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Le poids économique des entreprises Bio en région Rhône-Alpes
Les données présentées dans ce document "Le poids économique des entreprises Bio en région Rhône-Alpes" sont issues des chiffres de l'Agence Bio, de la connaissance de Bioconvergence Rhône-Alpes relative aux acteurs économiques de la région et d'une enquête téléphonique conduite en 2011. Il est organisé en quatre parties : - Un nombre d'opérateurs en agro-alimentaire toujours en progression (en 2010, 1 167 opérateurs certifiés ont été recensés pour la préparation de produits biologiques tandis que le nombre des transformateurs et façonniers a progressé de 93 % en 5 ans (ils sont 379 aujourd'hui) ; 44 % des entreprises agroalimentaires de Rhône-Alpes ont une activité bio...) ; - Différents profils d'entreprises de transformation s'intéressent au bio (la filière des grandes cultures représente 57 % ; la filière fruits et légumes représente 11 %... ; les entreprises agroalimentaires majoritairement engagées à 100 % en bio sont des TPE (très petite entreprise ) ; - Une distribution de détail dynamique (selon la répartition en valeur des ventes de produits biologiques en France en 2009, les magasins bio indépendants et en réseau représentent 41 %, la vente directe 12 % et les artisans 5 %... ; en 2010, la région Rhône-Alpes compte 296 magasins bio ) ; - De la valeur ajoutée et des emplois sur le territoire (les entreprises engagées en bio représentent un chiffre d'affaires de plus de 750 millions d'euros et plus de 3 000 salariés en région Rhône-Alpes ; ces chiffres se répartissent entre différents secteurs : les transformateurs, les grossistes, les artisans boulangers, les magasins bio).
Le point sur... La filière "Algues marines" Bio en Bretagne : Chiffres clés - Situation juin 2011
Depuis quelques années, la filière « Algues marines » est en pleine expansion. Grâce à ses avantages nutritionnels, l'algue marine suscite de plus en plus d'intérêt. Dans le monde, 15,74 milliers de tonnes d'algues fraîches ont été utilisées en 2008. En Europe, l'industrie des macro-algues est essentiellement basée sur la récolte d'algues « sauvages », puisque la culture d'algues ne représente que 0,3 % des volumes utilisés. Un point est fait sur "La filière "Algues marines" Bio en Bretagne", organisé comme suit : - Production et récolte d'algues : quelques repères ; - La filière "Algues marines" biologique ; - La filière "Algues marines" bretonne ; - Perspectives de développement de la filière. Des encarts sont réservés à plusieurs points statistiques : données pour la région Bretagne, soit la vente d'algues sous halle à marées ; carte des différents opérateurs économiques certifiés Bio, actifs dans la filière « Algues marines » Bio bretonne (algue alimentaire, cosmétique et alimentation animale) ; carte de l'état écologique des masses d'eau de la Directive cadre sur l'eau (DCE) (Directive 2000/60) ; adhérents à Inter Bio Bretagne acteurs de la filière « Algues marines » Bio.
Une porte ouverte pour renforcer les liens en restau co : L'expérience de Traon Bihan a été concluante
Katell GUEGUEN, AuteurPhilippe s'est installé, en 1999, sur la ferme familiale, Traon Bihan, située sur la commune de Brest (Bretagne). Il élève cinquante vaches laitières en bio sur une soixantaine d'hectares. La surface de la ferme diminuant avec l'urbanisation (l'incertitude plane encore sur 20 ha), Philippe et sa compagne ont choisi de mettre en place un outil de transformation laitière pour mieux valoriser une partie du lait, se positionnant sur le marché de la restauration collective. Suite à un constat de la Maison bio : "Les cuisiniers sont très demandeurs de rencontres avec les acteurs de la filière et d'échanges sur les contraintes techniques de chacun, aussi bien sur la production à la ferme qu'en cuisine", Philippe et Valérie ont organisé une journée porte ouverte. Le jour J, une vingtaine de cuisiniers, gérants et élus ont découvert la ferme : l'élevage et l'outil de transformation. A l'issue de cette visite, Philippe et Valérie ont pu ajuster leur gamme en fonction des besoins exprimés par les collectivités (proposition de lait pasteurisé en plus des yaourts et crèmes dessert...). Quelques jours après cette journée porte ouverte, plusieurs candidats ont passé leurs premières commandes. Daniel Hascoet, cuisinier gestionnaire du restaurant municipal de Plouzané, et Lilian Huet, cuisinier gestionnaire à Guilers, témoignent de l'intérêt d'une telle visite de ferme (intérêt d'échanger et création d'un climat de confiance avec le producteur).
