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Documents disponibles dans cette catégorie (782)


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Colloque européen pomme : Etat des lieux de la protection bio et alternative
Organisé par le CTIFL avec le concours de la région Aquitaine, l'Union Européenne et l'OILB (Organisation Internationale de Lutte Biologique), le premier colloque européen sur la protection biologique et alternative en verger de pommier et conservation s'est déroulé les 16 et 17 mai à Bordeaux. Il s'est inscrit dans la vision d'une synthèse des avancées récentes en méthodes alternatives à la lutte chimique pour la protection sanitaire du pommier.
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Conversion des élevages bovins et ovins allaitants à l'Agriculture Biologique (AB) : adaptation des systèmes et incidences économiques
Face à une demande en augmentation, l'agriculture biologique sort de sa marginalité, avec un rythme de conversion de 20 % par an. L'offre, toutes viandes confondues, reste malgré tout insuffisante. La conversion à l'AB a deux conséquences essentielles : une baisse des productivités par hectare et un intérêt relatif rehaussé de la culture des céréales. Le but de cette étude est d'évaluer, dans le cadre de la conversion à l'AB, les niveaux de plus-value nécessaires au maintien de la rentabilité économique et d'étudier les conséquences sur l'adaptation et l'économie de divers systèmes allaitants ovins et bovins. Compte tenu de ses contraintes spécifiques, et plus qu'en agriculture conventionnelle, l'agriculture biologique doit être en quête permanente de la meilleure cohérence des systèmes (rapports produit/potentiel et charges/produit optimaux), les meilleurs équilibres se traduisant par des taux d'autonomie élevés (alimentation des animaux).
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Effets du cuivre sur les sols
Le cuivre, élément très utilisé en phytoprotection contre les maladies cryptogamiques et autorisé en agriculture biologique, est, depuis quelques années, montré du doigt. En effet, le cuivre qui se fixe facilement au niveau du sol, s'accumule au cours des années, ce qui entraînerait des effets négatifs sur les sols. Ces effets qui, jusqu'à présent, n'avaient jamais fait l'objet d'études scientifiques globales sont le sujet de thèse choisi par Laurent Courde au Laboratoire de Microbiologie des Sols de l'INRA de Dijon. Les effets du cuivre sur la microflore des sols, ont été étudiés, durant 4 ans, sur plusieurs sites et caractérisés selon des indicateurs quantitatifs et qualitatifs. Une diminution de la biomasse microbienne, une modification de la biodiversité (disparition de certains organismes microbiens, apparition d'autres), et une augmentation de la tolérance au cuivre des populations microbiennes ont été observées alors qu'aucune diminution de l'activité microbienne n'a été constatée. Ces résultats restant limités aux populations et aux activités étudiées, et en attendant d'autres études, une utilisation raisonnée du cuivre semble être la meilleure mesure pour préserver notre sol.
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Effeuillage : incidences selon le type d'intervention
L'effeuillage consiste à enlever tout ou partie des feuilles situées dans la zone des grappes. Cette technique est utilisée depuis longtemps, notamment dans les parcelles destinées à la production de vins liquoreux, dans l'optique d'un gain de temps et d'un meilleur tri lors de vendanges manuelles. L'ITV a récemment mené une étude afin de préciser l'influence de la date d'effeuillage et du type d'intervention sur l'état sanitaire, sur les degrés potentiels, sur la teneur en azote et acide malique des moûts et sur la maturité phénolique. Les résultats présentés dans cet article apportent des précisions intéressantes sur cette technique.
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Les essais du GRAB en 2001
Présentation des essais réalisés en maraîchage au GRAB en 2001. Ces essais sont réalisés sur trois sites principaux : chez les agriculteurs des départements des Bouches-du-Rhône, du Gard et du Vaucluse, sur la nouvelle station du GRAB et enfin sur l'exploitation du lycée agricole d'Avignon. Ces essais portent sur : - la protection contre le mildiou de la pomme de terre, - la protection contre oïdium sur cucurbitacées, - les paillages biodégradables, - la fertilité des sols en AB : appréciation et évolution, - les engrais verts sous abris en été : quelles espèces ? - les tests d'efficacité contre limaces et escargots, - la désinfection des semences biologiques, - les itinéraires techniques de désherbage.
