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Commentaire :
Nouvelle région 2016
Synonyme(s)LANGUEDOC-ROUSSILLON-MIDI-PYRENEESVoir aussi |
Documents disponibles dans cette catégorie (1398)


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Abricot : Des variétés pour la bio
Marie VINCENT, AuteurEn France, la consommation d'abricots biologiques augmente de plus de 10 % par an. La production, en revanche, stagne et reste bien inférieure à la demande, en raison des difficultés techniques rencontrées sur cette culture en agriculture biologique. Le projet Fan de Bio, au travers d'essais variétaux multi-sites, complétés par des enquêtes menées auprès de producteurs et de distributeurs, a permis d'évaluer une quarantaine de variétés d'abricots. Parmi celles-ci, 17 variétés ont été identifiées comme intéressantes pour la conduite en agriculture biologique, par rapport à leur productivité, à leur qualité gustative et à leur faible sensibilité aux bioagresseurs. Trois variétés sont particulièrement recommandées par les producteurs et les distributeurs : Bergeron, Royal Roussillon et Vertige. De plus, les essais ont permis de collecter des données pour établir un calendrier de maturité pour les différentes variétés d'abricots. Les fiches variétales sont disponibles sur le site du CTIFL.
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LAgriculture biologique, une innovation territoriale au service du développement rural : le cas du Gers
Charlène ARNAUD, Auteur ; Pierre TRIBOULET, AuteurLagriculture biologique est un système de production qui permet de répondre aux différents enjeux liés à la durabilité de lagriculture. Cette étude a pour objectif danalyser son développement dans les territoires ruraux en tant quinnovation territoriale qui sinscrit dans une diversification du système agricole existant. Lagriculture biologique est ainsi vue comme une innovation ayant les caractéristiques dune spécialisation intelligente (processus qui vise à favoriser lidentification des caractéristiques et des avantages dune région, à mettre en valeur les avantages concurrentiels de ce territoire et à regrouper des parties prenantes autour dune vision davenir pour ce territoire). Afin danalyser ces processus, cette étude sest focalisée sur le cas du Gers, le premier « département bio » de France. Des entretiens semi-directifs ont été réalisés avec un ensemble de parties prenantes présentes sur ce territoire. Les résultats mettent en avant des dynamiques fortes dancrage de lagriculture biologique dans le territoire, soutenues tant par les acteurs institutionnels quéconomiques. Pour autant, il existe une diversité de visions de lagriculture biologique qui peuvent se révéler être un frein à son développement en tant quinnovation territoriale.
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L'agriculture biologique s'engage pour le climat : Tour de France des pratiques innovantes pour l'adaptation des paysan·nes bio : Tome 3
Christophe COTTEREAU, Auteur ; Sylvie CORPART, Auteur ; Johanna MANTEAU, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2022Après deux recueils de témoignages d'agriculteurs et d'agricultrices biologiques orientés vers l'atténuation du changement climatique, la FNAB met à l'honneur, dans cette troisième édition, des hommes et des femmes qui s'adaptent aux conséquences du changement climatique. Ce recueil, réalisé dans le cadre du projet FNAB Climat&Eau, avec le soutien financier du Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires, vise à fournir, aux agriculteurs bio, les clés pour adapter leur système au changement climatique. 10 pratiques pour s'adapter au climat sont présentées, à travers 10 témoignages d'hommes et de femmes installés en AB : les agriculteurs trouveront, pour chacune d'elles, des éléments cartographiques et climatique, des chiffres-clés, des explications précises du système et de la pratique évoquée, des jauges pour évaluer l'autonomie et la vulnérabilité, des éléments d'évaluation de chaque pratique. Les témoignages concernent des élevages (ovins, bovins, polyculture-élevage...), de la viticulture, d'autres productions végétales (céréales, maraîchage...).
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Apiculture en Aveyron : Produire de la gelée royale sans épuiser les abeilles
Claire KACHKOUCH SOUSSI, AuteurCaroline Bessière-Ailloud a débuté lapiculture en rucher-école. En 2016, elle devient cotisante solidaire et agrandit peu à peu son cheptel, développe son laboratoire et diversifie ses produits. Elle devient cheffe dexploitation en 2020. Elle produit actuellement environ 800 kg de miel par an (du miel toutes fleurs au printemps, puis deux types de miels différents en été), de la propolis, des baumes, de lhydromel et de la gelée royale. Elle élève également des reines. Ses ruchers sont sédentaires et se situent dans des zones de butinage de plantes sauvages ou à proximité de fermes biologiques. Afin de concilier vie privée et vie professionnelle (Caroline Bessière-Ailloud souhaite prendre le temps de soccuper de ses deux enfants), elle a fait le choix de développer la production de gelée royale. Cette production est très technique (il faut récolter la gelée royale au jour près), mais elle prend moins de temps que la réalisation dun grand nombre de miellées. Caroline Bessière-Ailloud explique ainsi son itinéraire technique pour produire de la gelée royale et décrit la manière dont elle élève les reines.
