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L'abricotier en agriculture biologique
Le réseau des référents techniques régionaux agriculture biologique des Chambres d'Agriculture de Rhône-Alpes a réalisé un ensemble de fiches technico-économiques. Ces fiches sont des outils d'accompagnement des projets d'installation et de conversion. Cette fiche porte sur "L'abricotier en agriculture biologique". Elle aborde des aspects techniques, par rapport à la protection des végétaux : problèmes de monilia sur fleurs, rouille, oïdium, coryneum, tavelure, petite mineuse (Anarsia), forficules, capnode, sharka, enroulement chlorothique (ECA), bactériose. Elle propose un guide des interventions en verger, et estime le coût moyen d'un programme de traitement. Cette fiche apporte également des références technico-économiques / ha et se penche sur le coût de plantation.
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Actualité : Pesticides : Cultiver du colza sans Cruiser : une question de bon sens
Benoît DUCASSE, AuteurXavier Uzu, paysan dans la Sarthe, reproche à ses collègues d'être focalisés sur le prix de vente du colza (boosté par la filière des agrocarburants), et de négliger les rotations tout en traitant fortement pour obtenir autour de 45 quintaux/ha. Ses rendements à lui sont autour de 30 à 35 quintaux/ha. En effet, ce qu'il recherche, c'est « une marge stable chaque année sur l'ensemble de [ses] cultures ». Avec des rotations de blé, pois de printemps, colza, féverole d'hiver, tournesol et maïs, Xavier élève des volailles de Loué et 120 brebis. Ces rotations entraînent de fait un « nettoyage » des parasites dans les champs : « sur la trentaine d'insectes nuisibles recensés pour le colza, dit-il, je ne surveille que le charançon de la tige ». Et il ne traite en moyenne qu'une année sur trois.
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Agriculteur "bio" depuis douze ans
La culture biologique exige une approche agronomique particulière : rotation, amendement organique, travail du sol... visent à limiter les maladies, les ravageurs et les adventices. Michel Boulay, agriculteur biologique dans le Loir-et-Cher explique comment il procède sur son exploitation.
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L'agriculture biologique est-elle compatible avec une reproduction maitrisée ?
Les principes de l'agriculture biologique qui limitent les interventions thérapeutiques vétérinaires devraient cependant permettre une conduite et des performances de reproduction optimales. Quelles en sont les limites et les contraintes ? Rappels des principes et témoignages d'éleveurs bio.
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Les algues, des biostimulants pour les cultures
Les Laboratoires Goëmar transforment les algues récoltées sur les côtes bretonnes, pour en faire d'excellents produits capables d'améliorer les rendements et la qualité de certaines cultures. Reportage à leur siège, à Saint-Malo.
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Alternative aux traitements chimiques : Un nouveau vaccin anti-coccidien atténué
Devant la sensibilité accrue des consommateurs à la manière de produire et sous la pression de la réglementation européenne sur les additifs, les moyens de recherche et de développement en matière de produit chimique anti-coccidien ont été fortement freinés. En raison de leur coût nettement plus élevé que celui des produits chimiques, les vaccins anti-coccidiens pourtant développés depuis 1954, ne sont pas ou très peu utilisés en production de poulets de chair à courte durée de vie. En France, l'élevage de volailles à longue durée de vie (biologique et label rouge) y a recours. Schering-Plough propose désormais son vaccin Paracox, décliné en deux formulations P5 et P8, à un prix de vente pratiquement divisé par deux. En bio et label, l'utilisation en alternance de P5 et P8 semble être une bonne alternative.
