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Documents disponibles dans cette catégorie (34)


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La cerise travaille sa protection
RÉUSSIR FRUITS ET LÉGUMES, AuteurEn Auvergne-Rhône-Alpes, le projet SysABC, lancé en 2022 pour une durée de trois ans, vise à mettre en place des systèmes de conduite de cerisiers bio correspondant à des stratégies de protection contre les ravageurs de la cerise, notamment la drosophile du cerisier (Drosphila suzukii). Pour cela, des essais sont réalisés sur le verger du Lycée du Valentin et sur celui de la Sefra, afin de définir des stratégies de protection rentables, à partir de données recueillies auprès des producteurs de la région. Ces données, ainsi que les résultats des essais, serviront ensuite de références technico-économiques.
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Vignerons du monde : Oxney Estate Kristin Syltevik : Une pétillante production anglaise
Louise JEAN, AuteurOxney Estate est le plus grand domaine viticole biologique d'Angleterre. Il sétend sur 14 ha et se situe au sud-est du pays, dans le Sussex, à 15 km de la Manche. Les vignerons doivent donc composer avec une météo particulièrement pluvieuse, propice au développement des maladies (même si, avec le changement climatique, la situation est en train de changer). La vigne fait partie dun domaine agricole plus vaste de 344 ha, composé de grandes cultures et de prairies pâturées par des moutons. Depuis 2012, des vignes ont remplacé quelques prairies. Les dernières vignes ont été plantées en 2018. Cest Kristin Syltevik qui sen occupe. Les vignes ont été implantées sur une pente douce orientée sud-ouest. Leur ennemi numéro un est le mildiou. La vigneronne arrive globalement à rester en dessous du seuil des 4 kg de cuivre métal par hectare, même si ce seuil a été franchi en 2021. Sa stratégie repose sur des passages fréquents à de faibles doses de cuivre. Contre le botrytis, elle a opté pour un produit de biocontrôle, et elle utilise du soufre et du bicarbonate de potassium contre loïdium. Elle renforce également les défenses de ses vignes avec des extraits naturels dalgues. Au chai, Kristin Syltevik cherche à intervenir le moins possible sur ses vins. La gamme quelle vinifie est essentiellement constituée de pétillants blancs ou rosés, millésimés ou non, monocépages ou non, suivant les cuvées.
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Dossier : Produire des petits fruits : De grands défis bien valorisés
Marion COISNE, Auteur ; Tanguy DHELIN, AuteurEn agriculture biologique, la production de petits fruits est relativement bien valorisée. Possible sur de petites surfaces, cela peut être un atelier de diversification intéressant, mais la demande importante motive aussi les installations spécialisées. Dans un premier article, Jean-Luc Petit, conseiller et formateur en arboriculture biologique, fait le point sur cette filière. Avec l'Itab, il va rééditer le guide "Fruits rouges en agriculture biologique". Principale évolution depuis la première édition de 1991 : la présence de Drosophila suzukii en France, mouche qui est devenue la préoccupation première des producteurs. Un autre article de ce dossier est d'ailleurs consacré aux différentes méthodes de lutte à combiner pour y faire face. La lutte contre le Phytophthora et la bonne gestion de la fertilisation sont également abordées. Côté filière, la demande est en plein boom, aussi bien pour une consommation en frais que pour des produits transformés à la ferme ou en industries. Pour clore ce dossier, deux producteurs témoignent : Jean-Luc et Gilles Rimbaud, dans les Alpes-de-Haute-Provence, et la famille Lucas, dans l'Oise.
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Lutte biologique : Introduire un auxiliaire pour contrôler Drosophila suzukii
Benjamin GARD, Auteur ; Marine SAUVIGNET, Auteur ; Amélie BARDEL, Auteur ; ET AL., AuteurLa lutte biologique, via les lâchers dinsectes auxiliaires, fait partie des leviers à mobiliser pour lutter contre les ravageurs. Cette méthode est notamment étudiée par le CTIFL et ses partenaires pour contrôler le développement de Drosophila suzukii et protéger durablement les cultures de fruits rouges. Lobjectif est dacclimater, en France, un auxiliaire identifié en Asie, parasitoïde larvaire spécifique de la Drosophila suzukii : Ganaspis cf. brasiliensis. Deux souches ont été retenues comme agents potentiels de lutte biologique et testées lors dun essai qui visait à évaluer, en conditions semi-naturelles, la capacité dadaptation de ce parasitoïde. Des lâchers de G. brasiliensis ont été réalisés en cages, avec des plants de fraisiers préalablement infestés de D. suzukii, qui ont ensuite été comparés à des témoins non traités. A la fin des semaines dobservation, les résultats ont montré que linsecte auxiliaire a permis de limiter laccroissement de la population du ravageur de 50 %.
