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Documents disponibles dans cette catégorie (56)


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En direct de lInao : Lapins bio : les règles de lélevage évoluent
Léa ROUZEYROL, AuteurDepuis le 1er janvier 2022, lélevage de lapins (cuniculture) biologiques est encadré par le règlement européen bio 2018/848. Le cahier des charges français, qui était jusqualors en vigueur, est ainsi devenu caduc. Les lapins doivent être logés en groupes pour répondre à leur instinct grégaire. Néanmoins, pour des raisons de bien-être animal, les mâles et les femelles (gestantes ou reproductrices) peuvent être isolés durant une période limitée, en gardant un contact visuel avec leurs congénères. Deux types de bâtiments sont autorisés en bio : les bâtiments mobiles installés dans les pâtures et les bâtiments fixes y donnant accès. Ces abris doivent respecter des surfaces minimales et des fourchettes de densités de peuplement (ces dernières sont maintenant plus faibles que celles qui étaient imposées par le cahier des charges français, ce qui demande quelques adaptations aux éleveurs). Ces logements doivent avoir une hauteur minimale permettant aux lapins de se tenir debout les oreilles dressées, avoir suffisamment de cachettes sombres pour que les animaux puissent sy réfugier, et disposer de matériaux à ronger (bien que cette mesure fasse débat, car les lapins sont des lagomorphes et non des rongeurs). Enfin, lalimentation doit reposer principalement sur le pâturage (le nouveau cahier des charges impose au moins 60 % de fourrage grossier dans lalimentation des lapins bio).
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Réglementation bio : Lapins bio
Cette fiche, réalisée à partir des différents textes réglementaires, est consacrée à la réglementation 2022 en élevage de lapins bio. Au sommaire : - Les textes réglementaires ; - Généralités ; - La conversion bio ; - Mixité bio / non bio ; - Origine des animaux ; - Alimentation ; - Pratiques d'élevage ; - Prophylaxie ; - Logement et bâtiments pour les lapins ; - Parcours des lapins et espaces extérieurs ; - Surfaces des bâtiments et des parcours ; - Produits de nettoyage et de désinfection des bâtiments ; - Enregistrements obligatoires.
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Groupe Ecocert : Nouvelle réglementation Bio : Nos fiches transition
Le nouveau règlement AB européen, le R(UE) n° 2018/848, est entré en application à compter du 1er janvier 2022. Dans ce cadre et afin de permettre de prendre connaissance de l'essentiel des modifications, Ecocert met à disposition des fiches de transition par grandes thématiques de production : Fiche Productions végétales ; Fiches Herbivores ; Fiche Porcs ; Fiche Volailles ; Fiche Poulettes ; Fiche Lapins ; Fiche Produits transformés ; Fiche Importations. Ces documents sont susceptibles d'être complétés en fonction des textes restant à paraître.
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Guide éleveur.se.s : Elever des lapins bio
Alexandre ROUMET, Auteur ; Anne UZUREAU, Auteur ; Marie-Christine FAVÉ, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 02 (Pôle Régional Bio, 9 Rue André Brouard - CS 70510, 49 105, FRANCE) : CAB PAYS DE LA LOIRE | 2020Ce guide technique apporte des informations sur la filière cunicole biologique, ainsi que des conseils techniques sur la production de lapins bio. Il est le fruit dun travail initié en 2020 par lAELBF (Association des Eleveurs de Lapin Bio de France) et a été construit en lien avec les éleveurs du GIEE LAPINS. Ce guide commence par présenter cette filière émergente, ainsi que la diversité des acteurs qui la composent. Il apporte ensuite des éléments sur les grands principes de la production cunicole biologique, sur les textes réglementaires, sur les questions à se poser avant de monter un atelier cunicole bio ou de convertir un atelier déjà existant Il détaille également certains points, sur des aspects techniques et réglementaires (le logement, lalimentation et labreuvement, la reproduction, la santé des lapins, labattage et la transformation, la commercialisation), avant de fournir des références technico-économiques. Les témoignages de sept éleveurs de lapins bio sont ensuite rapportés : Romain Lombard sest fait accompagner par la CIAP (Coopérative dInstallation en Agriculture Paysanne) durant son installation ; Sylvie Girandier a un système de production composé uniquement de parcs fixes : Jean-Pierre Goby est enseignant et responsable de latelier lapin biologique de lIUT de Perpignan ; Jean-Mathieu Billoud abat ses lapins à la ferme ; Carine Poteaux produit des lapins bio pour une filière semi-longue ; Pascal Orain a adapté sa conduite délevage en fonction des saisons ; Laura Zuanella sest installée avec son compagnon, début 2020, et a lancé un atelier lapins bio pour diversifier le système de production.
