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12 ans d'essais à Thorigné d'Anjou : La flore variée sied aux prairies ; Comment gérer les rumex dans les prairies ? : "On s'attaque à un géant" ; Gaec Perrault, dans le Maine-et-Loire : 27 ans d'expérience en prairies multi-espèces (Dossier : Optimiser les prairies)
Jean-Martial POUPEAU, AuteurDans le cadre d'un dossier « Optimiser les prairies », l'auteur a réalisé trois articles sur les prairies temporaires multi-espèces, encore dites à flore variée, et sur la gestion du rumex dans les prairies en AB. Les deux articles sur les prairies à flore variée présentent, l'un, l'expérience de 12 ans dans ce domaine de la ferme expérimentale de Thorigné d'Anjou, et l'autre, le témoignage d'un GAEC situé aussi en Maine-et-Loire, en cours de conversion, mais « utilisateur » de ce type de prairies depuis 27 ans. Ces articles, tout en présentant les principaux avantages de ces prairies (adaptation aux aléas climatiques, rendement important en fourrage, meilleure ingestibilité, bonne valeur nutritive ) donnent aussi des exemples de mélanges de fauche et/ou de pâture. L'article sur le rumex propose des axes d'intervention pour lutter contre cette plante très difficile à contrôler. Trois modes d'intervention sont possibles à ce jour : le maintien d'un gazon dense et ferme, le pâturage précoce et le désherbage mécanique. La lutte biologique reste peu satisfaisante.
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Un 18 juin de résistance aux OGM
Comment faire respecter le principe de précaution, les arguments scientifiques et la parole citoyenne, face à l'appétit de profit des firmes agrochimiques ? Le 18 juin, sur une cinquantaine de sites dans 17 régions, était organisée une journée d'information et de résistance aux OGM. Cet article décrit plus particulièrement l'action du groupe qui s'est rendu dans la commune de Nonette (Puy de Dôme), pour y repérer la parcelle d'essai de maïs transgénique produisant de la lipase gastrique. Il retrace aussi brièvement l'historique des fauchages précédents, et des procès et jugements qui ont suivi (et annonce les suivants).
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1ères Rencontres des Grandes Cultures Bio - 24 novembre 2016 - Paris : Recueil de communications
Pascal GURY, Auteur ; Florent GUHL, Auteur ; Laurent BEDOUSSAC, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut Technique de l'Agriculture Biologique) | 2016Les 1ères Rencontres des Grandes Cultures Bio, organisées par l'ITAB, ARVALIS - Institut du Végétal et Terres Inovia, ont eu lieu le 24 novembre 2016, à Paris. Au sommaire de ce Recueil de communications : INTRODUCTION : - Le développement des grandes cultures bio : pour quels marchés ? ; - Les produits de grandes cultures biologiques au cur de la consommation alimentaire biologique. ASSOCIATIONS CÉRÉALES-LÉGUMINEUSES : - Performances et fonctionnement des associations céréales-légumineuses ; Quand chercheurs, coopérative et agriculteurs travaillent ensemble pour améliorer la production de la lentille par le biais des associations ; - Principes techniques pour conduire une association céréales-protéagineux ; - Association d'espèces : retour d'expérience de la CORAB, coopérative biologique. SOJA POUR L'ALIMENTATION HUMAINE ET ANIMALE : - Atouts et contraintes de la production de soja biologique en France ; - Transformer du soja biologique : les attentes d'un Fabricant d'Aliments du Bétail (FAB) ; - Transformer du soja biologique pour l'alimentation humaine : témoignage d'un acteur français. BLÉS PANIFIABLES : - Produire du blé bio pour répondre à la demande en pain bio : les attentes d'un meunier ; - Impact de l'insertion de légumineuses dans les systèmes de culture et de la fertilisation organique sur le couple rendement-teneur en protéines du grain de blé en AB ; - Analyse de la qualité des variétés de blé cultivées en AB ; - Du producteur au consommateur pour développer une filière de pain bio locale : l'exemple de la Provence. Les diaporamas de ces interventions sont en ligne à l'adresse : http://www.itab.asso.fr/publications/colloque-gc2016.php.
