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ROSIER |
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RELACS: Deliverables & reports: Copper
Annegret SCHMITT, Auteur ; Ursula WENTHE, Auteur ; Hans-Jakob SCHARER, Auteur ; ET AL., Auteur | FRICK (Ackerstrasse 113, Case Postale 219, CH-5070, SUISSE) : FIBL (Institut de recherche de l'agriculture biologique) | 2022 et 2021Le projet européen RELACS - REplacement of Contentious Inputs in organic farming Systems (2018-2022) - avait pour objectif dévaluer des solutions pour diminuer, voire remplacer, lutilisation dintrants controversés dans les systèmes conduits en agriculture biologique. Ce projet sest notamment penché sur les alternatives à lutilisation du cuivre en viticulture, en arboriculture et dans les cultures sous serre. Quatre livrables ont été publiés à ce sujet : 1 - Un livrable décrit et quantifie lutilisation de différents intrants controversés par les producteurs bio européens (une partie de ce livrable concerne lutilisation de cuivre) ; 2 Un autre livrable décrit les essais réalisés, en partenariat avec des entreprises impliquées dans le projet, pour tester des produits alternatifs au cuivre (essais conduits sur la vigne, des pommiers, des légumes sous serre concombres et tomates -, des rosiers et des framboisiers) ; 3 Un autre livrable propose une vue d'ensemble sur les nouvelles stratégies basées sur de faibles doses de cuivre, ou sans cuivre (en viticulture, arboriculture et cultures sous serre bio), et présente les résultats des essais réalisés dans des exploitations bio pour optimiser et valider ces nouvelles stratégies ; 4 Le dernier livrable se penche sur lévaluation des impacts socio-économiques et environnementaux des différentes alternatives aux intrants controversés (une partie de ce document concerne des alternatives au cuivre : utilisation dextrait de réglisse, dextrait de mélèze, dextraits de SUMB (plantes vivaces et ligneuses) et de faibles doses de sucre).
Expérimentation de systèmes viticoles à faible usage d'intrants phytosanitaires en Val de Loire
David LAFOND, Auteur ; G. DELANOUE, Auteur ; L. DUTRUEL, Auteur ; ET AL., AuteurDans le cadre du projet EcoViti Val-de-Loire, trois systèmes de culture viticoles ont pu être évalués durant six ans. Le premier portait sur lassociation vigne-rosiers afin de favoriser linstallation du parasitoïde Anagrus (auxiliaire de culture contre la cicadelle verte de la vigne). Le second système était basé sur une combinaison de pratiques alternatives aux produits phytosanitaires permettant de gérer les maladies cryptogamiques. Pour cela, il sappuyait sur le Processus Opérationnel de Décision Mildium (développé par lINRA et lIRSTEA), la mise en place de lenherbement et le changement du type de taille (de la taille Guyot simple à une taille en cordon de Royat). Le dernier système a permis dévaluer limpact de différents modes de taille (taille double cordon de Royat, taille en « gobelet », taille en arcure et taille semi-minimale) sur la sensibilité de la vigne aux maladies. Ces essais systèmes ont permis une réduction des IFT mais, selon les conditions, ils présentent également, certaines fois, des baisses de rendement. Dun point de vue méthodologique, ces essais ont permis de mettre en évidence limportance de prendre en considération la phase de transition des essais systèmes. Toutefois, il faudrait mener ce type dexpérimentation dès la plantation car la vigne met plusieurs années à sadapter.
J'apprends à tailler mes arbres : Fruitiers, arbustes...
Tailler, oui, mais en douceur... Cesser de martyriser les arbres par des coupes anarchiques, qui fragilisent leur structure et créent des blessures impossibles à cicatriser ! Plutôt que se précipiter sur le sécateur ou la cisaille, il s'agit de poser les outils, d'observer et de réfléchir, guidé par Alain Pontoppidan (technicien agricole, arboriste et formateur) qui prône une taille douce, inspirée par une véritable compréhension des besoins des arbres et basée sur l'observation préalable des mécanismes naturels de leur croissance. Pour améliorer la productivité des fruitiers et éviter l'alternance, on découvre les tailles de plantation, d'éclaircie, de rajeunissement, de simplification, avec les spécificités propres à 18 espèces de fruitiers. Les arbres et arbustes d'ornement ne sont pas oubliés, grâce à un guide de taille par essences détaillé pour 70 espèces : arbustes à floraison printanière ou estivale, persistants, plantes grimpantes, rosiers, conifères, grands arbres.
