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Le 12ème Baromètre Greenflex : Tous acteurs ! Les Français et la consommation responsable - Edition 2017
Greenflex présente les résultats dune étude réalisée sur un échantillon représentatif de la population française de 3 800 personnes de 15 à 74 ans et visant à mesurer l'évolution de la consommation responsable. Les tendances 2017 exposées concernent les préoccupations des consommateurs (pollution, réchauffement climatique, bien-être animal...), leur vision de la consommation responsable, leur avis sur l'importance des différents acteurs pour agir concrètement en faveur du développement durable (entreprises, individus, État, distributeurs), leurs attentes vis-à-vis des entreprises (offre de produits plus sains, étiquetage, éthique...), et les différents profils de consommateurs avec leurs caractéristiques.
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2 Org-Cows : De nouveaux outils de sélection adaptés aux troupeaux de races mixtes laitières conduits en système herbager et en agriculture biologique
Sophie MATTALIA, Auteur ; Antoine ROINSARD, Auteur ; Stéphanie COPPIN, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS Cedex 12 (Maison Nationale des Eleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2018Le projet européen 2-Org-Cows, auquel participaient notamment l'Itab, l'Idele et l'INRA, visait à proposer de nouveaux caractères pour la mise en place de schémas de sélection adaptés à des races bovines mixtes laitières, en agriculture biologique (AB) et systèmes herbagers, avec un focus sur les caractères de santé et de qualité des produits. Dans le cadre de ce programme, en France : - De nouveaux phénotypes relatifs aux aptitudes bouchères et exploitables pour des évaluations génétiques ont été proposés à lensemble des partenaires européens. - De nouvelles évaluations génétiques ont été étudiées : une évaluation génétique officielle a été mise en uvre sur les aptitudes bouchères des jeunes bovins, et les premiers résultats sur la valeur bouchère des vaches de réforme sont extrêmement encourageants. - Dans deux troupeaux expérimentaux de lINRA, des phénotypes relatifs à différents caractères (notamment santé et fertilité) ont été collectés pour interpréter les informations issues dactivomètres et définir des indicateurs issus de ces capteurs potentiellement réutilisables à une plus large échelle. - Létude de ladaptation des races Normande et Montbéliarde, au vu de leurs aptitudes bouchères, a montré que les classements des reproducteurs selon leur niveau génétique ne dépendent pas du mode de production (conventionnel ou AB) dans lequel leurs descendants sont élevés. Les atouts des races mixtes laitières en termes daptitudes bouchères sexpriment de la même manière en élevages biologiques ou conventionnels. Les éleveurs en AB peuvent donc orienter le choix des races et des reproducteurs en fonction des résultats des évaluations génétiques actuellement disponibles. - Les études sur les objectifs de sélection en races mixtes laitières ont montré quil est important dintégrer les caractères bouchers dans lobjectif de sélection, et que les pondérations économiques dépendent plus du type de production (ex : présence ou non dun atelier veaux de boucherie sur lexploitation) que du fait que lélevage est en AB ou en conventionnel.
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2èmes Assises de l'Industrie Alimentaire : 20 mars 2008 : Etude sur : Les Français et l'alimentation : "Principaux enseignements du sondage réalisé par TNS Sofres pour l'ANIA les 20 et 21 février 2008" & "Impacts pour les industriels : le point de
Les critères de la consommation alimentaire des Français évoluent. D'abord, le lien entre une alimentation variée, saine et équilibrée et la santé est clairement fait. Mais, tout en retenant la responsabilité individuelle vis-à-vis de l'obésité, les Français considèrent que l'industrie alimentaire a un rôle à jouer et une responsabilité dans le domaine de la santé. Pour l'heure, les industries alimentaires bénéficient d'un bon capital de confiance : 77% des consommateurs sont satisfaits de la sécurité des produits alimentaires et ils jugent positivement l'offre de produits (variété, goût, facilité de préparation, valeur nutritionnelle, information). En revanche, les trois quarts des consommateurs sont mécontents de l'augmentation des prix alimentaires. Le prix est le premier élément de choix lors de l'achat. Il est suivi par la date de péremption (71%), puis par la provenance (34%,) la composition nutritionnelle (29%), les ingrédients (27%) et un label de qualité (25%). L'origine biologique (16%) vient après la marque (20%) mais elle entre dans les nouveaux " attributs de qualité " avec l'impact environnemental. La redéfinition du "bien manger" vise l'équilibre entre bon, sain et juste. Ainsi, 71% des consommateurs se disent prêts à payer plus cher un produit régional, 66% un produit qui a des garanties écologiques, 64% un produit 100% français. Un sur deux affirme privilégier un produit issu du commerce équitable ou d'un fabricant qui soutient une cause humanitaire. Les consommateurs affirment être prêts à payer plus cher un label de qualité. L'innovation n'est plus un critère de choix. Enfin, l'étude souligne la nécessité pour les industriels de "sortir de la banalisation des marques" et pour cela de "tirer parti" des niches.