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Organic World Congress 2021 : Le congrès mondial de la bio en France
Marie VINCENT, Auteur ; Juliette PELLAT, AuteurAprès avoir été repoussée dun an, la 20ème édition du Congrès Mondial de la Bio - Organic World Congress (OWC) sest tenue du 6 au 10 septembre 2021, à Rennes. Elle sest déroulée à la fois en présentiel et en distanciel, et a regroupé près de 2 200 acteurs de la bio issus de 50 nationalités différentes. Une grande diversité de conférences et dateliers a été proposée. Cet évènement offre ainsi lopportunité de partager des connaissances et des expériences afin de poursuivre le développement de lagriculture biologique. Parmi les nombreux sujets abordés, deux thématiques sont entrées en résonnance avec les travaux du CTIFL : le développement de systèmes de culture bio innovants visant à réduire le travail du sol (notamment en maraîchage et en arboriculture) et la gestion des ravageurs émergents (notamment Drosophila suzukii et Halyomorpha halys punaise diabolique -). Cet article apporte de plus amples informations sur ces deux thématiques.
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Santé des arbres fruitiers : Opter pour des soins alternatifs
Arnaud FURET, AuteurDe nombreux arboriculteurs cherchent des solutions alternatives en matière de protection des végétaux (phytothérapie, aromathérapie, homéopathie, etc.). Alors que, dans les années 2000, ils cherchaient des insecticides, insectifuges et fongicides alternatifs, leurs attentes sont maintenant de plus en plus tournées vers une bonne santé globale de la plante. En Ardèche et en Haute-Loire, des producteurs ont suivi des formations dispensées par Eric Petiot (expert des plantes et préparations naturelles). Afin de pouvoir mettre en uvre ces préparations et les évaluer sur le terrain, un groupe Ecophyto Dephy-ferme a été formé en 2016. Grâce à ce dernier, les producteurs ont pu affiner leurs stratégies de lutte. Les effets de certaines pratiques alternatives ont pu être quantifiés à travers diverses analyses (ex : suivis de la conductivité, du pH et du redox des sols). Cet article présente également des résultats obtenus dans divers projets de recherche-développement : efficacité d'infradoses de sucre contre le carpocapse, des mélanges dhuiles essentielles contre Drosophila suzukii, d'infusions contre les pucerons non migrants Dans des encarts, Christophe Francès, producteur bio de petits fruits et Gilbert Leouffre, arboriculteur bio, expliquent comment ils arrivent à produire des fruits en altitude.
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Verger protégé monoparcelle : Filets et bâches pour contrôler D. Suzukii et réduire léclatement des fruits et le monilia
Amandine BOUBENNEC, Auteur ; Alyson FAUST, AuteurLes attaques de ravageurs difficiles à maîtriser et les épisodes de pluie plus fréquents rendent la production de cerises incertaine. Depuis 2009, le centre CTIFL de Balandran étudie lefficacité dune protection monoparcelle « insect-proof », associée à des bâches anti-pluie, dans le but de protéger les fruits des mouches de la cerise (Drosophila suzukii), de réduire léclatement des cerises et de protéger les fruits du Monilia. Les filets « insect-proof » englobent totalement la parcelle (parois et toit) et restent en place tout au long de lannée. Les bâches anti-pluie sont déployées avant la floraison et sont repliées juste après la récolte. Cette combinaison de leviers a permis une bonne protection contre Drosophila suzukii et contre léclatement. En revanche, la protection contre le Monilia reste à préciser. Cette méthode de protection a également créé un microclimat (modification de la température et de lhumidité) et a augmenté, chaque année, le pourcentage de fruits doubles. Par ailleurs, ce système pourrait permettre dintroduire de la lutte biologique dans ces vergers pour contrôler dautres ravageurs tels que le puceron noir.
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Dégâts sur fraises : Des pistes contre Drosophila suzukii
Marion COISNE, AuteurEn Pays de la Loire, face au manque de solutions pour lutter contre Drosophila suzukii en culture de fraisiers, le CDDL (comité départementale de développement légumier) a étudié plus amplement les caractéristiques de ce ravageur afin de mieux le gérer (projet Reproleg 2017-2019). Les moyens de lutte apparus comme les plus intéressants sont la prophylaxie et les filets, mais ces derniers favorisent dautres ravageurs (pucerons, thrips et acariens) et maladies (botrytis) car ils limitent la ventilation. La prophylaxie repose principalement sur laugmentation de la distance entre les plants de fraisiers, le retrait des vrilles et des feuilles en sénescence, lévacuation des déchets en dehors de la parcelle et une récolte au moins tous les deux jours. Des plantes de services ont également été testées (menthe poivrée, ail et coriandre), mais elles nont pas montré de résultats concluants. Des lâchers dauxiliaires (Trichopria drosophilae) ont aussi été effectués, mais il est difficile de conclure sur leur efficacité (ils ont probablement été affectés par un traitement destiné à lutter contre les thrips). Cet article est complété par deux encarts. Lun deux rapporte le témoignage de Sandra et de Matthieu Gilbert, deux maraîchers bio vendéens qui ont été touchés par ce ravageur. Par ailleurs, un autre encart est dédié à la recherche de parasitoïdes pour lutter contre les pucerons des fraisiers. Sur le terrain, il semble que les parasitoïdes naturellement présents soient plus efficaces contre les pucerons que les parasitoïdes d'élevage.