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1ers Résultats de la campagne 2008-2009 : Variétés céréales à pailles et protéagineux : Août 2009
Ce document présente les premiers résultats de la campagne d'essais 2008-2009 sur diverses variétés de blés tendres et durs, d'orges, de triticales, de pois protéagineux et de féveroles, menée par le CREAB en région Midi-Pyrénées. Cette campagne se caractérise par des évènements climatiques défavorables aux cultures d'hiver (automne et hiver plus froids que la moyenne avec des précipitations marquées et un printemps plutôt chaud). Ceci a eu divers effets négatifs : semis fortement décalés, retard de croissance, faible disponibilité d'azote et des adventices favorisées. Globalement, aussi bien pour les blés tendres que durs, les rendements sont faibles. Sur les parcelles fertilisées, l'engrais a été bien valorisé. Parmi les blés tendres, la variété RENAN s'est distinguée favorablement. Parmi les blés durs, la variété DAKTER a confirmé son intérêt. Les orges testées ont eu un rendement (notamment en terme de densité épi) plus important que pour les blés. Mais elles ont fortement souffert de la carence azotée. Les triticales ont eu un comportement plus proche de celui des blés. Pour ce qui est des pois protéagineux, les essais ont été fortement pénalisés par la météorologie. Les résultats disponibles ne concernent donc que les essais semés en février et se caractérisent par un rendement très faible. Le rendement a aussi été très faible pour les féveroles. Des résultats complémentaires seront publiés ultérieurement.
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25 ans de lutte par confusion contre le carpocapse Cydia pomonella dans un verger à Allaman
La lutte par confusion contre le carpocapse Cydia pomonella a été appliquée au moyen de différents types de diffuseurs de 1982 à 2006, dans un verger de pommiers de 6 ha à Allaman. Durant ces 25 années, presque tous les traitements insecticides après la floraison ont pu être évités. Les résultats obtenus ont relativement peu varié selon les types de diffuseurs expérimentaux testés et la charge de phéromone appliquée par ha. La gamme des diffuseurs Isomate, actuellement homologuée, donne de très bons résultats pour autant que les recommandations d'application de la technique de confusion soient scrupuleusement respectées. Lorsque les conditions sont extrêmement favorables au carpocapse, comme ce fut le cas en 2003, la lutte par confusion, comme la lutte classique d'ailleurs, ne peut empêcher une recrudescence des populations. Cet article relate également brièvement les moyens engagés pour lutter contre d'autres ravageurs, tels que la tordeuse de la pelure Adoxophyes orana, les noctuelles et arpenteuses, la petite tordeuse des fruits Grapholita lobarzewskii et les acariens phytophages.
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9 vitrines variétés de maïs testées en conditions biologiques
Marjorie TROUSSARD, AuteurDifférentes variétés de maïs bio ont été testées en Vendée en 2013. Les résultats sont détaillés dans cet article. Différents indicateurs sont notés : indice de précocité, vigueur de départ, port des feuilles, rendement
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Les abeilles désorientées par une faible dose d'insecticide
INRA, Auteur ; ACTA, Auteur ; ITSAP - Institut de l'Abeille, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS Cedex 07 (147 Rue de l'Université, 75 338, FRANCE) : INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) | 2012Ce communiqué de presse rapporte les travaux d'une équipe de chercheurs de différents organismes qui a pu mettre en évidence l'incidence d'une molécule insecticide, le thiaméthoxam, sur les populations d'abeilles. 650 abeilles ont été équipées de micropuces RFID permettant de suivre leurs trajets. La moitié de ces abeilles a été nourrie avec une solution contenant une faible dose de l'insecticide en question. Les résultats ont montré que cette faible dose d'insecticide perturberait l'orientation des abeilles et leur capacité à retrouver leur ruche, entraînant une augmentation de leur taux de mortalité (2 à 3 fois supérieure à la normale dans le cadre de cette étude). Ainsi, la population d'une colonie pourrait diminuer de moitié pendant la période de floraison, période pendant laquelle l'effectif atteint normalement son maximum. De plus, cette déstabilisation du développement normal de la ruche la rendrait plus vulnérable à d'autres facteurs d'agression mis en cause dans la disparition des abeilles (pathogènes ). D'autres essais en grandeur réelle devraient être menés.
