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MATIERE ORGANIQUE DU SOL |
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Les analyses de terre PER sous-estiment le phosphore organique
Nicolas ROSSIER, AuteurCet article revient sur trois paramètres essentiels dans la fertilité des sols, notamment en agriculture biologique : la teneur en humus ou matière organique, l'activité biologique du sol (caractérisation de la matière organique présente) et la teneur en phosphore. En Suisse, certaines analyses sont aujourd'hui rendues obligatoires par les PER, les prestations écologiques requises. Pourtant, selon l'auteur, les analyses et les méthodes officielles manquent de pertinence, car elles ne permettent pas de mesurer les bénéfices réels des trois paramètres explicités. Par exemple, les analyses obligatoires ont identifié les sols d'alpages et de prairies permanentes comme étant les plus pauvres en phosphore alors que d'autres méthodes, testées dans le cadre d'un projet en collaboration avec Agroscope Changins, ont identifié ces sols comme étant les plus riches en phosphore total. Ce phosphore total comprend le phosphore organique, celui-là même qui est disponible pour les plantes.
Comprendre l'agroécologie : Origines, principes et politiques
Popularisé en 2010 par Olivier de Schutter, alors rapporteur des Nations unies pour le droit à lalimentation, le terme dagroécologie a été utilisé pour désigner un modèle alternatif susceptible de répondre aux crises économiques, sociales et écologiques en conciliant les activités humaines avec les ressources planétaires. Il recouvre aujourdhui une réalité encore floue, noyée dans une abondance de concepts cherchant à sy rattacher. Lobjet de cet ouvrage est de fournir les clés pour comprendre de manière simple les processus biologiques et sociaux impliqués dans les modèles agricoles actuels, les limites du modèle industriel et les principes dun système alimentaire soutenable. En résumé, il sattache à présenter les fondements de lagroécologie. Parce que la recherche dun mode dalimentation durable constitue un thème dintérêt social majeur qui va bien au-delà des cercles dexperts, lauteur souligne aussi lurgence de replacer la question alimentaire au centre du débat public.
Dossier Fertilité des sols : Gérer la fertilité : Des sols vivants et productifs
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLe maintien, voire l'amélioration, d'une bonne fertilité des sols est un élément essentiel à la production biologique. Cela reste toutefois un sujet complexe : de nombreuses pratiques et techniques peuvent être mobilisées, avec des effets divers et à plus ou moins long terme. Pour accompagner les agriculteurs face à cet enjeu, des outils se développent. Par exemple, dans le cadre du projet Agrinnov, porté par l'Observatoire français des sols vivants (OFSV), des bio-indicateurs ont été identifiés, apportant des éléments de réflexion complémentaires aux analyses classiques. Dans une interview, Jean-François Vian, enseignant-chercheur à l'Isara de Lyon et spécialiste de la qualité des sols et de leur biologie en AB, aborde les effets de diverses pratiques culturales, à partir de certains résultats du projet Agrinnov. Enfin, trois agriculteurs bio témoignent dans ce dossier, dont Henri Sergent, qui cultive 188 hectares, dans l'Essonne, et ce, sans labour.
Potential of Cover Crops in Promoting Mycorrhizal Diversity and Soil Quality in Organic Farms
P.G. SOTI, Auteur ; Savannah RUGG, Auteur ; Alexis RACELIS, AuteurLes champignons mycorhiziens jouent un rôle crucial dans les agroécosystèmes avec leur capacité à améliorer l'absorption des nutriments et de l'eau et à aider à la lutte contre les adventices et les parasites. Les champignons mycorhiziens créent une association symbiotique avec les plantes, qui est fortement influencée par l'interaction entre le sol et la plante. Dans cette étude, les chercheurs ont analysé le potentiel d'augmentation de la densité et de la diversité des champignons mycorhiziens en utilisant quatre cultures de couverture différentes : le lablab, aussi appelé pois antaque ou dolique d'Égypte (Lablab purpureus), le chanvre du Bengale, ou Crotalaire (Crotalaria juncea), le mil (Pennisetum glaucum) et le sorgho du Soudan (Sorghum drummondii). Ils ont examiné les changements dans la densité, la diversité et la structure des champignons mycorhiziens avant et après la plantation des couverts végétaux. Les résultats indiquent que, bien que la diversité des champignons mycorhiziens n'ait pas été influencée par le type de couverts, différents couverts ont été associés à des changements dans la densité et la structure des champignons mycorhiziens. En outre, le type de couverts et sa récolte ont également eu un impact sur la matière organique du sol et l'état nutritif. Sur les quatre couverts testés, le chanvre était associé à des taux plus élevés de matière organique, à l'abondance des spores de mycorhizes et à la présence de micronutriments spécifiques, signalant de multiples avantages en tant que couvert de saison chaude.
