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PRODUIT LAITIER |
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Eye on the market
Cette rubrique habituelle de Organic Farming permet d'avoir un aperçu, de manière régulière, des prix, de l'offre et de la demande, des innovations en matière de produits biologiques, en Grande-Bretagne. Quatre articles concernant les différentes filières : - élevage viande : les prix du porc sous pression, - élevage laitier : quels impacts peuvent avoir les nouveaux réglements, - horticulture : les conditions humides affectent le marché, - céréales : la chute des prix - On ne peut pas blamer le temps.
Faciliter la conversion des producteurs laitiers en organisant la collecte
De 6 producteurs en Loire-Atlantique fin 1994, le GIE Biolait est passé à 215 adhérents dans 17 régions françaises en 1999. La collecte s'élève à 23 millions de litres de lait représentant un quart de la production française. Son secret : sa souplesse dans les quantités transportées et l'égalité de rémunération pour chaque éleveur, quelle que soit sa localisation géographique. Du coup, les éleveurs qui ne pouvaient valoriser le lait en agriculture biologique trouvent aujourd'hui des débouchés.
Une ferme à dimension humaine
La demande étant supérieure à l'offre, les laiteries doivent importer du lait bio. Le groupe coopératif Sodiaal (société de diffusion agroalimentaire laitière) qui livre du lait bio en France, accompagne les producteurs en conversion. Emmanuel Mallet, éleveur en Haute-Loire, est un exemple de conversion de production laitière.
La ferme de Joseph Hubert à Vaux Chavanne
Créée en 1986 sur 6 ha, la ferme de Joseph Hubert s'est développée petit à petit pour atteindre 80 ha aujourd'hui, avec un quota de 120 000 litres. Toute la surface est en prairie permanente et les parcelles sont fauchées et pâturées en alternance à l'exception des prairies trop humides.
Des filières bio très diverses en Europe
Aides à la reconversion, cahiers des charges, organisation de la production et de la commercialisation du lait biologique, etc... Voici un tour d'horizon des filières laitières biologiques allemande, autrichienne, belge et espagnole.
En France, le bio dans la cour des grands
En croissance de 25 à 30 % par an, le marché des produits biologiques attire de nouveaux intervenants, notamment dans le secteur des produits laitiers (56 usines de transformation recensées par le SCEES). Et la plupart des distributeurs ont aujourd'hui leur gamme bio et leur part de marché s'est accrue de plus de 10 points. La collecte est encore insuffisante, mais devrait se développer avec les reconversions de nombreux producteurs laitiers.
Les fromages au lait cru
Dans le cadre de son enquête annuelle auprès des établissements de collecte et de transformation du lait en France, le Service Central des Enquêtes et Etudes Statistiques du Ministère de l'Agriculture (SCEES) a intégrer, pour la première fois avec l'enquête portant sur l'année 1997, un nouveau volet pour recenser les fabrications industrielles de fromages au lait cru. Cette opération a été renouvelée en 1999, les chiffres viennent d'être révélés.
Une goutte de lait sur 20 vient d'une vache bio
En 1998, 2 800 fermes produisaient du lait bio en Suisse et le troupeau comptait 37 205 vaches dont la productivité annuelle moyenne se situe entre 5 100 et 5 200 kg. Sur les 164 millions de kilos de lait bio produits, on estime que 58 sont encore bloqués dans des laiteries conventionnelles ou ne sont pas collectés comme lait bio. Cette situation est d'autant plus problématique que le marché des produits laitiers biologiques ne cesse d'augmenter avec des taux de croissance de l'ordre de 65 % par an.
La granja como organismo vivo
Tomas Grau et Roser Jiménez vivent avec leurs enfants dans leur exploitation biodynamique de Can Garriga, sur le territoire de Maià de Montcal (municipalité de La Garrotxa, région de Gérone, en Espagne). Ils élèvent des vaches laitières et leurs champs s'étendent sur 12 hectares de SAU, plus 10 autres hectares loués. Pour pouvoir bien prendre soin des animaux, ils ont limité le nombre de leurs vaches à 11 maximum. Deux fois par semaine, le lait de sept traites (à raison de deux traites par jour) est emmené à Làctics Tramuntana (une industrie de transformation) où le lait est pasteurisé et conditionné ; une partie du lait est également destinée à faire des yaourts. Le lait conditionné et les yaourts sont ensuite livrés au distributeur Elafos deux fois par semaine. Le lait, la farine et d'autres produits de la ferme sont également vendus sur l'exploitation à quelques familles. Tomas et Roser aimeraient, dans le futur, pouvoir transformer le lait à la ferme et en faire du fromage et des yaourts, et peut-être aussi faire du pain. Présentation de l'exploitation.
