le bon pancartage (partie 2)
BIO-LINEAIRES, AuteurLes légumes frais non transformés sont soumis à une norme spécifique quant aux pancartes indicatives. Le Ctifl donne ici les indications légales obligatoires ou facultatives selon les catégories de marchandises avec les exemples suivants : banane, pomme, fruits à compote, pomme de terre, salade, fruits et légumes vendus à la pièce.
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La campagne en libre-service
Axel PUIG, AuteurDe nouveaux modes de distribution voient le jour à la campagne. Au cur du village de Montolieu (Aude), Emile Paulou, jeune maraîcher de la commune, a installé un distributeur automatique de légumes bio frigorifié. Les citoyens de Frayssac et Senouillac, dans le Tarn, récupèrent, dans une boîte à pain installée sur la place du village, des flûtes confectionnées par Damien Petit, boulanger à Gaillac. Cependant, le libre-service pose la question du lien social...
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Dossier : Pain bio : un marché à reconquérir pour le magasin
BIO-LINEAIRES, AuteurEn 2011, plus de 50 % des préparateurs bio avaient pour activité principale la fabrication de produits de boulangerie-pâtisserie, pour seulement 9 % de part de marché (farine et pain). Cette part de marché diminue sans cesse depuis 2008. En effet, elle est passée de 13 % à 9 % et de plus, le secteur a connu une baisse d'activité de 3,72 % entre 2010 et 2011. Dans les magasins bio, le rayon pain est de moins en moins représentatif et parfois un peu délaissé. Quelques conseils sont apportés pour développer, en magasin bio, les ventes de pain frais bio. Au sommaire du dossier : Pain bio : un marché à reconquérir ; L'importance des matières premières ; Des gammes riches et adaptées au magasin ; Des solutions pour dynamiser le rayon ; Les pains : dix questions-réponses ; Enquête exclusive.
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Etude Viande : La viande bio dans les magasins bio en France ; Observatoire des viandes bio 2012 : + 6 % pour la viande bio
BIO-LINEAIRES, AuteurPour sa nouvelle enquête auprès des magasins bio en France, le cabinet franco-allemand Ecozept a interviewé, en Avril-Mai 2013, un échantillon représentatif de 115 magasins en France métropolitaine. Au cur des entretiens : la présence des produits carnés dans les magasins bio en France. L'intérêt a été de comprendre le rôle que jouent les produits carnés en magasin bio aujourd'hui, et de démontrer leur potentiel. Principaux résultats de l'étude : trois quarts des magasins bio proposent des produits carnés ; La volaille en tête de la présence en magasin ; Le libre-service en grande majorité, mais une tendance vers le rayon « boucherie traditionnelle » ; La qualité et l'origine au centre des préoccupations ; Un poids dans le chiffre d'affaires encore faible, mais à tendance positive ; « Tendre d'Oc » - une nouvelle marque pour la viande bovine bio du Languedoc-Roussillon ! Par ailleurs, selon Interbev, avec un peu plus de 24 500 tonnes (bovins, ovins, porcins) et + 6 % de croissance en 2012, la filière viande bio continue sa progression et démontre de nouveau l'intérêt du consommateur pour la viande bio. Ce résultat reflète le dynamisme de la filière mais aussi des réalités diverses : Abattage : un bilan nuancé selon les espèces (Filières gros bovins, veau, ovine, porcine) ; Répartition du tonnage en fonction des circuits de distribution ; Tous les secteurs confirment leur développement ; Des formations adaptées au rayon viande.
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Le foin : vos fourrages dans tous leurs états
Bruno GIBOUDEAU, AuteurCet article du docteur Bruno Giboudeau, vétérinaire et concepteur de la méthode Obsalim® avec le GIE Zone Verte, fait suite à un article précédent de la Voix Biolactée (n°68) sur la qualité du foin, les techniques de fauche, l'intégration du foin dans la ration. Il présente quelques éléments permettant l'analyse du fourrage par l'éleveur mais aussi par les animaux utilisateurs, ces analyses étant essentiellement sensorielles : vue, odeur, toucher, goût. Celles-ci permettent en effet de compléter la réflexion de base permise par les laboratoires de chimie classique ou l'Analyse de Dynamique de Digestion. Des éléments d'interprétation sont présentés et l'auteur apporte quelques solutions pour renforcer ou limiter l'impact des odeurs ou du goût d'un fourrage sur sa consommation. Enfin, Bruno Giboudeau donne quelques éléments sur les différents modes d'alimentation du troupeau (pâture, râtelier, libre-service ) et leurs impacts sur la consommation des fourrages concernés.
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Nutrition et santé veut démocratiser le traiteur bio
Benoît MERLAUD, AuteurLes équipes de Nutrition et Santé, après avoir bien installé leur marque Céréal Bio en épicerie, se sont attaquées au rayon traiteur. Selon Laure Gauthier, chef de produits bio pour le frais, "La part de marché du bio au rayon traiteur n'est que de 1,3 % contre 3,1 % sur l'ensemble du frais Libre Service (LS) ". En s'installant au rayon frais, l'industriel a l'ambition de recruter de nouveaux consommateurs plus occasionnels, "néo-bio" ou simplement soucieux de manger plus sain. En 2012, il a mis sur le marché une gamme de plats au tofu en box et a également lancé des falafels. Une gamme complète de produits à poêler ou à frire, sur un principe proche du finger food, est en préparation, précise Patrice Vecchioli, responsable du développement enseignes pour le frais chez Nutrition et Santé.
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Charcuterie : Rayon charcuterie bio LS : des marges de progression !
BIO-LINEAIRES, AuteurAvec seulement 2 % des ventes totales des produits biologiques en 2010, tous secteurs confondus, la charcuterie bio connaît cependant une évolution importante depuis plusieurs années (+ 29 % en 2010). Elle est commercialisée en majorité dans la grande distribution. En magasin bio, elle commence à faire son apparition au rayon traiteur. Toutefois, la vente en libre service prédomine. L'article revient sur plusieurs aspects : - Etat des lieux ; - Evolution des ventes de la charcuterie-salaison depuis 2005 ; - La production : nettes améliorations ; - Une transformation très hétérogène ; - Répartition du CA par famille ; - Conseils pour optimiser le rayon libre service (LS) charcuterie ; - Exemple d'implantation du rayon LS ; - Exigences de l'élevage bio porcin : des surcoûts incompressibles.