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Les meilleures tomates du monde
Josselin RIVOIRE, AuteurPascal Antigny, de l'association Cultive ta rue, a fourni, à Terre Vivante, 6 variétés remarquables de tomates, parmi les 1 967 variétés du catalogue de l'association. En 2022, Terre Vivante a donc conduit, en Isère, des essais sur les variétés suivantes : 'Rosa de Barbastro', 'Sunrise jazz', 'Rose d'Eauze', 'Del Nerpio verde', 'Sweet cream' et 'Green doctor's frosted'. Avec la sécheresse et les canicules qui ont marqué la saison 2022, les tomates n'ont pas souffert du mildiou ; cependant, elles ont souffert des températures excessives (avortements de fleurs, pollinisation compromise, mûrissement tardif...). Si le contexte n'a pas permis d'évaluer la résistance de ces variétés au mildiou, les essais ont permis de connaître leur comportement en situation caniculaire, situation qui risque de se répéter compte tenu du changement climatique.
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"Les arbres fourragers, future ressource pour les ovins"
Lucie DUVERNE, AuteurLa diversification des ressources fourragères est une piste-clé pour aider les éleveurs à mieux faire face au changement climatique. Parmi ces ressources, les arbres fourragers font l'objet de diverses études, conduites notamment par Inrae. Ainsi, sur le Massif Central, et dans l'optique de nourrir des ovins, plusieurs essences d'arbres (feuilles) ont été comparées à des fourrages plus classiques : composition chimique, valeur nutritionnelle, résistance à la sécheresse... Pour affiner l'utilisation des arbres fourragers dans les troupeaux ovins, d'autres critères doivent encore être étudiés. Dans un contexte de sécheresse, il est notamment important de prendre en compte la capacité de production des arbres.
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La betterave fourragère simplante dans lAveyron
Bernard GRIFFOUL, AuteurUne vingtaine déleveurs laitiers (vaches et brebis), basés en Aveyron, en Lozère, dans le Tarn et dans le Lot-et-Garonne, ont relancé la culture de la betterave fourragère pour alimenter leurs animaux. Ces éleveurs ont fait le choix de séquiper en conséquence via la Cuma DEI (Départementale énergies innovations), afin de faciliter la conduite de cette culture. Au fil des années, les matériels se sont spécialisés : semoir mécanique à 12 rangs spécifique pour les betteraves, GPS, bineuse 12 rangs autoguidée, récolteuse Ces éleveurs ont, néanmoins, rencontré plusieurs difficultés : il faut avoir suffisamment de terrains plats et denvergure (les matériels sont imposants) pour pouvoir assurer une rotation de quatre ans. Les nombreux cailloux qui jonchent le sol au moment de la récolte et les altises représentent les deux autres principales difficultés. Un quart des surfaces cultivées sont en bio. Pour lutter contre les ravageurs, certains éleveurs bio préfèrent acheter des plants démarrés. La culture est, en effet, surtout fragile de limplantation jusquau stade six feuilles (elle devient ensuite très résistante, notamment face à la sécheresse). Mais, le coût de ces plants est très élevé : de 1 500 à 2000 /ha, auquel il faut ajouter la main duvre (6 à 8 personnes).
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Dossier : Changement climatique et sécheresses : Quelles pratiques agricoles pour un usage sobre et solidaire de la ressource en eau ?
