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Documents disponibles dans cette catégorie (55)


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La Confédération paysanne veut une régulation dynamique de la production
Franck MECHEKOUR, AuteurDans un contexte de marché laitier qui doit faire face à un certain déséquilibre de l'offre et de la demande, notamment en agriculture biologique, la Confédération paysanne propose la mise en place d'un système de gestion dynamique de la production européenne qui prendrait en compte l'évolution du marché et les coûts de production. Autre proposition du syndicat : mettre en place une caisse de solidarité pour mieux accompagner les éleveurs lorsque les prix du lait sont bas.
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Livre blanc : Quelle méthanisation soutenable pour le réseau des agriculteur.rice.s bio dIlle-et-Vilaine ?
Sonia FRETAY, Auteur ; Laura TOULET, Auteur ; AGROBIO 35, Auteur | CESSON-SÉVIGNÉ CEDEX (17 Rue du Bas Village, CS 37725, 35 577, FRANCE) : AGROBIO 35 | 2022La Commission Énergie et Climat dAgrobio 35 sest entourée de plusieurs experts afin de se positionner et détablir des propositions pour que les projets de méthanisation agricole soient soutenables et quils nentrainent pas de dérives. Après plus dun an de travail, une vidéo, une note de positionnement et un livre blanc présentent les réflexions et les conclusions de cette Commission. Le livre blanc commence par apporter des éléments permettant de mieux comprendre les enjeux liés à la méthanisation : historique, grands principes de fonctionnement, bilan environnemental et social (impacts climatiques, sur la qualité de lair, agronomiques ). Il effectue également un point sur le contexte en Ille-et-Vilaine en apportant des chiffres sur le développement de la filière méthanisation sur ce territoire, ainsi que des observations et des ressentis partagés par des acteurs de terrain. Ce livre blanc réalise ensuite un bilan sur les intérêts et les limites de la méthanisation, avant de présenter un « Cahier des charges de la méthanisation vertueuse pour le groupement des agriculteurs bio dIlle-et-Vilaine ».
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Un mouvement bio pour se nourrir sainement
VEGETABLE, AuteurDes entreprises de l'alimentation bio et responsable, des spécialistes du monde agricole et des acteurs du monde associatif ont lancé le mouvement « Mangeons durable ! » afin d'inciter les candidats aux dernières élections à penser la transition du système alimentaire vers un modèle plus durable. Les acteurs de ce mouvement ont mis en commun leurs expertises pour établir des propositions concrètes qui seraient à lancer afin de garantir la résilience de la France face aux enjeux climatiques, sociaux et économiques.
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Occitanie : Priorité à la communication pour stimuler les ventes
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurEn Occitanie, la SAU bio est de 19,4%, contre 10,3% pour la France. Un nouveau Plan bio régional 2023-2027 doit être élaboré et les élus dInterbio Occitanie font des propositions. Leur but est de consolider les filières et de développer les productions, en visant 25% de bio en 2027, ce qui paraît un objectif raisonnable. Limportant est aussi de stimuler la consommation, avec une importante campagne de communication, afin dexpliquer ou de rappeler aux consommateurs les avantages et les garanties du label bio. Concernant lélevage, entre valorisation insuffisante et évolution de la réglementation, les élus sont inquiets pour son avenir dans la région.
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Recommandations en santé environnementale : Les politiques à mettre à l'oeuvre pour un quinquennat réussi au sujet des produits chimiques dangereux
Dans ce document, l'association Générations Futures, soutenue dans cette démarche par de nombreuses ONG, s'adresse aux candidats à l'élection présidentielle de 2022. Elle les interpelle sur la nécessité de définir et de mettre en place une politique de santé environnementale forte, afin d'assurer la santé des citoyens et de tout être vivant. Ainsi, 10 mesures pour lesquelles des résultats concrets sont espérés sur le quinquennat 2022-2027 sont présentées. Parmi celles-ci, figure la révision du Plan Stratégique National pour soutenir réellement l'agriculture biologique. Puis, un programme plus complet, autour de six grands axes, est exposé. Ces axes concernent : - la réduction des expositions aux polluants chimiques dangereux des populations et des milieux ; - l'évolution et la révision des réglementations ; - l'amélioration de la recherche ; - la veille sanitaire et environnementale ; - la responsabilité des industriels ; - la promotion des alternatives, notamment l'agriculture biologique.
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Saisir la chance de la bio : des politiques publiques à la hauteur de l'enjeu
LA MAISON DE LA BIO, AuteurBio Linéaires reprend le communiqué publié par La Maison de la Bio, à l'occasion des Présidentielles, où figurent plusieurs propositions aux candidats à l'élection. Les différentes propositions portent sur les thèmes suivants : - La bio, priorité du prochain quinquennat ; - Éducation ; - Un financement proportionnel pour favoriser l'entrepreneuriat et l'innovation ; - Atteindre une réelle proportionnalité des aides et compenser les déséquilibres existants ; - Des labels promouvant la bio soutenus par la puissance publique pour simplifier le quotidien des consommateurs-citoyens.
