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Documents disponibles dans cette catégorie (823)


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Dossier : Le label FNAB « Bio France », présentation des critères biodiversité
Léo TYBURCE, AuteurLa FNAB travaille sur le déploiement d'un label « Bio France », applicable à l'échelle des fermes. Après la création de la première brique bio-équitable en 2021, deux nouvelles briques sont à l'étude, sur le social et sur la biodiversité. Ce dossier est consacré aux 11 critères de la brique biodiversité qui seront progressivement mis en place, sur 3 ans. Ces critères sont : 1 - Renforcer progressivement le pourcentage d'infrastructures agroécologiques (IAE) sur la ferme ; 2 - Avoir au moins deux types d'infrastructures agroécologiques (ligneux, herbagers, aquatiques) sur sa ferme ; 3 - Respecter certaines recommandations de gestion des IAE pour favoriser la biodiversité ; 4 - Améliorer progressivement la diversité des espèces cultivées ; 5 - Limiter progressivement la part des parcelles de grandes tailles dans la SAU ; 6 - Interdiction des "nouveaux OGM" ; 7 - Fertilisation : interdiction des substances controversées ; 8 - Encadrement de l'utilisation des antiparasitaires en élevage : limitation des avermectines et interdiction des bolus ; 9 - Couverture du sol ; 10 - Réduction du travail du sol ; 11 - Sensibilisation à la biodiversité. Un encart présente les actions pour la biodiversité pour lesquelles Bio en Grand Est accompagne les producteurs bio.
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Recommandations en santé environnementale : Les politiques à mettre à l'oeuvre pour un quinquennat réussi au sujet des produits chimiques dangereux
Dans ce document, l'association Générations Futures, soutenue dans cette démarche par de nombreuses ONG, s'adresse aux candidats à l'élection présidentielle de 2022. Elle les interpelle sur la nécessité de définir et de mettre en place une politique de santé environnementale forte, afin d'assurer la santé des citoyens et de tout être vivant. Ainsi, 10 mesures pour lesquelles des résultats concrets sont espérés sur le quinquennat 2022-2027 sont présentées. Parmi celles-ci, figure la révision du Plan Stratégique National pour soutenir réellement l'agriculture biologique. Puis, un programme plus complet, autour de six grands axes, est exposé. Ces axes concernent : - la réduction des expositions aux polluants chimiques dangereux des populations et des milieux ; - l'évolution et la révision des réglementations ; - l'amélioration de la recherche ; - la veille sanitaire et environnementale ; - la responsabilité des industriels ; - la promotion des alternatives, notamment l'agriculture biologique.
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Biased from the outset: The EU Commissions working document on new GM techniques fails to uphold environmental and consumer protection standards
IFOAM - ORGANICS INTERNATIONAL, Auteur ; GREENPEACE, Auteur ; GÉNÉRATIONS FUTURES, Auteur ; ET AL., Auteur | BONN (Charles-de-Gaulle-Strasse 5, 53113, ALLEMAGNE) : IFOAM - ORGANICS INTERNATIONAL | 2021Ce document retranscrit l'analyse critique dune soixantaine dorganisations non gouvernementales (ONG) et dassociations, suite à la publication dun document sur les nouveaux OGM par la Commission Européenne (CE). En avril 2021, la direction santé de la Commission européenne (DG SANTÉ) a publié un document de travail qui pourrait conduire à une proposition de déréglementation des nouvelles techniques de modification génétique (OGM de deuxième génération). Cette déréglementation viserait à ne plus obliger les contrôles de sécurité, ni l'étiquetage des OGM sur les produits (étiquetage visant à informer le consommateur), ni à exiger une traçabilité ou une surveillance des produits post-commercialisation. Les différentes ONG et associations qui ont signé cette réponse à la CE sopposent fermement aux propositions contenues dans ce document. Elles dénoncent le fait que ce « document de travail » est biaisé en faveur des intérêts de lindustrie des biotechnologies agricoles. Par ailleurs, elles dénoncent les impacts négatifs quaurait cette déréglementation : elle présenterait des risques inacceptables pour la santé humaine, la santé animale et l'environnement ; elle interdirait aux citoyens de savoir ce qu'ils mangent et aux agriculteurs de savoir ce qu'ils sèment ; elle soulèverait également des questions de biosécurité, de transparence de l'information et de protection des consommateurs.
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Dossier : Industrialiser le bio ? Mais jusquoù ?