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Lapins bio : un herbivore à contenter
Maud LERAY, AuteurLélevage de lapins bio est peu connu et minoritaire. Néanmoins, entre les projets dinstallation et ceux de diversification, un besoin en données techniques se fait sentir, notamment sur lalimentation. Le pâturage reste la première source dalimentation de cet animal. Même si un lapin nest jamais uniquement alimenté à lherbe, les fourrages grossiers doivent représenter au moins 60 % de sa ration. En élevage biologique, il est possible de réaliser du pâturage tournant, avec des abris mobiles, ou dutiliser des parcs fixes. La composition des prairies est un levier non négligeable pour optimiser lapport de protéines à bas coût. Les légumineuses (luzerne, sainfoin, trèfle incarnat ) doivent avoir une place privilégiée et représenter au moins 40 % des espèces. Pour compléter lalimentation, il est possible de fabriquer des aliments à la ferme. Dans ce cas, il faudra privilégier les graines entières, plutôt que la farine ou les céréales broyées, car le lapin est très sensible à la poussière. Pour limiter le gaspillage, les granulés doivent respecter certaines caractéristiques : 3-4 mm de diamètre, 8-10 mm de longueur et une dureté moyenne. Il est également possible de distribuer un mélange céréales-protéagineux, à condition que ce dernier soit bien équilibré.
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Lapins bio : La nouvelle réglementation suscite des inquiétudes
Françoise FOUCHER, AuteurLes éleveurs de lapins biologiques français sinterrogent sur les impacts du nouveau cahier des charges bio européen sur leur filière. Parmi les principales évolutions par rapport au cahier des charges français (CCF) jusqualors en vigueur : i) la taille de lélevage nest plus limitée ; ii) quelques changements minimes en matière de densité des animaux en intérieur, mais réduction importante en extérieur (ex. : au moins 2.5 m² pour une lapine avec lapereaux, contre 5 m² dans le CCF) ; iii) un minimum de 70 % d'aliments bio et en conversion provenant de la ferme ou à défaut de la région (soit le territoire national), contre 50 % jusqualors ; iv) pour le logement, les abris mobiles sur prairies à pâturer et les bâtiments fixes avec parcours extérieur végétal sont les seuls autorisés (le semi-plein air nest donc plus possible) ; v) en systèmes dabris mobiles, lobligation de déplacer les abris chaque jour pour renouveler loffre de pâturage disparaît ; vi) tous les logements devront rendre possible la position debout du lapin, oreilles dressées. Nombre de ces mesures, semblant contradictoires parfois, posent question : comment, en réduisant la surface par animal en extérieur, assurer un pâturage suffisant, compatible avec lobjectif exigé de 60 % daliments grossiers, et limiter le parasitisme ? Lévolution des conditions de logement comme laugmentation de la hauteur semble peu conforme avec léthologie de lanimal qui recherche plutôt des abris pour se tapir. De plus, la mise aux normes de ces mêmes logements, qui vont devenir plus lourds à déplacer, va demander des frais importants, à la charge des éleveurs, sans parler du fait que maintenir ces abris à bonne température et hors courant dair sera plus difficile. Autant déléments qui poussent les éleveurs biologiques français à sinterroger sur lavenir de leur filière émergente. Une enquête le montre : le nouveau règlement amène nombre dentre eux ou en passe de le devenir à sinterroger sur leur volonté de travailler sous lagrément bio.
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Les nouvelles fiches règlementaires FNAB (en vigueur au 1er janvier 2022)
FNAB, Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2020 et 2021Avec lentrée en vigueur du nouveau règlement bio européen au 1er janvier 2022, la FNAB a mis à jour ses fiches règlementaires. Elles comprennent des fiches socles : Productions végétales ; Cadre général Élevage ; Contrôles. Elles comprennent également des fiches par espèce : Bovins viande & équidés ; Bovins lait ; Porc ; Volailles de chair ; Poules pondeuses ; Ovins & Caprins Lait et Viande ; Lapins ; Escargots.
