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Légumes de garde : cornichons
La culture de cornichons est : gourmande en éléments fertilisants, exigeante en chaleur et en eau, à système radiculaire superficiel, exigeante en travail, sensible aux manutentions. Ce document présente tout ce qu'il faut savoir sur la culture des cornichons : choix des variétés, sol et climat, techniques de production, fumure,semis/plantation, mise en place de la culture, soins (maîtrise des maladies, des adventices, des ravageurs), récolte et entreposage, commercialisation.
De perte à profits : la réussite d'une ferme biologique
Visite de la ferme de Narayan Reddy. Cette ferme de 5 hectares se trouve dans le sud de l'Inde. Reddy cultive des cocotiers, des arbres fruitiers, des légumes, des mûres, du miel et du riz, et élève des vaches laitières et des vers à voie. Le choix des méthodes biologiques s'est fait naturellement pour atteindre ses objectifs d'auto-suffisance et de respect de l'environnement et des sols, dégradés par des années d'utilisation d'engrais et de produits chimiques.
Pyrale : l'ennemi n° 1 du maïs
La pyrale est le ravageur du maïs le plus nuisible et le plus difficile à combattre. Le point sur la biologie de cet insecte ainsi que les moyens et les méthodes de lutte.
Contrôle biologique de la pyrale du maïs à l'aide des trichogrammes parasitoïdes - Une réalité au Québec
La pyrale du maïs est le principal ravageur en culture de maïs sucré. Selon les régions au Québec, année après année, la pyrale du maïs nécessite de 3 à 7 traitements insecticides pour contrôler les populations larvaires qui endommagent les tiges et les épis. Le contrôle biologique avec les trichogrammes est une méthode alternative efficace et économiquement acceptable qui s'offre maintenant aux producteurs. Trois conditions à respecter quand les trichogrammes sont utilisés comme méthode de contrôle d'un ravageur. La première est d'utiliser l'espèce adaptée au ravageur et à la culture visée. La deuxième est de connaître le début de la période de ponte du ravageur. La troisième : ne pas utiliser d'insecticides dans les champs traités aux trichogrammes.
Au menu, maïs bio... pouah !
C'est sûrement ce que la pyrale du maïs pourrait dire si par malheur elle s'aventurait dans un champ de maïs biologique. Enfin, c'est ce que mettent en relief deux études menées par Larry Phelan, Ph. D. entomologiste à l'Ohio State University. (Extrait de Organic Gardening, Mai-Juin 1997).
La régulation des ravageurs dans les cultures maraîchères biologiques
Divers ravageurs peuvent causer des pertes dans les cultures maraîchères biologiques. Sont présentées ici quelques méthodes importantes de régulation des populations de ravageurs (altises, courtilières, limaces).
Méthodes de lutte biologique et intégrée applicables contre les principaux ravageurs de la vigne
Cet article a pour objectif d'exposer l'évolution en cours dans les méthodes de contrôle et les stratégies de lutte contre les principaux ravageurs. Ces derniers sont ensuite énumérés (par ordre alphabétique) afin de résumer pour chacun d'entre eux les informations permettant d'opérer un contrôle valable avec les seuils de tolérance actuellement recommandés.
Le lufénuron, un nouveau produit sélectif pour lutter au printemps contre les tordeuses de la pelure, les noctuelles et les arpenteuses
Le lufénuron est un inhibiteur de croissance d'insectes (ICI) qui perturbe la formation de la chitine lors des mues. En laboratoire, appliqué par contact à 50 ppm, il est très efficace sur pratiquement tous les stades larvaires des tordeuses de la pelure Adoxophyes orana F.v.R. et Pandemis heparana Den & Schiff. En mélange au milieu nutritif d'élevage à la concentration de 1 ppm, il exerce une efficacité totale sur les larves d'A. orana âgées de 12 jours. Appliqué au printemps avant la floraison du pommier, l'efficacité du lufénuron sur les larves de la génération hivernante des tordeuses de la pelure est équivalente à celle du fénoxycarbe et sa rémanence va au-delà de 20 jours. Son efficacité sur les noctuelles et arpenteuses est supérieure à celle des esters phosphoriques.
