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Bignon-viandes : charcuterie bio de porc en attendant la bio de volaille
L'essentiel de l'activité de Gérard Bignon, patron de la PME Bignon-viandes, basée à Janzé (Ille-et-Vilaine) concernait au départ la viande en gros et la salaison traditionnelle pour les boucheries. Mais le développement des grandes surfaces a contraint sa PME au changement d'activité ou à occuper des "niches" très spécialisées. Aujourd'hui, il s'active sur deux tableaux : - la charcuterie fine de volaille, conventionnelle, sous la marque "Au Gourmet d'Armor", - la charcuterie bio, à base de porc, sous la marque "Bio-Ouest".
La bio à deux vitesses : qui a intérêt ?
Va-t-on s'orienter vers une bio à deux vitesses et un retour des marques, seules à même de donner des garanties sérieuses au consommateur ? L'évolution récente du projet de réglementation animale européenne le laisse craindre.
Bio : les Landes aussi
Présentation de la toute nouvelle association "Terre bio des Landes" qui promotionne et diffuse des pains, poulets, fruits et légumes.
Le "bio" sauvera-t-il l'agriculture auvergnate ?
Ce dossier présente la bio en Auvergne sous tous ses aspects : production, distribution et consommation. . Agriculture biologique, une chance pour l'avenir Les produits bio offrent-ils une réelle chance à notre économie rurale ? Ni diététiques, ni allégés, encore moins médicamenteux, ils pourraient bien "révolutionner" nos habitudes de consommation. . Le bio est-il vraiment plus cher ? . Le bio en Auvergne : état des lieux Une fois encore, l'on assiste à un paradoxe auvergnat : l'agriculture "bio" dans cette région est à la fois en retard et en avance . Produits laitiers et viandes : Autre secteur notable pour la production bio en Auvergne, l'élevage et les produits laitiers. Ici on applique avec la même force de conviction les méthodes de la "biodynamique" . Plantes médicinales et huiles essentielles : Les prix, toujours eux, sont dans le collimateur des agriculteurs du quatrième grand secteur de l'agriculture biologique, les plantes médicinales et les huiles essentielles. . Produits bio : la distribution Commercialisés dans un premier temps par des agriculteurs, les produits biologiques représentent aujourd'hui un marché à part entière, avec des magasins spécialisés, des supérettes de quartier, mais aussi un intérêt croissant de la part de la grande distribution et des industriels.
Le bio, une valeur sûre qui se développe
A l'occasion de la journée porte-ouverte organisée par Auvergne Biologique le 21 juin dernier, l'auteur retrace le parcours de Serge Douix, éleveur allaitant, et de Jean-Luc Mery, producteur de lait, tous deux installés en Haute-Loire.
BioBourgogne Viande : constat d'une réussite
Dans le berceau de la race charolaise, et dans la continuité d'un travail par filière, les éleveurs en agriculture biologique de Bourgogne décident en 1994 de s'associer et de créer la SARL Bio Bourgogne Viande. Après quatre années, les résultats sont encourageants et les projets restent nombreux.
Biolait : Un 200ème adhérent cinq ans après le lancement
Celà fait maintenant cinq ans que Biolait existe et sa croissance a été fulgurante. Le GIE, premier collecteur de lait biologique en France, vient d'élargir sa zone de collecte à l'Alsace et il compte à ce jour 200 adhérents et collecte 23 millions de litres de lait de vache sur environ cinquante départements (c'est-à-dire près du quart de la production française de lait biologique). Le groupement emploie actuellement 45 salariés et son fonctionnement repose sur une égalité entre les producteurs qui perçoivent le même prix quels que soient la région ou le volume de production. Explications.
Les bords de champs cultivés
Chasse et agriculture sont des activités traditionnelles qu'un milieu commun rapproche de longue date. Cette cohabitation n'est pas toujours exempte de conflits. De plus le thème de l'environnement s'est aussi imposé et a ouvert de nouveaux débats. Cependant au carrefour de la chasse, l'agriculture et l'environnement, des initiatives locales ponctuelles positives ont été mises en place. Ces dernières montrent qu'une attention nouvelle accordée aux bords de champs (au sens le plus large du terme : fourrières, tournières, bandes enherbées, haies, ...) peut fournir aux partenaires des points de rencontre fructueux débouchant sur une véritable convergence d'intérêts.
La boucherie Kervern
Rencontre avec André Lagrange, qui dans les années 80 acquiert la boucherie Kervern, et commence une production biologique.
Bretagne Viande Bio : des producteurs s'organisent pour commercialiser
En 1991, une dizaine de producteurs de viande bio désireux de trouver des débouchés pour leurs produits, se regroupent avec deux bouchers et un salaisonnier et créent Bretagne Viande Bio, association ayant pour but d'organiser la commercialisation de la viande. 7 ans plus tard, la structure a développé son activité et les clients se bousculent. Si certains en doutaient encore, voilà un exemple qui montre que les producteurs ont tout intérêt à s'organiser ensemble pour développer de façon cohérente la bio.
Un cahier des charges mal adapté : le poulet bio
Pour Jean-Jacques Garbay, agriculteur bio dans le Gers, un cahier des charges doit proposer un cadre de solutions aux différents problèmes qui caractérisent un élevage ou une production. Pour l'élevage des volailles, les deux points sensibles et essentiels que l'on rencontre sont l'approvisionnement en protéines et la coccidiose. Explications.
La caille : rustique et savoureuse
Encore peu développé, cet élevage vaut la peine d'être entrepris étant donné la demande pour ses produits : les oeufs, aussi bien que les cailles prêtes à rôtir. Cet article permet de mieux connaître cet oiseau et présente les pratiques d'élevage actuelles ainsi que les méthodes d'élevage biologique.
Des capacités variables à ingérer les fourrages
Pour un ruminant (bovin,ovin ou caprin), les fourrages représentent la part essentielle de l'alimentation. Il existe différents facteurs réglant l'ingestion des fourrages : la qualité des fourrages, les animaux, la conduite d'élevage et l'environnement. Dans cet article, le Dr Vétérinaire Saboureau décrit les possibilités de variations de la capacité d'ingestion et par là même, les moyens pour l'optimiser.