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Documents disponibles dans cette catégorie (142)


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Lalimentation durable, un enjeu démocratique : Synthèse du projet Accessible
J-C. BALBOT, Auteur ; M. THEODORE, Auteur ; M. DALMAIS, Auteur ; ET AL., AuteurLaccès à une alimentation durable pour tous, notamment pour les personnes les plus démunies, représente un enjeu agricole, alimentaire et de justice sociale. En France, de plus en plus de personnes se déclarent insatisfaites de leur alimentation. Pour les plus précaires dentre elles, laide alimentaire est devenue la seule solution envisageable. Cette solution, initialement provisoire, finit par sinstaller dans la durée, ce qui met à mal les fonctions sociales, conviviales et citoyennes de lalimentation. Parallèlement, le système agricole actuel ne parvient pas à faire vivre tous ses producteurs dignement. Il a également tendance à surproduire et à générer un gaspillage alimentaire, dont une partie fournit laide alimentaire. Comment est-il possible quun système de production nourrisse mal un nombre croissant de consommateurs et ne permette pas à une partie de ses producteurs de vivre ? Le projet « Accessible » (2015-2019) a tenté de répondre à cette question. Il est le premier projet Casdar à associer des partenaires du secteur social. Il a permis de dresser un état des lieux de la précarité alimentaire en France et den comprendre les causes structurelles. Il a, pour cela, réalisé une analyse sur lensemble du contexte agricole et alimentaire. Il a également conduit au déploiement et à létude de plusieurs dispositifs daccès à lalimentation à léchelle locale. La synthèse de ces différents travaux propose une réflexion structurée sur les conditions permettant un accès à tous à une alimentation durable, des exemples et des outils de travail pour les acteurs locaux, ainsi que des ressources pour animer le débat public.
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Can agroecology improve food security and nutrition? A review
Rachel BEZNER KERR, Auteur ; Sidney MADSEN, Auteur ; Moritz STÜBER, Auteur ; ET AL., AuteurL'agroécologie a d'ores et déjà été identifiée comme l'une des voies à développer pour mieux faire face à certains problèmes environnementaux et sociaux propres à la production alimentaire. Toutefois, l'impact du développement de l'agroécologie sur la sécurité alimentaire et la nutrition pose question, en particulier dans les pays en développement. Ainsi, les auteurs de ce document de synthèse se sont penchés sur de nombreuses études (datant de 1998 à 2019) pour apporter des réponses concrètes à ces inquiétudes. Une majorité d'études (78%) fournissent des résultats positifs quant à la mise en uvre de pratiques agroécologiques (diversification des cultures, intercultures, polyculture-élevage, agroforesterie, gestion des sols...) sur la sécurité alimentaire et la nutrition des ménages dans les pays à revenus faibles et intermédiaires. Globalement, plus les systèmes sont complexes - autrement dit diversifiés -, plus ils sont susceptibles d'avoir des impacts positifs en matière de sécurité alimentaire et de nutrition.
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Dossier de presse dOXFAM : Le virus de la faim se propage : Cocktail explosif : Les conflits, la Covid-19 et le changement climatique exacerbent la faim dans le monde
Dans ce rapport, Oxfam révèle que le nombre de personnes en situation de famine a été multiplié par six depuis le début de la pandémie, et que 20 millions de personnes supplémentaires sont confrontées à des niveaux dinsécurité alimentaire extrêmes, pour un nouveau total de 155 millions de personnes réparties dans 55 pays. Le rapport explore, en particulier, 3 facteurs principaux qui ont aggravé la situation de faim dans certains pays, révélant les inégalités criantes de notre monde. Premièrement, deux personnes sur trois en situation de crise alimentaire vivent dans un pays en guerre ou en conflit (notamment lAfghanistan, lÉthiopie, le Soudan du Sud, la Syrie, le Yémen, ainsi que le Sahel et en particulier le Burkina Faso). Les conséquences économiques de la Covid-19 sont le deuxième principal facteur de la crise alimentaire mondiale, aggravant la pauvreté et révélant les inégalités croissantes partout dans le monde. Le nombre de personnes en situation dextrême pauvreté devrait atteindre 745 millions fin 2021, soit une hausse de 100 millions de personnes depuis le début de la pandémie. Les femmes, les personnes déplacées et les travailleurs et travailleuses du secteur informel sont les plus durement touchés. Enfin, le troisième facteur aggravant la faim dans le monde cette année est le changement climatique. Près de 400 catastrophes météorologiques, notamment des inondations et des tempêtes record, ont continué de frapper des millions de personnes en Amérique centrale, en Asie du Sud-Est et dans la Corne de lAfrique.