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Des essais en maraîchage et arboriculture bio pour les producteurs en circuit court (Aude, Gard, Hérault)
Le Languedoc Roussillon fait partie des régions leader dans la production de fruits et légumes biologiques. Alors que les producteurs commercialisant sur le marché intérieur en circuits de proximité (vente directe et restauration collective) représentent actuellement plus de la moitié des agriculteurs biologiques certifiés, les expérimentations conduites jusqu'alors répondent essentiellement aux attentes des exploitations tournées vers le marché d'expédition. C'est pourquoi, les producteurs des CIVAM bio de l'Hérault, de l'Aude et du Gard, en partenariat avec le GRAB, ont mis en place un programme spécifique aux productions fruitières et maraîchères de proximité, qui s'articule autour de deux piliers : la souplesse d'adaptation à la diversité des situations techniques et géographiques et la recherche de solutions techniques pragmatiques et rapidement transférables. Objectifs et mise en place d'un tel projet, et présentation des premiers essais réalisés en 2001.
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Etude de la faisabilité de la mise en oeuvre de l'arrêt de l'utilisation des fourrages fermentés
"Le programme ""Etude de la faisabilité de la mise en oeuvre de l'arrêt de l'utilisation des fourrages fermentés"" a été coordonné par le Pôle Fromager AOC Massif Central en résultat d'une collaboration entre l'INRA, le Cemagref, l'Institut de l'Elevage et les Chambre d'Agriculture et EDE du Cantal et du Puy-de-Dôme. L'étude porte sur deux niveaux : en ce qui concerne les exploitations agricoles, il s'agit d'en évaluer les conséquences, pour les exploitations laitières, ainsi que leur possibilité d'adaptation, dans l'hypothèse où une interdiction des fourrages fermentés dans 3 zones d'AOC serait décidée. Au niveau de la filière et du territoire, il s'agit d'apprécier les conséquences de ces changements sur l'utilisation de l'espace, l'environnement, la collecte de lait... La première phase du programme, dont voici la synthèse des travaux, a permis de collecter des références techniques sur les systèmes d'élevage laitier au foin, grâce à des enquêtes dans des exploitations laitières du Massif Central."
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Filières lait (bovin et caprin)
Cet article fait le bilan des essais menés en bio en Rhône-Alpes, essais qui sont intégrés dans les programmes des PEP (Pôles d'Expérimentation et de Progrès) afin de bénéficier d'un dialogue avec les autres partenaires techniques des filières lait de la région présents dans les PEP. Pour les bovins lait, une étude de la maîtrise des systèmes alimentaires et fourragers en bio est réalisée par l'Institut de l'Elevage et 4 chambres d'agriculture selon un suivi détaillé de 17 exploitations laitières, réparties en Drôme, Loire, Rhône et Savoie. Par ailleurs, des travaux, initiés en 1999 et 2000 par l'ADAB et P. Labre sur la recherche d'alternatives bio pour le traitement des mammites, sont reconduits sur 2001, afin de vérifier l'intérêt de trois huiles essentielles et de préciser les conditions d'utilisation optimale. Pour les caprins, le PEP Caprin et Agribio Ardèche poursuivent les travaux initiés par l'ARDAB en 1999 sur l'effet des systèmes et l'intérêt de la phytothérapie dans la maîtrise du parasitisme et plus particulièrement des strongles digestives.
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Fruits biologiques : Une étape vers l'agriculture durable
Le CTIFL, avec 280 personnes au service de la filière fruits et légumes, a inclus depuis 1997 la dimension agriculture biologique dans ses activités. Cela se traduit notamment par une série d'actions spécifiques dont il est fait une description succincte pour le volet fruits. Mais c'est surtout par la mobilisation de l'ensemble de ses structures que l'institut technique peut répondre aux besoins des professionnels de la bio. Bibliographies, bases de données, publications de références... l'agriculture biologique trouve progressivement sa place, au fur et à mesure que des acquis sont validés, soit directement par les agents du CTIFL, soit par les nombreux partenariats souscrits avec l'INRA, l'ITAB et le réseau des stations régionales.
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La journée fruits et légumes bio : Un marché à développer
Le CTIFL et l'ITAB ont organisé une journée nationale sur le thème des fruits et légumes biologiques. Près de 400 personnes étaient réunies sur le centre de Carquefou près de Nantes, plus une autre centaine sur le centre CTIFL de Balandran près de Nîmes afin de participer à la manifestation via la visioconférence interactive. Les échanges entre opérateurs de la filière, aussi bien les producteurs et les grossistes, que les distributeurs et les détaillants, ont permis de faire le constat des attentes de chacun et d'envisager des perspectives pour l'avenir. La visite d'ateliers techniques, d'expérimentations, et de stands commerciaux a donné aux participants la possibilité d'effectuer sur les deux sites un large tour d'horizon des problématiques spécifiques à la bio et des travaux engagés pour leur résolution.