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5 solutions alternatives à lutilisation de soja en élevage de vaches laitières
BULLETIN DE L'ALLIANCE PASTORALE, AuteurLe soja est largement utilisé dans les rations des vaches laitières. Il présente toutefois deux inconvénients : il est produit outre-Atlantique et son prix est très volatile. Cest pourquoi le projet PROTECOW a étudié cinq alternatives à son utilisation. Ces alternatives devaient respecter deux critères : maintenir le niveau de production des animaux et les résultats économiques de la ferme. Lune des cinq alternatives envisagées est de convertir le système de production à lagriculture biologique tout en conservant un haut niveau de production par vache laitière. Cette solution pourrait convenir à des exploitations qui ont une bonne situation financière, afin de supporter la période de conversion de deux ans, et dont les rations sont, en plus du maïs, basées sur lherbe (pâturage). La conversion à l'AB a été simulée sur une ferme type de 100 ha avec 100 VL à 8 300 L de lait/an. Elle a nécessité de revoir intégralement lassolement de lexploitation et a permis de remplacer partiellement le soja (- 64 %, soit une économie de 51 t/an). Néanmoins, elle entraîne une baisse du niveau de production (-1 400 kg/lactation). Si les prix du lait bio sont élevés, cette diminution de la production peut être compensée au niveau de la marge nette.
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6 mesures vertueuses et économiques : Fiscalité écologique
CULTIVAR, AuteurLa fiscalité écologique est un outil politique de protection de l'environnement. A travers des mesures incitatives ou dissuasives, l'objectif est de compenser, ou de réduire, les coûts des dommages environnementaux. Avec un niveau de taxes environnementales s'élevant à 1,8 % du PIB, la France présente un retard sur ces questions par rapport à la moyenne européenne (2,4 %). En 2013, la fondation Terra Nova proposait une étude porteuse de recommandations : - concevoir la fiscalité écologique dans le cadre d'une réforme fiscale plus large et ambitieuse ; - intégrer la lutte contre les inégalités dès la mise en place de la fiscalité écologique ; - conjuguer fiscalité écologique et compétitivité ; - enclencher une révolution agroécologique ; - accélérer la mutation vers une ville durable en revisitant totalement le dispositif fiscal de l'aménagement et de l'immobilier ; - atténuer la contrainte budgétaire par une approche globale sur les dépenses publiques.
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Les abeilles dans les prairies dexploitations délevage aux environnements agricoles contrastés
L. LANORE, Auteur ; D. GENOUD, Auteur ; A. BLANCHETÊTE, Auteur ; ET AL., AuteurLes abeilles sont des pollinisateurs indispensables mais leur déclin est préoccupant. Les prairies permanentes, en zone peu intensifiée, devraient offrir aux insectes une ressource alimentaire régulière et un environnement favorable. Une étude a été conduite par l'INRA dans 4 exploitations aux situations contrastées. Les populations dabeilles ont été estimées 2 années de suite, à 2 périodes printanières et dans 4 exploitations : 2 en altitude dans le Cantal (dont une en bio), une en Corrèze (élevages herbagers basés sur des prairies de longue durée) et une en plaine (polyculture-élevage) dans la Vienne. Au total, 75 espèces dabeilles appartenant à 14 genres différents ont été recensées parmi les 489 insectes capturés. La majorité (4/5) des abeilles capturées sont des abeilles solitaires dont les proportions varient selon les sites ; seule labeille mellifère est commune aux 4 sites. Contrairement au nombre dabeilles capturées, le nombre despèces rares, de familles et de genres représentés est plus élevé dans les exploitations du Cantal, basées sur les prairies permanentes qui ont conservé de nombreux éléments paysagers.
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Les abeilles, la planète et le citoyen : Comprendre le déclin des pollinisateurs, agir pour la biodiversité
Chaque jour, des menaces nouvelles pèsent sur la biodiversité. Le déclin des colonies d'abeilles, tout particulièrement, est devenu un sujet d'inquiétude pour les apiculteurs, les scientifiques mais aussi pour les pouvoirs publics. Les médias s'en font largement l'écho, mais il est difficile de se faire une idée juste de la situation. Dans ce livre qui pose de façon claire et objective tous les éléments du débat, Bernard Duran a décidé d'en avoir le cur net. Il a sollicité les meilleurs spécialistes français de la question. Quelle est la gravité exacte de la situation ? Quelles sont les causes du déclin des pollinisateurs ? Quel peut être l'impact réel sur la société, tant sur le plan économique qu'écologique ? Et surtout, quelles sont les solutions possibles et les initiatives utiles pour améliorer la situation ? Chacun, à son niveau, a en effet les moyens d'agir.
