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Organic farming enhances parasitoid diversity at the local and landscape scale
Diego J. INCLAN, Auteur ; Pierfilippo CERRETTI, Auteur ; Doreen GABRIEL, Auteur ; ET AL., Auteur | LEGNARO (DAFNAE-Entomology - UNIVERSITY OF PADOVA, Viale dell' Università 16, 35 020, ITALY) : INCLAN Diego J. | 2015L'impact des bénéfices de l'agriculture biologique sur la diversité des parasitoïdes dans différentes situations paysagères a été peu exploré. Or, cette identification peut être une étape importante pour améliorer leur conservation. Dans cette étude, les parasitoïdes tachinid ont été relevés au centre et au bord de terres cultivées et de prairies, issues de fermes bio et conventionnelles appariées et localisées dans des zones géographiques comprenant des proportions différentes de terres en bio. Au total, 192 parcelles ont été échantillonnées dans deux régions du Royaume-Uni. Les résultats montrent que l'effet positif de l'AB sur la diversité des parasitoïdes tachinid peut s'observer à plusieurs échelles spatiales. A l'échelle locale, l'abondance et la richesse en espèces des tachinids sont plus importantes dans les fermes biologiques que dans les fermes conventionnelles, ainsi qu'au bord des parcelles plutôt qu'au centre. A l'échelle paysagère, la diversité des tachinids s'améliore lorsque la proportion de terres en bio augmente. Aux deux échelles, l'impact de l'agriculture bio est clair pour les champs cultivés, tandis qu'il est plutôt neutre pour les prairies. Ainsi, l'agriculture biologique devrait être encouragée pour restaurer la diversité des parasitoïdes, à la fois en accroissant les surfaces cultivées en bio, mais également en assurant une connexion entre les parcelles bio.
La pédagogie des carabes à l'échelle locale
Opaline LYSIAK, AuteurA Chambray (Eure), trois années de mesures de populations de carabes ont permis d'obtenir des résultats sur l'impact des conduites culturales et des infrastructures agroécologiques sur leur diversité. Cette recherche a été conduite par des enseignants agricoles, dans le cadre du programme Biodivea (qui a engagé 18 lycées agricoles. Un réseau a été mis en place pour mesurer la biodiversité à l'échelle des parcelles. Un même protocole a été mis en place sur huit parcelles : deux en agriculture biologique ; quatre en conduite intégrée ; et deux en conventionnel, le tout répété sur trois années. Les mesures ont concerné les populations de lombrics, l'indice d'activité biologique des sols, et les populations de carabes, avec l'aide des étudiants pour la pose des pièges et les comptages. En trois ans, environ 32 000 carabes ont été piégés, identifiés et comptés. La présence de différents types de carabes (depuis des espèces courantes jusqu'à des espèces rares) a été reliée ensuite aux modes de cultures et aux infrastructures agroécologiques. Résultats : les parcelles cultivées en bio « conservent, tout au long de la rotation (ici luzerne blé lin oléagineux), une espèce rare et une population équilibrée de carabes : ce sont les plus résilientes ». Les parcelles en agriculture intégrée entourées de quelques chemins enherbés présentent une population équilibrée, avec quelques espèces rares. Enfin, dans les parcelles en conventionnel, on retrouve essentiellement quatre espèces de carabes connues pour supporter les conditions de cultures intensives. Deux journées de restitution auprès des agriculteurs ont permis de divulguer ces résultats. Et les enseignants peuvent intégrer directement ces résultats dans leur cours.