Dominique PARIZEL, Auteur ; Julie VAN DAMME, Auteur ; Mathilde RODA, AuteurCe dossier apporte des éléments de réflexion sur lindustrialisation de la bio. Il est constitué de quatre parties. La première, intitulée « Les nouveaux « progrès » de lagro-industrie », aborde des sujets sensibles liés à lindustrialisation de lagriculture en général : les nouveaux OGM, le prion de la vache folle (ESB), les farines animales ou PAT (protéines animales transformées), la corrélation entre lalimentation industrielle et le surpoids ou lobésité La seconde partie, dédiée à « Lintrouvable vitamine B2 pour coco.tte.s », dénonce les filières biologiques qui reposent sur lutilisation dintrants controversés (ex : la vitamine B2 pour lalimentation des volailles) et les filières qui cherchent à remplacer lun de ces intrants par un produit alternatif, sans avoir une réflexion globale ou une approche plus éthique. La troisième partie, « Les défis de notre agriculture et la réponse industrielle : lavis dun producteur », rapporte le témoignage dAndré Grevisse, un éleveur belge dAngus bio. Ce dernier donne son avis sur lévolution de la bio, lindustrialisation de certains élevages, ainsi que sur des problèmes de cohérence (réglementaire ou organisationnelle) au sein de certaines filières. La quatrième partie, « Être ce que lon mange, manger tel quon est ! », apporte des éléments de réflexion sur lalimentation des animaux délevage et les dérives que peut entraîner la recherche de performances zootechniques (recours aux OGM, brevetage du vivant, farines animales ).
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Dossier : La problématique des nouveaux OGM
Catherine WATTIEZ, Auteur ; Laura VLÉMINCQ, AuteurCe dossier est consacré aux récentes modifications de la réglementation en matière d'OGM. Pour les auteurs, les OGM, pour la menace qu'ils font peser sur la souveraineté des agriculteurs et sur l'avenir de notre alimentation, doivent être mieux connus du grand public. Après un rappel de la définition des OGM et des explications sur les dernières évolutions technologiques (les "nouveaux OGM"), ce dossier examine les risques d'avoir des OGM "cachés" dans notre alimentation du fait d'une législation insuffisamment poussée, ainsi que ceux qui peuvent peser sur la santé et l'environnement.
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Le point avec Certipaq Bio : Cumuler les certifications
François SOULARD, AuteurDe nombreux viticulteurs choisissent de cumuler plusieurs certifications comme, par exemple, la certification biologique et biodynamique. Cet article effectue un point sur les exigences générales de trois certifications : agriculture biologique (réglementation UE bio), Demeter et Haute valeur environnementale (HVE). Pour chacune dentre elles, un tableau récapitule les exigences en matière : de conditions dengagement et de contrôle, dutilisation de différents intrants (herbicides, insecticides, anti-mildiou, anti-oïdium, anti-pourriture grise), de fertilisation, de préservation de la biodiversité, de gestion de leau et de recours aux OGM.
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L'abeille et le droit : Guide juridique et pratique sur la législation apicole
L'apiculture, qui doit faire face à de nombreuses difficultés, est notamment confrontée à des importations de miels mal ou peu contrôlées, des interférences possibles des ondes avec les vols d'abeilles, des succession d'autorisations administratives de mise sur le marché (AMM) de techniques ou de produits dangereux pour les abeilles malgré les contentieux. Il est temps que le droit vienne au secours des abeilles et de l'apiculture. Dans ce guide pratique et juridique, un tour d'horizon commenté et expliqué permet de faire le point sur l'ensemble des textes de lois se rapportant directement ou indirectement au monde apicole : nature juridique de l'abeille, statut de l'apiculteur, organisations apicoles et rôles, droits et obligations des apiculteurs, vie juridique de l'exploitation apicole, définition et caractéristiques de la composition du miel, obligations fiscales du petit apiculteur, dispositions européennes concernant les maladies des abeilles, textes applicables aux pesticides, abeilles et OGM, abeilles et champs électriques et magnétiques (jurisprudence sur les antennes-relais)...
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L'autonomie en protéines de lélevage européen est-elle à notre portée ?