Jardineries : Toujours accros aux pesticides !
Elisabeth CHESNAIS, Auteur ; Isabelle BOURCIER, AuteurCet article rend compte des résultats d'une enquête réalisée mi-2016 sur le terrain, dans le but de savoir si les enseignes de jardinerie avaient fait évoluer leur façon de conseiller les clients vers une moindre utilisation de produits chimiques au jardin, comme le préconise la loi qui introduit l'interdiction de la vente en libre service des herbicides et pesticides chimiques au 1er janvier 2017. A une ou deux exceptions près, d'une façon générale, les consommateurs restent insuffisamment, voire pas du tout, conseillés dans ce sens. Pourtant, des solutions alternatives existent, que ce soit pour enlever les pissenlits sur la pelouse, les mauvaises herbes dans la descente de garage ou pour se débarrasser des pucerons dans les rosiers... Peu coûteuses et sans dangerosité, elles font appel à des gestes et à des outils simples et permettent d'envisager des solutions préventives dans le respect de l'environnement.
Je réussis toutes mes cultures en pots ! : Fleurs à foison, légumes gourmands, arbustes déco...
Brigitte LAPOUGE-DEJEAN, Auteur ; Serge LAPOUGE, Auteur | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2015On peut jardiner en pots pour de multiples raisons : pour agrémenter son balcon, ses bords de fenêtres, souligner la structure de son jardin, cultiver des plantes fragiles, faire pousser quelques aromates ou petits légumes, apporter des touches de couleur au fil des saisons... ou tout simplement pour le plaisir de changer le décor en changeant quelques pots ! On trouve, dans cet ouvrage, tout ce qu'il faut savoir pour obtenir de belles plantations en pots : - choisir les contenants ; - préparer et enrichir les substrats (terre, terreaux) ; - sélectionner les bonnes plantes : plus de 50 espèces et variétés d'annuelles, de légumes, d'aromatiques, de bulbes, de vivaces, de rosiers, d'arbustes et de grimpantes particulièrement adaptées à la culture en pots sont décrites, avec tous les conseils nécessaires et des idées d'associations en mélanges colorés et harmonieux. De nombreux pas à pas en images expliquent comment mettre en place, soigner et arroser les plantations au fil des saisons, et décorer balcons, terrasses, courettes et allées.
Le guide Terre Vivante : Aménager et fleurir son jardin et accueillir abeilles, hérissons, oiseaux...
Brigitte LAPOUGE-DEJEAN, Auteur ; Denis PEPIN, Auteur | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2014Nombreux sont les jardiniers qui rêvent d'un jardin agréable et harmonieux, naturel et vivant, structuré et sauvage. Brigitte Lapouge-Déjean et Denis Pépin donnent, dans cet ouvrage, tous les conseils nécessaires pour réaliser ce rêve : - Choisir et associer haies, bosquets, massifs fleuris, prairies... qui structurent le jardin et créent autant de lieux de vie pour les animaux ; - Créer les aménagements en matériaux naturels (voire recyclés) au charme incomparable : terrasse en bois de châtaignier, allée de calade, muret de pierres sèches, plessis, cabane de saule vivant, mare ou bassin mais aussi récupérateur d'eau de pluie, four solaire, toilettes sèches... ; - Les habiller de fleurs vivaces, colorées, aromatiques et parfumées, rosiers, chèvrefeuilles grimpants, fleurs mellifères ou toute plante nourricière pour la petite faune locale ; - Et installer nichoirs et mangeoires pour oiseaux, petits mammifères, insectes...
