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L'alimentaire bio en GMS à fin 2021 ; Bilan 2021 en GMS : une année plus complexe ! ; Activité de la distribution Bio en 2021
Juliette FAVRE, Auteur ; BIO-LINEAIRES, AuteurD'après les données IRI, en France, la vente des produits bio (alimentaires et DPH) en GMS a connu une décroissance de -3,1 % en 2021, par rapport à 2020. Cependant, par rapport à 2019, année de référence avant la crise Covid-19, le marché bio en GMS a augmenté de 9,8 % en 2021. Un tableau présente les évolutions de chiffres daffaires en GMS pour de nombreux produits bio. Un article analyse le bilan 2021 de la consommation bio en GMS. Deux pages sont ensuite consacrées à lactivité des magasins spécialisés bio, de 2019 à 2021, avec graphiques et analyses.
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Belgique : marché et tendances
Mélanie LONGIN, AuteurEn Belgique, l'activité des magasins bio a diminué depuis juin, par rapport à 2020. Toutefois, les chiffres restent plutôt stables, comparés à ceux de 2019. Cet article traite des tendances d'achats en bio en 2021 et 2022. Un encadré présente l'interview de Céline Rouet, fondatrice de BioBraine Distribution, grossiste belge qui a pour vocation de faire découvrir, à ses clients, des produits bio, sains, qui n'existent parfois pas encore sur le marché. Pour finir, un encart aborde l'actualité des distributeurs bio Kazidomi et BioDemain en Belgique.
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Big Corps, hyper monopoles ! : Opportunités et menaces pour la bio (2/2)
Sauveur FERNANDEZ, AuteurCet article fait suite à la première partie, publiée dans le Bio Linéaires n°98, qui traitait de l'influence des « big corps » (multinationales, grandes enseignes de la distribution) sur le marché agroalimentaire aux États-Unis et en France. Ce second volet traite des menaces et des opportunités qui attendent la bio spécialisée, alors que la bataille entre la GMS et Amazon, qui sera le plus grand distributeur de la planète en 2022, bat son plein. La bio spécialisée, quant à elle, s'apprête à entrer en crise, à défaut d'avoir su répondre aux nouvelles demandes des consommateurs comme l'achat en ligne et le locavorisme. Cependant, bien qu'elle ne soit pas en capacité de rivaliser avec les grands distributeurs, la bio spécialisée pourra exercer, localement, sa résistance, notamment grâce à l'intérêt du consommateur pour les produits bio et à sa recherche d'alternatives respectueuses de la nature.
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La bio en crise de croissance ?
Véronique BARGAIN, AuteurEn 2021, la consommation de produits biologiques a connu une baisse. Pour les fruits et légumes, cette baisse de consommation est générale, et concerne aussi, dans une moindre mesure, les produits conventionnels. Pour cette même année, les chiffres de l'Agence BIO révèlent un taux de déconversion des fermes en agriculture biologique sensiblement équivalent aux années précédentes. Une grande partie de ces déconversions est toutefois liée à des départs à la retraite, et les conversions, bien que moindres, se poursuivent. Dans ce contexte, où l'offre poursuit sa croissance alors que la demande ralentit, la filière doit faire d'autant plus d'efforts pour sa structuration : les importations en fruits et légumes biologiques sont encore importantes et le débouché de la restauration collective reste à développer.
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La distribution des produits naturels et bio au Japon et en Corée
Michel KNITTEL, AuteurMême si le Japon est le 2ème marché bio asiatique derrière la Chine, il connaît très peu de croissance, représentant, en 2019, 1 % de la consommation alimentaire totale. La notion de « produit bio » reste mal comprise par la majorité des Japonais, qui se tournent davantage vers d'autres catégories de produits certifiés, comme le « sans pesticides » et le « cultivé sans engrais chimiques ». Les circuits de distribution sont variés : en 2021, les ventes se partageaient entre les magasins spécialisés (34 %), les grands supermarchés (26 %), les fabricants et transformateurs (13 %), les petites et moyennes surfaces alimentaires (8 %), les boutiques en ligne (8 %) et la vente à distance (5 %)... Les groupes conventionnels ont également investi le marché bio, depuis 2016, avec l'ouverture de 5 magasins « Natural Supermarket », ainsi que le développement de l'enseigne Bio C'Bon et l'ouverture de son 28ème magasin à Tokyo, en décembre 2021. La Corée, dont seulement 1,5 % de la SAU est consacrée à la bio, est, comme son voisin japonais, fortement dépendante de limportation. Cependant, sa demande est faible, car elle se limite à quelques catégories de produits (lait, riz, aliments pour bébés) et car les Coréens se tournent, eux aussi, vers dautres catégories de produits certifiés. La distribution spécialisée coréenne compte, aujourdhui, entre 1 000 et 1 500 magasins, largement dominée par lenseigne pionnière Choroc Maeul (« Village Vert », créée en 1999), avec ses 470 magasins. Dautres acteurs du réseau spécialisé proposent des produits qui ne sont, cependant, pas toujours certifiés bio.