Noctuelles et arpenteuses nuisibles en arboriculture : biologie, avertissement et lutte
Les noctuelles s'attaquant aux jeunes fruits au printemps peuvent être classées en 4 catégories selon leur biologie et, particulièrement, selon leur stade d'hivernation : genres Eupsilia et Conistra, genre Orthosia, genres Amphipyra et Cosmia, et enfin genre Mamestra. Deux catégories d'arpenteuses des genres Operophtera et Erannis et du genre Chloroclystis font des dégâts similaires. La description des principales espèces de ces ravageurs est complétée par des photographies et par une clé de détermination des chenilles. Les principaux moyens d'avertissement et de prévision sont le contrôle visuel, le frappage et le contrôle des fruits à la récolte. L'attaque sur fruits à la récolte, échantillonnée dans 12 parcelles non traitées du bassin lémanique, s'élève en moyenne à 1,80 %. Elle diminue à 0,29 % en moyenne dans les 77 parcelles traitées avant fleur. Les inhibiteurs de croissance d'insectes et le régulateur de croissance tébufénozide, qui ménagent la faune utile, sont plus efficaces que les esters phosphoriques. Quel que soit le produit utilisé, le traitement doit être effectué immédiatement avant fleur pour que l'efficacité reste suffisante après la floraison. La décision d'intervention doit se baser sur le taux d'attaque enregistré à la récolte de l'année précédente, car le seuil de tolérance n'est généralement pas dépassé au moment du contrôle visuel préfloral.
Stratégies de lutte contre les principaux ravageurs des arbres fruitiers
En principe, la protection intégrée des cultures se base sur la notion de seuil de tolérance ou de seuil d'intervention : un ravageur n'est combattu que si des attaques occasionnent une perte financière égale ou supérieure au coût du moyen de lutte à engager. Les seuils de tolérance sont, par conséquent, plus faciles à définir pour des ravageurs qui s'attaquent directement aux fruits, mais beaucoup plus difficiles à établir pour les phytophages qui affaiblissent l'arbre en vivant aux dépens du feuillage ou du bois. Dans de tels cas, des seuils d'intervention ont été établis, en se basant sur l'expérience pratique acquise au fil des ans. Plusieurs nouveaux moyens homologués, comme la technique de confusion ou les inhibiteurs et régulateurs de croissance d'insectes à mode d'action ovicide, sont essentiellement préventifs. Ainsi, l'arboriculteur base certaines de ses décisions sur les informations et les enseignements de la saison précédente. Plus que jamais, il doit rassembler un maximum de données concernant l'évolution à terme des divers ravageurs dans ses différentes parcelles, s'il veut bénéficier des avantages écologiques que présentent les moyens modernes de protection des plantes. Par conséquent, la conception du seuil de tolérance ne peut plus se restreindre à l'évaluation du risque immédiat, mais doit s'élargir à la notion de gestion ou de régulation des populations de ravageurs à moyen ou long terme. Dans cet article, vous trouverez : - des stratégies d'intervention pour les principaux ravageurs, - des méthodes d'échantillonnage, - des seuils de tolérance, - des descriptions des modes d'action des moyens de lutte (de façon à intervenir à bon escient et au moment optimal). L'article "Stratégies de lutte contre les principales maladies des arbres fruitiers" fournit des explications et informations supplémentaires ; graphiques et tableaux se complètent. (Des informations plus détaillées sur la biologie des ravageurs figurent sur des planches en couleur).
Lutte biologique
Alain FRAVAL, Directeur de publication | VERSAILLES CEDEX (R D 10, 78 026, FRANCE) : INRA EDITIONS | Les dossiers de l'environnement de l'INRA, ISSN 1257-4627 | 1993Ce Dossier n°5 est consacré à la lutte biologique, autrement dit à l'emploi d'êtres vivants - dits auxiliaires - pour limiter les effectifs d'autres êtres vivants indésirables. Parmi ces derniers, sont considérés ici essentiellement les ravageurs des cultures et des forêts, bien que les mêmes principes et les mêmes techniques s'appliquent aux vecteurs des maladies et aux mauvaises herbes. Composé à partir de textes déjà établis et repris fidèlement (à certaines illustrations près), pour certains traduits en français, il rassemble, sous trois rubriques (Généralités et historique ; Agents et applications ; Informations pratiques), 23 articles, de niveaux différents, choisis parmi les plus récents et les plus à même de fournir une information synthétique sur les différents aspects de la "lutte bio". Ce Dossier se veut un gisement de documentation à l'usage, en particulier, des étudiants, enseignants, journalistes, techniciens et praticiens, accessible aussi à toute personne curieuse. Un glossaire rappelle les définitions des principaux termes du vocabulaire de la défense des végétaux.