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FINANCEMENT PARTICIPATIF |
Documents disponibles dans cette catégorie (21)
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Une fève qui ne demande qu'à grandir
Yann KERVENO, AuteurEn 2021, Camille Touzeau et Raphaël Marquet ont pu reprendre la ferme de Magnantru, dans les Deux-Sèvres, grâce au financement participatif organisé par la start-up Feve (Fermes En ViE). Cette dernière apporte un appui à l'installation d'agriculteurs désireux de s'engager en agriculture biologique, dans l'objectif d'accélérer la transition agroécologique. Camille et Raphaël racontent leur parcours d'installation sur cette ferme, sur laquelle ils élèvent un troupeau de bovins allaitants en races parthenaise et bazadaise, valorisés en vente directe, et gèrent un gîte. Si la grippe aviaire les a contraints à arrêter l'atelier oies, ils espèrent pouvoir relancer une activité autour des volailles dès que possible.
Foncier : priorité aux jeunes !
Vincent DEMAZEL, AuteurAlors que plus de la moitié des agriculteurs français avaient, en 2019, plus de 50 ans, l'accès au foncier reste le principal frein à l'installation. Seuls 50 % des hectares libérés partent à l'installation. 40 % vont à l'agrandissement de structures agricoles existantes et 10 % sont mobilisés pour des usages non-agricoles (loisirs, urbanisation...). Les difficultés d'accès concernent aussi bien les ventes que les locations. Différents types d'initiatives sont toutefois mobilisables pour favoriser les installations : le recours à des investisseurs, le portage foncier... Marc Plouzeau, viticulteur bio de 56 ans sur l'AOC Chinon, a fait le choix de vendre, bien avant son départ en retraite, une partie de son domaine (4 ha) à la société Terra Hominis. Celle-ci s'est donné pour mission de racheter des vignes, via du financement participatif, afin de faciliter l’installation de jeunes vignerons, avec en arrière-plan des objectifs sociaux et/ou environnementaux.
Réussir à lancer de nouveaux projets : Les pistes de financement de la bio
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurCet article fait le point sur les financements possibles pour structurer et développer la bio, les conditions d’éligibilité des acteurs et des dépenses. Le fonds Avenir BIO, créé en 2008 et géré par l’Agence BIO, a pour but de favoriser la structuration des filières. Le 32ème appel à projets a démarré en septembre 2022, pour une clôture fin mars 2023. Une consultation est prévue en 2023 pour faire évoluer ce fonds. L’appel à projets France Relance 2021-2022 est clôturé depuis septembre. L’enveloppe 2022 n’a été pas complètement consommée. En effet, certains opérateurs diffèrent leurs investissements par manque de visibilité. On notera également la création récente du premier fonds d’investissement dédié à la bio par Esfin Gestion, et d’autres outils, comme le financement participatif (ou crowdfunding) permettant de développer des projets en utilisant différentes plateformes (Miimosa…).
Fermes En ViE facilite le renouvellement des générations agricoles et la transition agro-écologique
BULLETIN DE L'ALLIANCE PASTORALE, AuteurEn France, près de 200 fermes disparaissent chaque semaine. Lorsque les propriétaires d’une exploitation agricole partent à la retraite, s’ils ne trouvent pas de repreneurs, ils vendent souvent leur ferme à des voisins (agrandissement) ou à des porteurs de projets non agricoles. Pour éviter la disparition de ces fermes, la plateforme de financement participatif Fermes En ViE (FEVE) propose aux citoyens d’aider des producteurs à s’installer sur des fermes agroécologiques. L’acquisition des terres et des bâtiments est ainsi financée par une communauté d’investisseurs (citoyens) engagés. La Ferme de Magnantru est la première à avoir été financée par ce mécanisme. Cette ferme de 47 ha, basée près de Niort, repose sur un système en polyculture-élevage diversifié conduit en agriculture biologique. La ferme va être reprise par un jeune couple qui sera bientôt rejoint par un(e) maraicher(ère). Fermes En ViE travaille sur une dizaine d’autres projets de fermes agro-écologiques.