Patricia HEUZE, Auteur ; Camille GUILLOTEAU, AuteurLe changement climatique va impliquer des sécheresses plus longues et plus fréquentes. Les enjeux liés au partage de leau vont donc devenir de plus en plus cruciaux. En agriculture, le recours à lirrigation, grâce à des retenues deau, est une solution envisageable. Toutefois, est-elle viable dun point de vue environnemental, agronomique et économique ? Des éléments de réflexion et des points de vigilance sont à prendre en compte avant dopter pour cette solution : artificialisation du milieu, modification du cycle de leau (soustraction deau aux milieux avoisinants), impacts sur lamont et laval, évaporation plus importante, gouvernance et répartition de ces réserves en eau Dans tous les cas, des solutions agronomiques sont à développer. Amale Zeggoud, stagiaire à la FNAB en 2020 sur la gestion quantitative de leau en agriculture biologique, a identifié, en dehors de lamélioration des méthodes et matériels dirrigation, des pratiques agronomiques pour mieux gérer leau. Ces pratiques visent à : améliorer les propriétés du sol pour une meilleure régulation du cycle de leau ; décaler le cycle cultural afin desquiver des conditions hydriques défavorables ; augmenter la tolérance au stress hydrique du système de production. Elles reposent sur trois stratégies (évitement, esquive et tolérance) qui rassemblent un ensemble de pratiques.
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Les mycorhizes : Des alliées dans l'alimentation et la protection des plantes
François HIRISSOU, AuteurEnviron 80 % des familles de plantes vasculaires sont mycorhizées, c'est-à-dire qu'elles vivent en symbiose avec des champignons - les mycorhizes - présents dans le sol. Les bénéfices sont mutuels, les champignons bénéficient de produits carbonés produits par la plante via la photosynthèse. En agriculture, certains services rendus par la mycorhization sont recherchés, comme la biofertilisation (amélioration de la nutrition des plantes), la protection contre le stress hydrique et les organismes pathogènes, mais aussi une meilleure biostabilisation des sols, ou encore une production végétale de meilleure qualité pour la santé humaine. Les champignons mycorhiziens entretiennent également des relations bénéfiques avec les rhizobactéries, bactéries présentes à proximité des racines des plantes, dont ces dernières bénéficient aussi. Plusieurs pratiques agricoles favorables à la mycorhization sont aujourd'hui connues, comme le non-retournement des sols, la fertilisation organique, etc. Le projet Mycoagra, porté par la Chambre d'agriculture de Dordogne, vise à étudier le statut mycorhizien du noyer et du maïs.
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Sorgho/Cowpea : Vers plus dautonomie alimentaire en élevage
Diane MAGNAUDEIX, AuteurFace à des sécheresses récurrentes et à la question de lautonomie des élevages, notamment en fourrages pour lhiver, des essais de cultures biologiques de sorgho associé ou non à du cowpea (légumineuse exotique) ont été menés, en 2020, pour la seconde année consécutive, en Creuse, au GAEC Des Deux M. Cet article revient sur les plus (ex. bon potentiel de valorisation de leau disponible) et les moins (ex. sensibilité au froid) de ces deux espèces, seules ou en association. Il présente aussi les résultats des essais conduits en 2019 et 2020. Parmi les éléments à retenir, un des points-clés pour réussir ces cultures est le semis (modalité et date). De plus, selon la rotation, il faut bien choisir le type de culture : le sorgho multicoupe serait plus adapté à une culture courte dété, avec la possibilité de 2 coupes. Si le choix est de faire du stock en une seule exploitation, avec un temps de culture plus long, sans risque de températures inférieures à 10°C, le sorgho monocoupe semble plus adapté. Litinéraire technique est aussi essentiel, avec le choix dun outil de semis le plus adapté possible et dun roulage. Un binage permettra de limiter lenherbement, tout en aidant au réchauffement du sol. Par ailleurs, à ce jour, associer sorgho et cowpea n'est intéressant que si ce dernier représente au moins 20 % du fourrage produit : en dessous de cette valeur, le gain en MAT est trop limité et ne compense pas le coût de la culture. Par ailleurs, en labsence à ce jour dinoculum homologué sur le marché français, le cowpea ne fixe pas lazote et donc n'en restitue pas ou peu au sol.