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Bio-portrait : En Kanette, chez les pionniers de la bière fermière bio et paysanne ; Pourquoi produire du houblon Nature & Progrès ? ; Pourquoi et comment faire sa bière ?
Jérôme GOUST, Auteur ; Annie KERGOURLAY, Auteur ; Julien GUNTHER, AuteurDans cette série d'articles dédiés à la production de bière, le premier met à l'honneur Annick et Christian Garland, paysans-brasseurs dans le Sud du Tarn. Éleveurs caprins et producteurs de fromages de chèvre bio depuis 1979, le couple a ensuite complété sa production avec des céréales (orge, blé) qu'ils transformaient en farine. C'est au début des années 1990, après l'abandon de la fromagerie, qu'Annie et Christian ont créé leur première production de bière, d'abord avec du houblon sauvage. D'essai en essai, la production s'est développée et la ferme s'est agrandie pour faire place à de nouveaux bâtiments. Des outils ont été conçus maison pour répondre aux besoins de la chaîne de fabrication. Aujourd'hui co-gérée par leurs filles Julia et Flora, la ferme est autonome en houblon. La bière est commercialisée en bouteilles et en fûts sur les circuits courts de la région (vente directe, épiceries, cafés et restaurants, événements, etc.). L'article suivant traite de l'évolution de la culture de houblon et fournit des informations sur les propriétés médicinales de cette plante, ainsi que des éléments techniques pour la cultiver, de l'implantation à la récolte. Trois houblonniers bio avec la mention Nature & Progrès partagent leurs expériences : Johann Laskowski dans les Yvelines (78), Riquier Thévenin dans le Nord (59) et Antoine Floury en Bretagne. Pour finir, le troisième article présente le guide du brassage amateur, publié par Julien Gunther de la Brasserie Grenaille, en Meurthe-et-Moselle.
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Comment la mention Nature & Progrès est-elle attribuée ?
Zoé EBELLA, AuteurDans cette interview, Samuel Souchay, pépiniériste en Aveyron, raconte comment s'est déroulé le processus d'obtention de la mention Nature & Progrès pour son exploitation. Il explique qu'il est, tout d'abord, devenu adhérent à l'association locale Nature & Progrès, ce qui lui a permis d'adresser, à la COMAC (Commission Mixte d'Agrément et de Contrôle) locale, sa demande d'obtention de la mention en tant que producteur. Ensuite, le producteur a fixé un rendez-vous avec les enquêteurs pour la visite de son exploitation et a préparé les documents nécessaires (déclarations, parcellaire, factures, listes de fournisseurs). Samuel explique comment s'est déroulée la visite : le producteur est questionné sur ses pratiques, la gestion des cultures, son calendrier, la liste de ses fournisseurs, les solutions qu'il met en uvre pour répondre aux différents enjeux et aux exigences du cahier des charges (biodiversité, préservation des sols, saisonnalité, etc.)... Être producteur sous mention Nature & Progrès est un engagement qui demande un investissement, tant pour le temps de l'enquête que pour remplir des tâches à l'association. Samuel, pour sa part, a été secrétaire de la COMAC, mais aussi enquêteur. Fort de sa connaissance des deux versants de l'enquête de la COMAC, Samuel témoigne d'une expérience riche en partage entre enquêteurs et enquêtés ; il fournit également des informations sur les critères qui construisent la fiabilité de la mention.
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"Des disques pour biner au plus près de la culture"
Michel PORTIER, AuteurInstallés dans le Gers, Olivier et Benjamin Batiot binent, chaque année, de 200 à 250 hectares de tournesol bio : une partie sur leurs exploitations respectives et une autre partie en prestation sur d'autres fermes. Pour ce faire, les deux frères ont investi dans une bineuse équipée de disques trancheurs. Cela leur permet de travailler le sol au plus près de la culture et de gagner en précision sur leurs terres vallonnées. Le guidage par caméra de cet outil est un plus important, même s'il reste à améliorer.