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Le soutien à l'agriculture biologique
La Cour des comptes se penche, dans ce rapport, sur la politique publique française liée à lagriculture biologique (programme Ambition Bio, dispositifs de soutien) en lien avec les objectifs des programmes depuis 2010. Le premier chapitre, « Lagriculture biologique au défi du changement déchelle », se conclut sur le constat que la littérature scientifique reconnaît à la bio de nombreux bénéfices sanitaires et environnementaux : sur la qualité de leau et des sols, sur lamélioration du bien-être animal, sur la création demplois et avec un impact plutôt favorable sur le climat. Concernant le marché, le rapport relève que, au terme dune décennie de forte croissance de lagriculture biologique, des turbulences apparaissent sur certains marchés. Au-delà de leffet conjoncture qui fait suite à lenvol des ventes bio en 2020, des fragilités sont relevées : risques sur les prix avec le développement des ventes en GMS, manque de communication auprès des consommateurs et structuration des filières insuffisante, notamment en céréales. La Cour des comptes estime que la politique de soutien na pas permis datteindre les objectifs fixés ; que les dispositifs daides à la production sont insuffisamment dotés, tiennent peu compte des externalités de la bio et présentent des difficultés majeures de mise en uvre. Elle relève aussi les ambiguïtés de la certification environnementale et de laffichage qui lui est lié aux dépens de la bio, en mettant en avant les limites de la HVE. Les moyens consacrés à la promotion et à la recherche en AB lui semblent limités, ainsi que les produits bio en restauration collective publique. Au final, la Cour des comptes recommande dinformer les citoyens et les consommateurs sur limpact environnemental et sanitaire de l'AB ; de réorienter les soutiens publics à lagriculture au profit de la filière bio ; de favoriser la création de valeur au sein de la filière bio (loi Egalim, Fonds Avenir Bio et lancement dune mission prospective sur la contribution de lAB à lautonomie agroalimentaire française et européenne, ainsi que sur les moyens de la renforcer).
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En campagne pour l'agriculture de demain : Propositions pour une souveraineté alimentaire durable
Face aux bouleversements que connaît la société, notamment ceux induits par la crise sanitaire liée à la Covid-19 depuis 2020, la question de l'agriculture et de l'alimentation a retrouvé une place forte dans le débat public. Le principe de souveraineté alimentaire y est central. Si cette dernière est assurée, à ce jour, à l'échelle de la France, cet acquis reste réversible, fragile et disparate d'une filière à une autre. Dans ce rapport, l'Institut Montaigne, think tank indépendant créé en 2000, rend compte d'une importante étude sur la souveraineté alimentaire de la France, l'avenir de son agriculture et de son industrie agro-alimentaire. Après un état des lieux, des propositions d'orientations dans une optique de transition sont formulées.
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Entités et politiques publiques : Accompagner la transition agroécologique
Le secteur agricole doit sorienter vers une transition agroécologique destinée à réduire la consommation des ressources naturelles et à sadapter aux effets du changement climatique, tout en préservant sa compétitivité et la rentabilité des exploitations. Elle remet donc en cause le modèle agricole prévalant depuis les années 1960 dans notre pays. À l'échelle de lUnion Européenne, la politique agricole commune (PAC) prend mieux en compte lenvironnement depuis 2015, sans pour autant obtenir les résultats escomptés. La nouvelle PAC, dont les principes ont été définis en juin 2021, représente une véritable occasion pour soutenir une ambition environnementale accrue sur la période 2023 - 2027. Pour cela, il faudrait se donner des moyens suffisants, définis à partir dune évaluation précise des impacts liés à lagriculture et dobjectifs clairs et mesurables. Cest ainsi un ensemble dactions publiques qui doivent être mobilisées pour valoriser des pratiques plus respectueuses de lenvironnement (ex : accès au foncier agricole, gestion des risques, rémunération des services environnementaux ). Ce rapport, réalisé par la Cour des comptes, détaille ces différents éléments. Il est composé de trois parties : 1 - Lapplication de la PAC 2015-2021 en France : des résultats environnementaux éloignés des ambitions initiales ; 2 - Mieux valoriser les pratiques agroenvironnementales dans la déclinaison nationale de la prochaine PAC ; 3 - Mobiliser tous les autres leviers pour favoriser lévolution des systèmes agricoles et la viabilité des exploitations.
