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BETTERAVESynonyme(s)BETTERAVE INDUSTRIELLE |


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6 déc. 2011 : Colloque : "Désherbage Mécanique, Des Solutions À Partager" : Actes des conférences
Véronique ZAGANIACZ, Auteur ; Ludovic BONIN, Auteur ; Jean-François GARNIER, Auteur ; ET AL., Auteur | CESSON SEVIGNÉ (FRAB, 12 Avenue des Peupliers, 35 510, FRANCE) : RÉSEAU GAB-FRAB BRETAGNE | 2011
Ce document présente les actes des conférences du colloque "Désherbage Mécanique, Des Solutions À Partager" qui s'est tenu, le 6 décembre 2011, à Rennes (35). Ce colloque a été organisé dans le cadre du projet de recherche du CASDAR 2009-2011 "Optimiser et promouvoir le désherbage mécanique en grandes cultures et productions légumières", piloté par l'Itab (Institut technique de l'agriculture biologique) avec l'appui d'Arvalis-Institut du végétal, rassemblant les compétences de plus de 20 partenaires dans 7 régions différentes. Sont concernées l'agriculture en réduction d'herbicides et l'agriculture biologique. En plénière, ont été abordés plusieurs points : Evolution de la flore adventice en grandes cultures biologiques en Haute-Normandie ; Désherbage mécanique des céréales à paille : efficacité et impact sur le rendement ; Stratégies de désherbage chez des agriculteurs ligériens : témoignage de deux producteurs ; Evaluation économique de différents itinéraires de désherbage mécanique. 3 ateliers ont été organisés : - Atelier 1 : Désherbage des céréales biologiques : influence du désherbage mécanique sur les populations de mauvaises herbes ; Seuil de nuisibilité des adventices sur la betterave fourragère ; Comparaison de deux stratégies de préparation du sol avant semis ; Evaluation des techniques combinées ou mixtes pour le désherbage du tournesol et du soja ; - Atelier 2 : Evaluation de l'impact des actions de promotion des techniques de désherbage mécanique sur des territoires à enjeux eau ; Le désherbage alterné : comment introduire du désherbage mécanique dans les intinéraires classiques de désherbage ? ; Le désherbage mécanique, un outil de l'agriculture intégrée ; Pour des systèmes de cultures économes en herbicides ; - Atelier 3 : Méthode d'accompagnement des agriculteurs dans le choix de matériels de désherbage mécanique adaptés.
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Adapter son système
Face à la répétition de périodes de sécheresse, Mickaël Lepage, éleveur laitier en Mayenne, décrit brièvement les adaptations qu'il a mises en place dans son système herbager : augmentation des stocks de sécurité, chargement limité, implantation de luzerne et avancée de la période de vêlage. Une partie de l'article est consacrée au sainfoin. D'autres pratiques pour s'adapter aux sécheresses sont également présentées : mise en place de mélanges céréaliers, de betterave, etc.
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Agricultural residues are efficient abrasive tools for weed control
Manuel PEREZ-RUIZ, Auteur ; Rocío BRENES, Auteur ; Jose M. URBANO, Auteur ; ET AL., AuteurEn agriculture biologique, la lutte contre les adventices doit passer par des méthodes non-chimiques. Les stratégies qui se développent actuellement mobilisent généralement des outils divers et variés. Certains résidus agricoles, par exemple, pulvérisés sous haute pression, pourraient avoir un effet abrasif. Dans cet article, des essais menés sur huit types de résidus sont présentés : coques damande, pépins de raisin, épis de maïs, noyaux d'olives, fumier de volaille, sable, tourteau de soja et coques de noix. Ces essais, réalisés en laboratoire, visaient les adventices suivantes : l'amarante réfléchie (Amaranthus retroflexus L.) commune en culture de tomate, le chénopode des murs (Chenopodium murale L.) commun en culture de betterave sucrière, et le bleuet (Centaurea cyanus L.) commun dans les oliveraies. Au stade 2-3 feuilles, le taux d'efficacité des résidus utilisés a varié de 30 à 100 % et, dans 88% des cas, le taux d'efficacité a dépassé 80 %. Les meilleurs résultats ont été obtenus avec les épis de maïs et les noyaux d'olives, avec des efficacités respectives de 93 % et 90 %. Concernant les doses d'application, elles peuvent être très variables d'un résidu à l'autre pour atteindre des niveaux d'efficacité similaires. Cette étude a ainsi permis de démontrer le potentiel de ces résidus de cultures, ligneuses et herbacées, ainsi que de déchets animaux, dans la lutte contre les adventices.
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Agriculture biologique - Fiches techniques
Mise à jour des fiches techniques bio, élaborées par le SRVA, en collaboration avec le FIBL. Ces fiches, actualisées, sont classées par thème : - boeuf bio des pâturages, - aire de sortie pour poules pondeuses, - betteraves sucrières, - compensation écologique dans l'exploitation agricole, - qualité et réseaux dans les régions : nouveautés en compensation écologique. Mais aussi de nouvelles données statistiques, concernant la production bio en Suisse, dans les pays de l'UE et au niveau mondial.