Guide maraîchage biologique Nouvelle-Aquitaine 2021 : Organisation ; Planification
Réalisé par le réseau AB des Chambres d'agriculture de Nouvelle-Aquitaine, ce document est consacré à l'organisation du travail et à la planification en maraîchage biologique. Il propose des fiches techniques : - Rotations et assolements ; - Planification des cultures ; - Organiser son travail ; - La main d’œuvre ; - Banque de temps et de matériel ; - Financer son projet : Le financement participatif.
Dossier : L'entreprise agrirurale, une opportunité pour les territoires
Fabrice BUGNOT, Auteur ; Jade LEMAIRE, AuteurEn 2005, Cap rural (centre de ressources sur le développement local en Rhône-Alpes) avait publié un guide pour encourager les élus et les professionnels du développement à s’intéresser aux entreprises agrirurales. Ces dernières sont définies comme des entreprises combinant plusieurs activités, dont au moins une agricole. Quinze ans plus tard, une partie des problématiques rencontrées par les porteurs de projet freinent toujours le développement de ces entreprises. Néanmoins, la relocalisation des activités agroalimentaires et le développement de politiques en faveur des produits bio et locaux semblent donner un nouvel élan à ces entreprises. Ce dossier, co-construit par Transrural initiatives et Cap rural, montre pourquoi et comment soutenir et accompagner les entreprises agrirurales au profit d’un développement local et durable. Pour cela, il décrit plusieurs initiatives, la manière dont elles s’inscrivent dans leur territoire, ainsi que les problématiques auxquelles elles sont confrontées.
Dossier : L’innovation en AB
Nathalie DELAGNES, Auteur ; Céline MEFFE, Auteur ; Clémentine ROBIN, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier compile des expériences innovantes mises en place par des éleveurs laitiers bio (adhérents de Biolait) pour augmenter leur confort de travail, le bien-être des animaux, ou encore pour être plus respectueux de l’environnement. La première innovation présentée est celle du GAEC de Loran (Gers) qui a implanté des haies pour augmenter le bien-être de ses vaches Jersiaises. La deuxième est celle du GAEC le Pont des Noues (Loire-Atlantique) qui a investi dans un boviduc pour faciliter son passage à l’agriculture biologique et modifier son système de production. Le GAEC Bioloval (Vendée) implante, depuis trois ans, un mélange céréalier dans une prairie dégradée afin d’assurer une récolte de grains et de régénérer la prairie (alors que les semis de prairies sont rendus difficiles par les étés et les automnes secs). La SCEA Zins (Meuse) teste, depuis 2014, l’isothérapie contre les adventices (nanification des adventices) et l’homéopathie contre certains ravageurs des cultures (bruches). Le Groupement d’Employeurs des Montagnes du Matin (Loire) regroupe sept fermes. Ces dernières partagent un salarié afin de répondre à la surcharge de travail et d'assurer la sécurité de certains travaux en les effectuant à deux. Le GAEC Phil’Holstein (Deux-Sèvres) s’est tourné vers le financement participatif pour créer une yaourterie avec le réseau Invitation à la Ferme. L’EARL des Biaux d’Elle (Manche) a investi dans un système de séchage en grange il y a une douzaine d’années, avec un ascenseur pour accéder à la plateforme en hauteur. Par ailleurs, les bénéfices des prairies pour le climat ont été abordés lors des journées du projet Nefertiti 2019.
Famille en transition écologique : Ze guide 2 : Changer son monde pour changer le monde
Quel est le véritable impact de notre mode de vie sur l’environnement ? Comment le mesurer ? Et surtout : quels changements opérer dans notre vie de tous les jours si l’on veut préserver la planète ? Ce guide, à la fois manifeste pour la sobriété et guide pratique, invite à agir concrètement ici et maintenant pour la transition écologique. Avec l’aide d’ingénieurs spécialisés en bilan carbone et analyse de cycle de vie, l’auteur passe au peigne fin, avec humour, le coût écologique de notre vie quotidienne : transport, logement, alimentation, électronique, épargne… Saviez-vous, par exemple, que ce sont nos placements financiers qui ont le plus d’incidence sur notre empreinte carbone ? Sur la base de cette analyse détaillée, ce guide invite chacun à redéfinir ses priorités et propose un plan d’actions pour amorcer, en famille, une vraie transition écologique.