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Lessentiel sur : Le rapport dinformation : « Méthanisations : Au-delà des controverses, quelles perspectives ? »
Pierre CUYPERS, Auteur ; Daniel SALMON, Auteur | PARIS CEDEX 06 (15 Rue de Vaugirard, 75 291, FRANCE) : SÉNAT | 2021La mission dinformation sur « La méthanisation dans le mix énergétique : enjeux et impacts » a été créée en mars 2021. Depuis, les rapporteurs de cette mission ont entendu 106 acteurs lors de cinq réunions plénières, vingt-huit auditions et trois déplacements sur le terrain. Lobjectif était de recueillir le point de vue de lensemble des parties prenantes. Au terme de ces travaux, la mission a formulé 61 propositions pour favoriser lémergence dun « modèle français » de la méthanisation. Ces propositions sont détaillées dans un rapport dinformation public de 225 pages (https://www.senat.fr/rap/r20-872/r20-8721.pdf). Ce document présente une synthèse de ce rapport. Il explique que, même si la méthanisation est utile à nos transitions et à notre souveraineté énergétique, son cadre de soutien reste ambigu. De plus, le « modèle français » peine à saffirmer. La méthanisation fait également lobjet de nombreux débats car elle génère aussi bien des externalités positives (décarbonisation de lénergie, renfort pour la souveraineté et lindépendance énergétique, levier de la transition agroécologique ), que des externalités négatives (risques environnementaux, risques daccaparement de la SAU, possibles impacts négatifs des digestats sur les sols ). Enfin, ce document liste, dans un tableau, les principales pistes pour favoriser lémergence dun « modèle français » de la méthanisation, autour de cinq axes : 1 - Clarifier les politiques publiques ; 2 - Structurer la filière pour améliorer les pratiques ; 3 - Territorialiser les projets ; 4 - Améliorer les pratiques pour renforcer leurs externalités positives ; 5 - Prévenir les risques.
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IPBES-IPCC co-sponsored workshop « Biodiversity and climate change »: Scientific outcome
H. PÖRTNER, Auteur ; R. SCHOLES, Auteur ; J. AGARD, Auteur ; ET AL., Auteur | BONN (10th floor, Platz der Vereinten Nationen 1, 53 113, GERMANY) : IPBES (Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services) | 2021En décembre 2020, cinquante des plus grands experts mondiaux de la biodiversité et du climat ont participé à un atelier virtuel de quatre jours. Cet atelier, co-organisé par l'IPBES (la plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques) et le GIEC (le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), avait pour objectif dexaminer les synergies et les compromis entre la protection de la biodiversité, latténuation du changement climatique et les adaptations à ce dernier. Ces experts ont ainsi échangé sur : les divers impacts du changement climatique sur la biodiversité, la capacité et les limites des espèces à s'adapter au changement climatique, la résilience des écosystèmes face au changement climatique compte tenu des seuils de changement irréversible, la contribution des écosystèmes aux boucles de rétroaction du climat et à l'atténuation du changement climatique Ce rapport effectue un bilan détaillé de ces quatre journées déchanges. Il présente : le contexte, la liste des participants, un résumé des échanges, ainsi que les apports scientifiques issus de ces journées. Ces résultats scientifiques sont répartis en sept grandes parties : 1 - Le climat et la biodiversité sont indissociables et sont liés à l'avenir de l'homme ; 2 La préservation de la biodiversité face au changement climatique ; 3 - Les effets des actions d'atténuation du climat sur la biodiversité ; 4 La biodiversité et ladaptation au changement climatique ; 5 - Les effets des actions de conservation de la biodiversité sur le changement climatique ; 6 Les interactions, les limites et les seuils à l'interface biodiversité-climat-société ; 7 Des solutions pour lensemble climat-biodiversité-société.
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Leviers dadaptation de lélevage des ruminants et des systèmes fourragers au changement climatique : état des lieux et propositions
Quels sont les leviers dadaptation mobilisables par lélevage de ruminants pour faire face au changement climatique ? Sont-ils suffisamment diffusés et encouragés ? Le Conseil général de lalimentation, de lagriculture et des espaces ruraux (CGAAER) tente de répondre à ces questions en sappuyant sur les résultats de projets de recherche-développement et formule des propositions damélioration. Le CGAAER sest plus particulièrement intéressé aux adaptations liées aux systèmes fourragers (sélection despèces végétales, techniques de pâturage et de conservation des fourrages, autonomie fourragère ), même sil a étendu sa discussion à la conduite des élevages de ruminants (sélection de races adaptées, conduite des troupeaux, valorisation des produits ). Ce rapport présente ainsi : 1 - un état des lieux de la R&D sur les adaptations des systèmes fourragers et de lélevage au changement climatique ; 2 - des propositions pour améliorer la diffusion, la vulgarisation et lappropriation des résultats obtenus ; 3 - une évaluation de la capacité des filières et des fournisseurs à sadapter ; 4 - les conséquences de ces changements sur les territoires délevage ; 5 des propositions pour favoriser ladaptation (améliorer la coordination ministérielle ; se doter de la capacité permanente de mesurer les évolutions en cours ; mobiliser les établissements denseignement technique agricole au travers de leur mission de développement des territoires ; faciliter lacquisition de données météorologiques régionales ; encourager davantage des leviers clés de la transition climatique ; assurer une meilleure coordination des actions locales et nationales ; encourager les paiements pour services environnementaux).