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Agriculture biologique en Ille-et-Vilaine, 10 ans d'expérience
La journée départementale agriculture biologique avait comme objectif la mise en avant des expériences menées dans le département d'Ille-et-Vilaine. Au cours de cette journée, des systèmes de références ont été présentés, ainsi que les résultats des essais réalisés sur les protéagineux, les mélanges céréaliers, les bilans minéraux, le flux d'azote après retournement des prairies. Ont été traitées également les techniques de lutte contre les mauvaises herbes.
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Agriculture biologique : Plaidoirie pour la mixité
Depuis de nombreuses années, un agriculteur de la région de Reims a converti une grande partie de son exploitation à l'agriculture biologique. Cependant, il cultive encore 34 ha de betteraves en conventionnel parce qu'il n'existe pas encore de filière bio pour cette production. Pour éviter que la betterave ne revienne trop souvent dans la rotation, il mobilise 200 ha en conventionnel. Cette mixité simplifie l'organisation du travail et lui a permis de renouveler plus rapidement son matériel, utilisé aussi pour certaines cultures conventionnelles. Si pour le consommateur, la mixité n'a pas bonne réputation (crainte d'un échange de produits entre cultures), cet agriculteur n'a aucun doute sur la qualité de ses parcelles bio, qu'il a choisies aussi isolées que possible, séparées par un chemin des autres parcelles.
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Agrocarburants : Coût de bluff et coup de pompe pour le blé-éthanol
L'usine du groupe industriel Tereos, à Lillebonne (Seine Maritime) devrait, dès avril 2007, transformer chaque année 700 000 tonnes de blé en 200 000 tonnes d'éthanol. Mais combien le blé sera-t-il payé au producteur ? Un rapide calcul avec le prix du litre d'éthanol payé par la sucrerie Saint Louis aux producteurs de betterave cette année (21,8 centimes) conduit l'auteur de cet article à un chiffre de 62,3 euros la tonne de blé, alors qu'il est à 150 euros la tonne "rendu au port de Rouen".
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Agrocarburants : Un gouffre pour la balance commerciale française
Patrick SADONES, AuteurPatrick Sadones, paysan en Seine Maritime et spécialiste des agrocarburants, démonte dans cet article le mythe des cultures énergétiques qui favoriseraient la balance commerciale française. Grâce à trois exemples, issus d'études du bureau Bio intelligence service, il montre comment : l'incorporation de 7% d'éthanol en 2012 ferait perdre 460 millions d'euros à notre balance commerciale ; l'incorporation d'esters méthyliques d'acides gras en fera perdre 1,7 milliard par rapport au gasoil pur ; et comment il faudrait que le baril monte à 200 dollars pour que l'éthanol de betterave soit rentable.
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Agrocarburants : Une vérité qui dérange
Patrick SADONES, AuteurFaisant suite à son étude de 2002, l'ADEME a financé la rédaction d'un nouveau rapport par le cabinet d'étude Bio intelligence service. On y apprend entre autre que l'efficacité énergétique du diester, principalement produit en France à partir du colza, n'est pas supérieure à 2, contrairement au chiffre de 2002 qui annonçait une efficacité de 2,99, et à ceux de Sofiprotéol, acteur financier et industriel de la filière française des huiles, qui avait annoncé un chiffre de 3,5. Et les bilans pour l'éthanol de céréales ou de betteraves sont encore plus mauvais. C'est grâce au Réseau Action Climat et à France Nature Environnement que certaines associations qui avaient critiqué le premier rapport ont pu entrer au comité technique de ce nouveau rapport, et être vigilantes quant à sa rédaction, émaillée malgré tout de quelques concessions (comme par exemple la non prise en compte des émissions de GES des huiles de substitution).
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Alternative Forages for Ruminants
Cet ouvrage est une synthèse détaillée des dernières connaissances acquises en matière de production et d'utilisation des cultures fourragères. L'accent est mis en priorité sur les légumineuses fourragères, mais l'intérêt d'autres fourrages, tels que les balles de chou à feuilles ou la betterave fourragère entière, est aussi discuté. Sont également présentées de nouvelles techniques de production et de conservation du maïs fourrage, et des conseils sont donnés quant à son incorporation dans les mélanges fourragers mixtes pour le troupeau. Le but de ce manuel est de fournir des informations mises à jour pour aider ceux qui désirent développer une certaine autonomie fourragère sur leur exploitation. Un guide qui se révélera vite indispensable pour les agriculteurs et leurs conseillers, les enseignants et les étudiants.