Miimosa : le financement participatif au service de l'agriculture et de l'alimentation
Florence LETAILLEUR, Auteur ; Marion LAUMONIER, AuteurMiimosa est une plate-forme de financement participatif qui accompagne les porteurs de projets dans le domaine agricole et agro-alimentaire, en France et en Belgique. A travers son site internet, la structure organise des collectes de dons avec contrepartie en nature, et prodigue des conseils pour la campagne (communication, aide à la rédaction des contreparties, estimation d'objectifs réalisables). Elle tisse également des liens avec les acteurs agricoles (APCA, JA...) et les banques. Créée en 2014 par Florian Breton, elle comporte aujourd'hui 16 personnes et comptabilise 800 projets suivis avec un taux de réussite de 79 %, soit une collecte de fonds atteignant 3 500 000 euros. 65 % des projets sont en lien avec l'agriculture biologique. Quelques chiffres propres aux Pays de la Loire sont précisés : 34 projets ont été accompagnés, dont plus de la moitié en bio. Parmi eux, deux exemples de projets financés avec succès sont cités : « les deux Eves », une bergerie fromagerie montée par Nicolas et Aurélie Fleurance, dans la Sarthe ; et la mise en place d'un système agroforestier à la ferme auberge de l'Herberie, par Bernadette Brunet, en Maine et Loire.
Plateforme Miimosa : Le financement participatif pour développer un projet
Cyrielle DELISLE, AuteurLe financement participatif, ou crowdfunding en anglais, est en plein essor depuis 2010 et permet au grand public de soutenir financièrement des projets qui les intéressent. La plateforme de financement participatif Miimosa a été créée en 2014 et regroupe des projets de l’agriculture et de l’alimentation. Cet article présente le financement participatif, son essor, l’origine de la plateforme, ainsi que son fonctionnement et les modalités d’utilisation. Miimosa fonctionne sur le principe du don contre don, c’est-à-dire que les internautes qui choisissent de financer un projet reçoivent en contrepartie un don de l’exploitation, produit ou service. La réussite du financement du projet de Laëtitia Dumont, qui a rejoint son mari sur l’exploitation, en élevage de bovins allaitants et porcs plein air conventionnels dans l’Eure, est un exemple positif. Le projet était de créer un atelier de découpe et d’agrandir le magasin à la ferme existant. Un encart explique les étapes de mise en place du financement participatif : avant, préparer le projet ; pendant, communiquer pour récolter des fonds ; après, remerciement des contributeurs.
La transition en actions : Des initiatives qui marchent pour une agriculture et une alimentation plus durables
La Fondation Daniel et Nina Carasso a édité ce recueil de projets qu’elle soutient et qui contribuent, chacun à sa manière, à la transition vers des systèmes agricoles et alimentaires plus durables. Ce document met en valeur la richesse et le potentiel des initiatives portées par des acteurs de la société civile partout en France. Parmi ces initiatives, figurent notamment des projets en lien avec : - l’alimentation, à destination des étudiants, des hôpitaux, des personnes démunies... ; - l’agriculture durable : agroforesterie, espaces-tests, agriculture urbaine et sociale... ; - la citoyenneté (entreprises sociales, espaces multifonctionnels, valorisation des déchets, insertion professionnelle, etc.).
