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ROUILLE MALADIE |
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CTIFL/ITAB : Rencontre légumes
Une rencontre technique ITAB/CTIFL fruits ou légumes biologiques a lieu chaque année. La journée de 2008, organisée en partenariat avec le GABNOR et la FNPE, avait pour thématique "La production légumière" et se tenait près d'Arras. 120 personnes y ont assisté. La rencontre a porté sur plusieurs thèmes : - Agronomie et désherbage : planches permanentes, désherbage par couverture du sol et thermique, anciennes variétés de tomates ; - Matériel végétal : élevage de plants de choux, tolérance variétale du poireau à la rouille ; - Maladies et ravageurs : lutte contre les nématodes à galles, biodésinfection et biopesticides ; - Qualité nutritionnelle des légumes bio.
La rouille grillagée du poirier
Portrait de la rouille grillagée du poirier (Gymnosporangium fuscum), champignon qui fragilise gravement les poiriers implantés à proximité de genévriers d'ornement : symptômes, modes de contamination et moyens de lutte.
Produire de l'ail blanc, rose ou violet : Une culture exigeante et délicate
La production d'ail bio française est estimée à 340 tonnes, soit 1% du volume national total. La région Midi-Pyrénées en fournit la moitié, avec une dominance d'ail blanc (82% des quantités), et un peu de rose et de violet (9% chacun). Exigeante et délicate, la culture de l'ail atteste, une fois de plus, de la nécessité de consacrer davantage de moyens à la recherche en bio. La gamme et la rouille restent préoccupantes.
Protection biologique contre les maladies foliaires du poireau
Le poireau, pour répondre aux conditions de commercialisation (en bio et conventionnel), doit être dépourvu de taches foliaires. Des expériences de la SELT (Station d'Expérimentation Légumière de Tour en Sologne), mises en place depuis 4 ans, s'intéressent aux méthodes de lutte contre les maladies du poireau. Les principales sont la graisse, le mildiou, la rouille et l'alternariose. Les mesures à prendre sont les rotations de cultures, le choix des variétés les moins sensibles, la stimulation des résistances naturelles et d'éviter de cultiver le poireau dans une zone de production intensive. Les résultats des expériences sont donnés en fonction des différents traitements.
Oignon (Allium cepa Linné)
L'oignon est l'une des plantes condimentaires les plus utilisées de par sa variabilité culinaire. Sa culture remonterait aux temps anciens, en Egypte, et son arrivée en France daterait du Moyen Age. Il appartient à la famille des Alliacées ou liliacées, comme la ciboule, l'échalotte, le poireau, l'aïl et l'asperge. Cet article vous présente l'oignon, sa culture, les différentes variétés, sa récolte, ses ennemis culturaux, les parasites et maladies susceptibles de l'atteindre, et enfin les richesses et bienfaits de l'oignon.
Pflanzenschutz im ökologischen Zwetschenanbau
En Allemagne, ces dernières années, la production bio des prunes a gagné du terrain par rapport à celle des pommes et poires. Suite à l'évolution de la production fruitière, de nouvelles voies de recherches se sont ouvertes en matière de protection phytosanitaire des vergers bio. L'article présente les méthodes de lutte contre les principaux ravageurs des pruniers, applicables en agriculture biologique : - carpocapse des prunes, - rouille du prunier, - cochenille, - chancre, - sharka, - maladies du prunier causées par des bactéries.
La rouille du cerisier, une mycose peu connue des arbres fruitiers
Peu connue en Suisse, la rouille du cerisier a fait une apparition notable dans les vergers helvètes cet automne, l'occasion pour l'auteur d'en détailler le cycle de développement, en précisant à chaque stade la forme du champignon et surtout les plantes hôtes du parasite, et les symptômes d'atteinte. L'impact économique étant faible pour l'instant, aucun traitement n'est envisagé.