Dossier BRF : La part des choses ; Roses de peu
Guylaine GOULFIER, Auteur ; Marie ARNOULD, AuteurLe broyat de minces rameaux que découvraient les jardiniers avec le BRF était, il y a une dizaine d'années, paré de mille vertus. Après plusieurs années d'essais dans les jardins, Terre Vivante a sollicité des lecteurs-testeurs des 4 Saisons, géographiquement éloignés les uns des autres, qui appliquent généralement le broyat sur le sol sans l'enfouir, en paillage. S'ils ont observé une meilleure rétention de l'eau dans le sol, et une amélioration des propriétés de celui-ci (plus facile à travailler...), des essais réalisés par des centres techniques semblent montrer une baisse de rendement des fruits et, surtout, des légumes, issus des planches cultivées avec du BRF. Les expériences des jardiniers offrent des résultats très contrastés. Globalement, le BRF ne serait pas un meilleur paillage ou amendement qu'un autre (paille, tonte...). Par ailleurs, les sols réagissent de façon différente à l'apport de matière organique, en particulier à celui de BRF dont la dégradation est essentiellement le fait des champignons. Gilles Domenech, pédobiologiste, spécialiste des méthodes de culture favorables à la vie des sols, indique comment appliquer le BRF. A Torcieu, dans l'Ain, deux artistes ont installé une roseraie sur un terrain dénué de point d'eau. Trois ans plus tard, grâce aux BRF, rosiers (350 rosiers sur BRF) et potager prospèrent. Témoignage.
Je paille mes cultures : Moins d'arrosage ; Moins d'herbes indésirables ; Des légumes tout propres !
Blaise LECLERC, Auteur ; Jean-Jacques RAYNAL, Photographe | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2013Le paillage est un des piliers du jardinage bio. Il permet : - de conserver l'humidité de la terre et ainsi d'économiser l'eau au jardin ; - de protéger les plantes des maladies et des ravageurs ; - d'atténuer les effets du soleil et des pluies violentes qui agressent la surface du sol ; - d'éviter la concurrence des herbes indésirables ; - de nourrir les êtres vivants du sol, notamment les vers de terre, ces précieux auxiliaires du jardinier. Il existe de nombreux types de paillis - herbe sèche ou fraîche, paille, broyat, écorces, paillettes... - qu'il faut savoir choisir et utiliser en fonction de ses besoins. Quand les installer, quelle épaisseur prévoir, combien de temps les laisser, comment arroser, quand les enlever... ? La technique du paillage s'adapte à chaque culture : on ne paille pas de la même façon ses rosiers, ses tomates, ses salades, ses carottes. Pour chacune d'elles, une solution existe !
J'ai de beaux rosiers : sans produits chimiques !
Brigitte LAPOUGE-DEJEAN, Auteur ; Serge LAPOUGE, Auteur | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2012Que l'on soit adepte des variétés anciennes ou modernes, les auteurs donnent les clefs essentielles à la réussite de la culture biologique de rosiers. Ils ont ainsi sélectionné une large gamme de variétés pour leur beauté, leur parfum, mais surtout leur résistance. Ils proposent d'aménager de beaux massifs de rosiers associés à des vivaces ou des aromatiques, des talus, des haies, ou d'habiller le mur de la maison, une pergola ou un arbre mort. Ils apprennent aussi à choisir des plantes en bonne santé, à leur apporter les soins adaptés dès la plantation et au fil des saisons : amendements naturels, paillages, soins préventifs aux purins de prêle ou de consoude... Enfin, ils montrent les gestes de taille adaptés à chaque famille de rosiers, ainsi que les différentes façons de les palisser ou de travailler leur arcure.
Les meilleures associations de plantes
Ce guide visuel, illustré de plus de 200 photos, propose de nombreuses associations de plantes, au jardin d'ornement ou sur la terrasse, comme au potager. Parmi les mariages les plus efficaces, existent ceux qui ont pour but de créer différents niveaux de végétation pour que les massifs soient bien touffus, ou de composer des scènes et marier les couleurs, ou encore de profiter du compagnonnage entre plantes pour éloigner les parasites... Au jardin et sur la terrasse : - Mariages avec des rosiers (népéta et rosier grimpant, géranium vivace et rosier buisson, armoise et rosier arbustif, clématite et rosier grimpant...) ; - Mariages avec des arbustes (glycine et clématite, arbre à perruques et alchémille...) ; - Scènes de vivaces (associations de vivaces en coussins et érigées...) ; - Mariages avec des annuelles (mirabilis et rose trémière, cosmos et pavot de Californie...). Au potager : - Les mariages anti-parasites (carotte et poireau, fraisier et ciboulette...) ; - Les mariages d'affinités (maïs, potiron et haricots, radis et bette à carde, aubergine et haricots verts nains, oseille et persil...).