Guide de culture : Soja bio - 2014
Les différents articles techniques de ce guide cultural, édité par le CETIOM, ont été rédigés et illustrés par des spécialistes et des experts. Cette publication a également bénéficié de l'appui de l'ITAB et de techniciens ou conseillers AB d'organismes variés : chambres d'agriculture, groupements professionnels bio, organismes stockeurs. En synthétisant les connaissances sur le soja et en fournissant des conseils adaptés aux conditions françaises, cette brochure vise à guider les producteurs dans la mise en uvre d'itinéraires techniques du soja en agriculture biologique. Elle s'adresse également à un public de techniciens et de conseillers agricoles soucieux d'accompagner les producteurs dans leur travail au quotidien. Elle développe les thèmes suivants : - Avant de semer (choix de la parcelle, place dans la rotation) ; - Culture intermédiaire avant soja ; - Variétés ; - Implantation ; - Inoculation ; - Fertilisation ; - Irrigation ; - Désherbage ; - Maladies ; - Ravageurs ; - Récolte et conservation ; - Stades repères.
Guide des Matières organiques : Document de mise à jour - Version de mars 2014
En 1995, l'ITAB éditait la 1ère édition du Guide des matières organiques, puis une 2ème édition en 2001 (2 tomes). Ce document contient trois types d'informations : compléments à la première édition, reformulations ou précisions sur des textes obsolètes (analyse abandonnée, réglementation périmée etc.), liens hypertextes vers des documents en ligne (site internet de l'ITAB ou autres sites). Au sommaire : - Les matières organiques dans les sols cultivés ; - Caractérisation et analyse des matières organiques ; - Engrais verts et résidus de récolte ; - Les déjections animales ; - Les apports extérieurs ; - Le compostage ; - Gestion des matières organiques au niveau de la parcelle ; - Matières organiques et qualité des récoltes ; - Apports de matières organiques et effets sur l'environnement ; - Matières organiques, normalisation et réglementations.
Les rotations en plein champ : une organisation carrée
Maëla PEDEN, AuteurLe GAEC du Hingair à Kervignac (56) cultive des légumes en plein champ sur 3 parcelles, chacune découpée en blocs qui permettent la mise en place de rotations calées. L'article décrit l'organisation des rotations mises en place par les maraîchers, en s'attachant plus particulièrement à la parcelle de 1 ha. Cette parcelle accueille des cultures regroupées en fonction de leurs besoins nutritifs et de leur famille. C'est ainsi qu'ont pu être définis et organisés dans l'espace 6 blocs distincts.
Synthèse des essais en grandes cultures bio - Campagne 2013-2014
Les expérimentations sur les grandes cultures bio réalisées par le GRAB Haute-Normandie représentent une source de références agronomiques et économiques fort utiles au développement de l'agriculture biologique dans la région. Ce document présente les résultats d'essais réalisés en collaboration avec les agriculteurs biologiques, les techniciens du GRAB Haute-Normandie et les techniciens de BIOCER (coopérative de céréales biologiques dans l'Eure). L'objectif principal est la recherche d'espèces et de variétés céréalières adaptées à la conduite en agriculture biologique et aux conditions pédoclimatiques de la région. Au sommaire : - 1. Introduction ; - 2. Bilan climatique ; - 3. Légendes des tableaux ; - 4. Essai microparcelles blé tendre ; - 5. Résultats pluriannuels des essais microparcelles ; - 6. Essai macroparcelles blé tendre ; - 7. Au final, que choisir ? ; - 8. Essai microparcelles triticale ; - 9. Lentille en cultures associées.
Biodiversité fonctionnelle en zone méditerranéenne : Résultats concrets et perspectives prometteuses en maraîchage
Jérôme LAMBION, Auteur ; Amélie LEFÈVRE, Auteur ; Dominique BERRY, AuteurLa biodiversité fonctionnelle est la biodiversité qui a un impact positif aux niveaus écologique, économique et social des exploitations, des filières et des territoires. Des résultats d'études sur la biodiversité fonctionnelle en lien avec le maraîchage sont présentés ici. Ainsi, le GRAB mène, depuis 2007, des essais de biodiversité fonctionnelle afin de renforcer la présence de mirides auxiliaires et de permettre leur présence de façon précoce à proximité des cultures. Ces essais ont permis de sélectionner des plantes-hôtes. Des bandes florales ont été plantées sous abri et à l'extérieur et ont donné des résultats concluants, sans que cela ne soit trop contraignant pour les producteurs. L'INRA a mis en place une étude afin de mieux comprendre le processus de colonisation d'une culture sous abri par les insectes auxiliaires. Cette étude a mis en évidence que la composition de l'environnement paysager (à 200 ou 300 m) influence le potentiel de colonisation des cultures maraîchères sous abri par les mirides. Ce facteur semble aussi important que le type de pratiques réalisées. Enfin, un groupe de producteurs passionnés développe et diffuse des pratiques de régulation naturelle des ravageurs grâce aux auxiliaires. Une méthodologie de diagnostic simple a été mise en place. Ce diagnostic évalue l'intérêt des aménagements existants pour la biodiversité de parcelles maraîchères et arboricoles et permet de donner ensuite des préconisations d'aménagements complémentaires éventuels.
