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120 recettes gourmandes pour combattre la constipation
Aujourd'hui, une personne sur trois souffre de constipation. Si l'on excepte quelques rares cas liés à une maladie organique, la grande majorité des constipations sont purement fonctionnelles, favorisées par l'alimentation pauvre en fibres des pays occidentaux, par la sédentarité et le stress. La constipation n'est donc pas une véritable maladie. Le traitement consiste à adopter certaines règles d'hygiène de vie : une alimentation variée comportant en proportions suffisantes des fibres alimentaires, des crudités et des fruits, mais aussi la pratique d'un exercice physique. Qu'il s'agisse de fibres solubles ou insolubles, la liste des aliments concernés n'est pas limitée.
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1er et 2 décembre 2011 - Paris : Approches globales d'évaluation de la qualité
Marc HENRY, Auteur ; Denis LAIRON, Auteur ; Machteld HUBER, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut Technique de l'Agriculture Biologique) | 2011Ces journées ont été organisées par l'Institut Technique de l'Agriculture Biologique, dans le cadre d'un projet transversal porté par PEUV (Pour l'Emergence d'une Université du Vivant), avec un financement de la FPH (Fondation pour le Progrès de l'Homme). Le document qui les restitue porte sur plusieurs approches ou méthodes globales d'évaluation de la qualité des aliments : - Approches générales : Structuration de l'eau en domaines de cohérence ; La métabolomique : une approche sophistiquée globale du vivant ; Résultats d'une large étude sur le lien alimentation/santé chez les poulets, incluant des méthodes holistiques ; - Approches techniques : Nouveau concept de naturalité d'un aliment transformé ; Bioélectronique et quantification de la qualité © ; Application des mesures de biophotons dans la recherche sur les plantes et les aliments ; - Approches sensorielles : Analyse sensorielle : la sensorialité humaine comme instrument analytique ; Approche sensible des huiles essentielles : la méthode de Goethe ; - Méthodes morphogénétiques : Une démarche de connaissance adaptée à l'étude du domaine qualitatif de la substance organique ; Le vin vivant à travers le cristal ; Conditions opératoires pour la production reproductible de cristaux de chlorure cuivrique en présence d'additif ; Computerized pattern evaluation of the biocrystallization Method For Carrot Samples ; Hautes dilutions et informations subtiles repérables en cristallisations sensibles ; Analyse critique de la morphochromatographie appliquée à l'étude qualitative des matières organiques.
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Les algues passent à table !
Il est temps de découvrir les algues, ces surprenants légumes de la mer, champions de la diététique. Les algues sont savoureuses et offrent mille possibilités pour une cuisine originale et créative.
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Alimentation : La bonne humeur est-elle dans l'assiette ?
Plusieurs études ont mis en avant les relations entre comportement, humeur et qualité de l'alimentation. Aujourd'hui, ces études sont toujours d'actualité. En effet, on sait désormais qu'une bonne alimentation est celle qui allie sélénium, lithium, fibres et acides gras. Explications et rappel des différentes études sur le sujet.
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Alimentation et cancer
ECHO BIO, AuteurLes liens entre alimentation et cancer sont à prendre au sérieux. Un entretien, qui recueille l'avis de Valérie Vidal, bionutritionniste, revient sur les moyens de prévenir cette maladie : rôle de l'alimentation dans le développement du cancer ; le surpoids, facteur de risque ; aliments à éviter dans une démarche préventive ; modes de cuisson et de transformation délétères ; modes de cuisson protecteurs ; habitudes alimentaires protectrices ; aliments possédant les plus grandes propriétés anti-cancer ; soja ; consommation de cinq portions de légumes et de fruits variés par jour ; apport de l'alimentation bio dans la prévention.
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Alimentation et cancer : quels risques et quelle prévention ?
