Thésaurus
Documents disponibles dans cette catégorie (6)


Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
![]()
![]()
Dossier : Concevoir sa cuvée sans sulfites
Justine GRAVÉ, Auteur ; Xavier DELBECQUE, Auteur ; Catherine GERBOD, Auteur52 % des nologues produiraient des cuvées sans sulfites ajoutés. C'est ce que révèle une enquête réalisée en 2020 par nologues de France. Ce dossier prodigue quelques conseils, étape par étape, de la récolte à la mise en bouteille, aux vignerons qui souhaiteraient se lancer. En effet, faire du vin sans sulfites nécessite une adaptation en profondeur de l'itinéraire technique et induira obligatoirement un changement de profil du vin. Un premier article fait le point sur l'utilisation de levures de bioprotection en lieu et place de Saccharomyces ; puis, sont abordées des questions relatives à l'hygiène, à l'élevage en barriques, ainsi qu'au choix du bouchon pour ses vins. Enfin, dans un dernier article, quelques raisons pour se lancer sur ce marché sont exposées.
![]()
![]()
Alternatives alpines pour les matelas des vaches
Adrian KREBS, AuteurLes stabulations libres à logettes des fermes suisses sont le plus souvent sur litière paille ou paille-chaux. Cependant, pour nombre d'élevages totalement herbagers, le poste d'achat de la paille peut être très important. Deux éleveurs suisses témoignent des solutions alternatives qu'ils ont mises en place. L'un utilise des bouchons de paille compactés, conditionnés en big-bags, qui lui permettent d'avoir une litière confortable, à un coût convenable et qui peut être incorporée au lisier (pas de risque de boucher les conduites). Le second utilise les matières solides issues de son lisier. Il s'est équipé d'un séparateur lui permettant de séparer partie liquide et matières solides du lisier. Ces dernières, une fois séchées, ressemblent à des flocons de tourbe et peuvent être utilisées comme engrais, moins agressif que le lisier, mais aussi comme litière en les mélangeant avec de la paille. Cela a permis à cet éleveur de diviser par quatre sa consommation de paille et d'avoir une litière répondant à ses besoins, sans problème d'hygiène particulier. Deux encarts abordent : le bien-être animal en litière profonde (hiérarchie) et les aides pour les stabulations libres pour vaches avec cornes.
![]()
![]()
Le point technique élevage : Fin des patentes sanitaires : Nouvelle réglementation pour la vente du lait cru
Katell GUEGUEN, AuteurDepuis le début de l'année 2013, la patente sanitaire laisse place à une nouvelle réglementation qui régit la vente de lait cru. Le préalable à toute vente de lait cru de bovidés, petits ruminants et solipèdes (familles des chevaux, des mules et des ânes) est de deux ordres : demande d'autorisation ou déclaration d'activité. Les personnes qui vendent du lait cru au consommateur final doivent faire une « demande d'autorisation » (cerfa n° 14788*01) ; ceux qui vendent du lait cru à un commerce de détail ou à un artisan qui transforme ce lait doivent transmettre à la DDPP une « déclaration d'activité » (cerfa n° 13984*02). Présentation : Quelques règles autour de la production laitière ; Eau du réseau et laiterie impeccable ; Critères de qualité du lait : il faudra faire des analyses ; Température, bouchons et étiquettes : beaucoup de bon sens & quelques contraintes ; Bonnes pratiques d'hygiène et plan de maîtrise sanitaire.
![]()
![]()
Grandes Cultures : La fertilisation azotée : un des grands enjeux de l'Agriculture Biologique
En grandes cultures bio sans effluent d'élevage, malgré l'attention portée sur la rotation, les fournitures du sol en azote sont parfois insuffisantes. L'utilisation de fertilisants organiques peut alors être envisagée. Un essai a été mené en Poitou-Charentes sur l'incorporation de composts (déchets verts, fientes, plumes ) en novembre 2011 ou de bouchons (plumes, fientes, os, sang ) en février et avril 2012. Les résultats ont été particulièrement significatifs du fait des conditions climatiques favorables à une bonne valorisation de l'azote quelles que soient les pratiques. L'apport de bouchons au printemps n'a pas présenté d'avantages technique ou économique et semble en revanche profiter au développement d'adventices. L'apport de compost à l'automne, s'il ne permet pas d'augmenter la qualité de blé, aura engendré un gain significatif de rendement conduisant à un gain de marge brute par rapport au témoin de 168/ha (soit 869/ha de marge brute au total). De plus, il permet de compenser, au moins pour partie, les exportations en oligo-éléments, matière organique ou N, P, K.
![]()
![]()
Capsules : la fin du bouchon ?
Va-t-on vers l'abandon du bouchon liège ? Des alternatives sont envisagées, notamment l'utilisation d'une capsule à vis dotée d'un joint synthétique. Cet article nous montre que ce type de bouchage a dépassé le stade expérimental en Suisse et Australie.
![]()
![]()
Champagne !
La renommée des vins de Champagne date du Moyen Age, quand les rois étaient sacrés à Reims. Jusqu'à la fin du XVIIème siècle, les vins de Champagne étaient des vins rouges, tranquilles, qui se soutenaient peu et supportaient mal le transport. Vers 1670, les champenois parvinrent à faire du vin gris, presque blanc et s'aperçurent que ce vin fermentait à nouveau lors du retour des premières chaleurs, de sorte que, mis en bouteille à la fin de l'hiver, il prenait mousse et la gardait pour donner ce que l'on appelait alors un saute-bouchon ou un vin diable.