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Alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage biologique des ruminants
H. HOSTE, Auteur ; Jacques CABARET, Auteur ; G. GROSMOND, Auteur ; ET AL.En termes de gestion sanitaire des troupeaux, les recommandations du règlement de la commission européenne du 5 septembre 2008 (CE 889/2008) visent à restreindre le recours aux traitements chimiques pour gérer les pathologies. Elles privilégient en contre-partie les règles d'hygiène et le développement de la réponse immune de l'animal. Ces principes généraux se retrouvent et sont illustrés dans la gestion du parasitisme helminthique par les strongles gastro-intestinaux qui constitue une des dominantes pathologiques de l'élevage des ruminants en systèmes AB et conventionnel au pâturage. Cette démarche a conduit à développer (ou à redécouvrir) des solutions techniques. Elles visent à fournir les bases agronomiques pour limiter le parasitisme par une gestion raisonnée du pâturage, à stimuler la réponse de l'hôte par divers moyens, à évaluer l'efficacité de thérapeutiques naturelles ou alternatives (homéopathie, aromathérapie, phytothérapie et nutricament) et enfin à proposer de nouveaux concepts d'application des anthelminthiques de synthèse. A terme, cette démarche analytique devrait fournir aux éleveurs une « offre de solutions » à adapter aux diverses situations afin d'aboutir à une approche intégrée du parasitisme, compatible avec les principes de l'agriculture durable.
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Les altises des crucifères
Le jardinier connaît bien les dégâts causés par les altises, ne serait-ce, par exemple, que par les feuilles de radis réduites à l'état de passoire. Parmi les 217 genres et 300 espèces d'altises présentes en France, on retiendra surtout les Phyllotreta (31 espèces en France) inféodées pour la plupart aux brassicées (chou, colza, navet), et les Psylliodes (40 espèces françaises), les unes et les autres excessivement nuisibles au jardin comme en grande culture. Gérard Tiberghien décrit ici la biologie de ce ravageur, l'impact de ses attaques sur la culture. Il énumère les différentes méthodes de lutte phytosanitaire pratiquées depuis le siècle dernier jusqu'à nos jours (chimique, empirique, biologique...), et donne ses conseils avisés pour la meilleure efficacité en lutte biologique.
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Analyse du risque d'exposition aux produits phytosanitaires lors de l'exploitation des grandes cultures
Le but de cette étude est d'évaluer le risque d'exposition potentielle aux produits phytosanitaires dans l'agriculture, en se concentrant plus spécifiquement sur l'exploitation des grandes cultures dans le canton de Vaud. Il s'agit de connaître la situation actuelle dans le canton de Vaud et de pouvoir répondre principalement à deux questions : quel est le danger réel, et que faut-il faire pour améliorer la situation ? L'analyse préliminaire de risque montre que les risques d'exposition les plus élevés se présentent soit pendant le mélange des produits (avec des expositions aigües dues à des éclaboussures), soit pendant l'application (avec des expositions chroniques par inhalation). Pour le mélange, il est recommandé d'équiper la pompe à traiter d'un incorporateur, afin d'être à la bonne hauteur pour déverser les produits. Cela n'empêche pas que le port de protections personnelles soit nécessaire, par exemple : lunettes, gants, tablier et masque respoiratoire pour certains produits. Pour l'application, les conditions de travail sont importantes, c'est-à-dire qu'il convient de traiter par vent faible, et avec une vitesse adaptée pour éviter la formation d'un nuage de produit. Les dangers liés au stockage sont des risques facilement maîtrisables avec une organisation adéquate. Les produits doivent être stockés dans un endroit fermé à cle, avec des étiquettes lisibles, dans leurs flacons originels. L'entretien des machines ne semble pas poser de problèmes particuliers, pour autant que le rinçage ait été fait et que le système de distribution ne contienne plus de produits. Le danger pour la santé dû aux produits phytosanitaires et les moyens de prévention semblent bien connus des agriculteurs qui ont répondu au questionnaire de cette étude. Toutefois, un suivi de la formation et de l'information reste néanmoins indispensable afin de renforcer cette prise de conscience.