Portrait : Le pain de la survie (Dossier : La boulangerie paysanne gagne du terrain)
Manuel CLADIERE, AuteurC'est au sein de son exploitation, située à Clémensat sur la commune de Romagnat (63), en agriculture biologique depuis plus de dix ans, que Didier Cohendy produit l'ensemble des céréales nécessaires à la fabrication de la farine et du pain. Les grains sont broyés dans un moulin du Tyrol, fabriqué en bois et avec une meule de pierre. Didier Cohendy, qui relate son parcours, indique que l'exploitation a connu des difficultés et qu'alors, il a tenté de se diversifier. Depuis six ans, avec son épouse et sa fille, il fait du pain pour valoriser ses céréales. Pour fabriquer les différents pains, Didier Cohendy utilise un mélange de variétés de blé à moitié Renan et à moitié Pyrénéo. Six sortes de pains de 250 g à 2 kg sont proposées : nature, de seigle, aux raisins, aux noix ou encore aux figues. La ferme de Didier Cohendy produit 800 kg de pain par mois et 200 kg de farine, qu'il vend via des Amap ou des magasins. Grâce à la boulangerie paysanne, la situation s'est améliorée pour la famille Cohendy. Les projets se multiplient : Didier Cohendy veut créer une société avec son épouse et sa fille, afin de vendre des pâtes fraîches (son épouse a fait une formation).
Produits bio : Guide pratique pour la transformation
Cyril BERTRAND, Auteur ; Frédéric CHEVALLIER, Auteur ; Sandrine LEBOIS, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ACTIA (Le réseau français des Instituts techniques de lAgro-alimentaire) | 2011Le fort développement de la demande en produits issus de l'agriculture biologique incite les entreprises agro-alimentaires, qui ne sont pas encore engagées dans cette démarche, à envisager une diversification en ce sens. Les transformateurs, souvent des PME, ont besoin d'être accompagnés pour démarrer une gamme de produits bio. Ce guide pratique est destiné aux industriels souhaitant approfondir leurs connaissances sur la transformation des produits issus de l'agriculture biologique. Il constitue un véritable outil opérationnel d'aide à la décision pour les dirigeants et les responsables de production des entreprises. Après avoir présenté le contexte du marché des produits transformés bio, le guide propose de faire un autodiagnostic permettant au responsable de se situer et d'évaluer le niveau d'organisation de l'entreprise face aux exigences réglementaires. Il détaille ensuite chaque étape clé de la transformation, en s'appuyant sur les spécificités de la réglementation bio et sur des cas concrets issus d'expériences d'entreprises. C'est notamment le cas pour la formulation des produits bio et les règles spécifiques sur les additifs et auxiliaires technologiques. De nombreuses fiches pratiques (contacts utiles, trame de cahier des charges, procédures...) sont fournies en complément, ainsi que des références réglementaires, bibliographiques et de nombreux contacts professionnels. Ce guide a été rédigé par le Réseau Bio de l'Actia : Critt Provence-Alpes-Côte d'Azur, Critt Poitou-Charentes et Actia, avec la participation de : ABioDoc, Acta, Agence Bio, Ecocert, Groupe Léa Nature - Jardin Bio, Itab, Synabio.
