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Anciennes pollutions par des pesticides : Place à la crédibilité
Les cucurbitacées sont particulièrement sensibles aux résidus de pesticides et les paysans Bourgeon veulent récolter des produits de qualité. Aussi, trente fermes ont participé à la campagne lancée cette année par Bio Suisse pour faire analyser leurs sols. L'article relate les objectifs et les résultats de cette campagne.
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Bande de cucurbitacées !
Josiane GOEPFERT, AuteurLa culture des cucurbitacées est facile, l'entretien est minimal et les récoltes sont abondantes. L'article donne des conseils concernant la période de semis en pleine terre ou en godets selon les régions (d'avril à mi-mai), la profondeur d'un semis, la qualité du sol et l'installation des plants directement sur un tas de compost. Il donne des indications sur la formation et le développement des fruits, ainsi que sur les moyens préventifs à mettre en place pour le retardement des premiers symptômes d'oïdium. Des encarts sont consacrés à la façon de faire ses propres semences, aux différentes cucurbitacées méritant d'être cultivées au jardin (la chayotte, la Cyclanthera, la courge cireuse...), aux cucurbitacées préférées de la rédaction. Un tableau indique la façon de différencier les espèces de courges.
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Bio Suisse lance une "Campagne Cucurbitacées"
De nombreux sols contiennent des résidus de pesticides organochlorés (POC). Ce type de pesticide a été utilisé en agriculture conventionnelle il y a quelques décennies. Vu qu'ils sont quasiment indégradables, ils peuvent encore poser des problèmes aujourd'hui, surtout avec les cucurbitacées, qui les absorbent particulièrement bien. Bio Suisse lance pour l'année prochaine une campagne dont l'objectif est de savoir dans quels sols on trouve des résidus de ces pesticides.
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Biology and Management of Aphids in Organic Cucurbit Production Systems
Cet article scientifique présente de manière générale la biologie et le cycle naturel du puceron, les particularités des espèces les plus importantes dans la culture de cucurbitacées biologiques et les méthodes de lutte contre ceux-ci. Les pucerons sont des ravageurs des cultures très communs, qui utilisent leurs parties buccales pour percer les tiges et feuilles des plantes et aspirer les sèves. Ils peuvent être de différentes couleurs et possèdent des cornicules, appendices sur le dos qui servent de moyen d'autodéfense qui les distingue des autres insectes. La plupart des pucerons ont la particularité de pouvoir se reproduire de façon asexuée en produisant des nymphes immatures alors que d'autres se reproduisent de façon sexuée et pondent des ufs. Les pucerons percent le tissu végétal et absorbent la sève, engendrant une variété de symptômes, et la salive injectée induit l'apparition de rides et de torsions sur les feuilles qui peuvent alors protéger les insectes. Leur accumulation gêne la photosynthèse. Indirectement, le miellat des nymphes attire des fourmis qui défendent leur source de nourriture en perturbant les tentatives de lutte par moyens naturels. Le miellat peut également devenir un substrat de croissance pour des moisissures qui nuisent à la photosynthèse. Les pucerons peuvent également transmettre des virus. Pour lutter contre ces ravageurs en système biologique, il est possible d'appliquer la lutte biologique (prédateurs ou même champignons) ou de penser le système de telle sorte que les pucerons ne trouvent pas les plantes (rotations) ou encore des réduire les dommages en cultivant des variétés plus vigoureuses.
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La chrysomèle rayée du concombre
La chrysomèle rayée du concombre s'attaque de préférence aux cucurbitacées, attirée par leurs composés amers. Les adultes et larves se nourrissent des feuilles, tiges, fleurs ou racines et véhiculent d'autres maladies. Le dépistage peut se faire à l'aide de pièges, olfactifs ou visuels, ou encore de plantes pièges. La lutte peut se faire par des prédateurs, un parasite (Neopaplectana carpocapsae) ou par des insecticides végétaux.
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Courges, courgettes et potirons : des légumes faciles !
Jacques BISTON, AuteurLes cucurbitacées présentent une importante variété de formes et de couleurs, ce qui les rend très conviviales. Peu sensibles aux maladies et aux ravageurs, elles sont faciles à cultiver et très productives, à condition de prévoir suffisamment de place pour leur développement (jusqu'à 2m2 par plant pour les variétés coureuses, comme la courge de Siam (Cucurbita mélanosperma)) et de respecter quelques conseils de culture.
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Cucurbitacées sous abris : Contre les pucerons : des moyens à combiner
Frédérique JARNOT, Auteur ; Anna DUPLEIX, AuteurDans le cadre du programme Agreable, depuis 2014, plusieurs expérimentations sont conduites en Pays-de-la-Loire autour de la lutte contre les pucerons ravageurs des cucurbitacées sous abris : Quelles plantes relais utiliser ? Quels auxiliaires privilégier ? Quelles stratégies adopter ? Parallèlement, dautres pistes ont été abordées, comme lassociation de cultures (cucurbitacées/tomates), ou lutilisation dhuiles essentielles (pin sylvestre pour son effet répulsif). Les résultats obtenus sont présentés dans cet article. Globalement, ces méthodes, lorsquelles sont utilisées seules, restent insuffisantes pour une protection efficace des cucurbitacées contre les pucerons, mais leur utilisation combinée pourrait être intéressante.