Les sols : Intégrer leur multifonctionnalité pour une gestion durable
Antonio BISPO, Auteur ; C. GUELLIER, Auteur ; E. MARTIN, Auteur ; ET AL., Auteur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2016Créé en 1998 par le ministère de lÉcologie et animé depuis 2006 par lADEME, le programme Gessol a permis de structurer une communauté de chercheurs sur la gestion des sols et de fournir des connaissances et des outils pour évaluer, surveiller, gérer et améliorer leur qualité. Issu de ce programme, cet ouvrage synthétise les dernières connaissances biotechniques et sociétales sur le sujet, de la mise en place dindicateurs pour la planification urbaine à la mesure des stocks de carbone, en passant par les instruments juridiques et économiques pour la protection des sols. Il souligne limportance dune gestion durable des sols dans les enjeux globaux et identifie les leviers dactions possibles. Au sommaire : - Sols et société : enjeux actuels ; - Diversité des usages et des perceptions des sols (Sols et urbanisme, Sols et agriculture, Sols et citadins, Construire une perception multifonctionnelle des sols) ; - Intégration denjeux globaux dans les pratiques et la gestion des sols (Sécurité alimentaire et production de biomasse, Sols et changement climatique, Gestion des sols et biodiversité, Gestion de la fonction de filtration et de régulation des contaminants par les sols, Gérer durablement les sols pour affronter les enjeux mondiaux) ; - Démarches et outils en appui aux politiques publiques (La prise en compte de la qualité des sols dans le droit français, Des outils intégrés daide à la décision pour une meilleure gestion des sols, Démarches et outils économiques, Restauration des sols : panorama, limites et perspectives, Connaître et utiliser les démarches et outils de protection et de gestion des sols.
Choisir les cultures au service de l'usine du sol
Joseph POUSSET, Auteur ; Laurence FONTAINE, AuteurJoseph Pousset, agriculteur et conseiller en AB, a publié, en 2014, un ouvrage intitulé « Assolements et rotations : Choisir, répartir, ordonner et associer les cultures ». Un extrait du chapitre « La terre fertile : un atelier extraordinaire » est repris dans cet article. Le sol y est décrit comme une usine, dans laquelle les êtres vivants (vers de terre, micro-organismes...) sont comparés à la main-d'uvre, les matières organiques à leur nourriture... L'auteur, à travers cette métaphore, décrit le fonctionnement du sol et les conditions, notamment de culture, nécessaires à celui-ci.
Impact de l'introduction d'unités de méthanisation à la ferme sur le bilan humique des sols. Analyse sur 10 exploitations agricoles de la région Pays de la Loire
Anne-Monique BODILIS, Auteur ; Robert TROCHARD, Auteur ; G. LECHAT, Auteur ; ET AL., AuteurLes unités de méthanisation à la ferme sont en forte progression en Pays de la Loire. Cette technique de valorisation des matières organiques pose la question de la valeur fertilisante du digestat, et celle des conséquences à terme de l'exportation supplémentaire de carbone hors des parcelles cultivées. Les effets à moyen et long terme de la présence d'une unité de méthanisation sur les teneurs en matières organiques des sols ont été étudiés par simulation sur 20 ans pour 10 exploitations de polyculture-élevage des Pays de la Loire. Dans ces exploitations, l'introduction de la méthanisation peut conduire à modifier l'équilibre exportation-restitution de matières organiques sur les parcelles cultivées mais les pratiques culturales sont également déterminantes. Aucun lien n'est observé entre l'évolution du taux de matière organique des parcelles (bilan humique) et les apports de biomasse exogène au digesteur ou les exportations supplémentaires de biomasse des parcelles.
Performances des rotations à base de cultures fourragères en termes de gaz à effet de serre (GES) et bilan de carbone
Abad CHABBI, Auteur ; Nimai SENAPATI, Auteur ; André GIOSTRI, Auteur ; ET AL., AuteurLa nécessité d'accroître la production agricole à travers le monde paraît pour certains en contradiction avec l'urgence de réduire les impacts environnementaux de l'agriculture intensive. Pourtant, les systèmes intégrant agriculture et élevage par exemple sont une stratégie appropriée : les résultats expérimentaux de longue durée illustrent le potentiel de ces systèmes. A l'inverse, l'intensification des systèmes, et leur spécialisation, conduit au découplage des cycles du carbone et de l'azote, favorisant les pertes dans l'environnement. Un compromis entre intensification et préservation de l'environnement est apporté par les systèmes avec rotations prairies-cultures annuelles. Les prairies permettent de stocker du carbone, limitent les flux d'azote vers l'eau du sol, et vers l'air, même avec une fertilisation azotée de 100-200 kg N/an. Les phénomènes de réorganisation par les microbes du sol sont complexes et dépendent des conditions climatiques. Le retournement des prairies accélère brutalement la dégradation de la matière organique du sol, mais son effet sur l'environnement peut être atténué. L'étude des flux de carbone et d'azote sur un dispositif de longue durée confirme ces résultats.
