Thésaurus


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La bio, à quoi bon?
Peut-on vraiment parler d'agriculture biologique si chaque année en Belgique, 6 000 tonnes de pesticides se retrouvent dans notre alimentation ? Toutefois, les résidus de pesticides découverts dans les aliments tendent à baisser grâce aux efforts pour la maîtrise des épandages. Que ce soit pour les agriculteurs biologiques ou pour les agriculteurs voulant se reconvertir, des analyses de sol et de récolte sont effectuées, ceci permettant de limiter le risque de proposer aux consommateurs des produits biologiques contaminés.
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Breite Akzeptanz von Blumen aus okologischen Anbau
Les produits alimentaires certifiés biologiques connaissent une adhésion sans cesse croissante de la part des consommateurs, mais qu'en est-il de la demande en plantes d'ornement issues de l'agriculture biologique ? A la demande des autorités de Hamburg, une enquête a été menée auprès de 529 visiteurs sur les neuf marchés bio de la ville. Si 86 % des personnes interrogées acceptent bien ou très bien l'idée de fleurs bio, 40 % sont près à payer ces produits 15 à 30 % plus cher et 45 % avec une différence de prix inférieur à 15 %.
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CAP 2010 : Une agriculture durable pour des agriculteurs responsables
Depuis la fin des années 80, l'agriculture est au coeur de multiples interrogations. Pourtant avec 600 000 entreprises, elle représente un secteur important de l'économie nationale et le socle d'une industrie agroalimentaire pourvoyeuse de très nombreux emplois. Le projet "CAP 2010" a été revisité et adopté le 13 décembre 2001 par les présidents des Chambres d'Agriculture réunis en session à l'APCA. Ce projet vise à resserrer l'action du "Groupe Chambres d'Agriculture" autour de trois grands axes : promouvoir, conseiller, innover.
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Consommateur / producteur : solidarité sous caution
Interview de Daniel Pepers, chargé de mission à Familles Rurales où il suit les dossiers de l'agro-alimentaire et des services publics. A ce titre, il est membre du Conseil National de la Consommation et siège, entres autres, à la Commission Nationale des Labels et des Certifications, à l'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments, à la Commission de sécurité du consommateur vis à vis des risques. S'il comprend les valeurs du commerce équitable, il exprime également des attentes très nettes envers les producteurs.
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Les consommateurs, l'agriculture, la qualité et la sécurité des aliments : une analyse du questionnement des consommateurs et des réponses apportées
La sécurité alimentaire des aliments est devenue depuis quelques temps l'objet de vives préoccupations en France. De fortes critiques s'expriment envers l'agriculture et l'alimentation modernes. L'amélioration de la sûreté et de la qualité de l'alimentation est ainsi devenue un objectif très souvent mis en avant par de nombreux acteurs de la filière. Dans ce contexte, l'article ne vise pas à faire une analyse d'une crise particulière ou d'un épisode de forte crise comme celui lié à l'ESB fin 2000. Il cherche, au contraire, une vue d'ensemble à plus long terme et propose une approche de synthèse sur diverses questions sous-jacentes en jeu : opinions des consommateurs en matière de qualité et de sûreté alimentaires, facteurs à l'origine des remises en cause actuelles, adéquation des solutions proposées aux risques dénoncés.
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Das Image von Okopropdukten bei Jugendlichen
Résultats d'une enquête comparative menée auprès de jeunes allemands et de jeunes français. En résumé, les produits bio passent auprès des jeunes allemands et français pour des produits alimentaires qui sont sains, qui procurent peu de plaisir et qui n'ont pas beaucoup de goût. Mais il existe cependant des nuances dans les jugements, nuances qui proviennent d'une différence culturelle. Par exemple les jeunes allemands associent spontanément aux produits bio, la santé et le muesli, tandis que le jeunes français associent la nature et la santé.
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L'écologie, c'est fini : Qu'en pensent les experts ?
L'écologie, en dépit des deux Grenelle Environnement, marque le pas, voire régresse. Cette spécificité hexagonale se vérifie dans le comportement et les actions des particuliers, des entreprises... Pourtant, personne n'a intérêt à en finir avec l'écologie ! C'est ce que démontre l'auteur, spécialiste du développement durable. S'appuyant sur de nombreuses enquêtes, expertises et exemples, cet ouvrage dresse, chiffres à l'appui, un constat concret et sans concession du ralentissement de l'écologie... tout en démontrant pourquoi elle va tenir de nouveau le haut du pavé à l'avenir.
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Habitudes alimentaires : dis-moi ce que tu manges et je te dirai qui tu es
"Les habitudes alimentaires changent, la culture gastronomique disparaît. Le repas de midi en famille fait partie du passé pour la méajorité de la population. Le marché alimente cette évolution avec des menus tous prêts, aussi appelés ""convenience products"". Comment cela influence-t-il le marché des produits bio ?"
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Opinion publique et sécurité environnementale
"L'analyse de la manière dont la population évalue les risques liés à l'environnement est révélateur du fossé qui tend à se créer entre la réalité des menaces et leur représentation collective. La multiplication des catastrophes écologiques depuis une vingtaine d'années et la surmédiatisation de certains événements liés à la sécurité environnementale contribuent à fausser la perception des risques et, parfois, à accroître l'intensité des ""angoisses collectives"". Dans le domaine des préoccupations des Français en matière d'environnement, des enquêtes d'opinion font apparaître, par exemple, que la pollution atmosphérique est le phénomène écologique le plus redouté. En outre, l'intérêt grandissant de l'opinion publique pour ces questions oblige à un effort d'information et de transparence accru de la part des acteurs concernés."
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La sécurité environnementale : concept et perspectives
Le concept de sécurité environnementale s'est véritablement imposé dans le champ des relations internationales après la fin de la guerre froide. Ce changement est apparu comme un facteur structurel qui a fortement contribué à l'émergence de cette notion. A cela s'ajoute l'intérêt particulier qu'ont suscité les questions environnementales auprès de l'opinion publique. Ainsi, dès le moment où le concept tendait à occuper une place plus importante dans la sphère politique, il a inévitablement entraîné l'intérêt de nombreux observateurs et donné lieu à de nombreuses analyses. Contrairement à ce que l'on peut penser, l'objet d'une politique de sécurité environnementale ne réside pas tant dans le phénomène environnemental en lui-même que dans les menaces, et donc l'insécurité, qui en résultent et qui peuvent être une source de déstabilisation.
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Stéphane Foucart : L'industrie polluante cultive l'ignorance dans les sciences, l'expertise publique et les esprits
LaRevueDurable, AuteurStéphane Foucart, journaliste au quotidien Le Monde, parle, dans cet article, de son livre-enquête : « La fabrique du mensonge : Comment les industriels manipulent la science et nous mettent en danger ». Il y traite notamment de la façon dont les industriels sont impliqués dans les recherches scientifiques relatives à leurs produits (tabac, pesticides ). Concernant les raisons du déclin des abeilles, l'auteur explique que les recherches des industriels de l'agrochimie se concentrent plutôt sur les causes autres que les insecticides : pour une étude sur les néonicotinoïdes, dix sont réalisées sur les pathogènes naturels des abeilles. Pour l'opinion publique, le caractère multifactoriel reste le plus présent dans les esprits et aucune cause ne semble plus responsable que les autres. Par ailleurs, le fait que ce soit les industriels eux-mêmes qui élaborent les protocoles des tests et le manque de reconnaissance de l'expertise publique dans la communauté scientifique sont également remis en cause.