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« Le sorgho multicoupe est un bon fourrage en cas de déficit hydrique »
Véronique BARGAIN, AuteurLe GAEC Le Mas dIllins exploite 150 ha et produit plus de 700 000 L de lait avec ses 100 vaches laitières. Il est situé en Isère, à 300 m daltitude, et doit faire face à des conditions climatiques de plus en plus séchantes. Lexploitation reçoit, en moyenne, 750 mm de pluie par an, mais les déficits hydriques sont devenus récurrents à lautomne. Lors du passage de la ferme en bio, en 2016, les associés ont fait le choix darrêter le maïs (dont les rendements devenaient très aléatoires), de renforcer le pâturage et de viser lautonomie protéique. Pour faire face aux déficits hydriques, ils ont cherché une culture fourragère qui pousse en été. Ils ont alors opté pour le sorgho fourrager multicoupe. Ce dernier présentait lavantage dutiliser la même chaîne de mécanisation que lherbe et ne nécessitait pas dinvestissements supplémentaires. Jérôme Laval, lun des associés du GAEC, apporte son expérience : itinéraire technique, rendement et valorisation du sorgho dans les rations des vaches laitières.
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Effets de lincorporation de Stipa tenacissima L. et de feuilles dolivier dans lalimentation des chèvres sur la production de lait et sa qualité
N. AYEB, Auteur ; M. HAMMADI, Auteur ; T. KHORCHANI, Auteur ; ET AL., AuteurPour faire face aux variations des facteurs climatiques et gérer les sécheresses saisonnières et prolongées, les éleveurs du sud de la Tunisie ont recours à diverses stratégies dadaptation. Pour assurer les besoins alimentaires de leurs troupeaux, ils profitent des saisons favorables pour créer des réserves alimentaires, notamment par la fauche despèces végétales non cultivées ou la collecte de résidus de récolte tels que les feuilles dolivier. Le cas de lalfa Stipa tenacissima L. constitue lun des exemples les plus connus dans les régions montagneuses du sud tunisien. Cette étude, réalisée dans cette région et basée sur les pratiques traditionnelles des éleveurs locaux, vise à déterminer les effets de lincorporation de feuilles dolivier séchées et de lalfa Stipa tenacissima L. dans le régime alimentaire des animaux. Un essai dalimentation a été réalisé sur 20 chèvres de race locale. Ces chèvres ont été divisées en deux groupes de dix animaux : le premier a reçu du foin davoine (témoin), le deuxième a reçu du foin dalfa Stipa tenacissima L. avec des feuilles dolivier séchées (groupe STO). Les deux groupes ont également reçu une complémentation de 500 g de concentré commercial. Les résultats montrent que la production laitière, la densité du lait, les teneurs en protéines et en lactose ont été similaires dans les deux groupes. Cependant, le taux de matière grasse a été plus élevé dans le lait du groupe STO (5,44 % contre 5,01 % pour le témoin). Lalfa Stipa tenacissima L. peut donc contribuer à améliorer la qualité nutritionnelle du lait.
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La sélection variétale pour s'adapter au climat ; Les semenciers explorent les problématiques climatiques
Cyrielle DELISLE, AuteurFace aux évolutions du climat et à loccurrence accrue des sécheresses, la production fourragère est impactée. Dans ce contexte, la recherche travaille sur la variabilité génétique des espèces fourragères pour répondre à ces nouveaux enjeux. Deux stratégies d'adaptation existent chez les plantes : d'un côté, les variétés qui maintiennent leur production même en cas de sécheresse, mais qui peuvent mourir en cas de sécheresse sévère (on parle de résistance à la sécheresse) ; de l'autre, les variétés qui stoppent leur croissance en attendant des conditions plus favorables (on parle alors de tolérance à la sécheresse). En fonction de la localisation géographique de la ferme, il est conseillé de choisir l'un ou l'autre de ces types de variétés. L'intérêt des mélanges fourragers est également étudié, et plus particulièrement les règles d'assemblage de différentes espèces et variétés. Les semenciers travaillent eux aussi sur ces aspects et sur la nécessaire adaptation au changement climatique des variétés qu'ils proposent. Trois d'entre eux expliquent leur stratégie dans cet article.
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La silphie, plante davenir pour faire des stocks ?