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Document d'information médias d'Oxfam : Le virus de la faim : comment le coronavirus sème la faim dans un monde affamé
En 2019, on estimait à 821 millions le nombre de personnes vivant dans linsécurité alimentaire, dont environ 149 millions souffrant de la faim à un niveau critique. Dans certains endroits du monde, la faim gagnait déjà du terrain avant l'apparition de la pandémie de COVID-19. Le coronavirus est venu sajouter à un contexte déjà fragilisé par des conflits, des inégalités croissantes et une crise climatique qui saggrave. Ce rapport étudie comment la pandémie de COVID-19 aggrave la situation. Il relève 10 foyers de famine extrême qui, ensemble, concentrent 65 % des personnes souffrant de la faim à un niveau critique dans le monde : Yémen, République démocratique du Congo, Afghanistan, Venezuela, Sahel et pays d'Afrique de l'Ouest, Éthiopie, Soudan, Soudan du Sud, Syrie et Haïti. De nouveaux pays accusent des niveaux de sous-alimentation croissants (Inde, Afrique du Sud et Brésil) avec des personnes qui ont basculé dans la pauvreté. Ce rapport met également en lumière un système alimentaire mondial qui échoue à distribuer équitablement la nourriture et plonge des millions de personnes dans la faim sur une planète qui produit pourtant suffisamment pour nourrir tout le monde. Oxfam préconise 6 mesures à mettre en uvre immédiatement par les gouvernements.
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Pour une Sécurité sociale de l'alimentation
Emmanuel MARIE, Auteur ; Sophie CHAPELLE, Auteur ; Dominique PATUREL, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier, réalisé par la Confédération Paysanne met en lumière l'aide alimentaire (en tant que dons de produits fournis par les agriculteurs) telle qu'elle existe aujourd'hui et ses dérives : aussi vertueuse soit-elle pour les personnes dans le besoin, cette aide s'appuie sur un système de défiscalisation favorable à une production alimentaire intensive, et ne permet pas, ou très peu, à ses bénéficiaires de faire le choix d'une alimentation de qualité, qui s'appuierait sur des systèmes agricoles locaux et/ou paysans. Ainsi, à travers divers articles, les auteurs de ce dossier prônent la création d'une Sécurité sociale de l'alimentation pour améliorer, non pas l'aide alimentaire, mais l'accès à l'alimentation.
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Déchiffrage : Vous avez dit démocratie alimentaire ?
Dominique PATUREL, AuteurDans un contexte de lancement de la loi Egalim et du plan pauvreté, la question de la réalité de la démocratie alimentaire mérite dêtre posée. Cette dernière est basée sur le principe que le citoyen doit « reprendre la main sur la façon daccéder à lalimentation dans sa reconnexion à lagriculture ». Cela va au-delà du seul acte dachat : la démocratie alimentaire sous-entend que tout citoyen peut participer aux décisions et agir par lensemble de ses actes sur lévolution de son système alimentaire. Or, aujourdhui, la seule façon dagir est souvent lachat. Si lacte dachat peut être de plus en plus un acte citoyen, tout dépend de la capacité de chacun à acheter. Cette capacité dépend de son revenu et de ses connaissances (sur ce quest un système alimentaire notamment). Or, ce sont les filières qui définissent en général ce qui est mis sur le marché (même les produits dits plus « vertueux », souvent développés dans une logique de segmentation). Par ailleurs, la gestion de laide alimentaire pour les citoyens aux revenus les plus faibles assigne le plus souvent ces derniers à consommer les surplus. De façon générale, les démarches à destination des populations les plus pauvres sappuient souvent sur une logique de philanthropie moderne, de néo-paternalisme, le bénéficiaire final nayant pas voix au chapitre sur ce qui est bon à manger et sur ce quest un « bon et juste modèle alimentaire ». On est loin dune démarche de démocratie alimentaire.