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Compilation bibliographique de références technico-économiques en AB en France : Réalisée à partir de la base de données documentaire Biobase dABioDoc
Natacha SAUTEREAU, Auteur ; Esméralda RIBEIRO, Auteur ; Sophie VALLEIX, Auteur ; ET AL., Auteur | LEMPDES (VetAgro Sup - Campus agronomique de Clermont, 89 Avenue de l'Europe - BP 35, 63 370, FRANCE) : ABIODOC (Service de VetAgro-Sup) | 2018LITAB, en lien avec tous ses partenaires, contribue à valoriser les références concernant lagriculture biologique, quelles soient techniques, environnementales, sociales ou économiques. A la demande du ministère de lAgriculture et en vue didentifier les travaux produits par les différents acteurs de la recherche et du développement, producteurs de références technico-économiques en agriculture biologique, lITAB a sollicité ABioDoc pour une extraction de sa base de données documentaire spécialisée en AB, la Biobase (http://abiodoc.docressources.fr/), sur cette thématique. Pour rappel, ABioDoc est le Centre national de ressources en agriculture biologique, service de VetAgro Sup et missionné par le Ministère de lAgriculture. En se focalisant sur les dix dernières années (2008-2017), cette requête basée sur 16 mots-clés (marge brute, coût de production, excédent brut dexploitation, référence technico-économique, durabilité économique ) a conduit à lobtention de plusieurs centaines de notices bibliographiques. Ces dernières ont été regroupées dans cette compilation et catégorisées par systèmes de production (bovins lait, porcins, maraîchage ).
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Les lapins, ça broute !
Anna JENNI, AuteurEn Suisse, dans le cadre du projet « Has im Gras » (lapins dans lherbe), une lapinière mobile a été testée durant le printemps 2018. Lobjectif était détudier lengraissement de lapins en plein air. Pour cela, une roulotte montée sur châssis automoteur a été conçue, entourée de clôtures et recouverte dun filet de protection contre les oiseaux. Après une phase dhabituation de deux semaines pendant laquelle les lapins étaient fermés dans la roulotte durant la nuit, ces derniers ont ensuite bénéficié dun accès permanent au pâturage de 54 m2, avec du foin et un aliment composé exprès pour l'essai (blé, orge et farine dherbe) à disposition. Deux séries dengraissement de 33 et 34 lapins ont été effectuées, avec un abattage à 91 et 98 jours, pour un GMQ de 33 et 34 grammes. Aucun cas de parasitisme na été détecté, bien quune crainte avait été émise sur le fait que le pâturage puisse entraîner une augmentation drastique de la pression parasitaire. Les lapins recevaient des additifs végétaux afin de stabiliser leur flore intestinale et le déplacement hebdomadaire de la roulotte a permis de réduire la pression parasitaire. Ce système intéresse fortement les organismes agricoles bio de Suisse, mais, pour linstant, il ne permet pas datteindre une production rentable en raison de la petite quantité de viande produite par lapinière. Des améliorations sont en cours.
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Les pratiques et performances techniques de l'élevage cunicole biologique en France : Étude exploratoire à partir de neuf élevages
Lélevage cunicole certifié Agriculture biologique (AB) est ancien (années 1970) et cependant toujours très peu développé en 2018. Pour contribuer à la promotion de ce système de production, lINRA a développé un programme de recherche (CUNIPAT). L'une des actions consiste à décrire les pratiques de production et à mettre en évidence les performances techniques. Neuf élevages cunicoles AB ont été sélectionnés et visités dans le cadre de ce stage de fin d'étude. Les éleveurs ont répondu à un questionnaire et ont fourni leurs cahiers délevage. A partir des données disponibles, différents systèmes de logement, dorganisation du travail et de gestion de la reproduction sont identifiés. Les performances techniques restent difficiles à calculer, car les données brutes manquent de précision, mais des tendances peuvent être mises en évidence. La cuniculture AB est souvent une activité secondaire, et de taille modeste. Elle demande une grande technicité pour stabiliser le système d'élevage et rémunérer le travail. Les animaux sont élevés sur des pâtures, en cages mobiles ou parcs, tout au long de lannée. Tous les élevages ont recours à la saillie naturelle qui engendre un taux de fertilité moyen de 57 %. La taille moyenne de la portée à la naissance est de 8,8 lapereaux, dont 8,0 vivants parmi lesquels 6,2 sont sevrés. Bien que ces systèmes AB soient difficilement comparables à la cuniculture conventionnelle, ces chiffres indiquent une forte potentialité de progression technique. Plusieurs leviers damélioration technique sont proposés à lissue des résultats de cette étude : meilleur suivi du planning de reproduction, palpation, égalisation des portées, réflexion autour des logements, etc.