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Le Cerisier en Bio : chamboulé comme jamais
Juliette DÉMARET, AuteurLe cerisier est un arbre commun en France, qui est installé depuis des millénaires. Pourtant, depuis quelques années, conduire un verger biologique de cerisiers savère être un exercice complexe : pertes importantes à cause de larrivée dun nouveau ravageur (Drosophila Suzukii), difficultés à mettre en place une protection sanitaire en raison des nombreuses évolutions du cadre réglementaire national, surtout en bio, pertes de production en raison du changement climatique Ce document apporte des conseils sur litinéraire technique des vergers bio de cerisiers, tout en prévenant que de nombreux changements sont en cours dans ce domaine. Il apporte tout dabord des conseils pour gérer les vergers existants, cest-à-dire les vergers en gobelet semi piéton à faible densité et sans couverture. Il aborde à la fois la gestion des risques sanitaires, la réglementation, les risques climatiques, ainsi que limportance daugmenter le calibre des fruits. Des conseils sont ensuite délivrés pour implanter un nouveau verger de cerisiers : choix des variétés, de la couverture (filets mono-rangs ou couvertures mono-parcelles), et du mode de conduite (gobelet libre semi piéton ou formes palissées plates).
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Drosophila Suzukii : Comment lutter contre un ravageur émergent en culture de petits fruits
Maureen HARVOI, Auteur ; Cécile SALPIN, AuteurLARELPAL (station régionale des Pays de la Loire) a déposé le projet REPROLEG pour trouver des solutions de détection et de lutte efficaces contre le développement de la Drosophila suzukii sur fraisiers remontants. Ce projet a débuté en 2017 et se clôture cette année. Lheure est au bilan. Avant de mettre en place une stratégie de lutte, il est très important de connaître l'environnement de l'exploitation et didentifier les plantes hôtes de la drosophile, que ce soit des cultures (fraise, cassis, cerise ) ou des espèces sauvages (lierre, ronce, arbousier, prunelier ). Lobjectif étant dimplanter les cultures sensibles loin de ces espèces sauvages. Dautres méthodes prophylactiques peuvent être mises en place : récoltes rapprochées (tous les 2-3 jours), solarisation des déchets de cultures, création dun environnement peu favorable à la drosophile (effeuillage, enherbement bas, taille des haies). Il est toutefois important de trouver un équilibre entre la lutte et la préservation de la biodiversité. Les filets insect-proof (maille de 0,22 mm) ont également fait leurs preuves. Dautres moyens de lutte sont encore à létude : lâchers de Trichopria drosophilae, recours à des plantes de services (ail, menthe, coriandre).
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La Drosophile suzukii : Un bio agresseur qui fonce
Emmanuelle CHOLLET, AuteurLa drosophile suzukii est un ravageur qui sattaque à de nombreux fruits (fruits rouges, pruneaux, abricots ). Son cycle de développement est très rapide (20 jours), ce qui lui permet de réaliser entre 10 et 13 cycles par an. À chaque cycle, la drosophile suzukii pond entre 100 et 200 ufs. Comme sa population peut augmenter très rapidement, il est important de lutter contre ce ravageur dès quil a été observé dans une parcelle. Il est alors possible deffectuer du piégeage, notamment à laide de la préparation suivante : 1/3 deau, 1/3 de vin rouge et 1/3 de vinaigre de cidre. Des méthodes prophylactiques peuvent également être mises en uvre : tenir un enherbement bas, arroser le matin (si lenvironnement est sec, la drosophile préfèrera se réfugier dans les haies), récolter fréquemment les fruits (voire effectuer des récoltes totales), recourir à des plantes pièges (prunus padus), favoriser les prédateurs naturels à laide de haies... Il est également possible deffectuer de la lutte physique à laide de filets sur les fraisiers et les framboisiers. Enfin, des traitements peuvent aussi être employés, notamment le Spinosad, la chaux éteinte (elle augmente le pH du fruit et freine le développement des larves) ou encore des extraits dails ou de tanaisie.