DinABio 2013 : Session Agriculture biologique et biodiversité
Stéphanie AVIRON, Auteur ; Mathieu PERRAUDIN, Auteur ; Simon REDONDO, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 07 (147 Rue de l'Université, 75 338, FRANCE) : INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) | 2013Quel est l'impact des pratiques agricoles sur la biodiversité, puis sur la protection des cultures ? Les résumés des présentations de la session « Agriculture biologique et biodiversité », regroupées dans les actes du colloque DinABio 2013, montrent l'intérêt de l'agriculture biologique dans le maintien de la biodiversité. L'augmentation de la demande en produits, ainsi que de l'intensité des pratiques fait diminuer la biodiversité. A ce titre, les systèmes extensifs, bien qu'ils mobilisent plus de surface pour la production, sont plus favorables à la biodiversité que les systèmes intensifs libérateurs de terres. L'agriculture biologique favorise la présence d'auxiliaires par rapport à l'agriculture conventionnelle à l'échelle de la parcelle, mais cet aspect n'a pas été perçu à l'échelle du paysage (projet Landscaphid). L'équitabilité et la richesse spécifique des prédateurs terrestres sont plus élevées en agriculture biologique qu'en agriculture conventionnelle. Le maintien de haies et de bordures de champs diversifiées fournit de nombreux habitats aux auxiliaires. Au-delà de la présence d'auxiliaires dans l'environnement, leur colonisation dans les cultures, en particulier sous abris, est encore peu connue. Elle dépend de nombreux facteurs, dont les pratiques agricoles et la présence d'éléments naturels à proximité. Enfin, une communication porte sur la production d'un auxiliaire indigène contre tuta absoluta.
Prairies : Cibler l'utilisation des engrais de ferme
Olivier HUGUENIN-ELIE, AuteurSur les fermes biologiques, notamment en Suisse, l'utilisation des engrais de ferme doit être réfléchie de manière à obtenir une répartition spaciale et temporelle idéale, adaptée aux conditions de chaque parcelle (végétation et conditions pédoclimatiques). Les espèces hautes à croissance rapide sont favorisées par une forte disponibilité de l'azote du sol. Les prairies à graminées productives ont besoin d'une fumure assez forte, avec apport en priorité de purin. En l'absence de ces graminées productives, ce sont les plantes à grosses tiges qui bénéficient en premier des apports azotés. Pour ces dernières, on préfèrera apporter du fumier décomposé ou du compost. En complément des apports de purin, fumier ou compost, la fertilité du sol est aussi nettement améliorée par la fixation symbiotique de l'azote, d'où l'importance des associations graminées-légumineuses. Sur les prairies permanentes utilisées intensivement, souvent pauvres en légumineuses, il est important d'apporter régulièrement du fumier. Le purin devrait être épandu de préférence au début du printemps ou début d'automne, par temps humide et froid, sans vent, pour limiter les pertes d'ammoniac. Le fumier décomposé, à l'inverse, est à épandre en dehors des périodes de végétation.
