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Agriculture biologique : Bibliographie sur les protéagineux biologiques : lupin, féverole et pois
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Arbre et agriculture biologique : Regards de paysans bio de France
Clément GABORIAU, Auteur ; Marion HUREAUX, Auteur ; Loïc LABIDALLE, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2016Si lagroforesterie en bio présente des avantages agronomiques, économiques, environnementaux et paysagers, sa mise en place nest pas toujours facile. Ce recueil présente des expériences concrètes en agroforesterie menées par des paysan-ne-s bio du réseau FNAB. Il rassemble : - 11 fermoscopies de producteurs bio du réseau FNAB qui pratiquent lagroforesterie, sur toute la France, et plus particulièrement dans 9 départements (régions Auvergne-Rhône-Alpes, Centre-Val-de-Loire, Hauts-de-France, Ile-de-France, Bretagne, Nouvelle-Aquitaine, Occitanie), avec des informations sur les parcelles ou haies plantées, les avantages et les difficultés rencontrées, les investissements et laccompagnement, ainsi que des conseils pour celles et ceux qui souhaitent se lancer ; - Une présentation de la plateforme TAB (Drôme), site expérimental agroforestier en bio , - Un focus sur une démarche collective du réseau FNAB, avec lABP (Agriculture Biologique en Picardie) ; - Des interviews dexperts : Frédéric Santi, INRA dOrléans, sur la sélection participative des feuillus précieux ; Christian Dupraz, INRA Montpellier, sur les relations entre arbres et cultures annuelles ; Fabien Liagre, dAgroof, bureau détude spécialisé en agroforesterie.
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Autonomie alimentaire : Des friches viticoles à l'atelier de découpe
Elise POUDEVIGNE, AuteurCinq éleveurs de bovins des montagnes sèches des Corbières minervoises (Aude), 4 en bio et un en projet de conversion, se sont lancés dans un projet commun, démarré il y a trois ans : trouver des parcelles ou des friches viticoles pour faire paître leurs troupeaux. Grâce à l'accompagnement du BioCivam de l'Aude et la FDCuma de l'Aude, ils ont pu entrer en relation avec les mairies et les propriétaires de terres et obtenir des propositions intéressantes. Pour Jackye Sicart, coordinatrice de la FDCuma, "c'est vraiment le territoire qui se met au service de ce projet". Le groupe d'éleveurs réfléchit maintenant à la possiblité de créer une CUMA.
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Betterave fourragère : Vers un nouvel outil de désherbage
Charles SOUILLOT, AuteurBien que des difficultés existent sur le désherbage de la betterave en agriculture biologique, la diversité des outils existant aujourd'hui peut permettre une conduite fine et réussie de cette culture. Pour mieux envisager les stratégies à mettre en uvre, un programme de recherche de 3 ans a vu le jour en 2009. Charles Souillot, technicien productions végétales au GAB D'Armor, relate les objectifs du programme et les résultats de la première année. Le but du dispositif mis en place est de déterminer le seuil de nuisibilité de différentes adventices sur la culture de betterave fourragère, d'évaluer l'efficacité d'action de plusieurs outils à des stades différents de la culture, de créer des grilles de décision permettant la conduite de stratégies de désherbage mécanique pertinentes. L'article indique comment les données, une fois recueillies, pourront être utilisées. Par ailleurs, l'article évoque le dispositif expérimental, la méthode d'évaluation des différences de production en matière fraîche, les résultats encourageants, les tests d'itinéraires techniques 2010. Un tableau présente l'ensemble des adventices les plus fréquemment rencontrées sur betterave en Bretagne.
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Bilan des essais couverts végétaux 2014
HERBA BIO, AuteurAu printemps dernier, les symptômes de dépérissement en culture de lavande ont été évalués par le CRIEPPARM (Centre Régional Interprofessionnel d'Expérimentation en Plantes à Parfum Aromatiques et Médicinales), l'ITEIPMAI (Institut Technique Interprofessionnel des Plantes à Parfum, Médicinales et Aromatiques) et la Chambre d'agriculture de la Drôme, dans des parcelles qui avaient été enherbées entre les rangs l'été 2013 (parcelles de producteurs et un essai à la station expérimentale de Manosque). Les résultats sont très encourageants et incitent à creuser davantage la voie des couverts végétaux, pour leurs bienfaits, tant sur le dépérissement que sur les autres aspects agronomiques. Les essais et leurs résultats détaillés sont présentés : piégeage, mesure de la concurrence, mesure de la température.