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Anbautechnik und Unkrautregulierungs : Verfahren für Bio-Zuckerrüben
E. IRLA ; E. SPIESS ; J. HEUSSER ; ET AL.L'article présente un essai au champ qui concerne des techniques culturales différentes ainsi que des procédés mécaniques et alternatifs pour le contrôle des mauvaises herbes. Au premier plan, l'amélioration de la technique culturale et la réduction du temps investi dans le travail manuel pour l'éclaircissage et le contrôle des mauvaises herbes. L'article décrit le procédé d'expérimentation, la technique du matériel agricole et les mesures techniques culturales et présente une comparaison des procédés concernant le contrôle des mauvaises herbes ainsi que le rendement de la betterave et du sucre.
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Un appel d'air pour les biocarburants
"L'intérêt des agriculteurs pour les biocarburants est retombé en même temps que diminuait l'obligation de gel. La préparation d'une directive sur les ""carburants de l'an 2000"" est à même de leur donner un second souffle."
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Les atouts de la betterave fourragère : Riche en énergie et très appétente
Jean-Martial POUPEAU, AuteurPlusieurs éleveurs et un technicien témoignent de l'intérêt de cultiver la betterave fourragère, des itinéraires techniques qu'ils mettent en place et de l'utilisation des betteraves dans les rations des animaux. Bien que sa culture soit plus délicate et demande plus de travail que celle du maïs, les avantages sont multiples : richesse en énergie et en minéraux, diversification de la ration, forte appétence, rendements élevés et réguliers qui sécurisent le système fourrager et bon précédent à céréales. Dans leurs rotations, ces éleveurs implantent généralement 4 ha de betteraves fourragères derrière 4 ou 5 années de prairies. Après leur retournement, la terre est labourée et un ou plusieurs faux-semis sont réalisés. Ils sèment en avril-mai sur un sol finement préparé avec un semoir à 4 rangs et à une densité variant de 70 000 à 110 000 graines par ha. Un ou 2 passages de herse étrille, puis 2 à 4 binages sont effectués sur l'ensemble du cycle. Des entrepreneurs disposant d'automotrices permettent de réaliser la récolte en une seule journée, ceci fin octobre-début novembre. Cependant, ils ne passent pas toujours en conditions de sol défavorables, ce qui pousse certains producteurs à utiliser du petit matériel, ce qui allonge la durée de la récolte.
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Les auxiliaires des cultures - Biologie, écologie, méthodes d'observation et intérêt agronomique
Frédéric BOYER, Auteur ; Raphaëlle ULRYCH, Auteur ; Marianne SELLAM, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ACTA - LES INSTITUTS TECHNIQUES AGRICOLES | 2017
Cet ouvrage sadresse à tous les acteurs de la protection des cultures : producteurs, conseillers agricoles, étudiants souhaitant approfondir leurs connaissances théoriques et pratiques sur les auxiliaires de régulation. Il propose une synthèse des connaissances et des méthodes pour identifier, préserver et favoriser les auxiliaires des cultures, levier majeur pour maintenir les populations de ravageurs en dessous de leur seuil de nuisibilité. Permettant de concevoir des systèmes de production intégrée des cultures, qui optimisent la régulation des ravageurs par les auxiliaires et respectent la biodiversité au quotidien, il couvre les principales cultures françaises : céréales, oléagineux, betteraves, légumes, arboriculture fruitière, vignes et cultures ornementales. Trois grandes parties le composent : - La description des grandes familles dauxiliaires des cultures (biologie, écologie et potentiels de régulation des ravageurs des cultures illustrés par des schémas et photographies) ; - Les méthodes dobservation et de recensement des auxiliaires sur le terrain (des tableaux récapitulatifs permettent de faciliter les choix techniques) ; - Lintérêt agronomique de ces auxiliaires pour les principales cultures françaises. Cette partie comporte des illustrations concrètes de lévolution comparée ravageurs/auxiliaires sur différentes cultures : pucerons des épis sur blé, cortèges de ravageurs/auxiliaires sur colza, sur vigne, sur pommier et sur cultures ornementales sous abri.
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Barbabietola e zucchero da agricoltura biologica
En Italie, la production nationale de betteraves à sucre atteint 12 millions de tonnes, intéresse 70 000 exploitations agricoles et 21 sucreries, avec un chiffre d'affaires de 1 300 000 euros. Parallèlement, l'Italie est le pays de l'Union Européenne qui consacre la plus importante part de superficie à la culture biologique (7 % de la SAU), mais on n'y enregistre pourtant pas encore de production biologique de betteraves à sucre. Le besoin s'en fait néanmoins ressentir. En effet, actuellement, l'utilisation de sucre conventionnel dans des aliments (confitures, jus de fruits...) certifiés bio est admise par une dérogation spéciale du Réglement CE 2092/91 qui prendra fin le 1er avril 2003, date à laquelle le sucre ajouté aux aliments biologiques devra provenir obligatoirement de production biologique. D'où l'importance pour l'Italie de développer une production biologique nationale de betteraves à sucre. En 2000, l'ANB (Association Nationale pour la Culture de la Betterave) a lancé un projet dont le but est de vérifier la faisabilité d'une culture biologique de la betterave. En 2001 se sont donc déroulées des expérimentations sur la gestion des adventices. Explications.