Un projet d'abattoir spécial circuits courts
Emmanuelle MAYER, AuteurLes circuits courts de produits carnés se heurtent souvent à l'absence d'abattoirs de proximité. Avec les mises aux normes de telles structures, les plus petits abattoirs ont en effet progressivement disparu. C'est le cas dans le Limousin, où tour à tour les abattoirs de Guéret, Eymoutiers et Gien ont fermé en 2007. Mais un collectif d'éleveurs et de bouchers, regroupés dans l'association Abattre et Valoriser la Viande en Limousin (A2VL), a le projet de remonter un abattoir de proximité, couplé à un atelier de découpe, un service de transport des animaux (vifs ou froids), et par la suite une structure de transformation. Après 4 années de réflexion, d'études de marché, et de démarchages auprès des collectivités, l'association a diagnostiqué un besoin et a des promesses pour 250 tonnes d'abattage et 90 tonnes en découpe, notamment pour des cantines scolaires qui souhaitent passer en bio ou en local. Elle espère récupérer prochainement l'abattoir d'Eymoutiers (400 000 euros de rachat) pour le mettre aux normes et créer la salle de découpe (350 000 euros de travaux).
Quelques repères techniques pour la conversion d'un troupeau caprin en AB en Rhône-Alpes
Le réseau des référents techniques régionaux agriculture biologique des Chambres d'Agriculture de Rhône-Alpes a réalisé un ensemble de fiches technico-économiques. Ces fiches sont des outils d'accompagnement des projets d'installation et de conversion. Cette fiche porte sur "Quelques repères techniques pour la conversion d'un troupeau caprin en AB en Rhône-Alpes" et aborde les points suivants : - La conduite des terres ; - Les méteils ; - Cheptel et reproduction ; - L'alimentation ; - La conduite sanitaire en bio ; - Nettoyage des bâtiments ; - Fumier produit ; - Pour assainir les litières ; - Rodonticide "bio" ; - La lutte contre les mouches ; - Sel pour la fromagerie ; - Quelques adresses.
Les recettes spécifiques à la bio : un atout à valoriser sans tarder
Cécile FRISSUR, Auteur ; Anne LEGER, AuteurLes adhérents du SYNABIO cherchent en permanence à valoriser les matières premières biologiques et développent des recettes innovantes et spécifiques. Depuis 3 ans, le SYNABIO les accompagne afin de valoriser leurs efforts et les différences majeures observées entre leurs produits et ceux proposés plus généralement aux consommateurs. En 2010, le SYNABIO a lancé une nouvelle étude "nutrition", sur « la spécificité des recettes des produits biologiques en comparaison avec les produits conventionnels et les conséquences sur la qualité nutritionnelle ». Ce projet s'est focalisé sur deux secteurs alimentaires : les produits laitiers frais et les plats préparés. Des listes d'ingrédients ont été collectées puis étudiées et comparées entre elles. Afin d'entreprendre une démarche sincère et objective en termes de représentativité, les informations ont été collectées sur des produits faciles d'accès et disponibles pour tous les consommateurs (collecte en grandes surfaces et sur des sites de courses en ligne). Cette lettre Info Qualité du SYNABIO en présente des résultats. Des points sont aussi notamment faits : sur la diversité des produits biologiques (qui peut s'exprimer soit par la variété des matières premières, soit par des formulations de recettes originales et singulières permettant ainsi de diversifier les goûts) ; sur les additifs (pour les denrées alimentaires conventionnelles, il y a actuellement plus de 300 additifs autorisés en France contre seulement 47 en bio, et l'utilisation des additifs dans les produits biologiques est régie par une liste positive figurant dans le règlement européen bio (Annexe VIII) où sont spécifiées les conditions d'utilisation très strictes pour chacun des 47 additifs) ; sur les arômes (en bio, seuls les arômes naturels et/ou biologiques sont autorisés. Tous les arômes de synthèse ainsi que les exhausteurs de goût faisant l'objet d'une numérotation européenne (Exxx) sont interdits) ; sur l'extraction et le raffinage des huiles en bio ; sur le recours à l'hydrogénation des matières grasses qui est interdit en bio ; sur l'utilisation le plus souvent de sel non raffiné par les opérateurs bio ; sur les matières sucrantes retrouvées dans les produits bio qui sont essentiellement du sucre non raffiné et des sirops de céréales. Est également présenté un exemple de comparaison d'une liste d'ingrédients en bio et en conventionnel, le produit étudié étant l'île flottante.