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Accroître la diversité spécifique des prairies en élevage bovin laitier permet de valoriser plus d'herbe et de produire plus de lait par hectare
R. DELAGARDE, Auteur ; Ana-Isabel ROCA FERNANDEZ, Auteur ; L. DELABY, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Secrétariat 3R - MNE, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : RENCONTRES RECHERCHES RUMINANTS | 2014Ce texte est issu des Journées 3R (Rencontres Recherches Ruminants) de 2014 (Thème : Autonomie alimentaire). Deux années d'expérimentation ont permis de comparer la production d'herbe, la valorisation de l'herbe et la production laitière des vaches laitières au pâturage sur 4 types de prairies comportant de 1 à 5 espèces en mélange (ray-grass anglais, trèfle blanc, trèfle violet, chicorée et fétuque élevée). L'essai a été réalisé sur 8,7 ha répartis en 4 blocs, avec une fertilisation minérale azotée de 75 kg N/ha/an par traitement. Le climat des 2 années a été favorable à la croissance de l'herbe, notamment en début d'été. Treize cycles de pâturage ont été réalisés, avec le même calendrier pour tous les traitements, et une quantité d'herbe offerte de 22 kg MS/vache/jour au-dessus de 3 cm (pâturage sévère). La quantité d'herbe valorisée a été estimée par deux méthodes indépendantes, l'une basée sur l'herbe (hauteurs et densité), l'autre sur l'animal (journées de pâturage et ingestion individuelle par marqueur). En moyenne, la quantité d'herbe valorisée a varié de 11,2 à 15,1 t MS/ha/an selon la méthode et le traitement, avec une valorisation moyenne supérieure de 1,5 t MS/ha/an sur les prairies d'association et de mélange que sur les prairies de ray-grass pur. Cette étude renforce l'idée qu'une forte autonomie alimentaire est possible en système laitier bovin pâturé bien conduit et montre l'intérêt des prairies multi-spécifiques pour accroître la production laitière par hectare.
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Acquérir des références techniques en grandes cultures biologiques : Synthèse régionale des expérimentations : Campagne 2014-2015 : Région Pays de la Loire
Cette synthèse présente les résultats dessais en grandes cultures biologiques menés sur la campagne 2014-2015 en Région Pays de la Loire, ainsi que les nouvelles références techniques acquises sur les thématiques suivantes : - Identifier les variétés les plus adaptées à lagriculture biologique (pour les différentes cultures) ; - Produire du blé de haute qualité pour la meunerie ; - Sécuriser et maîtriser la culture des oléo-protéagineux ; - La gestion des ravageurs du maïs ; - La gestion de la fertilité du sol. Lensemble de cette campagne dessais a été conduite chez des agriculteurs volontaires et en station expérimentale, et l'opération suivie par les experts de la recherche en grandes cultures biologiques et la Chambre dagriculture des Pays de la Loire avec ses partenaires.
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Acquérir des références techniques en grandes cultures biologiques : Synthèse régionale des expérimentations : Campagne 2015-2016 - Région des Pays de la Loire
De nombreuses expérimentations en grandes cultures biologiques sont conduites chaque année par les Chambres d'agriculture des Pays de la Loire et leurs partenaires techniques. Cette synthèse présente les résultats dessais en grandes cultures biologiques menés sur la campagne 2015-2016 et les nouvelles références techniques acquises sur les thématiques suivantes : - Contexte climatique 2015-2016 ; - Identifier les variétés les plus adaptées à lagriculture biologique ; - Produire du blé de haute qualité pour la meunerie ; - Sécuriser et maîtriser la culture des oléo-protéagineux ; - Optimiser la densité de semis des céréales à paille dhiver ; - Gestion de la fertilité du sol. Chaque thématique fait l'objet d'un fascicule.
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Acquérir des références techniques en grandes cultures biologiques : Synthèse régionale des expérimentations : Campagnes 2013-2014 - Région des Pays de la Loire
L'ensemble de la campagne d'essais en Pays de la Loire, dont les résultats sont détaillés dans ce document, a été conduite chez des agriculteurs volontaires et en station expérimentale. Les essais ont été conduits par les Chambres d'agriculture des Pays de la Loire, avec leurs partenaires. Cette synthèse présente les résultats d'essais en grandes cultures biologiques menés sur la campagne 2013-2014, et les nouvelles références techniques acquises sur les thématiques suivantes : - Identifier les variétés les plus adaptées à l'agriculture biologique ; - Produire du blé de haute qualité pour la meunerie ; - Sécuriser et maîtriser la culture des protéagineux ; - La gestion des ravageurs du maïs ; - Le développement de cultures nouvelles ; - La gestion de la fertilité du sol.
