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PRODUIT LAITIER |


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121 millions de litres de lait bio en 2000
Le lait biologique représente 0,5% de la collecte laitière française en 2000. Cette production est toujours insuffisante pour répondre à la demande. Plus de 120 laiteries de toutes tailles opèrent dans la filière bio. La collecte de lait bio, qui n'était que de 55 millions de litres en 1998, a plus que doublé en deux ans. L'essor de la production de lait biologique n'est pas suffisant pour répondre à la demande des consommateurs. Elle contraint les industriels à s'approvisionner à l'étranger. La moitié du lait biologique de vache provient du Grand Ouest.
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Le 13 juillet, on ferme !
Témoignage d'un agriculteur bio qui décide de fermer sa salle de traite en été. Son objectif est de profiter de sa famille. Économiquement, cette pratique n'est pas intéressante mais cela permet à l'éleveur de souffler un peu Pour cela, un maximum de vaches doivent vêler fin août et septembre. Pour arriver à concentrer les vêlages, plusieurs années sont nécessaires. Les saillies et inséminations démarrent dès le 10/11. Les vaches sont taries sur une dizaine de jours. La perte en rendement est compensée par un effectif supplémentaire de laitières. Au moment de la reprise de la traite, le travail est important, et la trésorerie au plus bas.
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15 ans déjà !
Jacques CHIRON, Auteur ; Yannick ALLARD, Auteur ; Christophe BARONLe dossier évoque la nécessité de regroupement de l'offre de lait bio (pour sa valorisation), telle qu'elle est apparue à des producteurs de lait bio de Loire-Atlantique et du Morbihan, en 1994, et l'évolution de la collecte par BIOLAIT au fil du temps : - Il fallait la faire ! ; - Coup d'oeil sur les 15 années d'activité de Biolait ; - Biolait des "valeurs à vivre".
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En 2007, je passe au bio
A travers la description de produits biologiques de base, l'article donne des conseils pour faire son marché et passer au bio de façon progressive. Ainsi, est évoquée la qualité des fruits et légumes bio, des céréales complètes, du sucre de canne intégral, du sel marin non raffiné, de l'huile végétale première pression à froid, des produits laitiers sans antibiotiques, des oeufs de poules élevées en plein air. L'article n'hésite pas à conclure sur un comportement général qui consisterait à "penser bio".
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2015, une année de forts changements pour les aides
LETTRE FILIÈRES FNAB - LAIT, AuteurQu'elles soient spécifiques ou non aux producteurs biologiques, les éleveurs laitiers bénéficieront de nouvelles aides de la PAC. Une aide directe par vache laitière de 36 en plaine et de 74 en montagne sera octroyée aux éleveurs pour les 30 à 40 premières vaches, et les nouveaux éleveurs bénéficieront d'une majoration. L'article indique les autres aides que pourront toucher les éleveurs pour leurs surfaces fourragères. Afin de compenser la perte liée à la disparition de la PHAE, l'ICHN sera élargie et elle reste cumulable avec les aides bio et autres MAEC. Quant aux aides à la conversion et au maintien, leur montant respectif sera de : 130 et 90 /ha pour les prairies (permanentes ou temporaires) associées à un système d'élevage ; 44 et 35 /ha pour les landes, estives et parcours. Les règles de cumul entre les Maec et Maec bio sont décrites dans leur ensemble.
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2015, fin des quotas : qui décidera de l'évolution de votre volume contractuel et de votre prix ?
LETTRE FILIÈRES FNAB - LAIT, AuteurLes producteurs de lait bio peuvent adhérer à une organisation professionnelle (OP) dite de mandat qui permet de négocier avec les laiteries. De plus, les OP peuvent définir collectivement des règles de gestion des volumes et régler les éventuels litiges avec les laiteries. Avec cette adhésion, chaque producteur reste propriétaire du lait qu'il livre car le contrat qui le lie au collecteur est individuel. Un tableau présente trois OP de mandat pour le lait biologique reconnues par l'État : L'Association des producteurs de lait biologique de Seine-et-Loire, celle du Grand-Est et l'Association des producteurs de lait biologique Danone Sud-Est. L'article précise les caractéristiques de ces OP et donne les contacts des responsables.