Groundcover Management and Nutrient Source Effects on Soil Carbon and Nitrogen Sequestration in an Organically Managed Apple Orchard in the Ozark Highlands
N. MAYS, Auteur ; K.R. BRYE, Auteur ; Curt R. ROM, Auteur ; ET AL., AuteurCe document traite de la gestion des sources d'éléments nutritifs dans les vergers de pommiers de la région des monts Ozark. Ce pays possède des sols minéraux acides sensibles à l'érosion ayant la particularité d'avoir une teneur en matière organique très faible. Plusieurs défis s'imposent dans la gestion d'un verger biologique. Il faut fournir adéquatement les apports d'éléments nutritifs extérieurs et bien contrôler la couverture végétale abritée. C'est en 2006 qu'un verger expérimental a été mis en place pour observer à la fois les effets des cultures abritées, la gestion de la couverture végétale inter-rang et les effets des sources de nutriments sur la fertilité et la durabilité du sol des monts Ozark. Dans la couche superficielle de sol étudiée (7.5 cm) on observe une augmentation de la matière organique (MO), du carbone (C) total et de la teneur en azote (N) pour l'ensemble des systèmes de gestion entre 2006 et 2011. Les différences significatives observées portent sur les traitements de composts municipaux. En effet, des interactions entre le traitement par couverture végétale et la source d'éléments nutritifs n'ont été observées que pour la concentration en MO du sol. Les taux de séquestration de carbone des sols étaient de 0,9, 1,0 et 2,8 Mg/ha/an dans les cas du papier déchiqueté, du copeau de bois, et du compost, respectivement. Par contre ce n'est qu'avec le traitement de compost que la séquestration d'N totale était significative (0,25 mg d'N/ha/an). Ainsi les résultats nous montrent que les méthodes de culture biologique peuvent grandement enrichir la couche superficielle de sol en C et N. Cette étude peut donc être intéressantepour les vergers biologiques implantés sur les mêmes types de sol que ceux des monts Ozark.
Labourer ou ne pas labourer, telle est la question... Ou pas !
Mélissa DUMAS, AuteurLe GAB85 et le GRAPEA ont organisé, en novembre 2013, deux journées de formation consacrées aux techniques culturales simplifiées, en agriculture biologique et dans les systèmes à faibles intrants. Ces journées ont notamment permis d'échanger sur le sol et les conditions permettant de maintenir sa qualité. Dans les sols agricoles, les microorganismes représentent de 6 à 10 UGB par hectare. Par leurs actions, ils participent à la formation d'agrégats de sol pérennes. Les agriculteurs, par leurs pratiques, favorisent ou au contraire pénalisent le développement de ces microorganismes utiles. Cet article présente les interventions bénéfiques, comme l'apport de matières organiques au moment opportun, ou la mise en place d'engrais verts, et les interventions à éviter, comme les apports trop riches en azote, de fumier frais Concernant le travail du sol, élément perturbateur de la vie biologique, les auteurs préconisent d'en diminuer l'intensivité (profondeur, vitesse d'avancement, répétition des opérations). Ce moindre recours aux outils de travail mécanique ne doit toutefois pas rimer avec utilisation accrue de pesticides en agriculture conventionnelle.
Nos amis les microbes du sol et du compost
Claude AUBERT, AuteurLe sol et le compost sont le siège d'une activité biologique intense, avec notamment un rôle non négligeable joué par les vers de terre. Mais, cette activité repose aussi sur les bactéries et les champignons microscopiques qui jouent un rôle primordial dans la décomposition des matières organiques et dans l'alimentation des plantes. Les bactéries interviennent, par exemple, dans le processus de minéralisation de la matière organique, et certaines peuvent fixer l'azote de l'air pour le mettre à la disposition des plantes sous une forme qu'elles peuvent utiliser.