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PASTRES : Pastoralisme, Incertitude, Résilience : Présentation du projet
Ian SCOONES, Auteur ; Michele NORI, AuteurLe projet de recherche PASTRES, financé par l'European Research Council, va se dérouler sur 4 ans (2018 - 2022). Il vise à étudier les réponses et les marges de manuvre de trois systèmes pastoraux (systèmes traditionnellement structurés pour vivre avec de lincertitude) face à des incertitudes, des menaces et des opportunités différentes. Le but est dengager par la suite des discussions dans dautres systèmes où lincertitude est également présente. Lun des trois systèmes choisis est le plateau asiatique tibétain du Qinghai en Chine, où les territoires pastoraux sont transformés par une croissance économique rapide, une demande grandissante de produits carnés et des projets de mobilité et de commerce international. Le deuxième est une zone plus aride située en Afrique, à Isiolo, au Kenya. Le pastoralisme y est aussi remodelé par des développements infrastructurels et linterconnexion mondiale. La troisième zone étudiée est une île européenne, la Sardaigne, en Italie, où le pastoralisme repose principalement sur la demande mondiale de fromage Pecorino et qui est perturbé par les aléas climatiques, les changements commerciaux et politiques, ainsi que par la concurrence sur les utilisations foncières. Létude de ces trois zones doit répondre à quatre objectifs interdépendants : apprendre des zones pastorales pour développer un nouveau cadre théorique interdisciplinaire sur lincertitude et la résilience ; explorer les réponses face aux aléas ; faciliter un dialogue entre les systèmes pastoraux et dautres disciplines ; fournir des indicateurs aux processus décisionnels face à l'incertitude.
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Actes du colloque "Bio, Proximité, Solidarité" : 14 octobre 2015
FNAB, Auteur ; CAB PAYS DE LA LOIRE, Auteur ; GAB 44, Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2016Les actes du colloque national "Bio, Proximité, Solidarité", organisé par la CAB Pays de la Loire, le GAB 44 et la FNAB, à Nantes, le 14 octobre 2015, sont parus. Quatre thématiques y ont été abordées et des pistes d'actions opérationnelles ont été identifiées concernant ces quatre thèmes : - Comment favoriser une logistique à faible impact sur les produits bio locaux ? : Développer l'utilisation d'outils innovants permettant une mutualisation logistique ; Réaliser une cartographie des acteurs de la logistique et des différents flux de produits existants par territoire. - Comment assurer une juste rémunération des producteurs et une pérennité des projets ? : Agir sur les coûts de production et de distribution ; Favoriser l'accès du public à une alimentation de qualité : appui aux revenus et sensibilisation. - Comment introduire les circuits de proximité dans l'aide alimentaire ? : Favoriser la sensibilisation et l'information des bénéficiaires de l'aide alimentaire ; Favoriser la production et l'approvisionnement en produits bio locaux ; Favoriser la coopération avec les collectivités locales. - Comment favoriser la sensibilisation du public à une alimentation de qualité et de proximité ? : Ecrire un projet éducatif "Bio et Local" collectivement ; Ecrire un projet pédagogique collectivement.