Région : Votre référent bio en Picardie
BIO-LINEAIRES, AuteurRéférent pour l'agriculture biologique en Picardie et créée en 1992 par des agriculteurs biologiques picards, l'ABP (Agriculture biologique en Picardie) a, en 2003, élargi ses domaines d'intervention en intégrant les professionnels biologiques de la transformation et de la distribution. Son rôle fédérateur facilite les échanges au cur des départements picards et la concertation entre les différents acteurs des filières biologiques. L'ABP fédère des membres d'horizons variés, acteurs de l'agriculture biologique représentatifs de la région. Elle est présente dans les réseaux locaux et nationaux et participe aux travaux de différentes instances. Son équipe pluridisciplinaire met en uvre des actions en faveur des filières biologiques, des collectivités et du grand public. Présentation de ces 4 missions principales ; des services destinés au développement de la bio ; des travaux spécifiquement conduits pour les filières ; des filières picardes en pleine croissance ; des actions concrètes en faveur des filières.
Réglementation : L'affichage environnemental : quels enjeux pour la filière bio ?
BIO-LINEAIRES, AuteurL'article revient sur le principe de limitation des impacts environnementaux (observations sur le réchauffement climatique qui ne laissent plus de doute, prise de conscience des états, concertations internationales dont le protocole de Kyoto, directive européenne des quotas CO2 ) et sur les enjeux qui y sont liés, pour les entreprises. Ainsi, l'article évoque l'apparition, à l'échelle nationale, d'une accélération de l'évolution des règlementations sur le reporting carbone au travers du Grenelle de l'environnement, au niveau de l'entreprise, au niveau des produits de grande consommation ; l'affichage environnemental (qui reprend l'analyse du cycle de vie d'un produit) ; l'unité fonctionnelle retenue dans le cadre de l'affichage environnemental. Au départ prévu pour début 2011, l'affichage environnemental est testé à partir de juillet 2011 sur une période de 1 an. L'appel à candidature a eu lieu fin 2010. 230 entreprises ont candidaté et 168 ont été retenues. Parmi elles, 70 industriels de l'agroalimentaire et des enseignes de la distribution (l'agroalimentaire est le premier participant). La filière de transformation bio semble un peu en retrait et se doit, selon l'article, de monter en compétences sur ces sujets et sur l'ensemble de sa chaîne alimentaire.
Reine Mathilde : un projet multi partenarial pour développer le lait biologique en Basse-Normandie
Caroline GODEFROY, Auteur ; Erika MOUSSEL, Auteur ; Jérôme PAVIE, Auteur | PARIS CEDEX 12 (Secrétariat 3R - MNE, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : RENCONTRES RECHERCHES RUMINANTS | 2011Le projet Reine Mathilde, présenté via ce document aux 18èmes Rencontres Recherches Ruminants de décembre 2011, est un programme multi-partenarial (partenaires publics et privés) de développement de la production de lait biologique en Basse-Normandie. Cette région connaît une dynamique favorable à cette production grâce à un maillage important de producteurs et d'entreprises. Aujourd'hui, elle produit 13 % du lait biologique français, et ce projet a pour vocation d'en faire une région pilote pour la production et la transformation laitière bio. Il s'articule autour de cinq modules décrits ici : - la formation et le conseil ; - l'analyse de la qualité des laits biologiques ; - la filière viande biologique ; - l'aspect vétérinaire ; - et la question de l'eau, de l'énergie et de l'environnement.