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Biodiversité fonctionnelle en zone méditerranéenne : Résultats concrets et perspectives prometteuses en maraîchage
Jérôme LAMBION, Auteur ; Amélie LEFÈVRE, Auteur ; Dominique BERRY, AuteurLa biodiversité fonctionnelle est la biodiversité qui a un impact positif aux niveaus écologique, économique et social des exploitations, des filières et des territoires. Des résultats d'études sur la biodiversité fonctionnelle en lien avec le maraîchage sont présentés ici. Ainsi, le GRAB mène, depuis 2007, des essais de biodiversité fonctionnelle afin de renforcer la présence de mirides auxiliaires et de permettre leur présence de façon précoce à proximité des cultures. Ces essais ont permis de sélectionner des plantes-hôtes. Des bandes florales ont été plantées sous abri et à l'extérieur et ont donné des résultats concluants, sans que cela ne soit trop contraignant pour les producteurs. L'INRA a mis en place une étude afin de mieux comprendre le processus de colonisation d'une culture sous abri par les insectes auxiliaires. Cette étude a mis en évidence que la composition de l'environnement paysager (à 200 ou 300 m) influence le potentiel de colonisation des cultures maraîchères sous abri par les mirides. Ce facteur semble aussi important que le type de pratiques réalisées. Enfin, un groupe de producteurs passionnés développe et diffuse des pratiques de régulation naturelle des ravageurs grâce aux auxiliaires. Une méthodologie de diagnostic simple a été mise en place. Ce diagnostic évalue l'intérêt des aménagements existants pour la biodiversité de parcelles maraîchères et arboricoles et permet de donner ensuite des préconisations d'aménagements complémentaires éventuels.
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Caractérisation du milieu biophysique pour déterminer lorientation technique dune parcelle agricole : application au territoire du Livradois-Forez
Ce rapport de stage de fin détude de DUT génie biologique (Université Clermont-Auvergne, IUT de Clermont-Ferrand, Campus universitaire dAurillac, Département génie biologique) a été réalisé au cours d'un stage effectué à VetAgro Sup, dans le cadre du projet BioRéférences piloté par le Pôle Agriculture Biologique Massif Central. Ce rapport de stage fait suite aux travaux dAliénor Quiblier dans le cadre du projet BioRéférences où un outil de caractérisation du milieu biophysique des exploitations agricoles a été construit en sappuyant sur lexemple de la production d'ovins allaitants biologiques. Le stage présenté ici a permis de préciser et de valider cet outil de classification. Pour cela, un territoire précis a été choisi : le Livradois-Forez. Grâce à différentes données acquises sur le milieu par le biais des sondages pédologiques effectués dans le cadre du Référentiel régional pédologique dAuvergne, un traitement statistique a pu être fait. Le traitement de ces données a permis de modifier et de valider les différents seuils de contraintes déjà présents dans larbre précédent, sans quil n'y ait de changement dans lordre dimportance des critères de milieu biophysique. De plus, un guide pour lutilisation de larbre de classification a été créé afin de préciser le mode dacquisition des quatre indicateurs (altitude, pente, géologie et potentiel agronomique) utilisés dans larbre. Cet arbre est adapté au Livradois-Forez et il peut être transposable à dautres territoires du Massif Central où le milieu est proche de celui du Livradois-Forez. Cependant, un travail de validation et dadaptation reste à faire pour lensemble du Massif Central, ainsi que pour toutes les productions de ruminants du réseau BioRéférences.
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Clôture : Une barrière canadienne pour faciliter le franchissement
Christophe LEFÈVRE, AuteurLa barrière canadienne permet le passage du tracteur sur les fils électriques sans que les animaux ne passent, ce qui évite de monter, descendre du tracteur, ouvrir la barrière, etc. Gilles Bernard, éleveur dans le Morbihan, a testé ce système. Il a fabriqué sa barrière à partir de la récupération d'un vieux sommier métallique avec ressorts. Deux barres de fer sont fixées à l'entrée de la parcelle à une vingtaine de centimètres du sol sur deux caillebotis en béton, et reliées entre elles par neuf fils électriques espacés de 20 centimètres. Le jeu de ressort joue le rôle de tendeur et apporte l'élasticité nécessaire au passage des tracteurs. Malgré quelques petits inconvénients et précautions d'usage, ce dispositif présente de nombreux atouts.