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Diversifier ses fruitiers : Les atouts de la grenade
Marion COISNE, AuteurPortée par son image santé, la grenade sest démocratisée. Elle est consommée en frais et en jus. Planter des grenadiers peut donc être une diversification intéressante pour les arboriculteurs et viticulteurs bio, à condition de trouver des débouchés. Les surfaces destinées à cette production en France (difficiles à estimer) seraient de 1 000 ha, quasiment toutes conduites en bio. Le grenadier est assez souple par rapport aux conditions pédoclimatiques. En revanche, il naime pas les sols très asphyxiants ou trop lourds, ainsi que les gels de printemps. Dans le Gard, Thomas et Christine Saleilles se sont lancés dans la culture de grenades bio en 2010. Ces viticulteurs bio cherchaient une culture de diversification. Ils ont commencé par planter un hectare, et en comptent maintenant quatorze (en plus de leurs 20 ha de vigne). Ils utilisent des variétés spécifiques pour les jus et pour les fruits de bouche : les parcelles à jus sont implantées avec Provence et Wonderfull, tandis quAcco, Fleishman, Seedless et Hermione sont des variétés destinées au marché du frais. La disponibilité en plants de grenadiers reste assez faible, ce qui a poussé Thomas Saleilles à produire ses propres plants. Il a ainsi continué à diversifier la production du domaine en devenant également pépiniériste.
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Dossier : Alternatives agricoles
Jérôme GOUST, Auteur ; Pierre PEGUIN, Auteur ; Annie KERGOURLAY, Auteur ; ET AL., AuteurEn France, les initiatives pour une agriculture bio et paysanne fourmillent, comme l'insertion, la formation, l'installation, les circuits courts et l'aide à l'accès à la terre. Ce dossier de Nature & Progrès présente plusieurs alternatives, dans les articles suivants : - L'espace-test agricole ; - Optim'ism : l'action bio, positive et solidaire ; - Dans l'Aude, la force de l'union agroécologique et paysanne ; - Les abattoirs à la ferme ; - Les voies (et les voix) du collectif : Voie.X.
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Dossier : Salon à la ferme 2022 : Transmettons l'agriculture paysanne
Isabelle DOUILLON, Auteur ; Sophie CHAPELLE, Auteur ; Jean-Luc HERVE, Auteur ; ET AL., AuteurAprès le succès de la première édition en 2021, le Salon à la ferme a été renouvelé par la Confédération Paysanne pour une deuxième édition, du 22 février au 8 mars, un peu partout en France. Les portes ouvertes des fermes sont loccasion de montrer la réalité du travail de paysan et dengager le débat avec des citoyens et des élus. Ce dossier présente huit fermes paysannes, dont 6 en bio, participant à cet évènement : 1 - Dans le Vaucluse, un éleveur de poules pondeuses en plein air a transmis sa ferme à un trentenaire en pleine reconversion professionnelle qui projette de mettre en place un verger maraîcher ; 2 - Dans le Tarn, Jérémy Vialelle élève des volailles de chair, à proximité de l'élevage-usine de Lescout que combat la Confédération Paysanne ; 3 - Dans le Finistère, à Guerlesquin, la ferme laitière de Kerdennet a fédéré toute la famille Queniat : frères, sur et belle-sur ont créé leurs ateliers de production autour de cette ferme ; 4 - Dans les Vosges, à la Bergerie de Straiture, Véronique Fulchin et Olivier Cassagnau élèvent des moutons dont ils transforment la laine depuis presque 30 ans ; 5 - En Vendée, dans le Marais Breton, les paysans d'une ferme en bovins allaitants affirment une forte volonté de préserver la biodiversité tout en vivant décemment de leur travail ; 6 - En Alsace, la Miellerie du Pays Welche est l'outil commun de deux fermes apicoles bio qui élèvent, en tout, près de 1 000 ruches, chacune ayant intégré récemment un nouvel associé ; 7 - Isabelle et Sylvain Giacotti se sont installés à Leynhac, dans le Cantal. Depuis 2009, la famille s'est agrandie et leur petite ferme diversifiée a prospéré, répondant pleinement à leurs aspirations ; 8 - Dans l'Aube, Pauline Berton, 30 ans, a rejoint, depuis bientôt cinq ans, la ferme familiale en production céréalière et légumière. Elle projette de créer un atelier en porcs bio.
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Face aux effets du changement climatique : L'agroforesterie au service des Ppam
Marion COISNE, AuteurLes plantes à parfum, aromatiques et médicinales sont déjà, et seront encore plus à lavenir, impactées par le changement climatique. Plusieurs projets de recherche explorent des pistes pour construire des systèmes plus résilients, notamment en agroforesterie. Parmi eux, le projet Ppam-Ppam (Projet de recherche participatif en agroforesterie méditerranéenne plantes à parfum, aromatiques et médicinales) va étudier trois parcelles agroforestières bio. Lune des parcelles, constituée damandiers (plantés en 2012) et de sarriette, est gérée par Catherine Legrand, productrice dans le Gard et qui témoigne dans un encart. LIteipmai a aussi travaillé sur limpact de couverts végétaux dans linter-rang de lavandes et de lavandins, mais sans résultats concluants.