Oïdium, la saison du blanc
Après le mildiou, l'oïdium est la maladie des plantes la plus redoutée au jardin, mais aussi sous les serres et dans les vignes. Elle est causée par divers champignons microscopiques et touche les légumes, petits fruits, arbres fruitiers et d'ornement... Présentation des symptômes (feutrage blanc ou grisâtre sur les feuilles et les jeunes tiges), de plantes atteintes (cucurbitacées, rosier, vigne), ainsi que des moyens de lutte : en prévention (ne pas planter trop serré, aération régulière des serres et tunnels...) ; dès les premières attaques (coupe des différentes parties atteintes, soufre-fleur ou sublimé en poudrage ou plutôt en forme pulvérisée à partir de 28°C).
Petit Larousse des techniques de jardinage
Catherine DELVAUX, Auteur ; Michel LOPPÉ, Auteur | PARIS CEDEX 06 (21 Rue du Montparnasse, 75 283, FRANCE) : ÉDITIONS LAROUSSE | 2012Cette encyclopédie présente toutes les techniques de jardinage, détaillées étape par étape, pour le jardin d'ornement, le potager et le verger : toutes les méthodes présentées sont naturelles. Elle se penche sur tous les gestes et les trucs à connaître pour acheter, planter, entretenir, tailler, multiplier, soigner... toutes les familles de végétaux : arbres, arbustes, rosiers, annuelles, vivaces, pelouse, haies, légumes, aromatiques et petits fruits. On retrouve dans l'ouvrage des centaines de pas à pas dessinés à l'aquarelle pour visualiser rapidement les tours de main, avec des zooms sur les détails, pour mieux comprendre.
Tailler ses rosiers, un sujet épineux
Brigitte LAPOUGE-DEJEAN, AuteurLa taille des rosiers peut commencer mi-février et se poursuivre jusqu'à mi-mars, voire fin-mars (selon l'avancée des bourgeons) ; elle permet d'éviter un vieillissement naturel peu esthétique et de stimuler la croissance de jeunes rameaux florifères. Dans le cas des variétés modernes, comme les rosiers buissons à grosses fleurs, la taille prévient le vieillissement prématuré. Quelques précautions sont à prendre : tailler par temps sec et hors gel (10°C), utiliser un sécateur bien affûté, tailler à 5/7 mm au-dessus d'un il (c'est-à-dire d'un bourgeon gonflé) Des conseils sont donnés pour tailler les rosiers buissons, paysagers et les rosiers anciens (variétés obtenues avant 1920).
Soins d'été pour vos rosiers
Marie-Pierre GRASSI, AuteurJohanna Constant cultivait les rosiers par milliers au parc des Chemins de la Rose, dans le Maine-et-Loire. Dans un entretien, elle partage ses astuces bio : large choix de rosiers résistants aux maladies (tâches noires, oïdium...) ; lutte contre les pucerons en misant sur la faune (larves de coccinelles (présentes en juin), oeufs de chrysopes (actifs dès mars)) ; utilité des extraits végétaux (ortie employée de manière préventive, extraits de consoude et de prêle employés de manière curative) ; prévention plutôt que traitement (en février, application sur le bois d'un traitement à base de sulfate de cuivre, suppression des rameaux atteints de maladie) ; technique de coupe favorisant l'éclosion d'une rose (section du rameau, qui compte cinq à sept folioles, juste au-dessus de la dernière feuille, et au-dessus d'un bourgeon tourné vers l'extérieur) ; fréquence d'arrosage (nécessité de privilégier les apports abondants et de les espacer, mais, après deux ou trois ans, le paillage suffit).