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Colloque - 17 novembre 2011 - Paris : "Les entomophages en grandes cultures : diversité, service rendu et potentialités des habitats" : Restitution du programme CASDAR
Charlotte DOR, Auteur ; Julie MAILLET-MEZERAY, Auteur ; Jean-David CHAPELIN-VISCARDI, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut Technique de l'Agriculture Biologique) | 2011Ce document sur les entomophages en grandes cultures aborde plusieurs aspects : - Quels entomophages sont dans les parcelles ? : Méthodologie de suivi des entomophages ; Diversité des carabidae en grandes cultures et intérêt entomologique ; Diversité des syrphidae en grandes cultures et intérêt entomologique ; - Comment favoriser leur présence ? : Impact des pratiques et des aménagements sur l'abondance et la diversité des carabides ; Impacts sur l'abondance et la diversité des syrphidae : aller plus loin grâce aux analyses polliniques ; Emergence des Carabidés : potentialités des habitats ; - Quels sont les services rendus par les carabes et les syrphes ? : Qui assure le contrôle biologique dans les parcelles agricoles ?... et comment ? ; Evaluer le service rendu en mesurant la diversité fonctionnelle des espèces : approche exploratoire sur les carabidae ; Méthodologie pour l'établissement de cartes de risques ravageurs fondées sur les caractéristiques paysagères ; - Quels documents et outils existent pour mieux les connaître et établir des conditions favorables à leur présence ? : Diaporama des outils conçus dans le cadre du projet ; Création d'outils de détermination des Carabides : cas de la clé de détermination des Carabides des paysages agricoles du Nord-Ouest de la France ; Evaluation multicritères des potentiels entomophages : "SyrphiX" & "CarabiX" ; Construction d'indicateurs d'impacts des aménagements de bordure, des pratiques et du paysage sur les carabidae (abondance et richesse spécifique). ; - Perspectives : le projet CasDar Auximore (2012-2014).
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Comparaison de variétés de céréales à paille en agriculture biologique : Protocole et modes opératoires : 2019
Robin GUILHOU, Auteur ; Hélène SICARD, Auteur ; Laurence FONTAINE, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut Technique de l'Agriculture Biologique) | 2019Ce document a pour vocation d'aider les expérimentateurs dans la mise en place des essais de comparaison variétale de céréales à paille conduites en agriculture biologique. Sont fournis des repères pour choisir la parcelle et pour construire le dispositif d'essai, ainsi que le détail des observations et mesures à réaliser. Les notations détaillées concernent : la parcelle d'essai, les critères de rendement et qualité, les notations sur la plante elle-même et les notations sur les bioagresseurs. Ce document vise également à harmoniser les observations et mesures réalisées par les différents organismes menant ces essais, de façon à faciliter le regroupement des résultats et leur analyse en commun.
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Comprendre et lutter contre le campagnol terrestre en AB : Un diagnostic agri-environnemental au service de l'exploitation agricole
Ce mémoire a été réalisé dans le cadre de la licence professionnelle "Agriculture Biologique Conseil et Développement", lors d'un stage effectué à la Chambre d'agriculture de la Corrèze. Le campagnol terrestre, qui se nourrit de la partie souterraine des plantes, s'installe préférentiellement en prairie où son activité compromet tant le volume que la qualité de la production fourragère. Connaître les différents facteurs qui à l'échelle du territoire, de l'exploitation et de la parcelle favorisent ou défavorisent le développement du campagnol, s'avère crucial pour l'éleveur biologique. C'est en effet le préalable à la mise en place d'une lutte préventive efficace. Le travail exposé dans le mémoire s'est appuyé sur l'étude de cas concrets (deux exploitations en AB, une en conventionnel), les interrelations entre le campagnol et l'ensemble de l'écosystème qu'il colonise étant au cur de la lutte préventive. Il a été fait appel à une méthode reconnue de diagnostic agri-environnemental (IBIS Intégrer la Biodiversité dans les Systèmes d'exploitations agricoles), complétée par une technique d'estimation de la densité des campagnols terrestres et par différentes techniques permettant de caractériser une prairie. Après analyse des paramètres paysagers et agronomiques, des pistes d'amélioration ont été proposées pour les trois exploitations. De nombreux paramètres de la lutte préventive contre le campagnol dépendent du choix politique de préserver le maillage bocager et de proposer une gestion cynégétique cohérente des prédateurs du campagnol.
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Conversion de fermes céréalières en bio sans élevage
A l'occasion des journées de l'environnement, Biobourgogne a organisé une journée d'information et de suivi technique avec des visites de parcelles de céréales dans le nord du département de l'Yonne, chez Christophe et Yannick Varache, Philippe et Franck Le Teno, Michel et Dominique Jacquin et André Herman. Après une matinée consacrée aux aspects règlementaires et administratifs, la journée s'est poursuivie dans les fermes, en alternant les parcelles en conversion depuis peu et celles déjà en bio.