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2016 : La bio continue son développement...
BIO-LINEAIRES, AuteurSelon les données de l'Agence BIO, la bio a connu un essor sans précédent en 2016. Le marché a progressé de + 21,7 % contre + 14,7 % en 2015, atteignant désormais un total de 7,147 milliards d'euros, dont 411 millions d'euros pour la RHD. Les chiffres clés de la bio pour 2016 sont à retrouver dans cet article : marché, lieux de vente, produits les plus consommés, évolution des achats des ménages par catégorie de produits et par circuit, nombre de producteurs, surfaces en conversion, nombre d'opérateurs, etc.
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3ème journée d'étude sur l'état de la recherche en agriculture biologique : Les systèmes laitiers
Ce rapport présente les retranscriptions des communications présentées lors de la 3è journée d'étude sur l'état de la recherche en agriculture biologique - Systèmes laitiers, du 14 novembre 2001 à Libramont.
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48 Montbéliardes en Bio
Maîtriser les charges, respecter l'environnement sont les deux préoccupations au Gaec du Buisson. M. Fonton, avec ses 48 Montbéliardes produisant 3000 litres/an (auxquels il faut ajouter la consommation des veaux), réussit à obtenir une marge brute de 5849 F, absolument comparable à celle des exploitations conventionnelles de la région (5945 F). Pour cela : - Il produit des fourrages variés (prairies permanentes à mélange complexe, céréales et pois), - Il limite les frais d'hygiène vétérinaire par l'utilisation raisonnée de l'homéopathie et de la phytothérapie, - Il utilise le compost (10 à 15 Tonnes/Ha) et du lithotamne (200 Kg/Ha lors du semis des prairies). Ainsi,les charges de structure (2346 F, contre 3 777 F en moyenne en non-bio) ou opérationnelles (693 F contre 2 472 F en non-bio) permettent de conforter la marge.
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5 solutions alternatives à lutilisation de soja en élevage de vaches laitières
BULLETIN DE L'ALLIANCE PASTORALE, AuteurLe soja est largement utilisé dans les rations des vaches laitières. Il présente toutefois deux inconvénients : il est produit outre-Atlantique et son prix est très volatile. Cest pourquoi le projet PROTECOW a étudié cinq alternatives à son utilisation. Ces alternatives devaient respecter deux critères : maintenir le niveau de production des animaux et les résultats économiques de la ferme. Lune des cinq alternatives envisagées est de convertir le système de production à lagriculture biologique tout en conservant un haut niveau de production par vache laitière. Cette solution pourrait convenir à des exploitations qui ont une bonne situation financière, afin de supporter la période de conversion de deux ans, et dont les rations sont, en plus du maïs, basées sur lherbe (pâturage). La conversion à l'AB a été simulée sur une ferme type de 100 ha avec 100 VL à 8 300 L de lait/an. Elle a nécessité de revoir intégralement lassolement de lexploitation et a permis de remplacer partiellement le soja (- 64 %, soit une économie de 51 t/an). Néanmoins, elle entraîne une baisse du niveau de production (-1 400 kg/lactation). Si les prix du lait bio sont élevés, cette diminution de la production peut être compensée au niveau de la marge nette.
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9èmes Assises nationales de l'agriculture biologique
Organisées par l'Agence Bio, les 9èmes Assises Nationales de la Bio se sont tenues le 14 novembre 2016 à Paris, en présence de professionnels et spécialistes de l'agriculture biologique, pour discuter de l'avenir de l'agriculture biologique, de ses différentes filières et de ses opportunités de développement. Intervenants : Didier Perréol (président de l'Agence BIO), Carolyn Steel (architecte londonienne), Florent Guhl (directeur de l'Agence BIO), Stéphane Le Foll (ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt, porte-parole du gouvernement) et d'autres intervenants lors de tables rondes.