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L'angélique
Description, culture et utilisations de l'angélique cultivée (Angelica archangelica) qui est une plante bisannuelle d'origine européenne de la famille des ombellifères comme la carotte et le céleri. Toutes les parties de la plante sont utilisables et se caractérisent par un arôme rappellant le génévrier et le musc. La plante trouve usage en médecine, en confiserie et en parfumerie principalement. Au Québec, on trouve à l'état naturel l'angélique noire-pourprée qui est elle aussi aromatique et peut s'utiliser comme sa cousine. La plante à mâturité mesure de 1 à 2 mètres, sa tige principale est vide et robuste. L'angélique est une plante de climat frais et de sol humide (le sol idéal est un loam profond, légèrement acide et humide quoique bien drainé).
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Des applications localisées d'huiles essentielles sur foyers de puceron lanigère
Sophie-Joy ONDET, Auteur ; Nathalie CORROYER, Auteur ; Anne CHAPELLE, AuteurDes essais ont été faits en 2012, en région PACA et Normandie, sur le contrôle du puceron lanigère en verger biologique à partir d'huiles essentielles d'origan compact et de sauge médicinale. Réalisés à partir de répétitions de pulvérisations localisées de ces huiles à diverses concentrations, ces essais ont montré un impact positif de ces huiles pour limiter les colonies de ce parasite. L'étude va se poursuivre afin de voir comment optimiser le coût d'un tel traitement et tester sa faisabilité à grande échelle.
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Apprivoiser le prunier
Ses fruits sont, avec la pomme, la poire et la cerise, les plus présents dans nos jardins. De nature capricieuse, c'est néanmoins une espèce aux variétés diverses que l'on peut cueillir de Juillet à Septembre. En effet, l'arbre s'adapte à tous les sols et se multiplie facilement; pourtant, étant fort difficile à maîtriser, il doit néanmoins être livré à lui-même : il ne faut surtout pas le tailler dans ses premières années, il suffit de l'arroser. Pour bien "élever" son prunier, il est possible de se reporter au mode d'emploi d'Alain Pontoppidan qui donne là toutes les astuces et conseils pour traiter les maladies de l'arbre et une liste des différentes variétés de prunes selon leur époque.
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Arboriculture fruitière biologique à Temploux. Visite du verger de Biomarché
Compte-rendu de la visite du verger biologique de Biomarché, à Temploux (Belgique), en septembre 1997. Présentation de la société, grossiste en fruits et légumes biologiques, propriétaire du verger depuis 1994. Itinéraire technique de production : assolement, fumure, désherbage, traitements phytosanitaires, variétés, conservation, commercialisation.
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Arboriculture : L'isothérapie, un traitement efficace adapté à l'humain, au règne animal et aux végétaux
Jean-Marie DANZE, AuteurCet article présente l'isothérapie, qui fait appel à la notion d'identité. Une personne, une plante ou un animal victime de l'action toxique d'un produit, d'un microbe peut être rétabli dans son équilibre grâce à l'administration de la susbtance causale en dynamisation korsakovienne 200 K. Les dynamisations korsakoviennes se font toutes dans le même flacon. L'auteur explique de façon très détaillée comment préparer un médicament isothérapique en 200 K (matériel nécessaire, mode opératoire, temps nécessaire, conservation). Il explique ensuite le procédé pour préparer les dynamisations en arboriculture et pour traiter les arbres.
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Arboriculture : Lutte contre la tavelure du pommier en bio
Karine TROUILLARD, AuteurCet article présente la lutte contre la tavelure du pommier en agriculture biologique. Après une description du cycle de développement de ce champignon et des symptômes sur feuilles, fleurs et fruits, la fiche présente un tableau des variétés de pommiers en fonction de leur sensibilité variétale. La fiche aborde les facteurs favorables à une contamination et les stades de sensibilité des pommiers à la tavelure. Il existe plusieurs moyens de lutte mécanique en prophylaxie et plusieurs traitements autorisés en agriculture biologique qui sont présentés dans la fiche.