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Il faut davantage de framboises en été
Markus SPUHLER, AuteurEn Suisse, la demande en framboises biologiques est forte durant lété, mais beaucoup de producteurs bio cultivent des variétés automnales. Ceci permet déviter des problèmes de maladies (sur les tiges et sur les racines) et le ver des framboises. Andreas Häseli, conseiller fruits et petits fruits au FiBL, donne des informations techniques pour cultiver des framboises bio durant la période estivale. Pour y parvenir, deux principales conditions sont à respecter : choisir les meilleurs sols du domaine et planter les framboisiers sur buttes en incorporant du compost. Contre le ver des framboises, il est possible de recourir au spinosad (même si cet insecticide à spectre large est controversé). Il est également important de récolter les framboises mûres tous les deux à trois jours, afin déviter que la drosophile suzukii puisse sétablir dans la plantation. Des filets peuvent aussi être utilisés contre ce ravageur. Les témoignages de deux producteurs de framboises bio permettent ensuite dillustrer les avantages et les inconvénients de deux méthodes : lun deux utilise des plants de framboisiers à longues tiges (plants annuels), et lautre a recours à des plantations pluriannuelles.
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P. Loridat producteur de myrtille en Haute-Saône : « Je recherche la qualité »
Frédérique ROSE, AuteurPhilippe et Annemieke Loridat sont producteurs de myrtilles bio, aux pieds des Vosges, depuis 1991. Ils cultivent treize variétés anciennes et gustatives afin notamment dassurer une meilleure résistance aux aléas climatiques et aux ravageurs. Ils misent tout sur la qualité de leurs fruits : ils commercialisent les meilleurs en vente directe et transforment les fruits qui ne répondent pas à leurs critères de qualité. Ils fertilisent leurs parcelles avec un amendement organique type 3.3.3 + 4 et irriguent au goutte-à-goutte. Leur gestion des ravageurs et des maladies repose principalement sur la biodiversité (ils pratiquent lenherbement pour favoriser les auxiliaires). Pour savoir sils doivent traiter au Bt les variétés les plus sensibles aux chenilles verte, ils effectuent des préfloraisons forcées : ils coupent des rameaux et les font fleurir précocement en intérieur afin de vérifier si le ravageur est présent ou non. Ils arrivent plutôt bien à gérer la Drosophila suzukii, même si elle reste présente dans leur parcelle, et ils refusent de traiter au spinosad. En cas de trop forte pression, la petite taille de leur exploitation leur permet de ramasser tous les fruits rapidement et de les transformer. Leur système de production est gourmand en main duvre : ils emploient l'équivalent de dix salariés locaux à plein temps sur leur 4,5 ha pour une production de 40 tonnes.
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Plein phare sur la Drosophila suzukii : Le sujet focus de la première journée technique CTIFL petits fruits et les essais des producteurs bio
Rémi COLOMB, AuteurLe 10 octobre 2018, avaient lieu les premières rencontres techniques nationales en petits fruits organisées par le CTIFL. Après avoir fait un point sur les besoins du marché et sur les dernières connaissances techniques dans la conduite des cultures en agroécologie, un focus a été réalisé sur la gestion de la drosophile suzukii. Laccent a été mis sur limportance de combiner plusieurs méthodes de lutte, que ce soit en conventionnel ou en bio, pour arriver à faire baisser la pression exercée par ce ravageur (prophylaxie, biocontrôle, lutte biologique, lutte physique, génétique). Des témoignages sont venus enrichir ces présentations, comme celui de Marjolaine et Dominique Roybon, arboriculteurs et producteurs de petits fruits diversifiés bio en Isère. Ils utilisaient des pièges installés sous le feuillage de leurs fraisiers (sous abris), mais ils nétaient pas satisfaits de leur efficacité. En 2018, ils ont testé des filets AltDroso : ils nont quasiment pas eu de pertes et ont gagné en qualité. Dautres solutions devraient aussi être prochainement testées par des producteurs : le groupe Dephy Ferme Framboise va essayer la lutte biologique avec des lâchers de Trichopria, et un producteur de myrtille en Corrèze (Denis Genier) testera des diffuseurs dhuile essentielle dail.
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Rencontre technique protection cerisier : Quelles solutions face aux ravageurs ?
Amandine BOUBENNEC, Auteur ; Florence FÉVRIER, AuteurUne rencontre technique sur le thème de la protection des vergers de cerisiers a été organisée par le Ctifl, le 8 octobre 2019, sur le site de Balandran (Gard). Plusieurs solutions de protection ont été présentées lors de cette journée. Le filet intégral (monorang ou monoparcelle) est le seul dispositif permettant, à lheure actuelle, une efficacité totale contre les insectes volants tels que Drosophila suzukii. Cette solution est cependant coûteuse à mettre en uvre. Dautres leviers dactions contre ce ravageur ont été envisagés et testés : le contrôle génétique, cultural, écologique ; la protection physique, chimique, biologique, ainsi que le biocontrôle. Des pistes encourageantes sont également à létude.