40 % au moins des cancers ont une origine alimentaire. Si on y ajoute les nombreuses autres maladies causées ou favorisées par une mauvaise alimentation, il est évident que, plus que jamais, nous creusons notre tombe avec nos dents. Lorsqu'on évoque les relations entre alimentation et cancer, on pense d'abord aux substances potentiellement cancérogènes ajoutées aux aliments (pesticides, additifs) ou qui peuvent s'y former (nitrosamines, benzopyrène). On oublie que le simple fait de manger trop de certaines catégories d'aliments, en eux-mêmes inoffensifs, peut être un facteur favorisant encore plus important. Les produits chimiques utilisés en agriculture et dans l'industrie agro-alimentaire sont souvent rendus responsables d'uun certain nombre de cancers. On sait en effet que plusieurs de ces substances, notamment des fongicides et des herbicides, sont cancérogènes pour l'animal, sans toutefois disposer de preuves formelles pour l'homme. Deux grandes catégories de substances - les nitrosamines et les benzopyrènes - constituent une réelle menace. Les nitrosamines se forment par combinaison de nitrites et d'amines secondaires. Les nitrites sont utilisés comme additifs alimentaires, principalement en charcuterie. Ils peuvent également se former à partir des nitrates contenus dans les légumes. Quant aux amines, on en trouve dans certains aliments, dans des pesticides, dans des médicaments. Les nitrosamines peuvent se former dans les aliments eux-mêmes ou dans notre organisme. Leur présence a notamment été décelée dans la charcuterie et dans la bière. La cuisson d'aliments contenant des nitrites peut également donner naissance à des nitrosamines (on a trouvé, par exemple, des nitrosamines dans du lard cuit, alors que cru il n'en contenait pas ; explication : la cuisson a libéré des amines qui se sont combinées avec les nitrites présents dans le lard). Les viandes grillées et, surtout, les aliments fumés industriellement, sont aussi source potentielle de substances cancérogènes. Les brocolis - c'est vrai ! - contiennent des substances protectrices contre le cancer, d'où l'engouement actuel du consommateur pour ce légume. Mais ils partagent ce privilège avec de nombreux autres aliments végétaux : fruits, légumes, céréales, légumineuses, graines oléagineuses. Nous pénétrons là dans le domaine fascinant des constituants dits "secondaires" de nos aliments. Claude Aubert nous donne ici les caractéristiques de ces substances ; la découverte de celles-ci et de leur rôle protecteur vis-à-vis de nombreuses maladies constitue la principale avancée de la science moderne depuis une vingtaine d'années en matière d'alimentation. Les fibres sont, de loin, les plus connues ; elles sont contenues dans les légumineuses, les céréales complètes et aussi dans les légumes et les fruits. De nombreuses autres substances, contenues dans beaucoup de végétaux et surtout dans les légumes, ont également une action anticancérogène : les flavonoïdes, acide phénolique, saponines, sulfides, glucosinolates, terpènes, etc... Les vitamines A, C et E sont généralement considérées comme jouant un rôle protecteur vis-à-vis de divers types de cancers (rôle bien établi pour la vitamine A). Autre constatation intéressante : une fois chauffés, les légumes perdent une partie de leur action anticancérogène. Voici qui apportera de l'eau au moulin des partisans du crudivorisme et de la lacto-fermentation (d'autant que cette dernière confère aux aliments des propriétés anticancérogènes spécifiques - voir "Les quatre saisons" N° 87 -). En dépit de la complexité des substances et des mécanismes entrant en jeu, les règles de base d'une alimentation anti-cancer sont - finalement - relativement simples (un encadré les rappelle dans cet article). Elles rejoignent, comme par hasard, les pratiques alimentaires de la majeure partie de l'humanité jusqu'au début de l'ère industrielle. Elles confirment également le rôle prédominant que doivent jouer les aliments d'origine végétale et, en particulier, les légumes dans une alimentation saine.
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Alimentation en élevages porcins : Alimenter ses porcs autrement
Régis LE MOINE, AuteurLa diversité des élevages de porcs biologiques implique qu'il n'existe pas une solution unique par rapport à l'alimentation. Cet article présente diverses options. Ainsi, il est possible, selon les cas, de mobiliser un nombre plus restreint d'aliments dans un élevage naisseur-engraisseur, même si cela ne permet pas de satisfaire les exigences de hauts niveaux de performance ou de limitation des rejets. Ce qui illustre la nécessité de bien raisonner son système. L'article fournit aussi des références pour l'utilisation de diverses matières premières : céréales (blé, seigle, orge ), protéines (on peut limiter l'utilisation du soja avec les pois et féveroles), les issues et co-produits (son et remoulage issus de la meunerie), graines d'oléagineux, les aliments grossiers comme l'herbe, le lactosérum, les tubercules ou encore les châtaignes ou les glands.
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Alimentation et fertilisation (Première partie)
Rudolf Steiner, dans la 4ème conférence du Cours aux agriculteurs, dont le sujet principal est la fertilisation de la terre, commence par présenter les processus qui ont lieu dans l'alimentation humaine et animale. S'alimenter avec des produits sains et vitaux permet d'intégrer en nous une force permettant de mieux digérer et d'être plus résistant au travail (manuel ou intellectuel). Les forces formatrices influencent les divers aliments. Elles se traduisent sur eux, par la forme, la couleur, le goût, l'odeur Ces forces se retrouvent, après des transformations, comme élément formateur de la matière cérébrale, permettant ainsi de devenir conscient des pensées.
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Alimentation des monogastriques : Quand les matières premières se font désirer
Hausse du prix des céréales, difficultés à trouver des matières premières riches en protéines (tourteaux de soja ou de tournesol, pois et féveroles...), la filière monogastriques peine à stabiliser ses sources d'approvisionnement alimentaire, tout au moins à des coûts raisonnables. Certains éleveurs de porcs font le choix de fabriquer à la ferme leur aliment, en utilisant leurs propres productions (triticale, orge, féverole, petit pois, lupin, soja...) et en achetant parfois à l'extérieur (soja extrudé, tourteau de tournesol déhuilé...). Pour les éleveurs de volailles, la fabrication à la ferme est plus délicate et seul l'aliment finition semble vraiment rentable. Des étudiants de l'ESA d'Angers ont étudié quelles matières premières nouvelles pourraient être utilisées dans l'optique d'une évolution de la réglementation imposant 100% d'aliments bio dans les rations. L'avoine nue, les tourteaux de carthame et de sésame, les germes de caroube semblent intéressants dans ce contexte. Concernant la germination des céréales très peu d'informations circulent.