Comprendre et lutter contre le campagnol terrestre en AB : Un diagnostic agri-environnemental au service de l'exploitation agricole
Ce mémoire a été réalisé dans le cadre de la licence professionnelle "Agriculture Biologique Conseil et Développement", lors d'un stage effectué à la Chambre d'agriculture de la Corrèze. Le campagnol terrestre, qui se nourrit de la partie souterraine des plantes, s'installe préférentiellement en prairie où son activité compromet tant le volume que la qualité de la production fourragère. Connaître les différents facteurs qui à l'échelle du territoire, de l'exploitation et de la parcelle favorisent ou défavorisent le développement du campagnol, s'avère crucial pour l'éleveur biologique. C'est en effet le préalable à la mise en place d'une lutte préventive efficace. Le travail exposé dans le mémoire s'est appuyé sur l'étude de cas concrets (deux exploitations en AB, une en conventionnel), les interrelations entre le campagnol et l'ensemble de l'écosystème qu'il colonise étant au cur de la lutte préventive. Il a été fait appel à une méthode reconnue de diagnostic agri-environnemental (IBIS Intégrer la Biodiversité dans les Systèmes d'exploitations agricoles), complétée par une technique d'estimation de la densité des campagnols terrestres et par différentes techniques permettant de caractériser une prairie. Après analyse des paramètres paysagers et agronomiques, des pistes d'amélioration ont été proposées pour les trois exploitations. De nombreux paramètres de la lutte préventive contre le campagnol dépendent du choix politique de préserver le maillage bocager et de proposer une gestion cynégétique cohérente des prédateurs du campagnol.
Le lupin a le vent en poupe
Claudia FRICK, AuteurEn Suisse, le taux d'autoapprovisionnement en protéines est à peine de 5 % pour les aliments fourragers biologiques. La fenaco GOF, grande centrale agricole, a trouvé, comme alternative aux importations de soja, le lupin à feuilles étroites, adapté à l'agriculture biologique. Il viendrait compléter le pois et la fèverole comme sources de protéines. Ses grains contiennent plus de 30 % de protéines et conviennent surtout pour l'alimentation des ruminants. La fenaco GOF cherche pour 2013 des agriculteurs bio pour cultiver sous contrat du lupin à feuilles étroites. Sa culture réclame un pH du sol idéal de 6,5 et, cette variété ne couvrant le sol que pendant une brève période, un essai doit être réalisé sur une parcelle à faible pression des mauvaises herbes (comme l'a remarqué Hansueli Dierauer du FiBL lors d'un essai effectué il y a quelques années). Agroscope recommande de ne cultiver en Suisse que du lupin à feuilles étroites - du moins jusqu'à ce que des variétés de lupin blanc résistantes à l'anthracnose soient disponibles sur le marché. La variété de lupin à feuilles étroites recommandée en Suisse pour l'agriculture biologique est une variété ramifiée à fleurs bleues nommée Borlu. Mais, Laila Fischer, cheffe de projet pour le secteur des céréales, des oléagineux et des aliments fourragers de la fenaco GOF, précise qu'il serait bon que des cultures d'essai testent une ou deux autres variétés. Une variété non ramifiée (donc de type déterminé) serait particulièrement intéressante en altitude ou dans les régions sans sécheresse estivale, par exemple, la variété « Haags Blaue » sélectionnée en Allemagne.
Maraîchage : La biodiversité fonctionnelle pour maîtriser la mouche de la carotte ?
Benoît VOELTZEL, AuteurLa biodiversité fonctionnelle régit les interactions entre espèces et écosystèmes. Cela pourrait être mis à profit dans la lutte contre les ravageurs, notamment les mouches en cultures légumières. Depuis trois ans, un essai, visant à étudier le rôle potentiel de la biodiversité fonctionnelle dans la régulation des populations de mouches de la carotte, est mené, en Charente-Maritime, par la Chambre d'agriculture et l'ACPEL sur six parcelles différentes chaque année. Les populations de mouches et de deux auxiliaires (les carabes et staphylins) ont été étudiées respectivement via des panneaux englués et des pièges Barber (tube PVC enterrés). Seules des tendances ont été observées (par exemple : plus grand nombre de carabes sur les abords aménagés qu'à l'intérieur des parcelles), mais pas de différence significative entre les parcelles possédant des bords aménagés et les autres. Cependant, la vallée où se sont tenus les essais possède encore nombre de haies et talus, ce qui peut influencer les résultats obtenus. Ainsi, la biodiversité fonctionnelle peut avoir un rôle mais qui est difficile à quantifier. Des études vont être poursuivies par le CTIFL à l'échelle nationale.