A. PFLIMLIN, AuteurEn Europe, lélevage utilise dimportantes quantités de soja importées des États-Unis, du Brésil et dArgentine, où la part de soja OGM dépasse 90 %. En France, le soja représente 50 % des tourteaux utilisés pour lélevage (notamment porcin et bovin intensif). Lautorisation, dans certains cas, de mentionner labsence dOGM sur létiquette des produits a permis le développement de filières délevage non OGM, malgré un surcoût de 80 /t de tourteau. La recherche dautonomie en protéines des élevages, ainsi que les nouvelles demandes sociétales (cultures non-OGM, refus de la déforestation) incitent à reconsidérer les ressources en protéines utilisées, notamment pour les ruminants. Une estimation montre quà léchelle nationale, le soja OGM importé pourrait être remplacé par du soja non OGM cultivé en France ou par laccroissement des surfaces en légumineuses (pures ou en association). La mise en place dun Plan Protéines pourrait favoriser lautonomie en protéines et lévolution des systèmes de production vers des systèmes plus durables.
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Le blé Renan est-il un OGM ?
Frédéric PRAT, AuteurLa variété de blé Renan est la plus utilisée en bio, mais certains sinterrogent sur ses origines (OGM ?) en raison de croisements quils jugent « non naturels ». Cependant, selon les règlementations européenne et internationale, Nicole Maïa, obtentrice des ancêtres de ce blé, affirme que le blé Renan nest pas OGM. En effet, la création du blé Renan, à partir dun croisement entre une graminée sauvage et un blé, a utilisé linduction polyploïde (doublement du nombre de chromosomes) qui peut se produire naturellement (phénomène rare mais régulièrement observé et qui ne modifie pas substantiellement les chromosomes ainsi multipliés). Le Renan peut donc être cultivé en bio. Ce sont les techniques de mutagenèse chimique de synthèse ou dirradiation qui sont refusées en agriculture biologique. Cependant, il nexiste à ce jour encore aucune obligation dinformation sur les procédés dobtention variétale.
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Dossier : 2018 : Offensives multiples sur les OGM
Christophe NOISETTE, Auteur ; Eric MEUNIER, Auteur ; Joël SPIROUX DE VENDÔMOIS, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier effectue une rétrospective des éléments marquants de lannée 2018 à propos des OGM. Arrivés il y a plus de 20 ans dans les champs américains, les OGM ont tout dabord connu une progression rapide, avant que leur diffusion stagne depuis quelques années. 2018 marquera les esprits avec larrêt de la Cour de Justice de lUnion Européenne sur le statut des OGM résultant dune mutagénèse. Dun autre côté, la Commission Européenne a autorisé limportation de 32 nouveaux OGM. Au-delà du chiffre en lui-même, ce sont les conditions de délivrance des autorisations qui marquent un tournant en 2018 (les produits des nouvelles techniques de mutagénèse sont reconnus comme des OGM). Quant aux industriels, pour Inf'OGM, ils ont plutôt envie de changer le cadre réglementaire européen et de réduire lévaluation des nouveaux OGM afin dencourager « linnovation ». Par ailleurs, six ans après « laffaire Séralini », deux projets de recherche (un européen et un français) ont conclu à labsence dimpact sanitaire de deux maïs OGM. Cependant, pour Inf'OGM, ces recherches ne sont pas une répétition de l'étude du chercheur français et leur objectif était de donner aux autorités politiques un argument scientifique pour lever lobligation de fournir des analyses toxicologiques dans les procédures dautorisation des OGM. Lannée 2018 na pas non plus fait exception en matière de contamination : depuis que des OGM sont cultivés, la présence fortuite de variétés non autorisées dans les champs ou les aliments na pas diminué.
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Dossier : Amérique Latine : Droguée aux OGM
Frédéric PRAT, Auteur ; Christophe NOISETTE, Auteur ; Leonardo MELGAREJO, Auteur ; ET AL., Auteur41 % des OGM transgéniques cultivés dans le monde sont produits par 12 des 20 pays qui composent lAmérique Latine. Les quatre pays du Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay et Uruguay) détiennent la quasi-totalité de ces surfaces cultivées en OGM. Ce dossier, composé de sept articles, fait un point sur ces productions en Amérique Latine et sur les impacts quelles peuvent avoir. Le premier article a été rédigé suite à laccord signé entre les pays du Mercosur et lUnion Européenne. Il liste les OGM autorisés en Amérique Latine et ceux autorisés, ou non autorisés, à limportation en Europe. Le deuxième sintéresse aux accords de libre-échange relatifs aux OGM. Il dénonce la place des intérêts commerciaux : ces derniers lemportent sur la santé des populations et de lenvironnement. Larticle suivant est consacré à la culture de soja en Amérique Latine : il répertorie tous les méfaits (environnementaux et sociaux) quelle engendre. Un focus est ensuite réalisé sur le Brésil : il explique le rôle et le poids industriel de lagroalimentaire dans le développement de la culture dOGM transgéniques. Il est suivi par un article consacré au Chili. Ce pays, qui ne cultive pas dOGM transgéniques pour son marché intérieur, autorise la culture dOGM pour la production de semences cultivées en contre-saison pour lexportation. Lavant-dernier article est consacré à une déclaration effectuée communément par lArgentine, le Brésil, le Chili, le Paraguay et lUruguay : ils souhaitent déréglementer les nouveaux OGM, notamment pour éviter les obstacles à leur commerce. Enfin, ce dossier est clôturé par une description de différentes résistances citoyennes contre les OGM en Amérique Latine.