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Dossier de presse : Pertes et invendus en agriculture : solutions et expériences réussies
En partenariat avec la Chambre régionale d'agriculture de Bretagne, relais de l'association SOLAAL (Solidarité des producteurs agricoles et des filières alimentaires), l'ADEME Bretagne oeuvre à la recherche et à la mise en place de solutions pour réduire les pertes et les invendus en agriculture. Selon l'ADEME (étude mai 2016), 10 millions de tonnes de produits sont perdus pour l'alimentation humaine par an en France, soit un impact carbone estimé à 15,3 millions de tonnes équivalent CO2. Ce dossier de presse présente les partenaires engagés, en Bretagne, dans des actions de démarche solidaire pour valoriser les produits non commercialisables et créer de l'emploi sur le territoire. SOLAAL, dans ces actions, a pour rôle de faciliter les relations entre les donateurs des filières agricole et agroalimentaire et les Associations d'Aide Alimentaire (AAA). Des actions territoriales sont exposées, puis deux interviews illustrent l'engagement des partenaires dans la lutte contre le gaspillage alimentaire : Sébastien Huet, chargé de mission agriculture, alimentation, biomasse et matière organique (ADEME Bretagne) ; Bernadette Loisel, coordinatrice régionale de l'association SOLAAL en Bretagne et chargée de mission à la Chambre régionale d'Agriculture de Bretagne.
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Nourrir le monde : quelles positions pour les biotechnologies ?
Yves BERTHEAU, AuteurD'après la FAO (rapport 2014), un humain sur neuf dans le monde souffrirait directement de la faim, chiffre auquel il faut ajouter les personnes victimes de carences. Face à cette situation, certains pays et/ou industries mettent en avant les OGM comme solution. L'analyse de l'auteur l'amène à conclure que l'adoption d'une telle technologie n'est pas neutre. Si elle paraît parfois être en mesure d'apporter une solution technique, il convient également de prendre en compte les aspects socio-économiques et culturels. Par ailleurs, des solutions alternatives, telles que l'agroécologie, semblent être plus adaptées à certains contextes. Cet article est un résumé du chapitre « Feeding the world: are biotechnologies the solution ? », issu de louvrage « Advances in biotechnology », édité en 2016 par Ravishankar Rai V, et paru chez Wiley.
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Rapport dactivités 2015 : Défis climatiques : Quelle nouvelle trajectoire de développement ?
Enda Energie, association internationale basée à Dakar, favorise toute forme de développement durable, en particulier dans les régions défavorisées. Sécou Sarr, directeur d'Enda Energie, en introduction du rapport dactivités, rappelle le contexte de lAccord de Paris sur les changements climatiques et les Objectifs de développement durable adoptés à New York au cours de l'année 2015. Plusieurs aspects sont abordés dans ce rapport 2015 : - Les citoyens face aux défis climatiques ; - Lautonomisation énergétique en lien avec le développement durable et le territoire ; - Les services dappui pour un développement durable ; - La Gestion des Connaissances en matière de Résilience (BRACED) ; - Le logiciel de suivi évaluation stratégique des impacts de programmes (Eva 2.0).
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Enda : Rapport annuel 2014 : Alternatives économiques inclusives pour un développement durable
Enda Tiers Monde (Enda TM) est une ONG internationale qui agit dans les pays les plus démunis, avec pour objectif de préserver un environnement qui se dégrade, tout en incluant la citoyenneté et limpact collectif dans la prise de décision. Dans ce rapport de lannée 2014, trois grandes parties sont abordées : - Les solutions aux dangers de léconomisme et du fondamentalisme en Afrique ; - Le panorama des activités dEnda TM ; - Retour sur la participation dEnda aux 20 CoP Climat et cap sur Paris 2015.
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La faim tue
La faim tue, chaque jour, 25 000 personnes, dont une majorité d'enfants. Un milliard d'êtres humains sur sept souffrent de la faim, deux milliards d'un manque de micronutriments, alors qu'1,4 milliards d'humains sont victimes de surpoids ou d'obésité. Pour l'auteur, il y a urgence à construire un nouveau système alimentaire mondial. Les principales victimes du système actuel sont les ruraux et les femmes. Analysant les causes de la faim, le livre montre notamment l'impact et la responsabilité des politiques néolibérales sur la paysannerie au niveau mondial, comme le montrent les exemples d'Haïti et du Ghana. L'auteur estime que l'agriculture conventionnelle et industrielle, liée à ce système, n'est pas durable. Les transnationales dominent toujours plus le système alimentaire mondial. Les marchés financiers ajoutent de nouvelles menaces par la spéculation sur les produits alimentaires, le développement des agrocarburants et l'accaparement des terres. Il y a urgence à construire un nouveau système alimentaire à même de garantir à tous les paysans l'accès à la terre, de promouvoir la souveraineté alimentaire et une agriculture vivrière et familiale. Cela implique une protection adéquate des marchés. L'agroécologie assure une alimentation saine, propose un modèle agricole durable et respectueux de l'environnement. Des alternatives émergent de la société civile, des ONG et des organisations paysannes comme les Amaps ou La Via Campesina.