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Rapport dinformation sur lautonomie alimentaire de la France et au sein de ses territoires
Pascale BOYER, Auteur ; Julien DIVE, Auteur | PARIS 07 SP (126 Rue de l'Université, 75 355, FRANCE) : ASSEMBLÉE NATIONALE | 2021Le 12 mars 2020, à la veille du premier confinement, le Président de la République a déclaré, dans son discours destiné aux Français, que " Déléguer notre alimentation [...] est une folie ". La crise de la Covid-19 a, en effet, ravivé des craintes anciennes de pénuries alimentaires, puisque les confinements successifs ont révélé un certain nombre de faiblesses structurelles et de dépendances au sein du notre système de production alimentaire. Suite à ce constat, des rapporteurs de la Commission des Affaires économiques de lAssemblée Nationale ont dressé un état des lieux autour de la question de lautonomie alimentaire de la France. Ils ont ainsi pu dégager vingt pistes dactions permettant de bâtir une stratégie pour reconquérir lautonomie alimentaire, tout en répondant à trois grands défis : celui de la compétitivité des prix et de la compétitivité hors prix (la compétitivité hors prix désigne la capacité à gagner des parts de marché en jouant sur des critères autres que le prix) ; un défi humain, puisque les secteurs agricoles et agroalimentaires font face à de profondes crises de vocation ; un défi environnemental, notamment avec les changements climatiques en cours. Ce rapport comprend, à la fois, létat des lieux et les différentes propositions dactions accompagnées de leurs explications.
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Layman report : LIFE AgriAdapt : Adaptation durable des systèmes agricoles de lUnion Européenne au changement climatique
Le projet européen AgriAdapt (2016-2020) avait pour objectif didentifier des adaptations au changement climatique dans les exploitations agricoles afin de maintenir ou daméliorer leur compétitivité, tout en répondant aux multiples défis environnementaux. Il a été développé simultanément dans quatre pays européens : Allemagne (fondation Bodensee-Stiftung), Estonie (université Eesti Maaülikool), Espagne (fondation Global Nature) et France (association Solagro). 126 fermes ont été retenues comme fermes pilotes, dont 25 % en agriculture biologique. Les résultats obtenus au cours de ce projet ont démontré que les trois systèmes agricoles les plus importants en Europe (élevage, grandes cultures et cultures permanentes) peuvent devenir plus résilients face au changement climatique en mettant en uvre des mesures dadaptation réalisables et durables (ex : augmentation du nombre de cultures dans lassolement, adaptation des dates de semis ou de taille, utilisation doutils daide à la décision, amélioration de la gestion du pâturage ). Cette brochure est une mini-synthèse des actions réalisées dans le cadre de ce projet : après avoir décrit la méthodologie et les adaptations identifiées, elle présente les propositions générales émises par le collectif AgriAdapt et explique comment cette étude a pu contribuer à sensibiliser les décideurs politiques.
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Climate Change and Land: An IPCC Special Report on climate change, desertification, land degradation, sustainable land management, food security, and greenhouse gas fluxes in terrestrial ecosystems
Almut ARNETH, Auteur ; Humberto BARBOSA, Auteur ; Tim BENTON, Auteur ; ET AL., Auteur | GENEVA 2 (c/o World Meteorological Organization, 7 bis Avenue de la Paix - C.P. 2300, CH - 1211, SUISSE) : IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) | 2019Ce document est le résumé, pour les décideurs, du rapport du GIEC sur le changement climatique et le foncier. Il fait suite à la publication d'autres rapports récents (rapport spécial du GIEC sur le réchauffement de la planète de 1,5°C ; évaluation de la dégradation et de la restauration des terres par lIPBES...) et fournit une évaluation actualisée et complémentaire des connaissances sur le réchauffement climatique et les problématiques quil engendre. Ce document traite à la fois des émissions de gaz à effet de serre (GES), de la gestion et de l'utilisation du foncier, de la dégradation des terres, de la désertification des zones rurales, de la sécurité alimentaire et des adaptations au changement climatique. Ce résumé est structuré en quatre parties : A - Les personnes, les terres et le climat dans un monde en réchauffement ; B Les possibilités en matière d'adaptation et d'atténuation ; C Les options de réponses possibles ; D Les actions à réaliser à court terme.