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Abeilles sauvages et pollinisation
Lukas PFIFFNER, Auteur ; Andreas MÜLLER, Auteur ; Gilles WEIDMANN, Auteur ; ET AL., Auteur | FRICK (Ackerstrasse 113, Case Postale 219, CH-5070, SUISSE) : FIBL (Institut de recherche de l'agriculture biologique) | 2016
Ce document résume l'état actuel des connaissances scientifiques sur l'importance des abeilles sauvages dans la pollinisation des plantes sauvages et cultivées. Il cite les causes actuellement connues du recul des abeilles sauvages, présente l'effet positif de l'agriculture biologique sur la préservation des abeilles et propose une liste de mesures destinées à favoriser et à protéger ces pollinisateurs.
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Abricotier : lutte biologique contre l'ECA : la prémunition
L'enroulement chlorotique de l'abricotier (ECA) reste, en France et pour toutes les zones de culture, la principale cause de mortalité de l'abricotier. Les études conduites par l'INRA pendant plusieurs décennies ont permis de préciser les symptômes de la maladie et son extension à l'intérieur du verger. Synthèse.
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ACCEPT Acceptabilité des élevages par la société en France : cartographie des controverses, mobilisations collectives et prospective
C. ROGUET, Auteur ; E. DELANOUE, Auteur ; M-L. GRANNEC, Auteur ; ET AL., AuteurDans un contexte de profondes remises en cause des systèmes et des pratiques délevage en France et en Europe, le projet Casdar ACCEPT (2014-2018) a analysé la controverse sur lélevage afin de répondre à trois principaux objectifs : i) recenser et analyser les sujets de controverse sur lélevage, ii) étudier comment ces controverses pénètrent la société française et saisir la diversité des attentes des citoyens envers lélevage, iii) identifier les mécanismes sociaux à luvre et les mobilisations collectives. Cette étude avait pour objectif final daider les filières animales à renouer le dialogue avec la société en adaptant leurs stratégies, pratiques et communication. Les différents travaux menés au sein de ce projet ont permis de produire une cartographie des controverses, de mesurer laudience des débats dans la population française et de réaliser une typologie des citoyens français. Le projet a également recensé, en France et dans cinq autres pays européens, diverses initiatives mises en place par des filières animales pour mieux répondre aux attentes sociétales. Il a aussi conduit à la construction dun outil destiné aux éleveurs afin de les aider à mieux positionner leurs projets dans leur environnement local. Enfin, un travail prospectif a permis dimaginer cinq scénarios pour le monde de lélevage à lhorizon 2040.
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Acceptabilité par le consommateur du jambon sec de mâles entiers : Rendement de séchage, qualité des gras et composés odorants
Patrick CHEVILLON, Auteur ; Pierre LE STRAT, Auteur ; Jean-Luc VENDEUVRE, Auteur ; ET AL., AuteurCette étude, financée par INAPORC (Interprofession nationale porcine), a pour objet d'évaluer les conséquences de la fabrication de jambon sec de qualité supérieure (plus de 7 mois de sèche) à partir de mâles entiers. Le rendement de séchage de ce jambon est inférieur par rapport au lot de mâles castrés et aux femelles. Néanmoins, l'épaisseur de lard plus faible dans le lot « mâles entiers » pourrait en être à l'origine, l'étude ne permet pas de conclure. Les dégustations par un panel de consommateurs n'ont pas permis de mettre en évidence des risques d'odeurs de verrats (qui sont liées à la teneur en androsténone et en scatol du jambon). Cependant, la bibliographie rappelle qu'il est important de mesurer les niveaux en composants odorants sur le jambon frais, afin de limiter les risques de gêne du consommateur. Les composés odorants sont en effet peu réduits lors de la transformation de plus de 7 mois. Quant à la composition des acides gras, elle ne diffère que très légèrement entre les jambons secs issus de mâles entiers, castrés, ou de femelles. Les jambons secs issus de mâles entiers présentent un peu plus d'acides gras polyinsaturés dans leur gras de couverture par rapport aux autres.