Organic Disease Controls for Strawberry Growers
Le flétrissement verticillien est une maladie qui s'attaque aux fraises. L'équipe de chercheurs de la «Organic Farming Research Foundation (OFRF)» de l'Université de Californie à Santa Cruz (UCSC) a développé un système pour combattre ce fléau. Ce système se nomme ASD (anaerobic soil disinfestation). Une source de carbone est ajoutée au sol et est maintenue en anaérobie pendant plusieurs semaines en saturant le sol en eau et en déposant une bâche sur les planches. Le carbone disponible stimule le développement et la croissance de microorganismes. Par contre, dû à l'absence d'oxygène dans le sol, les microorganismes ne peuvent survivre. Lorsque les bâches sont retirées, le système redevient en aérobie et les microorganismes bénéfiques recolonisent le sol et réduisent l'incidence aux maladies pour les deux prochaines saisons. Ce système a été développé simultanément au Japon et aux Pays-Bas. Des recherches ont également été réalisées dans les états de Washington et de Floride. Une analyse économique des différents traitements présentée par la UCSC démontre qu'une rotation de brocoli (crucifère) système en anaérobie (ASD) fraise laitue a les meilleurs revenus nets malgré les coûts plus élevés des traitements.
Soil biological properties, soil losses and corn yield in long-term organic and conventional farming systems
Erika LARSEN, Auteur ; Julie GROSSMAN, Auteur ; Joshua EDGELL, Auteur ; ET AL., AuteurDans des parcelles d'essais établies en 1994 comparant différentes approches de travail de sol en régie biologique et conventionnelle, une équipe de recherche s'est penchée sur l'incidence de la qualité de la matière organique sur l'érosion durant la période de 2010 à 2012. Le sol du site expérimental, situé en région montagneuse de Caroline du Nord, est un loam sableux fin sensible aux pertes par érosion hydrique. Les pertes de carbone total du sol par ruissellement ont diminué de deux à quatre fois en l'absence de travail du sol, peu importe le système. Le sol du système biologique sans travail de sol contenait 2 fois plus de carbone total et de particules légères organiques et quatre fois plus de biomasses microbiennes carbonées que celui du système conventionnel avec travail de sol. Il n'a toutefois produit que la moitié du rendement en maïs sucré de ce dernier. Il n'y avait pas de différences en ce qui a trait aux particules organiques lourdes et légères entre le système biologique avec travail du sol et le système conventionnel sans travail du sol. Cette étude confirme l'effet positif combiné d'une régie biologique et du non-travail du sol sur les parties labiles et le carbone total du sol.
Caractériser le fonctionnement biologique de sols viticoles grâce aux nématodes
Céline CRESSON, Auteur ; Patrice COLL, Auteur ; Edith LE CADRE, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2013Les nématodes, vers d'environ 1 mm de long, sont les métazoaires les plus abondants sur terre. Leur présence dans les sols agricoles permet de caractériser l'état biologique de ces derniers : - les nématodes phytophages renseignent sur la nature et l'état de la couverture végétale et sur le risque de pertes de rendement ; - les microbivores caractérisent le compartiment microbien, la dynamique de la matière organique et le recyclage des nutriments ; - les omnivores et les prédateurs reflètent les perturbations physiques et chimiques du milieu. C'est ainsi que 24 parcelles viticoles du sud de la France, conduites en agriculture conventionnelle ou en agriculture biologique depuis 7, 11 ou 17 ans, ont été étudiées. La conversion à l'AB entraîne une augmentation de la matière organique dans les sols, une augmentation de l'activité biologique, un changement de la qualité de la matière organique. Le travail du sol, plus important en AB, a toutefois un impact négatif sur l'abondance des vers de terre et des nématodes omnivores et prédateurs. Les effets des changements de pratiques liés à une conversion sont visibles au bout de 7 à 11 ans.
Effets des composts de déchets verts/déchets agricoles apportés avant plantation de vignes, pêchers, abricotiers et artichauts : synthèse
Laurence SIRJEAN, Auteur ; Estelle GORIUS, AuteurCinq essais ont été réalisés dans le cadre de la troisième phase du programme d'expérimentations sur le compostage des déchets verts avec des déchets agricoles ou minéraux, mis en place par la Chambre d'Agriculture du Roussillon. Celui-ci a pour objectif d'identifier des voies de valorisation des quantités importantes de déchets produits par les entreprises agricoles et agroalimentaires. Ainsi, sept composts ont été épandus sur sols viticole, arboricole ou maraîcher, en un seul apport avant la plantation. Le dispositif expérimental, les caractéristiques des composts et les doses épandues sont décrits. Les résultats présentés concernent l'effet des composts sur la matière organique (MO) du sol, sur les fractions granulométriques de la MO du sol, sur la biomasse microbienne du sol, sur le phosphore et la potasse, sur l'azote, sur d'autres paramètres et enfin sur les cultures. Ils montrent des effets intéressants sur les sols, qui permettent d'envisager une réduction de la fertilisation complémentaire pendant un à cinq ans. En revanche, aucun effet n'a été observé sur les cultures. Les analyses en laboratoire des composts semblent nécessaires pour faire progresser le conseil agronomique sur la fertilisation organique.