Rosiers résistants aux maladies
Denis PEPIN, AuteurL'article donne des indications pour faire le choix de variétés résistantes de rosiers. La norme allemande ADR (Allgemeine Deutsche Rosenneuheitenprüfung) est un indicateur très fiable. En Europe, c'est la seule norme qui permet aux jardiniers de savoir si un rosier est résistant ou sensible... Plus de 1 600 variétés ont été testées depuis 1947, mais seulement 172 ont réussi à obtenir le label ADR, dont 25 par le rosiériste français Meilland et deux par Delbard... Mais soumettre une variété aux essais du label ADR coûte cher et la plupart des petits obtenteurs français ne peuvent pas présenter leurs rosiers. C'est le cas d'obtenteurs réputés comme Michel Adam (à Liffré, près de Rennes). Nombre de ses variétés sont assez résistantes et parfumées et beaucoup ont obtenu des grands prix internationaux. Les pépinières André Eve (spécialiste des roses anciennes) possèdent leur propre plan de classement. David Austin a créé récemment quelques roses parfumées et résistantes. Cependant, les termes "résistance" ou "feuillage sain" prêtant un peu à confusion car aucun rosier n'est résistant à 100 %, il est conseillé de faire ses propres essais et de demander conseil à des pépiniéristes locaux avisés. L'article présente par ailleurs, une liste de rosiers "centenaires" que l'on peut qualifier de résistants, la façon d'éloigner les pucerons (abri à des insectes auxiliaires), quelques variétés de rosiers ADR remontants, ainsi que des bonnes adresses de pépiniéristes.
Adapter la taille au rosier
Brigitte LAPOUGE, AuteurEntretien avec Eléonore Cruse, créatrice de la roseraie de Berty (Ardèche), qui a adopté une façon unique de tailler sa collection de plus de 600 rosiers. Sont évoqués les raisons de la taille des rosiers, le meilleur moment, la technique, la prise en compte de la famille du rosier ou d'un spécimen...
Fausses chenilles, vraies pestes, les tenthrèdes
Antoine BOSSE-PLATIERE, AuteurPortrait des tenthrèdes, "fausses chenilles" : apparence, différences avec les "vraies", mode de vie, développement et moyens de lutte pour se débarrasser de ce vrai fléau dans le jardin.
Bouturage pour rosiers durables !
Présentation du jardin d'En Galinou dans le Lauragais qui offre au regard de ses visiteurs de magnifiques roses et rosiers obtenus grâce à une technique de bouturage efficace, perfectionnée par Martine Pantel au fil des ans. Celle-ci expose dans un entretien comment l'idée lui est venue et sa manière de procéder.
La P.B.I en culture extérieure ou sous abri ouvert
Les préoccupations environnementales imposent des méthodes alternatives de production utilisant le moins d'intrants chimiques possible, comme la méthode P.B.I (Protection Biologique Intégrée). Les surfaces de culture en milieu ouvert permettent de nombreux échanges entre les zones de production et l'environnement, les lâchers d'auxiliaires n'étant pas indispensables. Il faut savoir les reconnaître après observations régulières, les attirer et les conserver sur le site de production (haies, zones fleuries, bandes enherbées). Les auxiliaires peuvent être prédateurs (coccinelles, syrphes, chrysopes, punaises) ou parasites (beaucoup d'hyménoptères). Les fourmis, entraînant la prospérité des ravageurs, constituent un ennemi sous estimé, difficile à contrôler. Le B.H.R (Bureau Horticole Régional) travaille depuis 3 ans sur la P.B.I en système ouvert en cultures ornementales. Deux essais en extérieur sur rosiers furent menés avec pour but d'identifier et de qualifier la faune pour envisager une P.B.I. Il ressort que les ravageurs sont d'autant plus facilement contrôlés par les auxiliaires sauvages (limitation des lâchers et du nombre d'interventions chimiques) que la culture est fleurie et les abords naturels. La gestion en P.B.I est possible à coûts limités en extérieur. Sous abris, les lâchers sont nécessaires en début de saison pour pallier au manque d'auxiliaires sauvages (encore en hibernation à cette époque), ce qui augmente les coûts (es sai mené sur Viburnum tinus). L'engagement sur la voie de la P.B.I doit être progressive car il faut adapter les stratégies de lutte à la plante cultivée et au type de ravageur, en se basant sur des connaissances et une expérience.