Franck MECHEKOUR, AuteurCultivée en Allemagne, la silphie perfoliée commence à faire son apparition dans lEst de la France. Cette plante pérenne (plus de 15 ans) peut atteindre jusquà 3,50 m de hauteur. Elle a également la capacité de résister à des températures élevées, ainsi quà la sécheresse, ce qui en fait une candidate pour sécuriser les stocks fourragers. Elle commence à exprimer son potentiel de rendement deux ans après son implantation. Quand elle est récoltée en fourrage, il est possible de récolter deux coupes avant sa floraison pour ne pas perdre en valeur alimentaire : une à la mi-juin (rendement denviron 9t/ha) et une autre fin septembre (3 à 6 t/ha). Lorsquelle est destinée à la méthanisation, elle nest récoltée quune seule fois, fin août ou début septembre, pour un rendement de 25 à 30 t/ha avec une MS à 28-30 %. Si la silphie est léquivalent dun maïs dans un méthaniseur, ses valeurs alimentaires diffèrent du maïs dans les rations des bovins : elle est moins riche en énergie et plus riche en protéines solubles. Elle convient mieux aux animaux avec de faibles niveaux de production.
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Adapter ses fourragères au changement climatique
François D'ALTEROCHE, AuteurLimpact des aléas climatiques peut remettre en question lautonomie fourragère. De ce fait, des recherches se multiplient sur le sujet. LInra a simulé le climat des étés à venir sur différentes espèces, afin de déterminer les plus résistantes. Du côté des éleveurs qui subissent directement ces impacts, la diversification semble leur offrir une solution de sécurisation à court terme. Lors du dernier Salon de lherbe, de nombreux semenciers ont témoigné de laugmentation de la mise en place de fourragères résistantes à la sécheresse (méteils semés à lautomne, sorgho, etc.). Du côté des prairies temporaires, il est préconisé de mettre en place des prairies multiespèces avec des espèces ayant des caractéristiques complémentaires, afin de maintenir la production dans toutes les conditions. Enfin, du point de vue de l'autonomie alimentaire, la luzerne est une valeur sûre par son taux de production de protéines à lhectare. Les semenciers doivent sadapter aussi au changement et ils sont les premiers à constater lévolution des pratiques. Daprès les données du Gnis, le marché des semences fourragères évolue avec, notamment, une augmentation de la part des légumineuses, des espèces de courte durée et une évolution des espèces de graminées, en lien avec la volonté de favoriser lautonomie fourragère.
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Aléas climatiques : Un système tous temps à lépreuve du temps
Mélissa DUMAS, AuteurEn Vendée, le GAEC Ursule (exploitation en AB, 8 UTH, 280 ha, 110 VL) travaille depuis longtemps sur ladaptation de son système de production aux aléas climatiques. Son système repose sur quatre grands principes : diversifier lassolement, cultiver des mélanges despèces et de variétés (dilution des risques), utiliser des espèces et des variétés qui tolèrent mieux la sécheresse, profiter un maximum des pousses de printemps et dautomne pour les ressources fourragères. Cependant, même si ces stratégies ont été efficaces durant une quinzaine dannées, de nouvelles adaptations sont nécessaires pour faire face à des aléas climatiques de plus en plus réguliers : printemps très humides, étés et automnes très secs. Pour sécuriser leur système, les associés ont tout dabord décidé daugmenter la part des cultures dhiver. Toutefois, ce choix a entraîné un déséquilibre dans les rotations et a causé des problèmes de gestion des adventices. Pour y remédier, ils envisagent dinvestir, dici un à deux ans, dans du matériel dirrigation et de rétablir leur ratio à 50 % de cultures dhiver et 50 % de cultures de printemps (les cultures de printemps seront ainsi sécurisées par le système dirrigation). En parallèle, ils maximisent la couverture du sol en implantant des dérobées afin davoir une ressource fourragère supplémentaire en automne.