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Acquisition de références techniques et économiques en pépinière fruitière biologique
Pour mieux évaluer la qualité sanitaire d'un plant fruitier biologique à la sortie de la pépinière (non garantis indemne de maladies de dégénérescence en agriculture biologique), le GRAB s'est associé au CEPEM (Centre expérimental pour la pépinière méridionale), au CTIFL et à l'INRA d'Angers, pour mettre en place un programme sur 3 ans concernant les pêchers et les pommiers dans un premier temps. Les principaux blocages techniques en pépinière biologique sont la protection phytosanitaire (pucerons ou maladies plus occasionnelles), la gestion de l'enherbement (délicate du fait de la densité de plantation) et la qualité agronomique et sanitaire des plants. Le coût de revient est également pris en considération. La diffusion finale des résultats est prévue début 2004.
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Actions de recherches et d'expérimentations en agriculture biologique
Figurent au sommaire de ce dossier : les budgets prévisionnels et des fiches actions dans les actions de recherche " Filière grandes cultures : céréales et oléoprotéagineux " ; "Filière légumes & pommes de terre " ; "Filière élevage ".
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Activateur de sols : De la poudre... aux yeux ?
Manu BUÉ, AuteurAprès avoir publié, en 2014, une synthèse sur les programmes de recherche autour des activateurs de sols, l'institut technique Arvalis - Institut du Végétal s'est penché sur la gamme de fertilisants ou amendements qui permettraient d'améliorer, après plusieurs années d'application, la fertilité chimique, la fertilité biologique et la fertilité physique. Ainsi, il a mis en place des essais multisites sur plusieurs années, avec, à chaque fois : une modalité avec le produit activateur, une modalité avec une fertilisation N et/ou P et/ou K selon les sols, à divers niveaux (dose conseillée, réduite (N), ou impasse (P, K)). Les critères mesurés, sur céréales essentiellement, sont le rendement, le taux de protéines, et parfois des paramètres d'activité microbiologique (après 2 à 3 ans d'apport). L'article présente plusieurs de ces produits connus qui ont ainsi été testés, ainsi que les conclusions. Si certains activateurs permettent d'obtenir des gains de rendement s'ils sont associés à une fertilisation, en revanche, ils ne permettent pas d'envisager une substitution, même partielle, d'une fertilisation N, P, K classique sans risquer de pénaliser les rendements. Pourtant, sur le terrain, certains agriculteurs trouvent de l'intérêt à utiliser ces produits. L'auteur rappelle qu'un meilleur fonctionnement du sol, essentiel au rendement, passe d'abord par une bonne structuration c'est-à-dire une bonne circulation de l'eau comme de l'air, éléments indispensables aux bactéries du sol, moteur de sa fertilité.
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Activateurs de la vie microbiologique des sols : Premiers résultats d'un réseau d'essais Arvalis-Institut du Végétal
Baptiste SOENEN, Auteur ; Alain BOUTHIER, Auteur ; Jean-Pierre COHAN, AuteurParmi les intrants pour les productions végétales, un certain nombre de produits revendiquent un rôle dans la stimulation de l'activité biologique des sols. Ils permettraient ainsi d'améliorer la fertilité chimique, biologique ou physique des sols, et ce, après plusieurs années d'application. Toutefois, aucune méthode d'évaluation homogène n'avait encore été utilisée pour les étudier. Pour combler ce manque, Arvalis-Institut du Végétal a lancé une dizaine d'essais en France autour d'un protocole unique, entre 1999 et 2015. Six produits ont ainsi été analysés : un amendement organique (Bactériosol), un amendement minéral basique (PRP Sol), tous deux autorisés en agriculture biologique, et quatre engrais, non autorisés en agriculture biologique. Ce sont les effets sur la production qui ont ici été évalués. Utilisés en complément d'une fertilisation NPK optimale, aucun de ces six produits n'a permis de gain de rendement significatif. Utilisés en substitution de tout ou partie de la fertilisation NPK, la perte moyenne de rendement n'est pas compensée par l'utilisation d'un de ces six produits.