Greffe en écusson
Explications sur la technique de greffage en écusson : principe, choix de la période d'exécution, récolte des rameaux greffons, greffage et entretien.
La plante sauvage du mois... Le cynorrhodon
Le cynorrhodon est le fruit du rosier et de l'églantier, et plus généralement des plantes du genre Rosa, de la famille des Rosacées. Son étymologie et ses usages culinaires sont évoqués, ainsi que sa forte teneur en vitamine C.
Rosiers au régime sec
Présentation de variétés de rosiers capables de s'adapter aux changements du climat, et notamment à la sécheresse, grâce à des caractéristiques nouvelles : fleurs coriaces, feuillage résistant, branches fragiles et faibles, besoin d'eau.
Baies et petits fruits : deuxième partie
L'article répertorie quelques plantes décoratives ou comestibles porteuses de baies ou petits fruits : sorbier des oiseleurs, buisson ardent, cornus kousa, rosier pimprenelle, rosier rugosa, nigelle de Damas, physalis franchettii, physalis peruviana et pubescent.
Le BioJardin pas à pas
Opter pour un jardin en symbiose avec la nature, voilà le défi que Serge Schall, docteur en sciences agronomiques et adepte d'une méthode douce des pratiques culturales, propose de relever. Les conseils qu'il donne concernent tout autant le potager que le verger et le jardin d'agrément. Les thèmes abordés par l'ouvrage sont : - Le jardinage biologique ; - Le sol : voyage au centre de la terre ; - Le travail du sol ; - Les amendements ; - Le compostage ; - Les engrais ; Les engrais verts ; - Les préparations végétales ; - La fertilisation foliaire ; - Lutter contre les insectes ; - Les pièges ; - La lutte biologique ; - Lutter contre les maladies ; - Mon potager bio ; - Mon verger bio ; - Mes rosiers bio ; - La rotation des cultures.
Maîtrise des acariens en culture de rosier sous serre conduite en protection intégrée
Alors que la lutte chimique contre les acariens révèle ses limites, les travaux se multiplient pour tenter de trouver des solutions alternatives. Les essais menés par l'Inra-Urib en 2002, 2003 et 2004 confirment l'efficacité de la combinaison auxiliaires/acaricides compatibles, associée à une conduite culturale adaptée, vis-à-vis de Tetranychus urticae.
Approche du rôle de la nutrition calcique et de la cuticule dans la résistance du rosier à l'oïdium
Des observations issues de la bibliographie permettent de dégager 2 voies d'approche dans l'étude de la résistance du rosier à l'oïdium : l'une relative à l'influence éventuelle de la nutrition calcique ; l'autre concernant le rôle de la cuticule, en tant que barrière physique ou chimique à la contamination. Les travaux de l'Inra et de l'Université de Montpellier II confirment l'intérêt de ces axes de recherche.
Programme Inra "Protection intégrée sous serre lourde en cultures de tomate et rosier" : "S'évaluer pour évoluer"
Afin que les producteurs de tomate et de rose sous serre puissent appliquer une stratégie de protection intégrée efficace, l'Inra, en association avec de nombreux partenaires, a accentué ses travaux de recherche sur le sujet. La tomate et la rose ont été choisies comme modèle de culture en raison des surfaces produites en France mais surtout parce que ces deux espèces sont souvent soumises à des attaques sévères de bioagresseurs et par la remise en cause de la lutte chimique. Les données issues de ces travaux permettront aux serristes d'utiliser les méthodes alternatives de lutte.
Roseraie de Berty : L'amour des roses anciennes
Présentation de la pépinière d'Eléonore Cruse, "La Roseraie de Berty", nichée au coeur de l'Ardèche, symbole de l'amour d'une pépiniériste pour les roses anciennes : historique de la pépinière, technique culturale employée, conseils pour le désherbage... Un lieu féérique à découvrir absolument !