Apprivoiser le prunier
Ses fruits sont, avec la pomme, la poire et la cerise, les plus présents dans nos jardins. De nature capricieuse, c'est néanmoins une espèce aux variétés diverses que l'on peut cueillir de Juillet à Septembre. En effet, l'arbre s'adapte à tous les sols et se multiplie facilement; pourtant, étant fort difficile à maîtriser, il doit néanmoins être livré à lui-même : il ne faut surtout pas le tailler dans ses premières années, il suffit de l'arroser. Pour bien "élever" son prunier, il est possible de se reporter au mode d'emploi d'Alain Pontoppidan qui donne là toutes les astuces et conseils pour traiter les maladies de l'arbre et une liste des différentes variétés de prunes selon leur époque.
Traitements phytosanitaires (juin)
Traitements phytosanitaires des maladies et ravageurs des poiriers, pommiers, pêchers, abricotiers, cerisiers, pruniers, noyers, framboisiers, cassissiers et groseilliers à effectuer au cours du mois de juin.
Traitements phytosanitaires (mai)
Traitements phytosanitaires des maladies et ravageurs des pommiers, poiriers, pêchers, abricotiers, pruniers, cerisiers, cognassiers, noyers à effectuer au cours du mois de mai.
Traitements phytosanitaires (septembre)
Traitements phytosanitaires des maladies et ravageurs des pommiers, poiriers, pêchers, cerisiers, abricotiers, pruniers, fruits rouges à effectuer au cours du mois de septembre.
Essais de lutte contre les maladies du blé d'automne en Suisse romande - Effets des traitements fongicides visant l'oïdium, la rouille brune et la septoriose de l'épi (1987-1993)
Les effets des traitements fongicides sur les maladies foliaires et de l'épi et sur le rendement du blé d'automne Arina ont été examinés dans 4 régions de Suisse romande dont les conditions pédo-climatiques sont très différentes (la Côte lémanique, la plaine de l'Orbe, le Chablais et le Gros-de-Vaud). Ces essais ont été mis en place de 1987 à 1993. Tous les traitements fongicides ont été effectués en situations phytosanitaires déterminées. Un traitement fongicide unique a ainsi été appliqué soit en situation de maladie (oïdium, rouille brune, septoriose de l'épi ou situation mixte) préalablement définie, soit en l'absence de maladie. Globalement, le traitement en situation de maladie a provoqué une hausse significative du rendement dans 50 % des cas. En éliminant les cas où le fongicide n'était pas approprié à la situation, on peut alors considérer une augmentation siginficative du rendement dans 66 % des cas. Le traitement en situation d'oïdium n'a pas eu d'effet sur le rendement à Changins et à Bex/Saint-Triphon. Il a eu, en revanche, un effet significatif sur le rendement à Ependes surtout, et, dans une moindre mesure, dans le Gros-de-Vaud. Une situation de rouille brune n'a été régulièrement observée qu'à Bex/Saint-Triphon avec un succès du traitement 4 ans sur 7. La situation mixte d'oïdium et de rouille brune a été assez fréquente à Changins, mais avec un succès des traitements mitigé en termes de rendement. Le traitement à l'épiaison en situation de septoriose de l'épi, basée sur la présence de symptômes foliaires et sur la région, a eu un effet positif sur le rendement lorsqu'il a été efficace contre la maladie visée ou encore contre l'oïdium ou la rouille brune en situations mixtes. Des augmentations significatives du rendement ont été enregistrées après des traitements réalisés en l'absence de maladie. A une exception près, elles sont expliquées par l'effet du fongicide contre une maladie apparue ultérieurement. L'efficacité de 20 fongicides contre l'oïdium, la rouille brune et la septoriose de l'épi est présentée. Sur l'ensemble des 7 années d'essais, un double traitement aux stades CD 31-32 et CD 51-55 n'a apporté quasiment aucune amélioration du rendement par rapport à l'un ou à l'autre des traitements uniques. Les résultats présentés ici et dans des publications précédentes indiquent que notre définition des situations de rouille brune et de septoriose de l'épi est satisfaisante, mais qu'il conviendra de modifier celle des situations d'oïdium et de piétin-verse pour un usage encore plus rationnel des fongicides foliaires sur le blé d'automne.