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Cultivo de calabacines
La courgette est une cucurbitacée et, comme le reste de ses congénères (potirons, melons, pastèques, concombres...), elle a besoin de beaucoup de soleil, de hautes températures et d'un bon climat pour se développer et produire en abondance. Il existe une infinité de variétés de courgettes, des courgettes classiques allongées de couleurs vert clair, vert foncé ou blanche aux courgettes rondes, plates ou à bonnet (courgette de Jérusalem). Sa culture relativement facile, l'abondance de ses fruits et la régularité de sa production (on peut récolter des courgettes tous les deux ou trois jours pendant des mois) en font un des légumes les plus appétissants et les plus recommandables à partir du printemps. Itinéraire technique de la courgette : semis, préparation du sol et fertilisation, irrigation, maladies et ravageurs, récolte, associations de cultures et rotations.
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Elles en jettent, les courgettes ! ; Savourez les pepo !
Josiane GOEPFERT, AuteurLe premier article donne des conseils pour la culture des courgettes et du pâtisson (même culture que pour les courgettes), deux légumes qui appartiennent à la famille des cucurbitacées : un sol bien drainé, paillage (permettant de réduire les arrosages), prévention contre la pourriture grise (causée par le champignon Botrytis cinerea), élimination des feuilles atteintes d'oïdium... Sont également proposées quelques variétés à essayer, est conseillé aussi le ramassage des limaces (meilleure prévention contre leur invasion). Dans le second article, Josiane Goepfert propose deux recettes de cuisine.
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Entrez dans le monde coloré et exubérant des cucurbitacées
Philippe DELWICHE, Auteur ; Désiré GREVISSE, AuteurLa famille des cucurbitacées comprend un grand nombre d'espèces et de variétés cultivées, aux formes les plus fantaisistes et aux couleurs les plus variées. Avec l'appui de photos, est évoquée la culture des cucurbitacées : semis, repiquage, fertilisation, nombre de fruits à conserver sur le pied, oïdium, fécondation, récolte, conservation. Un paragraphe est consacré à la confection d'une soupe de potiron.
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Exubérante et curieuse : la chayote
Cette plante tropicale, très courante aux Antilles, s'installe petit à petit chez nous, auprès des amateurs de cultures insolites. Elle a pourtant de grandes exigences dont il faudra tenir compte pour réussir à l'apprivoiser.
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Faites tourner ! : Les rotations dans mon potager
La plupart des légumes du jardin ont leurs ravageurs et leurs maladies, parfois difficiles à contrôler. La solution ? Ne pas cultiver une même plante au même endroit plusieurs années de suite. Ainsi, faute de plante hôte, le ravageur ou l'agent pathogène cesse de se multiplier et a tendance à disparaître. Autre bénéfice : on évite de cette façon d'appauvrir la terre en puisant toujours les mêmes éléments nutritifs. Voilà tout l'intérêt des rotations : contenir ravageurs et maladies et profiter au mieux des ressources du sol, grâce à l'alternance des cultures. Blaise Leclerc décrit, dans ce livre, la mise en place d'un plan de rotation au potager familial, qui tient compte de tous les légumes cultivés dans l'année, des intervalles de temps nécessaires entre les cultures, du regroupement des principaux légumes par famille... 24 fiches légumes précisent, pour chacun d'eux, la famille botanique, les besoins en compost, les ravageurs et maladies qui nécessitent un certain nombre d'années à respecter avant le retour du légume au même endroit, les cultures précédentes à éviter ou à recommander...
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Fiche recherche - Extraits naturels : L'Ortie : Activité antifongique des extraits de plantes : l'ortie (Urtica dioica L.), la coloquinte (Citrullus colocynthis L. Schrad), le laurier rose (Nerium oleander L.) et le jujubier (Ziziphus spina-christi L.) sur des champignons pathogènes
Patrice MARCHAND, Traducteur ; I. HADIZADEH, Auteur ; B. PEIVASTEGAN, Auteur ; ET AL., AuteurCet article scientifique présente les principaux résultats d'une étude réalisée en 2009 dans trois universités iraniennes sur l'activité antifongique de différents extraits de plantes : l'ortie, la coloquinte, le laurier rose, et le jujubier. Les effets de ces extraits de plantes sur la croissance de quatre champignons pathogènes ont été mesurés. Tous ont montré la capacité de réduire ou inhiber la croissance de ces champignons. Ils pourraient donc représenter des alternatives intéressantes aux produits phytosanitaires chimiques, notamment pour une utilisation en agriculture biologique.
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Fiche technique : Résidus dans les cucurbitacées : Comment faire pour les éviter ?
Les plantes de la famille des cucurbitacées absorbent très facilement les pesticides organochlorés (POC, comme par exemple la dieldrine) et leurs produits de décomposition qui se trouvent dans le sol lorsqu'ils ont été employés avant la reconversion à l'agriculture biologique. Les parcelles problématiques peuvent être identifiées par une analyse de terre. Bio Suisse et Demeter recommandent de faire une fois préventivement une analyse de terre en cas de construction ou de reprise d'une serre ou d'un tunnel plastique, et, dans les champs, avant de cultiver des cucurbitacées, dans les parcelles qui pourraient poser des problèmes.