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InfOGM vous informe : 20 ans déjà !
Eric MEUNIER, Auteur ; Christophe NOISETTE, Auteur ; Frédéric PRAT, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier retrace lhistorique du journal InfOGM, avec limplication notamment de la fondation Charles Léopold Mayer pour le progrès de lhomme, ainsi que ses missions : informer sur les OGM, les biotechnologies, les semences, mais aussi échanger avec des partenaires français et étrangers. Des témoignages de militants complètent le tableau, militants paysans et/ou impliqués dans des associations partageant les préoccupations des membres de la revue. Lactualité et lavenir sont aussi abordés (veille, information, éducation).
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Nouveaux OGM : Les éléments du débat public
Zoé JAQUINOT, Auteur ; Frédéric PRAT, Auteur ; Christophe NOISETTE, Auteur ; ET AL., AuteurLes nouvelles techniques de mutagénèse sont en plein essor et les laboratoires se retrouvent dans une course incessante pour développer toujours plus de nouvelles ressources génétiques, représentant des enjeux économiques énormes. Ce dossier, de dix articles, donne les éléments clés du débat sur ces nouveaux OGM qui représentent aussi un enjeu démocratique. Les nouvelles techniques de modification génétique sont traitées comme un ensemble ; ce dossier aborde ainsi la définition réglementaire, les différentes techniques de modifications génétiques (production de protéines, mutagénèse, transgénèse, insertion dADN, etc.), les risques, les différences entre anciens et nouveaux OGM ou encore la lutte des citoyens et des agriculteurs.
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OGM - Les risques d'allergies sont-ils sous-estimés ?
Eric MEUNIER, AuteurUne étude de l'Université nationale autonome du Mexique a mis en évidence le possible risque allergène de la protéine Cry1Ac, une protéine insecticide produite par de nombreuses plantes OGM. Pourtant, l'AESA, l'Autorité européenne de sécurité des aliments, ne prévoit pas pour autant de remettre en question ses précédents avis sur cette protéine, estimant que l'étude mexicaine manque de rigueur scientifique sur certains aspects. L'AESA indique toutefois avoir pris note de la pertinence de ce sujet.
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Soja : durable, vous avez dit durable ?
Bettina BALMER, AuteurLe soja OGM représente 70 à 80 % de la production mondiale, avec pour principaux producteurs les États-Unis, le Brésil et l'Argentine. Le soja y est bien souvent synonyme de déforestation massive. Ces cultures continuent de s'y développer car elles ne sont généralement pas interdites en alimentation animale. Cependant, la demande en soja non OGM est en hausse, surtout en Europe, du fait de la volonté croissante des chaînes de supermarchés de commercialiser des produits animaux issus d'élevages sans aliment OGM. La production de soja bio est passée de 861 000 tonnes en 2015 (528 000 ha) à 914 000 tonnes en 2016 (560 500 ha). La Chine et l'Inde sont les principaux producteurs de soja bio, avec 70 % des surfaces dédiées à cette culture dans le monde (11 % pour l'Europe). La filière soja bio française se développe : en 2017, elle représentait 1 595 exploitations, pour une surface totale d'environ 24 800 ha (dont 1/3 en conversion). A l'inverse du conventionnel, 70 % du soja bio est valorisé en alimentation humaine. Par ailleurs, les fabricants d'aliments bio pour le bétail se tournent de plus en plus vers le soja européen. D'où la volonté d'augmenter la production de soja bio en Europe, surtout en Europe du Nord, notamment via le développement de variétés résistantes au froid.