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Comparing conventional and organic agriculture in Karnataka, India : Where and when can organic farming be sustainable ?
Sheetal PATIL, Auteur ; Pytrik REIDSMA, Auteur ; Pratik SHAH, Auteur ; ET AL., AuteurL'État de Karnataka, dans le Sud-Ouest de l'Inde, connaît une crise agraire importante. La stagnation des rendements, couplée à la flambée du prix des intrants, conduit à des revenus agricoles réduits et à un endettement fort. Ainsi, l'amélioration de la durabilité de ces systèmes agricoles est devenue un enjeu majeur. Dans ce contexte, l'agriculture biologique, moins dépendante des intrants extérieurs, peut représenter une option intéressante. Les auteurs de cet article ont évalué la durabilité des pratiques agricoles biologiques et conventionnelles en utilisant le modèle TechnoGIN. Celui-ci permet de mesurer l'impact des pratiques sur des indicateurs économiques et environnementaux. Les données sont issues de fermes situées sur deux zones de la région (une zone sèche et une zone humide ; chiffres 2009), de la bibliographie et de dires d'experts. Des projections à l'horizon 2015 ont aussi été réalisées. Les conclusions montrent que les pratiques de l'agriculture biologique peuvent être durables, mais les bénéfices réels dépendent des conditions locales, donc de la zone concernée, et des cultures mises en place. Ainsi, les politiques encourageant la conversion à l'AB devraient prendre en compte les caractéristiques régionales et les objectifs des agriculteurs.
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Dossier de presse : Pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT, Auteur | PARIS SP 07 (DGPAAT / Service de la Production Agricole / Sous-direction des entreprises agricoles / Bureau des Soutiens directs, 3 Rue Barbet de Jouy, 75 349, FRANCE) : MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT | 2013Guillaume Garot, ministre délégué à l'agroalimentaire, a présenté, le 14 juin 2013, le Pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire, dont l'objectif est de diminuer par deux le gaspillage alimentaire en France d'ici à 2025. Ce dossier de presse présente notamment les onze mesures du Pacte : Mesure 1 : Signe de ralliement manifestant la mobilisation de chacun pour lutter contre le gaspillage ; Mesure 2 : Journée nationale de lutte contre le gaspillage, prix "anti-gaspi" des pratiques vertueuses et labellisation de ces pratiques ; Mesure 3 : Des formations sur ce thème dans les lycées agricoles et les écoles hôtelières ; Mesure 4 : Clauses relatives à la lutte contre le gaspillage dans les marchés publics de la restauration collective ; Mesure 5 : Une meilleure connaissance du cadre législatif et réglementaire sur la propriété et la responsabilité lors d'un don alimentaire ; Mesure 6 : La lutte contre le gaspillage alimentaire dans les plans relatifs à la prévention des déchets ; Mesure 7 : La mesure de la lutte contre le gaspillage alimentaire dans la Responsabilité Sociale des Entreprises ; Mesure 8 : Remplacement systématique de la mention DLUO par "A consommer de préférence avant..." ; Mesure 9 : Une campagne de communication sur la lutte contre le gaspillage ; Mesure 10 : Une nouvelle version du site dédié : www.gaspillagealimentaire.fr ; Mesure 11 : Expérimentation, sur un an, du don alimentaire par les citoyens via une plate-forme numérique. Sont aussi, entre autres, donnés les engagements pris par les partenaires de l'État signataires du Pacte et la liste des signataires du Pacte.