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Légumes biologiques : Les actions du CTIFL
Croissance importante des surfaces certifiées et en conversion, offre très diversifiée, développement des exigences qualitatives des consommateurs, la filière légumes biologiques est en mutation importante. Sur le plan technique, de nombreux verrous ont été identifiés. La recherche des solutions est intégrée depuis plusieurs années dans les programmes du centre technique de la filière légumes. Recherches et expérimentations sur les centres, formation, diffusion, coordination de réseaux et collaborations avec l'ITAB et l'INRA sont autant d'actions qui mobilisent le CTIFL autour des problématiques posées par les agrobiologistes.
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Lutte biologique contre Botrytis cinerea et Oidium neolycopersici
"La pourriture grise due à Botrytis cinerea et l'oïdium dû à Oidium neolycopersici sont deux maladies aériennes importantes sur tomate en culture sous abri. Depuis 1989, des travaux sont menés par l'INRA d'Avignon, en particulier dans le domaine de la lutte biologique. L'efficacité de Fusarium sp., une des souches antagonistes sélectionnées par l'INRA contre B. cinerea est étudiée depuis 1996 au CTIFL Balandran. Des travaux sur O. neolycopersici ont débuté en 1999, notamment avec un extrait de la plante Reynoutria sachalinensis. Les essais mis en place depuis 1999 ont été réalisés dans le cadre d'un projet ACTA ""Agriculture biologique"" (1999-2001). Les résultats obtenus avec Fusarium L13 et l'extrait de plante Reynoutria sachalinensis semblent prometteurs. Les essais ont permis d'approfondir les stratégies d'utilisation de ces produits individuellement ou en mélange (dose, fréquence, technique d'application). Les expérimentations sur les deux maladies se poursuivent cette année."
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Maraîchage biologique : Journée régionale
La 1ère journée régionale Rhône-Alpes du maraîchage bio, qui s'est déroulée le 3 septembre à St Blaise du Buis, a permis aux 120 participants de visiter de nombreux essais, dont celui consacré aux "planches permanentes et biodynamie". Ces essais menés au GAEC "Les jardins du Temple", ainsi que les autres expérimentations conduites en Rhône-Alpes sur l'année 2001, sont décrits dans le présent document, compte-rendu édité à l'issu de la journée. Le SERAIL et l'ADAB y publient également les comptes-rendus des essais qu'ils ont menés en maraîchage bio sur l'année 2000.
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Les modes d'entretien du sol en prunier : Les alternatives non chimiques au banc d'essai
Lors de l'installation d'un verger de pruniers, l'arboriculteur doit mettre en oeuvre des pratiques culturales qui assurent au mieux la croissance des arbres. En effet, on considère que le potentiel de vigueur du tronc est obtenu sur les quatre premières années de la vie de l'arbre. Dès 1993, la commission technique de l'AREFE a souhaité mettre en place un essai comparatif de plusieurs méthodes d'entretien du sol en y privilégiant des alternatives non chimiques. Quatre modalités d'entretien du sol sur le rang sont étudiées : désherbage chimique, désherbage mécanique, enherbement et paillage. Une baisse significative de vigueur des arbres a été observée suite au travail mécanique du sol, cette technique culturale posant des problèmes en termes de blessures ou destruction des racines superficielles. Le paillage permet une bonne production (équivalente à celle obtenue avec le désherbage chimique avec un calibre supérieur) mais reste assez coûteux en main d'oeuvre. Quant à l'enherbement du rang, son effet dépressif est important en première et deuxième feuille du verger. Ses conséquences à plus long terme ne seront observables que dans les années à venir, la technique ayant été interrompue, de 1995 à 1999, en raison des arcures.
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Noix - Châtaignes : optimiser les techniques de conservation
"Les itinéraires techniques de production des fruits à coques répondent aussi aux exigences qualitatives du marché. Les techniques de conservation post-récolte doivent permettre de préserver la qualité obtenue au verger. Les stations expérimentales de Creysse et de la Senura, ainsi que le CTIFL, travaillent sur la mise au point d'humidimètres céréaliers pour mesurer la teneur en eau des noix afin de mieux déterminer la fin du séchage. Le même type de travail est également réalisé pour mettre au point un outil de mesure de la teneur en eau des châtaignes. La Station de Creysse, en relais du CIREA de Douville, travaille sur l'amélioration des techniques de conservation par combinaison du froid négatif et de l'atmosphère contrôlée. Les premiers résultats de ces expérimentations ont été présentés lors des "" rencontres technologiques"" co-organisées par la station expérimentale et le CTIFL."