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Alimentation : Veille & innovation... : Alimentation naturelle : les leçons du futur (3/3)
Sauveur FERNANDEZ, AuteurCette troisième partie du dossier donne les prévisions du futur alimentaire en 2047. La peur de manquer de nourriture et d'avoir des produits malsains se renforce. Les changements climatiques dévoilent plus que jamais l'augmentation de la pollution, l'érosion et les pénuries d'eaux dans le monde. L'augmentation de la température va obliger notre agriculture à s'adapter. Les modèles de l'agriculture biologique et biodynamique vont se développer. Un écosystème industrio-socio-économique va se mettre en place : les multinationales deviendront des structures de type coopératif, encadrées par les Etats. Chaque acteur est à la fois producteur, transformateur et distributeur. Les circuits courts remplaceront les circuits longs. Le comportement du consommateur évolue : il se tourne de plus en plus vers des produits locaux. De nouvelles attitudes apparaissent : moins de gaspillage d'eau et de nourriture, consommation de légumineuses à la place de la viande, production d'alicaments, utilisation de nano-biotechnologies « éthiques »...
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Aliments irradiés : appliquer le principe de précaution
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Aliments et médicaments ? L'oignon
Joël ACREMANT, AuteurJoël Acremant est cuisinier-écrivain. Il a observé les légumes et les fruits du jardin sous l'angle à la fois culinaire et médicinal puisque - non traités - ils sont, à des degrés divers, des aliments médicaments dont la première vertu est de dynamiser, de désintoxiquer l'organisme, voire de le soigner... Pour débuter cette rubrique, J. Acremant cite quelques références dont le livre du Dr Jean Valnet "Se soigner par les légumes, les fruits et les céréales" (paru en 1967) et celui de W. Pelikan "L'homme et les plantes médicinales" (paru en 2005) ; il cite aussi des légumes (ail, oignon, chou, carotte ) et des fruits (pomme, citron, prunelle ) à utiliser de façon thérapeutique, sous forme de cure. Dans cet article, J. Acremant a choisi d'évoquer l'oignon, son origine et ses vertus en usage interne : stimulant général du système nerveux, rénal, hépatique (richesse en soufre) ; opposition à une élévation excessive du taux de sucre dans le sang ; pouvoir anti-infectieux et anti-bactérien ; diurétique ; action sur le système cardiovasculaire La consommation d'oignon cru devrait être limitée à deux oignons moyens par jour ; les préparations à base d'oignons cuits sont très nombreuses : quiches, cakes La recette de la soupe à l'oignon est présentée.
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Des aliments aux mille vertus : Cuisiner les aliments fermentés
Claude AUBERT, Auteur ; Jean-James GARREAU, Auteur | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2011
De nombreuses denrées - légumes, céréales, viandes, lait... - peuvent être fermentées, notamment pour être conservées. Ce faisant, elles acquièrent de nombreuses vertus. Enrichis de millions de bactéries lactiques, les aliments deviennent plus digestes, contiennent davantage de vitamines, d'antioxydants, de probiotiques, moins de polluants... Autant de propriétés utiles pour la prévention du cholestérol ou de certains cancers, la diminution du risque d'infection ou la stimulation des défenses immunitaires. Les auteurs proposent plus de 60 recettes pour préparer soi-même choucroute, naveline, yaourt, tempeh, pain, kéfir... comme pour les cuisiner (flan de carottes à la crème de soja lactofermentée, soupe au chou chinois et au miso, socca...). Une bonne façon de se faire du bien tout en se faisant plaisir !
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Une année de pâturage à lEARL de Kerbabu
Cindy SCHRADER, AuteurÀ lEARL de Kerbabu, ferme située dans le Finistère, Élisabeth et Pascal Beuzit élèvent 62 vaches laitières. Ils apportent leur témoignage sur la gestion du pâturage durant lannée 2019. Comme ils ont vu que leurs vaches adoraient manger des plantes sur les talus, voire des orties, ils ont décidé dimplanter une « prairie pharmacie ». Ils lont semée par bandes de six mètres dans six paddocks différents (lobjectif est de laisser aux vaches le choix de manger ou non les espèces de cette prairie multiflore). Ces bandes ont été implantées en avril sous couvert davoine. En plus du RGA diploïde, elles contiennent du lotier corniculé, de la centaurée noire, du plantain, de la chicorée, de la pimprenelle, de lachillée millefeuille, du trèfle hybride et de la luzelle. Ce mélange de prairie multiflore est vendu à 20 /kg. Il a été semé à 6,5 kg/ha et mélangé à 20 kg/ha de RGA diploïde.