L'avoine
La plante. Préparation du sol, semis, fumure. Désherbage. Protection fongicide et insecticide. Valeur nutritive et débouchés.
Essais de lutte contre les maladies du blé d'automne en Suisse romande - Maladies du feuillage et des épis : développement de l'oïdium, de la rouille brune et des septorioses (1987-1993)
Le développement des maladies du feuillage du blé d'automne (var. Arina) a été suivi dans 28 essais, pendant 7 ans (de 1987 à 1993), dans 4 zones céréalières de Suisse romande. Cette expérimentation a pour but de mieux connaître l'intensité et la dynamique des maladies cryptogamiques du feuillage du blé d'automne et de mieux cibler les traitements. Dans les terres tourbeuses de la plaine de l'Orbe (Ependes), l'oïdium se développe intensément et précocement, dès le stade 2 noeuds de la céréale (CD 32), le seuil d'intervention étant atteint chaque année ; les attaques de septoriose sont également sévères sur l'épi. L'oïdium est certainement favorisé par l'humidité relative (rH) de l'air particulièrement élevée de cette plaine et la minéralisation importante de l'azote des terres tourbeuses. La région d'altitude du Gros-de-Vaud est également favorable à la septoriose de l'épi, mais moins aux autres maladies, piétin-verse excepté. Le seul paramètre météorologique pouvant expliquer l'importance de la septoriose de l'épi dans ces deux régions est la rH de l'air au printemps ; en effet, dans les cas cités, précipitations et températures ne fournissent guère d'explication. Les régions de Changins et de Bex/Saint-Triphon (bassin lémanique) sont surtout favorables à la rouille brune, dont les épidémies commencent plus tôt (souvent au stade CD 37, apparition de la dernière feuille) que dans les 2 autres régions (CD 47-61, ouverture de la gaine à début floraison). Le seuil d'intervention a été atteint chaque année à Bex/Saint-Triphon. Probablement en raison d'une rH de l'air assez basse au printemps, l'oïdium, souvent présent sur le feuillage dès le stade CD 32 mais diminuant par la suite, et la septoriose de l'épi ne devraient poser de problèmes dans le bassin lémanique que dans des sites abrités et humides. La septoriose des feuilles (Septoria tritici) ne s'est manifestée de façon importante qu'une seule fois dans le Gros-de-Vaud en 1988. En 1991, une corrélation a été établie entre une brusque diminution de l'oïdium à Bex entre les stades CD 41-55 et un fort déficit hydrique du sol. La quasi-absence de septoriose de l'épi en 1992 en dépit de conditions météo supposées favorables (pluis à l'épiaison) et de symptômes foliaires préalables n'est pas expliquée. La mise en parallèle du développement des maladies foliaires du blé et des relevés météorologiques régionaux montre toute l'importance à accorder à l'humidité relative de l'air.
La fève
Pour tout savoir sur cette légumineuse, le lecteur trouvera ici : - Botanique et variétés (Aguadulce, Quarantaine extra-hâtive à grain violet, Trois fois blanche, Con amore, De Séville...), avec les caractéristiques de chacune, - Fiche technique détaillée : sol, semis, entretien, récolte (avec des conseils pratiques pour optimiser chaque opération), - Liste de ses ennemis (puceron noir, thrips, rouille, mildiou), avec description des effets et moyens de lutte spécifique, - Recettes culinaires (à l'estragon, à la provençale...). Véritable leçon de jardinage, de sciences naturelles et d'histoire à elle toute seule, la fève mérite qu'on lui prête plus d'attention qu'on ne le fait aujourd'hui. Sa facilité de culture, son côté spectaculaire, son goût remarquable et sa richesse en protéines plaident sans aucun doute pour sa réhabilitation.