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Bioviver : Choyés, les fruits et légumes sous verre !
Implantée depuis 35 ans dans le Lot-et-Garonne, la conserverie Bioviver transforme plus de 1000 tonnes de fruits et légumes bio par an. Cette entreprise, dédiée à la bio depuis sa création, favorise une production la plus propre possible (utilisation uniquement de procédés physiques ou thermiques, une consommation d'énergie fossile très faible ). Elle commercialise ses produits essentiellement en GMS mais également en magasins spécialisés et dans la restauration collective. Elle s'approvisionne en local, en Espagne et en Italie.
Campagne de promotion sur les fruits et légumes bio
Présentation de la campagne de promotion sur les fruits et légumes bio lancée par l'INTERFEL, avec le soutien de l'ONIFLHOR. Présentation de la situation des productions fruits et légumes bio en Italie, en Espagne et au Danemark, avec de fortes progressions, au niveau des surfaces cultivées et des ventes.
Consommateurs et agriculture biologique, intégrée et raisonnée : Un intérêt croissant pour l'environnement
Le programme Inra/Ctifl sur la PFI comporte un volet sur la perception des consommateurs à l'égard des modes de production visant à mieux préserver l'environnement. L'étude menée par le Ctifl en 1999 sur l'agro-environnement constitue le point de départ de la recherche. En janvier 2004, deux sortes d'interrogations ont été posées : d'une part, celles liées à la problématique environnementale et aux risques pour la santé, à consommer des fruits et légumes (réactualisation des données de 1999), et d'autre part, une série de questions visant à cerner le degré de connaissance des consommateurs, en matière d'agricultures biologique, raisonnée, intégrée et les caractéristiques de ces trois modes de production.
Cours des fruits et légumes bio sur les marchés de Midi-Pyrénées
Le GDAB présente une grille des prix pratiqués par les producteurs bio du Midi-Pyrénées qui vendent sur les marchés. Ces prix sont obtenus par courrier auprès de 26 producteurs volontaires pour une démarche de concertation.
Créer ou investir l'existant
Les 9 et 10 décembre 2003, 250 congressistes se sont réunis à Perpignan pour les journées techniques fruits et légumes bio. Le but était de faire l'état des lieux du fonctionnement de la filière, en particulier en circuits longs, et de débattre d'orientations pour renforcer sa structuration et préparer l'avenir. La véritable question posée était de savoir s'il fallait aller vers la création d'une interprofession bio nationale, ou s'il fallait commencer à "investir" les structures déjà en place, pour éviter que les décisions concernant les bios ne soient prises par des filières conventionnelles.
Dossier BIO
Alors que les circuits courts de l'agriculture biologique affichent une croissance à deux chiffres, les circuits longs, comme l'export, connaissent des difficultés, qui se répercutent sur l'ensemble de la filière en amont, dans l'ensemble de l'Union Européenne. Une restructuration de l'agriculture biologique et une communication adéquate s'avèrent nécessaires afin de pérenniser ce mode de production.
Le dossier : Fruits et légumes biologiques
La région Rhône-Alpes est la première région fruitière bio, avec 20% de la production arboricole française, et la sixième région productrice de légumes. La vente directe aux consommateurs y est majoritaire pour les légumes. Par contre, pour les fruits, plus de 70% de la production est commercialisée via des grossistes et des coopératives. Près de 40 entreprises exercent leur activité principale dans la transformation et la distribution de fruits et légumes biologiques. Côté consommation, plus d'un français sur deux achète des fruits et légumes bio. Pour améliorer ce chiffre, Interfel a mis en place un nouveau slogan "Les fruits et légumes bio, c'est tout naturel". Enfin, le point sur la vente de fruits et légumes sous forme de paniers, qui semble se développer.
Fruits et légumes : Biogaronne se démène pour ses producteurs
Entreprise créée par et pour des producteurs, Biogaronne essaye de conjuguer mise en marché et rémunération correcte. L'expéditeur lot-et-garonnais a conquis sa place sur le marché des fruits et légumes bio, avec pour motivation la mise en place de partenariat et le respect des producteurs. Le tout en diversifiant ses débouchés.
Pays-Bas : Le choix de l'agriculture durable
Face aux conséquences environnementales du modèle d'agriculture intensive développé jusqu'ici, les Pays-Bas mettent l'accent sur l'agriculture durable. Entre 1990 et 2000, en fruits et légumes, les insecticides ont été réduits de moitié et des produits de traitement ont été interdits. Un nouveau plan, prévoit de réduire d'ici 2010 la charge polluante des phytosanitaires de 95 % par rapport à 1998. De plus, pour économiser l'énergie, les serristes néerlandais utilisent la chaleur résiduelle de l'industrie, les éoliennes et la cogénération. La réalisation d'une serrre autonome en énergie -la chaleur de l'été est stockée sous forme d'eau chaude pour être utilisée en hiver- est testée en grandeur nature. Ce secteur des serres, de plus en plus concentré, mise sur une adaptation permanente à la demande, sur la certification internationale et sur la fourniture de services (emballages, stockages...) avec, le cas échéant, la délocalisation de la production en Pologne, Turquie...
Premier point sur la promotion d'Interfel pour les fruits et légumes bio
A proximité du terme de la campagne de promotion des fruits et légumes biologiques, conduite par Interfel, Véronique Declercq, qui est en charge du dossier, dresse un premier bilan de cette action. Ses commentaires sont complétés par les réactions de différents producteurs, transformateurs...
Production et commerce de fruits et légumes : Qui sont les dix nouveaux européens ?
Dix nouveaux pays ont rejoint l'Union européenne le 1er mai 2004. Leur production de fruits et légumes conventionnels représente 15% de celle des anciens membres et demeure orientée sur quelques points forts : pommes, fruits rouges, choux, oignons. Elle est pour moitié destinée à la transformation. Le commerce extérieur des nouveaux entrants se fait pour moitié avec les pays de l'Europe de l'Ouest.
Qui sont les consommateurs de fruits et légumes biologiques ?
Cet article présente les résultats d'un panel Sécodip, réalisé à l'occasion de la campagne Interfel, qui a permis de donner un profil du consommateur de fruits et légumes biologiques, ainsi que les six types de consommateurs distingués par une étude du Ctifl.
Relevés de prix bio
L'article fait le point sur les relevés de prix dans les magasins bio et les supermarchés conventionnels sur une vingtaine de produits dans les catégories "produits laitiers", "fruits et légumes", "pâtisserie", "céréales" et "autres". En général, les produits laitiers bio coûtent entre 20 et 40% moins cher dans les GMS, exception faite pour les yaourts aux fruits et aromatisés où il n'y a pas de différence de prix. Les ufs bio ont tendance à coûter moins cher au magasin bio qu'aux GMS. Les fruits et légumes bio sont nettement moins chers en magasin bio. Dans la catégorie "pain et pâtisserie", il n'y a pas de différence significative entre les deux types de points de vente.
Stratégie Développement durable : Sept chefs d'entreprise s'engagent
A l'occasion du Salon de l'Agriculture, sept producteurs de fruits et légumes ont présenté leur engagement en faveur du développement durable. Leur association, "Demain la Terre", doit les conduire à faire évoluer leur stratégie d'entreprise.