Groupe de travail agriculture biologique : Présentation de la filière du lait biologique en 1999
Le groupe de travail sur la filière laitière biologique réuni par l'Onilait, a permis de mettre en place, en 1998, un programme d'aide au développement de collectes de lait bio par les entreprises. Les derniers bénéficiaires du programme sont des éleveurs dont l'entrée en conversion a eu lieu en novembre 1999. Au total, 36 conventions ont été signées dans ce cadre, débouchant sur la conversion à l'agriculture biologique de 590 producteurs. L'enquête réalisée se divise en deux parties : -les données technico-économiques, -la collecte et la transformation.
Le lait bio, une carte à jouer ?
"Pour répondre à une demande croissante de produits laitiers biologiques, la production semble se réveiller et tente de rattraper son retard. La production de lait biologique montre une forte progression, plus particulièrement dans le ""Grand Ouest"". Pour quels résultats économiques des exploitations et quelles perspectives de développement ?"
Le lait biologique en Normandie
Le Conseil d'Administration décentralisé de Biolait a eu lieu cette année en Normandie. A cette occasion, quelques articles permettent de découvrir le paysage bio normand, dont le découpage entre la Basse et Haute Normandie est très contrasté, puis l'implantation de Biolait dans cette région avec un descriptif de la collecte de lait, et enfin des témoignages d'adhérents, producteurs laitiers, qui justifient leur choix de travailler avec Biolait par des atouts économiques et des arguments en faveur de la solidarité, de l'éthique de la bio et de la mutualisation.
Lait : bonne valorisation en "bio"
Témoignage de François Martin, éleveur limousin s'étant converti à l'agriculture biologique en 1992 en production laitière. Un point sur la distribution de ses produits laitiers, l'organisation familiale sur l'exploitation, le système fourrager, la conduite du troupeau et le rendement qui contribuent à apporter une nouvelle plus-value à l'exploitation.
Lait de jument : une filière se met en selle
Dans les magasins diététiques et les rayons "compléments alimentaires" des pharmacies, le lait de jument fait son apparition. Il est énormément consommé dans les pays de l'Est et d'Asie Centrale, mais sa production demeure marginale en France. Née au début des années 1990, cette filière compte une dizaine de producteurs qui tentent de faire entrer dans les moeurs la consommation de ce lait aux propriétés insoupçonnées. Mais, pour nombre d'entre eux, la commercialisation de leur production demeure la principale difficulté.
Lait, petit-lait et aliment diététique dans l'élevage des porcelets
L'effet d'un aliment diététique sec et d'une supplémentation de l'aliment sec par du lait de vache, du petit-lait ou un aliment humide sur la santé et les performances du porcelet sevré a été étudié. Dans le premier essai, les porcelets ont reçu, outre un aliment diététique sec, du lait de vache, du petit-lait ou un aliment humide durant les six premiers jours après le sevrage, tandis que les animaux témoins n'avaient que l'aliment diététique sec. Dans le deuxième essai, une moitié des porcelets a reçu un aliment sec standard (3,7% de cellulose brute) et l'autre moitié un aliment sec diététique (6,1% de cellulose brute, 1,3% de formiate de calcium) . Un supplément de lait fut offert à 50% des animaux de ces deux groupes pendant les quatre premiers jours suivant le sevrage. Dans les deux essais, la mortalité provoquée par des infections à E. coli était plus faible chez les animaux qui avaient reçu du lait ou du petit-lait que chez les animaux qui étaient nourris exclusivement avec un aliment sec (5 porcelets sur 160 = 3% contre 13 porcelets sur 115 = 11%, P < 0,01) . Dans le deuxième essai, un des 70 porcelets qui avaient reçu l'aliment diététique et 10 des 70 porcelets qui avaient reçu l'aliment standard ont péri suite à une infection par E. coli (P < 0,01) . Par ailleurs, ni les aliments liquides supplémentaires ni le genre d'aliment sec utilisé dans le deuxième essai n'ont influé sur l'accroissement pendant les cinq premières semaines suivant le sevrage.