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Distribution spécialisée bio : l'immobilisme masqué par la crise Covid
ECOZEPT, AuteurCet article présente l'analyse d'Ecozept qui met en lumière les facteurs de décroissance qui ont touché la bio spécialisée allemande à l'été 2021. Avec la hausse des prix à la consommation, la distribution spécialisée fait face à de nombreux défis : ne pas creuser l'écart des prix avec l'offre en conventionnel, fidéliser sa clientèle, se démarquer par ses compétences en conseil et par l'originalité de son offre, le tout face à une concurrence dynamique.
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Dossier : Distribution spécialisée : le marché en 2021
Antoine LEMAIRE, Auteur ; Juliette FAVRE, AuteurDans ce bilan 2021 de la distribution spécialisée bio en France, sont présentés : - Évolution du chiffre d'affaires en MSB (magasins spécialisés bio) et GMS ; - Bilan ouvertures fermetures ; - Carte de France des magasins bio ; - Bilan des principales enseignes régionales et des groupements bio ; - Bilan des principales enseignes nationales bio organisées ; - Bilan des principales enseignes bio belges ; - Tendances et évolutions 2021 ; - Chiffres de la bio en GMS à fin novembre 2021 (données IRI) ; - Analyse des chiffres du bio en GMS.
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Dossier de presse : RéVABio : Adéquation entre loffre et la demande en agneau bio : leviers, points de vue, témoignages...
ABIODOC, Auteur ; INSTITUT DE L'ELEVAGE, Auteur ; ITAB, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS Cedex 12 (Maison Nationale des Eleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2022Le projet Casdar RéVABio (la Régularité des Ventes, clé de développement de l'Agneau Biologique, 2020-2023) est un projet de recherche-développement qui vise à améliorer le taux de commercialisation (en circuits longs) dagneaux sous le label AB. La demande en viande ovine biologique se heurte toujours à la question de la saisonnalité de loffre en agneaux : la demande est forte autour de Pâques, alors que les brebis mettent naturellement bas à la fin de lhiver avec une commercialisation de leurs agneaux à lautomne. Ce dossier de presse fait le point sur les derniers travaux menés au cours de lannée 2021 et début 2022 pour améliorer ladéquation entre loffre et la demande en viande dagneau bio. Il présente ainsi : 1 - Le point de vue des opérateurs de laval (organisations de producteurs et abatteurs) sur ladéquation entre loffre et la demande ; 2 - De potentielles complémentarités entre les filières régionales en agneaux bio (complémentarité entre les bassins herbagers du nord, qui produisent des agneaux saisonnés, et ceux du Sud, avec des races plus rustiques et qui produisent une bonne partie de leurs agneaux en contre saison) ; 3 - Lengraissement des agneaux laitiers en agriculture biologique (quelques éleveurs pratiquent lengraissement, ce sont souvent des « fromagers » - ils transforment leur lait en fromage - et cherchent à diversifier leur panier de produits pour la vente directe) ; 4 - Lexpérimentation sur le report dagneaux mâles menée sur les lycées agricoles de Vendôme et de Tours-Fondettes (lobjectif étant de vendre des agneaux nés à la fin du printemps 2021 aux mois de mars - avril 2022, afin de couvrir la demande autour de Pâques).
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La face cachée de nos consommations : Quelles surfaces agricoles et forestières importées ?
Philippe POINTEREAU, Auteur ; Augustin BILLETDOUX, Auteur ; Isabelle CHAROTTE, Auteur ; ET AL., Auteur | TOULOUSE CEDEX 3 (75 Voie du TOEC, CS 27608, 31 076, FRANCE) : SOLAGRO | 2022Cette étude, menée par Solagro, apporte un éclairage sur la question des importations françaises. Elle sest intéressée aux surfaces agricoles et forestières qui produisent des produits importés par la France pour produire des biens de consommation courants, dordre alimentaire (viande, café, cacao, etc.) et non-alimentaire (coton, caoutchouc, bois duvre, etc.). Elle présente les différents impacts (environnementaux, sociaux, économiques) induits par lexploitation de ces surfaces à lautre bout de la planète. Loriginalité de cette étude repose sur le fait quelle ne quantifie pas seulement les importations en euros et en tonnes de marchandises, mais qu'elle mesure aussi ces importations en surfaces, ce qui permet de souligner les enjeux environnementaux. La France est exportatrice nette de 2,7 millions dhectares. Néanmoins, ce solde positif cache de nombreux flux dimports et dexports. La France reste, en effet, très dépendante de létranger. Les produits importés nécessitent une surface de 14 millions dhectares (soit un quart de la surface de la France), et la plupart de ces produits génèrent de fortes pressions environnementales dans les pays exportateurs : déforestation, assèchement des nappes phréatiques, usage massif de pesticides... Ce document effectue un focus sur huit principaux produits importés en France (le soja, le cacao, le café, lhuile de palme, le coton, les fruits et légumes, les produits issus du bois, ainsi que les produits issus de la pêche et de laquaculture) et détaille les conséquences. Il présente également des leviers pour réduire lempreinte carbone de ces produits importés : sobriété, efficience, relocalisation, substitution et équité.