Le Baromètre 2016 des énergies renouvelables électriques en France
Julien COURTEL, Auteur ; Aude RICHARD, Auteur ; Juliette TALPIN, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (146 Rue de l'Université, 75 007, FRANCE) : OBSERV'ER | 2016Cette septième édition du Baromètre des filières renouvelables électriques en France réunit un ensemble d'indicateurs énergétiques, socioéconomiques et industriels qui, regroupés et analysés, présentent une photographie détaillée de tous les secteurs. Elle présente les énergies renouvelables électriques les plus développées, comme le photovoltaïque, l'éolien, l'hydraulique, la biomasse solide, le biogaz et l'incinération de déchets, mais également les secteurs en devenir comme la géothermie, les énergies marines et le solaire thermodynamique. Chaque filière traitée est présentée sous la forme d'une fiche synthétique. Une attention toute particulière a été portée à la dimension territoriale en produisant, chaque fois que cela était possible, un détail régional de l'état des filières suivies. Au sommaire : - Les filières renouvelables : - Éolien ; - Photovoltaïque ; - Hydraulique ; - Biomasse solide ; - Biogaz ; - Déchets urbains renouvelables ; - Géothermie ; - Énergies marines renouvelables ; - Solaire thermodynamique ; - Panorama régional des filières renouvelables électriques en France ; - Les régions à la loupe.
Dossier : Economie collaborative : Du collaboratif pour tous
INFORMATION AGRICOLE (L'), Auteur ; Eddy FOUGIER, Auteur ; Claire NIONCEL, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier consacré à l'économie collaborative, au niveau du secteur agricole, comporte les articles suivants : - Tendances : Plusieurs "nouvelles" pratiques ; - Florian Breton, Fondateur de MiiMOSA : Notre plateforme est en pleine explosion ; - Ulule : Derrière chaque projet, une histoire ; - Fondation Terre de Liens : Préserver le patrimoine foncier agricole ; - WeFarmUp : Le Blablacar du tracteur ? ; - Initiative : Une dynamique locale récompensée ; - Plateforme : Réconcilier économie et écologie (présentation de Lendosphère) ; - Vin et net-économie : La filière viticole entrée dans l'univers du financement participatif (présentation de Fundovino) ; - Paysans d'avenir : Un voyage photographique pour découvrir la diversité agricole.
Financement participatif : Faire financer son projet par la foule
Alexandra LANNUZEL, AuteurLe financement participatif, qui consiste à rassembler des fonds auprès du grand public pour financer un projet via un site internet dédié, n'a cessé de se développer depuis 2010. En 2015, environ 20 000 projets ont pu être financés de cette façon par des contributeurs. Il existerait aujourd'hui en France autour de 180 plateformes de financement participatif. Le financement par le don, le plus courant dans les réseaux bio, permet de financer les dépenses nécessaires à la réalisation du projet. Le fonctionnement des plateformes dédiées au financement participatif et le déroulement d'une campagne de don sont expliqués. Des conseils sont donnés pour bien choisir sa plateforme en fonction du projet et pour mettre de son côté toutes les chances de voir sa campagne aboutir. Deux témoignages de porteurs de projets finistérois complètent la présentation : - Keribio, à Plabennec : Un magasin bio à la ferme financé grâce au don : - A Brest, des "Consommateurs Lambda" ont fait mousser la "bière du Baril".
Les Financements alternatifs du vin, Tome 1 : Le crowdfunding et le vin
Les besoins financiers de la filière vin sont importants et variés, mais les sources traditionnelles de financement, telle la dette bancaire, ne permettent pas d’y répondre pleinement dans un contexte réglementaire et économique imposant davantage de prudence. Les entreprises du secteur vitivinicole doivent donc se tourner vers des modes alternatifs de financements. L’auteur présente les principales formes et les caractéristiques de ces formes alternatives en deux tomes, pouvant être lus indépendamment ou l’un après l’autre selon la forme qui intéressera le lecteur : - Tome 1 : Le crowdfunding ; - Tome 2 : Les Groupements Fonciers Viticoles et les investissements directs. Pour chacun des ouvrages, l’exposé des principes de ces financements est illustré par des cas concrets, issus de témoignages de vignerons et dirigeants d’entreprises, analysés par l’auteur. De nombreux schémas et tableaux enrichissent et synthétisent le propos. Ce tome est donc consacré au crowdfunding.