Réussir un projet collectif en circuits courts
Marie POISSON, AuteurDe plus en plus de collectifs de producteurs en circuits courts se forment. Objectif : mutualiser le matériel (ateliers, camions, frigos...), répartir les coûts et élargir la gamme de produits. Pour lever les craintes et limiter les risques, ces projets collectifs doivent reposer sur une implication forte des producteurs, une cohésion de groupe et des objectifs communs au service des exploitations. Dans le cadre du projet LiProCo (Lien Producteurs Consommateurs), les étapes et les écueils ont été repérés auprès de trois groupes, dans l'Ouest de la France. Après quelques années d'activité d'un atelier de transformation et de commercialisation, des évolutions interviennent. Face au difficile équilibre du budget, ainsi qu'aux premiers signes d'affaiblissement de l'engagement individuel pour le collectif, le collectif de travail se réorganise. En effet, le niveau d'engagement des membres évolue tout au long du projet mais, si des attentes individuelles s'affirment, le projet collectif peut perdurer en jouant sur la complémentarité... Il est notamment nécessaire, pour certains producteurs, de développer des compétences managériales. Le collectif peut alors s'organiser autour de trois groupes : les agriculteurs partenaires, les agriculteurs utilisateurs, les agriculteurs du noyau de décision. Les Paysans Fromagers Nantais (Loire-Atlantique), dix fermes associées pour transformer leur lait en fromage, ont ainsi révisé leur projet initial.
La seconde vie des vieux châtaigniers
Michèle FOURTEAUX, AuteurLa Sarl Inovfruit a été créée à Mussidan (en Dordogne) en 2002, sous l'impulsion de deux passionnés de machinisme, qui ont inventé une machine de pelage à froid pour valoriser les petites châtaignes. Habituellement délaissées, celles-ci peuvent alors être commercialisées sous vide. Depuis 2008, la production locale des producteurs associés ne suffit plus pour répondre à la demande. Inovfruit imagine donc de réhabiliter des châtaigneraies dépérissantes. Le programme Castanea Sylvava prévoit de réhabiliter 5 000 arbres par an, en les débroussaillant et en les élaguant la première année, puis en réalisant une taille de forme pour en optimiser la production, avant la récolte des fruits. Comme ces vergers n'ont pas reçu de traitement depuis des années, l'Inao a accordé une dérogation pour permettre leur conversion à l'agriculture biologique en un an, au lieu de trois. Ce projet, estimé à 3,5 millions d'euros sur 4 ans, est soutenu par la Région Aquitaine, le Département de la Dordogne, l'Europe et la Datar environnement. La modernisation de l'usine sollicite également des fonds du Feader.
La structuration des filières biologiques par l'artisanat
Matthieu RIOS, AuteurL'association interprofessionnelle Inter Bio Normandie mène actuellement un travail de fond sur la structuration des filières biologiques, notamment à travers le développement de la transformation régionale de produits biologiques et de points de vente locaux. Une réunion d'information à destination des bouchers a été organisée afin de leur présenter les spécificités techniques et réglementaires de la production biologique. De même, une journée était destinée aux boulangers, qui ont exprimé un besoin important de formation sur la boulangerie biologique. D'autres réunions de ce type devraient être organisées, ainsi que des journées Filières et Techniques communes à l'ensemble des opérateurs. La question de la certification biologique et de ses coûts a été soulevée par les artisans. Des solutions pour les accompagner, comme la mise en place d'une aide à la certification, sont à l'étude.
Technique : Faire sécher ses fruits
Roger GAVINELLI, Auteur ; Garance PELLIER, AuteurLe fruit séché est un aliment de choix sur le plan nutritionnel. Sous un faible volume, il apporte des minéraux, des vitamines, des sucres, des protéines utiles à la santé. Seule la vitamine C, très fragile, est en partie oxydée. Afin de la préserver au maximum et de ne pas altérer les aliments, le séchage doit être mené avec soin. Présentation des aspects techniques d'une pratique ancestrale : L'eau dans le produit ; L'eau dans l'air ; Les phénomènes de brunissement ; Les trois phases du séchage ; Influence de la taille et de la disposition des aliments ; Règles et conseils pour le séchage ; Les différentes techniques de séchage ; Autres méthodes de séchage ; Conserver les fruits séchés ; La figue ; L'abricot et la pêche.