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Accidents et maladies du trayon
Cet ouvrage décrit et recense - par le texte et l'image - toutes les maladies et affections susceptibles d'agresser le trayon de la vache laitière ; tant celles rencontrées en Europe que celles des autres continents, les plus fréquentes comme les plus rares. Une abondante iconographie (400 photos) permet d'identifier les différentes pathologies à tous les stades. Celles liées à l'utilisation des machines à traire sont traitées par un homme de terrain. Un important chapitre est consacré à l'hygiène, clef de la bonne santé du trayon. Enfin, les maladies générales ayant des répercussions sur cet organe sont abordées dans un contexte global permettant d'en faire le diagnostic.
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Les acides gras du lait de vache : Composition et maîtrise par l'alimentation
JL. PEYRAUD, Auteur ; B. ROUILLÉ, Auteur ; C. HURTAUD, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS Cedex 12 (Maison Nationale des Eleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2011
L'alimentation des animaux conditionne la composition du lait, notamment celle en matières grasses et plus précisément en acides gras. C'est sur la composition en acides gras que la filière laitière est interpellée, de manière pressante. Il était utile de faire un point objectif sur les questions, les contraintes et les opportunités qui se posent à la filière laitière française dans ce domaine. L'approche retenue a été de répondre de manière simple et concise aux questions suivantes : - Comment sont élaborés les acides gras présents dans le lait ? Quel est le rôle de la glande mammaire en la matière ? ; - Quels laits produire demain ? Comment adapter la composition du lait sans tomber dans des pièges métaboliques ou sans jouer à l'apprenti-sorcier ? ; - Quelle est la diversité des situations aujourd'hui, avec les nouvelles contraintes sur les intrants, et quelles sont les approches opérationnelles d'adaptation existantes ? La deuxième partie du document est consacrée au lien entre l'alimentation (ration de base et supplémentation) et la qualité du lait.
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Actualité économique : Cours des principaux légumes de saison ; Prix du lait payé aux producteurs ; Cours de la viande ; Cours des céréales et oléo-protéagineux
Vincent HOUBEN, Auteur ; Didier DESARMENIEN, Auteur ; Aude CHARMASSON, Auteur ; ET AL., AuteurCet article présente les cours des principales productions agricoles biologiques pour le premier trimestre 2016 : légumes, lait, viande, céréales et oléo-protéagineux. Pour les légumes, les cours sont relativement stables, exceptés pour l'échalote (en progression) et pour le chou-fleur (courbe en « yoyo »). Le prix du lait en 2015 est légèrement inférieur à celui payé en 2014, mais la production reste en adéquation avec la demande, ce qui permet de garder un certain niveau de prix. Concernant la viande, les acteurs de la filière travaillent actuellement à l'ouverture de nouveaux débouchés, qui permettront de commercialiser les produits des éleveurs en conversion. Enfin, pour ce qui est des grandes cultures, les nouveaux volumes (1/3 des nouveaux ha convertis en bio en 2015) semblent nécessaires pour une filière qui est à ce jour importatrice. Globalement, avec un nombre de conversions important en 2015 et 2016, les acteurs mettent en garde quant à la nécessité d'être vigilants pour un développement cohérent et pérenne de ces filières.
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Actualité économique : "Evolution du cours du lait, Janvier 2012 / Décembre 2013" ; Evolution des cours de la viande bio 2009-2013 ; Cours des céréales et oléo-protéagineux ; Cours de fruits et légumes, épicerie
Didier DESARMENIEN, Auteur ; Brigitte LAMBERT, Auteur ; Boris JEANNE, Auteur ; ET AL., AuteurL'article présente l'évolution du cours du lait de janvier 2012 à décembre 2013 (autosuffisance atteinte sur le marché du lait bio en France, prix du lait de 426/1000l en 2012 et 435/1000l en 2013 en Pays de la Loire) ; l'évolution des cours de la viande bio 2009-2013 (prix bio déconnectés du conventionnel depuis 10 ans, mais chahutés en 2013) ; les cours des céréales et oléo-protéagineux (en tendance octobre 2011 mars 2014 car les prix peuvent être différents selon les opérateurs) ; les cours de fruits et légumes, épicerie (2012-2014), issus de 3 principaux grossistes du MIN de Nantes (semaine 12 : 1,77 les 6 ufs, 1,18/l lait UHT ½ écrémé).