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Fermentation Bokashi : pour plus de carbone dans les sols et moins dans l'atmosphère
Vincent VIGIER, AuteurDeux éleveurs de l'Aveyron et du Cantal ont testé, en 2021, la fermentation Bokashi. Il s'agit d'ensemencer la litière des animaux avec du "Microferm® EM", un mélange de bactéries, levures et champignons. Si les effets sur le troupeau en lui-même sont encore mal connus à ce jour, la fermentation du fumier issu de cette litière, appelée fermentation Bokashi et qui doit se dérouler en condition anaérobie et donc sous une bâche, présente plusieurs avantages : moins de perte de masse et donc d'éléments organiques (carbone et azote), moins de lessivage de minéraux, pas de dégagement de gaz à effet de serre. Par ailleurs, les agriculteurs bénéficient d'une meilleure facilité de curage et de reprise du fumier et une meilleure digestion du fumier par la prairie est constatée. Cet apport de micro-organismes spécifiques peut aussi être réalisé dans du lisier ou sur des déchets verts.
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Jean-Marc Touzard, directeur de recherche Inrae à Montpellier
Frédérique ROSE, AuteurJean-Marc Touzard est directeur de recherche à Inrae et directeur de lUnité mixte de recherche (UMR) Innovation à Montpellier. Dans cette interview, il répond à la question « Jusquoù reconcevoir la bio pour faire face au changement climatique ? ». Ce chercheur travaille, en effet, depuis plusieurs années, sur ladaptation de la viticulture au changement climatique, notamment via le projet Laccave qui a pris fin en 2021. Ce projet étudiait les adaptations possibles de la vigne et du vin face aux modifications climatiques, ainsi que des pistes pour atténuer le changement climatique. Au départ, la viticulture bio nétait pas prise en compte en tant que telle. Mais, très vite, les viticulteurs bio se sont démarqués de leurs homologues conventionnels : ils étaient plus concernés par les enjeux climatiques et mettaient en place plus de techniques dadaptation. Ils sintéressent aussi plus à la résilience de leurs exploitations (en sinterrogeant sur les interactions entre la vigne et son milieu), sont très présents dans leurs parcelles et savent être réactifs. En revanche, les viticulteurs bio, qui sont plus adeptes des vins natures, ne sont pas forcément prêts à mettre en uvre une nologie corrective pour gérer les degrés trop forts en alcool et les acidités trop faibles. Ils se questionnent aussi sur la place de lirrigation et des nouvelles technologies (robots) dans leur système. En parallèle de cet article, un encart est réservé aux Climathon qui ont regroupé des élus, des vignerons, des chercheurs et des citoyens pour construire un plan daction pour sadapter au changement climatique.
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Labyrinthe à croquer
Brigitte LAPOUGE-DEJEAN, AuteurC'est en 1997 que Joël Dendaletche, enseignant en biologie féru de plantes, s'installe avec sa famille dans le hameau d'un village en Aveyron (12). La ferme, laissée à l'abandon, est en piteux état. Après débroussaillage et remblayage afin de former un espace de vie à l'extérieur, Joël découvre une biodiversité qu'il s'évertue à préserver, ainsi que des ruines où il installe un potager. Il transforme la prairie à vaches en construisant des buttes, de 0,60 m de haut sur 1,50 m de large, afin de doubler l'épaisseur de la terre. Ce nouveau jardin, édifié comme un véritable labyrinthe, est transformé en verger-forêt, où Joël fait pousser 300 espèces et variétés de fruitiers différents. Cet article fournit des détails sur le système de Joël, fonctionnant comme un écosystème de forêt.
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La Mer Blanche : Un jardin méditerranéen à Argelès
Emmanuel JACCAUD, AuteurFrédéric Bey, arboriculteur bio au domaine de la Mer Blanche à Argelès (66), cultive, sur 6,5 ha, des oliviers, des figuiers, des grenadiers, des figuiers de barbarie, ainsi que des agrumes (clémentines, oranges sanguines, oranges caviar, navelles, pomelos, citronniers, kumquat, yuzu ) en pleine terre. Les agrumes, très sensibles aux variations de température et au gel, sont absents du paysage agricole local ; néanmoins, le domaine étant situé dans une petite zone propice, ces arbres parviennent à pousser et à donner des fruits. Dès les premières années de plantation, des apports de compost de cheval et du mulch de bois ont permis daméliorer la fertilité du sol. Un couvert végétal, entre les rangs, permet de maintenir le carbone du sol. L'apport d'eau est limité afin de permettre aux arbres de développer une meilleure résistance au stress hydrique. Frédéric commercialise ses fruits en jus, en confitures et en liqueurs dagrumes, principalement en vente directe et en circuits courts.