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Le lait bio en crise
Samuel RICHARD, AuteurDans cet article, Yves Sauvaget, éleveur laitier bio dans la Manche, adhérent de la Confédération paysanne et président de la Commission bio du Cniel (Centre National Interprofessionnel de lÉconomie Laitière), apporte son point de vue sur la crise que travers la filière laitière biologique, qui doit faire face à une importante surproduction en ce début d'année 2022. Il évoque, par exemple, la segmentation du marché, avec la multiplication des marques et/ou labels de qualité, pouvant perdre le consommateur et diminuer ses achats en bio. Le Cniel a mis en place ou envisage plusieurs mesures pour passer cette crise, en attendant notamment de savoir si cette dernière est conjoncturelle ou structurelle : limitation des conversions par les laiteries, volonté d'augmenter les débouchés en restauration collective, demande de plus d'aides publiques pour le stockage du lait, etc.
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Lettre Filières FNAB Monogastriques Spécial plan de sauvegarde et plan de résilience : aides à la filière élevage et aides toutes filières
En 2022, la filière porcine doit faire face à un contexte difficile. Pour aider les éleveurs à passer ce cap, le Gouvernement français a mis en place des mesures exceptionnelles. Dune part, face à une baisse de la demande du marché chinois en produits porcins, un plan de sauvegarde permet une exonération de cotisations pour les éleveurs ayant subi des pertes. Dautre part, face à la flambée des prix des matières premières en lien avec la guerre en Ukraine, un plan de résilience, qui concerne toutes les filières, compte une mesure Alimentation animale, des exonérations de cotisation pour hausse de charges, et des aides carburant, gaz, électricité. Dans cette Lettre Filières, une fiche réalisée par la FNAB synthétise les informations nécessaires pour bénéficier de ces aides et une note du ministère de lAgriculture et de lAlimentation présente plus en détails la mesure Alimentation animale (dispositif, critères déligibilité, détermination du montant ).
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Marché bio : "Il va falloir tenir dans les turbulences"
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurJérôme Caillé, polyculteur-éleveur de volailles dans les Deux-Sèvres, est aussi président de la Commission bio de La Coopération agricole et administrateur de la coopérative Terrena. Dans cet interview, il aborde le contexte du marché en grandes cultures biologiques fin 2021 et début 2022, et analyse cette période tendue pendant laquelle les agriculteurs doivent faire face à de nombreuses turbulences : relocalisation des approvisionnements, crise sanitaire de la Covid-19, hausse des coûts de l'énergie, entrée en application du nouveau règlement bio européen, etc.
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Marché des légumes bio : Entre hausse de l'offre et repli de la demande
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurFin 2021, la dynamique du marché des légumes bio s'est ralentie avec, d'un côté, une hausse de l'offre et, de l'autre, un repli de la demande. Près de 10 % des surfaces légumières françaises étaient certifiées bio fin 2020, soit plus de 42 000 ha. Comme souvent, cette situation est marqué par un phénomène d'ajustement du marché : en 2021, les conversions sont nettement moins nombreuses. Côté consommation, après une bonne année 2020, les achats de légumes bio sont à la baisse fin 2021, dans un contexte jugé difficile pour le pouvoir d'achat des Français. La hausse des coûts de production n'en rend que plus grande l'inquiétude des producteurs.
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Prix du frais emballé bio en GSA et MSB : avantages GSA !
OPTI-MIX, AuteurBio Linéaires publie, en partenariat avec Opti-Mix, le comparatif des prix de produits frais emballés bio disponibles en grande surface alimentaire (GSA) et en magasin spécialisé bio (MSB), pour un panier comprenant viande de boeuf, viande de volaille et fromages. Les prix relevés en GSA sont inférieurs à ceux relevés en magasin bio, avec un écart global entre les deux circuits s'élevant à 19,2 %. Le plus faible écart (87 centimes) se trouve sur le poulet prêt à cuire.
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Soja bio : Une graine très recherchée
Frédéric RIPOCHE, AuteurProtéagineux bio encore très recherché, malgré l'émergence d'alternatives, le soja reste une matière première particulièrement importante sur le marché bio, et ce, d'autant plus depuis l'obligation d'alimentation 100 % bio pour les monogastriques au 1er janvier 2022. Si les volumes produits en France augmentent (estimation de +10 000 tonnes entre 2019-2020 et 2020-2021), il en est de même pour la demande, et les prix suivent donc la même tendance. Ces derniers ont atteint le niveau record de 800-850 /tonne fin 2021. Dans cet article, Stéphane Vanrenterghem, membre du groupe expert grains de la Coopération Agricole et directeur d'Agribio Union, apporte son éclairage.