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Acceptabilité par le consommateur du rôti de porcs mâles entiers vendu cuit tranché en libre service
Patrick CHEVILLON, Auteur ; Eric GAULT, Auteur ; Thierry LHOMMEAU, Auteur ; ET AL., AuteurCette étude de l'IFIP, financée par INAPORC et au titre du programme national de développement agricole et rural, avait deux objectifs : tester la perception par le consommateur de l'odeur et du goût de 4 lots de longes cuites dégraissées fabriqués à partir de viande de mâles entiers présentant des niveaux d'androsténone croissants, et définir un seuil d'androsténone à partir duquel il deviendrait risqué de transformer la longe en rôtis cuits pour le libre service. L'odeur n'a pas perturbé le consommateur, qui est prêt à re-consommer ce produit. Cela peut s'expliquer par la faible teneur en gras du rôti. Il semble même qu'à partir de 0,5 µg d'androsténone par gramme de gras, le goût du rôti consommé froid soit amélioré. Il apparaît donc possible d'utiliser les longes de mâles entiers pour fabriquer du rôti de porc. Il faudrait cependant conseiller au consommateur de ne pas réchauffer le produit pour sa consommation. Par ailleurs, le niveau de dégraissage des longes devra être maîtrisé. Enfin, le critère scatol reste à évaluer.
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Acceptabilité par les consommateurs des viandes de porc mâle entier transformées en saucisses, lardons, saucissons secs et jambons cuits
Patrick CHEVILLON, Auteur ; Michel BONNEAU, Auteur ; Pierre LE STRAT, Auteur ; ET AL.A ce jour, en Europe, 80% des porcs mâles sont castrés et près de 100% en France. La justification majeure de cette pratique est de limiter tout risque de mettre sur le marché un pourcentage de viandes fraîches ou de produits transformés à défaut d'odeur sexuelle de verrat. La pratique de la castration à vif est cependant régulièrement remise en cause dans un souci de bien-être animal. Ainsi, une étude a été réalisée par l'Ifip afin de vérifier si, en 2009, du fait de l'évolution de la demande des consommateurs et des conduites d'élevage, le risque d'insatisfaction du consommateur sur des produits transformés (75% de la carcasse de porc) issus de plusieurs mâles entiers était réel. 100 consommateurs ont comparé d'un point de vue organoleptique des fabrications industrielles produites à partir de mâles entiers, comparées à des femelles et à des mâles castrés, sur quatre types de charcuterie : saucisses, lardons fumés, saucissons secs et jambons cuits sans couenne. Les résultats ne montrent pas de différences significatives d'appréciation globale, de goût et d'intention de re-consommation pour les 4 produits. Concernant l'odeur, il existe une différence uniquement sur jambon cuit, le consommateur préférant l'odeur du lot femelle à l'ouverture du sac.
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Acceptation des vins de cépages résistants par les consommateurs : Résultats du projet TOPiwi 2007-2008
Markus VAN DER MEER, Auteur ; Franco WEIBEL, Auteur ; Dominique LEVITE, Auteur ; ET AL.Les « piwi », cépages peu sensibles aux maladies fongiques, sont intéressants pour la viticulture biologique et intégrée. Ils nécessitent moins de traitements phytosanitaires et peu ou pas de cuivre. Cependant, l'introduction de nouveaux cépages peut susciter des réticences chez les consommateurs, souvent attachés au cépage et à l'origine géographique. Par conséquent, les pépiniéristes recherchent des cépages « piwi » aux qualités organoleptiques proches des cépages traditionnels. Le projet TOPiwi a pour objectif de quantifier l'acceptation par les consommateurs des vins piwi et d'évaluer leur chance de succès sur le marché. Les résultats de l'étude 2008 montrent que les vins piwi, évalués par des consommateurs, peuvent se mesurer à des vins de cépage traditionnel. Ces données peuvent contribuer à affaiblir les préjugés négatifs des consommateurs vis-à-vis des cépages piwi et renforcer la recherche de nouveaux cépages avec de meilleures propriétés organoleptiques et culturales.
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Accompagner d'importants changements du système fourrager : Démarche de conseil n°2 élaborée dans le cadre du Casdar PraiCoS - Guide méthodologique
L'objectif de ce guide est de faire connaître et de mettre à disposition les outils et méthodes existants pour la reconfiguration d'un système fourrager, afin de répondre à de nouveaux objectifs de l'exploitation. Les différents outils actuellement disponibles ont ainsi été expertisés dans le cadre du Casdar PraiCoS. Les résultats de ce travail sont présentés sous la forme de grilles d'aide au choix, pour aiguiller les techniciens vers l'outil (ou la démarche) le plus pertinent par rapport aux objectifs poursuivis. Par ailleurs, un outil spécifique PraiCoS est présenté. Il a pour but d'aider à redéfinir un système fourrager à partir d'un parcellaire réel, au gré de 8 phases. Il permet de calculer le coût du système fourrager discuté avec l'éleveur.