Résultats de l'enquête 2011 sur les pratiques de tournesol en agriculture biologique
Cette enquête vise à décrire la diversité des pratiques liées à la conduite du tournesol bio et les résultats à la récolte 2011. Le questionnaire a été envoyé, début octobre 2011, à 920 agriculteurs répartis sur tout le territoire français. 169 fiches ont été analysées, ce qui porte le taux de réponses à environ 18 %. Pour traiter et interpréter les données, 4 grandes régions ont été distinguées : Auvergne/Rhône-Alpes ; Nord ; Ouest ; Sud. Les résultats sont présentés comme suit : - Caractéristiques des exploitations ; - Sols et potentiel des parcelles enquêtées ; - Le tournesol dans la rotation ; - L'interculture avant tournesol ; - L'implantation du tournesol ; - La conduite du tournesol ; - La récolte du tournesol ; - Les débouchés du tournesol.
Tournesol bio : Guide de culture
CETIOM, Auteur ; ITAB, Auteur ; Jean ARINO, Auteur ; ET AL., Auteur | THIVERVAL-GRIGNON (Centre de Grignon, 1 Avenue Lucien Brétignières, 78 850, FRANCE) : CETIOM (Centre Technique Interprofessionnel des Oléagineux Métropolitains) | 2012Ce guide de culture fournit des conseils pour la mise en uvre d'itinéraires techniques du tournesol en agriculture biologique. Il est destiné aux producteurs, ainsi qu'aux techniciens et conseillers agricoles... Au sommaire : Choix de la parcelle ; Place dans la rotation ; Couverts d'interculture avant tournesol ; Fertilisation ; Préparation du sol ; Choix variétal ; Semis ; Désherbage ; Irrigation ; Maladies ; Ravageurs ; Récolte ; Stockage.
Colloque - 17 novembre 2011 - Paris : "Les entomophages en grandes cultures : diversité, service rendu et potentialités des habitats" : Restitution du programme CASDAR
Charlotte DOR, Auteur ; Julie MAILLET-MEZERAY, Auteur ; Jean-David CHAPELIN-VISCARDI, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2011Ce document sur les entomophages en grandes cultures aborde plusieurs aspects : - Quels entomophages sont dans les parcelles ? : Méthodologie de suivi des entomophages ; Diversité des carabidae en grandes cultures et intérêt entomologique ; Diversité des syrphidae en grandes cultures et intérêt entomologique ; - Comment favoriser leur présence ? : Impact des pratiques et des aménagements sur l'abondance et la diversité des carabides ; Impacts sur l'abondance et la diversité des syrphidae : aller plus loin grâce aux analyses polliniques ; Emergence des Carabidés : potentialités des habitats ; - Quels sont les services rendus par les carabes et les syrphes ? : Qui assure le contrôle biologique dans les parcelles agricoles ?... et comment ? ; Evaluer le service rendu en mesurant la diversité fonctionnelle des espèces : approche exploratoire sur les carabidae ; Méthodologie pour l'établissement de cartes de risques ravageurs fondées sur les caractéristiques paysagères ; - Quels documents et outils existent pour mieux les connaître et établir des conditions favorables à leur présence ? : Diaporama des outils conçus dans le cadre du projet ; Création d'outils de détermination des Carabides : cas de la clé de détermination des Carabides des paysages agricoles du Nord-Ouest de la France ; Evaluation multicritères des potentiels entomophages : "SyrphiX" & "CarabiX" ; Construction d'indicateurs d'impacts des aménagements de bordure, des pratiques et du paysage sur les carabidae (abondance et richesse spécifique). ; - Perspectives : le projet CasDar Auximore (2012-2014).