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Approche agro-écologique de la gestion du parasitisme en élevage : application en système cunicole biologique
Les problèmes de parasitisme représentent un frein important au développement de l'élevage de lapins (cuniculture) en agriculture biologique. En effet, en élevage bio, contrairement aux autres systèmes d'élevage, les animaux ont un accès à l'extérieur et une part de leur alimentation provient de la consommation d'herbe. De plus, les références sur le sujet sont relativement limitées. A travers ce travail de thèse, l'auteur s'est penché sur : - l'intérêt du sainfoin, plante riche en tannins condensés, comme ressource pour l'alimentation du lapin, et pour ses propriétés antiparasitaires ; - le niveau d'ingestion au pâturage des lapins et les conséquences sur la production ; - le risque parasitaire au pâturage pour des lapins en production. Les résultats obtenus ont permis de confirmer l'intérêt du sainfoin pour l'alimentation des lapins. A partir de ce constat, des pratiques innovantes pourront être développées pour les élevages de lapins biologiques mais aussi conventionnels.
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Engraissement du lapin au pâturage : Ateliers de modélisation participative sur les pratiques
Louise JOLY, Auteur ; Thierry GIDENNE, Auteur ; Guillaume MARTIN, Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2017Selon les acteurs de la distribution, l'offre en viande de lapin biologique est inférieure à la demande. Or les cuniculteurs en bio sont peu nombreux et les références en AB rares. Dans le cadre du projet CUNIPAT, ayant pour objectif de développer cette production, le simulateur Patulap' a été conçu à destination des éleveurs et des conseillers agricoles. Il simule des scénarios de conduite technique des lapins engraissés au pâturage. Il propose à la fois des résultats agronomiques, zootechniques par semaine d'engraissement (taux d'utilisation de l'herbe, croissance du lapin) et des résultats économiques (marge brute sur le coût alimentaire). Des ateliers de modélisation participative ont été organisés chez des éleveurs afin de tester la capacité du simulateur Patulap' à stimuler des discussions entre éleveurs et l'application de celui-ci sur des cas concrets. Trois de ces échanges ont déjà eu lieu : un à l'IUT de Perpignan, deux chez des éleveurs, en Mayenne et dans les Côtes d'Armor. Dans l'ensemble, les agriculteurs y ayant participé trouvent l'outil utile et intéressant dans le cadre d'une gestion de plusieurs lots d'engraissement simultanés. En exemple, l'article présente les résultats de simulation d'un éleveur cherchant à améliorer la valorisation de ses prairies par le pâturage des lapins.
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Une filière à la traîne : Les lapins bio sauront-ils rebondir ?
Françoise FOUCHER, AuteurLélevage cunicole biologique est une filière confidentielle avec quelques dizaines déleveurs en France. Organisés en association, ces derniers souhaitent échanger, analyser leurs pratiques et travailler sur des leviers de progrès. Avec une demande non satisfaite, nécessitant peu dinvestissements, et des animaux faciles à manipuler, cette filière ne manque pas datouts mais demeure mal connue. De plus, les freins sont nombreux : absence de références techniques, manque de connaissances sur les stratégies alimentaires à adopter (notamment au pâturage) ou sur la gestion de la santé (parasitisme, troubles digestifs), un cahier des charges imposant 60 % de la ration (en matière sèche) en fourrages grossiers Mais ce dernier autorise aussi lélevage de lapins en intérieur, sur sol bétonné, avec aire dexercice et affouragement. Cela peut être une alternative, face à la difficulté à gérer le pâturage, mais bien plus éloignée de limage du lapin sébattant dans lherbe verte.
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Élever des lapins au naturel
Christophe PAVIE, AuteurPour démarrer un petit élevage familial de lapins, quelques repères sont nécessaires. L'article aborde la question du choix de la race, en soulignant l'importance de privilégier des races locales, puis celle de l'habitat, de l'alimentation, et de la prévention des maladies. L'auteur, éleveur de lapins, donne également son avis sur l'utilisation et la part de l'herbe dans l'alimentation de ces animaux.
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Faire pâturer les lapins !
Guillaume MARTIN, Auteur ; Jean-Pierre GOBY, Auteur ; Audrey DUPRAT, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2016Dans le cadre d'un partenariat impliquant l'INRA, l'IUT de Perpignan, l'ITAB et les cuniculteurs AB organisés en association (AELBF), les premiers essais de cuniculture sous label AB en France ont été conduits. L'objectif était de caractériser l'ingestion d'herbe et d'aliment complet granulé, ainsi que la croissance de lapins au pâturage dans différents contextes climatiques, et sur différents types de prairies avec différents niveaux de complémentation. Trois essais ont été conduits entre le printemps 2014 et l'hiver suivant sur trois prairies de la station expérimentale (sous label AB) de l'IUT de Perpignan. Des mesures hebdomadaires des quantités d'herbe offertes/refusées au pâturage, des quantités d'aliment complet distribuées/refusées et du poids des lapins, ont permis de calculer l'ingestion et la croissance des lapins au pâturage.