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Diminuer la taille des parcelles pour favoriser les pollinisateurs
BULLETIN DE L'ALLIANCE PASTORALE, AuteurLe projet FarmLand a étudié leffet de la taille des parcelles ainsi que leffet de la diversité des cultures sur les pollinisateurs et sur le succès reproducteur des plantes. Réalisées par 15 laboratoires, les observations ont porté sur 94 paysages agricoles de 4 régions européennes. Cette étude montre que les parcelles de petites tailles favorisent labondance des pollinisateurs et ont des effets positifs sur le transfert de pollen. De plus, létude suggère quune plus grande diversité des cultures na pas forcément deffets positifs sur labondance des pollinisateurs, notamment lorsquelle est due à la présence de cultures intensives.
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DinABio 2013 : Session Agriculture biologique et biodiversité
Stéphanie AVIRON, Auteur ; Mathieu PERRAUDIN, Auteur ; Simon REDONDO, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS Cedex 07 (147 Rue de l'Université, 75 338, FRANCE) : INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) | 2013Quel est l'impact des pratiques agricoles sur la biodiversité, puis sur la protection des cultures ? Les résumés des présentations de la session « Agriculture biologique et biodiversité », regroupées dans les actes du colloque DinABio 2013, montrent l'intérêt de l'agriculture biologique dans le maintien de la biodiversité. L'augmentation de la demande en produits, ainsi que de l'intensité des pratiques fait diminuer la biodiversité. A ce titre, les systèmes extensifs, bien qu'ils mobilisent plus de surface pour la production, sont plus favorables à la biodiversité que les systèmes intensifs libérateurs de terres. L'agriculture biologique favorise la présence d'auxiliaires par rapport à l'agriculture conventionnelle à l'échelle de la parcelle, mais cet aspect n'a pas été perçu à l'échelle du paysage (projet Landscaphid). L'équitabilité et la richesse spécifique des prédateurs terrestres sont plus élevées en agriculture biologique qu'en agriculture conventionnelle. Le maintien de haies et de bordures de champs diversifiées fournit de nombreux habitats aux auxiliaires. Au-delà de la présence d'auxiliaires dans l'environnement, leur colonisation dans les cultures, en particulier sous abris, est encore peu connue. Elle dépend de nombreux facteurs, dont les pratiques agricoles et la présence d'éléments naturels à proximité. Enfin, une communication porte sur la production d'un auxiliaire indigène contre tuta absoluta.
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Dossier : L'agroforesterie
L'agroforesterie consiste à associer une faible densité d'arbres aux cultures dans une même parcelle. Le but est de tirer parti de leur complémentarité à des fins agronomiques et environnementales et ainsi de valoriser au mieux les ressources naturelles. Les atouts attribués à l'association sont en effets nombreux : - accroissement de la production globale des parcelles, en bois et produits agricoles divers; -protection des cultures, des animaux, des sols, de l'eau et de la faune sauvage ; - renforcement de la biodiversité et des auxiliaires potentiels ; - diversification des paysages ruraux ; - protection contre les inondations et les incendies ; - enrichissement du patrimoine des exploitations ; - stockage du carbone Ce dossier présente en premier lieu les enjeux de l'agroforesterie et ses intérêts en détail. Ensuite, les nombreux liens possibles entre Bois Raméal Fragmenté et agroforesterie sont évoqués, ces deux approches donnant aux arbres un rôle important dans la durabilité des systèmes agricoles. Les effets positifs et les contraintes du BRF sont exposés. Un article fait ensuite part des projets mis en place sur 15 exploitations du Gers en partenariat avec l'association Arbre & Paysage 32, qui a rejoint le programme national Agroforesterie 2006-2008. Ces projets s'inscrivent ainsi dans le cadre des parcelles pilotes et de référence qui ont pour but de : - faciliter la sensibilisation auprès des porteurs de projet ; - permettre la création des références technico-économiques ; - être le support d'activités de recherches. L'intérêt du contexte Gersois comme laboratoire d'expérimentation et les spécificités des projets sont détaillés. Un point est ensuite fait sur les avancés administratives majeures obtenues ces dernières années, une association nationale d'agroforesterie ayant été créée pour proposer des solutions à ces problèmes. Au niveau du statut fiscal et foncier, un groupe de travail a défendu le principe que les parcelles en agroforesterie relèvent du statut agricole et non forestier. D'autre part, depuis 2006, l'éligibilité de ces parcelles aux aides directes est grandement simplifiée. Enfin, les possibilités d'obtention d'aides dans le cadre des plans de développement rural européen et hexagonal sont éclaircies. Si cela s'avère difficile actuellement, l'espoir qu'une mesure de soutien voit bientôt le jour est appuyé par la place importante que tient l'agroforesterie dans plusieurs rapports officiels récents.