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Le boom de l'anacarde en Côte d'Ivoire : transition écologique et sociale des systèmes à base de coton et de cacao
François RUF, Auteur ; Siaka KONE, Auteur ; Boniface BEBO, AuteurLa Côte dIvoire est devenue le premier producteur mondial de noix de cajou, aussi appelées anacardes. Cet essor est en partie lié aux marchés : stagnation des prix du coton et du cacao et hausse du prix de lanacarde sur deux périodes. Pour mieux comprendre les déterminants de cette évolution, une étude sest intéressée à 6 zones de Côte dIvoire, entre 2016 et 2017. Elle montre que lanacardier, arbre robuste et résistant aux sécheresses, est privilégié par les planteurs car il évite, pour linstant, tout recours aux intrants chimiques et au crédit, contrairement au coton ou au cacao. Il devient un outil de transition écologique et sociale. De plus, en zone cacaoyère, lanacardier est utilisé en agroforesterie, réduisant la mortalité des jeunes plants de cacao.
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Dactyle / luzerne : une bonne association pour passer des étés secs
GNIS, AuteurLassociation dactyle / luzerne comporte plusieurs avantages. Tout dabord, la répartition de la production et les modes dutilisation des fourrages sont compatibles. Le dactyle permet la conservation de lensilage et une récolte de foin qui limite la perte des feuilles de luzerne cassées dans la masse du fourrage. La présence de luzerne apporte une certaine résistance à la sécheresse. Au niveau de la composition, luzerne comme dactyle sont riches en protéines et le dactyle permet de maintenir une bonne densité énergétique du mélange. Pour obtenir cette association, il faut prendre en compte le poids des graines. Ainsi, pour obtenir 50 % de plantes de chaque espèce, il faut semer 30 % de dactyle en poids et 70 % de luzerne. Néanmoins, la pérennité des deux espèces de cette association est différente. La luzerne disparaît avant le dactyle, au bout de 3 ans. Un sursemis de luzerne nest pas envisageable, mais dautres options sont possibles (sursemis de trèfle violet, labour, etc.).
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Dossier : Faire face au changement climatique
Joachim PERROCHEAU, Auteur ; Cyrielle DENHARTIGH, Auteur ; Alice BOISSINOT, Auteur ; ET AL., AuteurLe partage et léchange dinformations, de réflexions et des pratiques qui marchent forment une véritable intelligence collective face au défi climatique. Les éleveurs des 1 300 fermes collectées par Biolait ne manquent pas de ressources et dimagination pour sadapter aux effets du changement climatique et aller vers plus dautonomie et de résilience sur les fermes, comme le montrent les témoignages de ce dossier. - Qu'entend-on par changement "climatique" ? ; - L'agriculture biologique : un atout face au changement climatique ; - Faire face au changement climatique : une réflexion et des actions à engager dès maintenant ; - Projet Life Agri Adapt ; - Le sorgho, une plante d'avenir face à la sécheresse ; - L'adaptation des fermes aux changements climatiques ; - Pour faire face à la sécheresse, réfléchir à son chargement et à son assolement ; - Au GAEC Cras, des bilans carbone qui confirment que... ; - Face à des étés plus secs, augmenter la surface accessible avec une salle de traite mobile ; - La monotraite en période de fortes chaleurs : "Je l'ai d'abord fait pour les vaches" ; - Revenir à la base et simplifier... Vers une recherche de cohérence et de résilience ; - Nous avons implanté des haies bocagères sur notre ferme ; - La betterave, une plante faite pour résister à la sécheresse ; - Sécuriser ses stocks et ses rendements par un déprimage de fin d'hiver ; - Le pâturage d'été possible grâce à l'irrigation ; - Quand les prix de la paille déraillent... Quelles alternatives ; - Laisser les arbres reprendre leur place dans les systèmes agricoles : Le travail du collectif "déleveurs d'arbres" de l'association "Terres et bocages" ; - Oasys : Un système laitier agroécologique adapté au changement climatique ; - Des producteurs bio solidaires face aux difficultés climatiques.