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MESURE DE LA QUALITE |
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Gare au virus du melon
Comme sur la tomate, la pression virale menace la culture du melon. Aux virus déjà connus s'ajoutent de nouveaux venus, encore non identifiés en France. Les symptômes sont variables selon les virus : mosaïques ou déformations des feuilles, marbrures ou boursouflures sur les fruits. Ces virus sont transmis par des pucerons : Aphis gossypii est le plus courant, mais il existe d'autres espèces de pucerons vecteurs de virus.
L'industrie alimentaire passe à la contre-offensive
Victor Scherrer, président de l'A.N.I.A, veut rassurer le consommateur. Il met en évidence la position de l'industrie française, qui est la première en Europe devant l'Allemagne, et qui est porteuse d'un modèle, le modèle alimentaire franco-européen. Le consommateur doit prendre pleinement conscience de la valeur de cette industrie, en termes de santé, de plaisir, de richesse économique et surtout de modèle alimentaire.
Intérêt d'une souche aviaire régionale en production biologique
La production de poulets biologiques représente environ 0.3% de la production française. Elle a connu une croissance de l'ordre de 30% par an mais il semble qu'on assiste à un ralentissement de celle-ci. Devant ce constat, deux explications peuvent être avancées : - une certaine insatisfaction d'une partie de la clientèle qui ne distingue pas les différences organoleptiques entre les poulets biologiques et les poulets labels, - un prix élevé. Dans ces conditions, une étude a été mise en place pour appréhender les performances zootechniques et la qualité organoleptique de deux souches de poulets élevés avec deux régimes alimentaires différents par leurs niveaux nutritionnels sur la période croissance-finition, et pour comparer les résultats obtenus avec ceux des poulets labels standard.
La production "bio" est-elle sûre ?
Quelle est l'influence des conditions d'élevage sur la qualité de la viande de porc ?
Pour répondre à cette question, Robert Kerisit a retenu les facteurs le plus souvent évoqués lorsque l'on parle des problèmes de qualité de viande, c'est à dire l'alimentation, les bâtiments, l'âge des animaux, le poids d'abattage, etc. Les influences des facteurs génétiques et des conditions d'abattage, relativement bien connues, ne sont pas ici discutées. L'analyse des différentes études menées sur le sujet montre que dans la tranche d'âge (5-7 mois) et de poids (90-120kg) durant laquelle les porcs sont abattus, les conditions de production ne semblent pas avoir d'influence sur la qualité de la viande qu'elle soit destinées aux transformateurs ou à la vente en frais.
Rencontre avec Ecocert
"Compte-rendu des deux demi-journées de rencontre avec Ecocert. Après un rappel sur les différentes étapes pour être certifié bio, sont présentés : - les sanctions prises en 1998 selon le barème de l'organisme certificateur ; - les résultats d'analyse, notamment pour la recherche de pesticides ; - la croissance d'Ecocert en France et à l'international ; - le site internet de l'OC ; - les perspectives 2000."
Rentabilité - Agriculture bio, l'exemple suisse
Tour d'horizon de l'agriculture biologique en Suisse (historique, contrôles, certification,...). L'AB connaît un fort développement, dans le pays, depuis une dizaine d'années. De 800 en 1990, le nombre d'exploitations bio ou en reconversion est passé à 5300 en 1999. 8,5 % des surfaces sont cultivées en bio, alors que dans l'ensemble de l'Europe, elles sont de 2,5 %.
Signes officiels d'identification de la qualité et de l'origine
AOC, IGP, Label, AB, Certificat de conformité, etc., autant de signes qui correspondent à une politique de qualité menée depuis longtemps pas les pouvoirs publics français. Ce numéro spécial fait le tour des "garanties officielles de qualité", de leur caractéristiques, des moyens pour les obtenir, de leur impact auprès des consommateurs et détaillants, ainsi que des contrôles effectués pour assurer la transparence des filières. A lire en particulier, un article consacré au label AB, "Agriculture Biologique : une mention en plein essor".
Suisse : Le modèle helvétique
L'histoire commune de la Suisse et de l'agriculture biologique débute dès 1924 avec Steiner qui adresse l'anthroposophie, philosophie à la base de la biodynamie, à la noblesse suisse alémanique. Une vingtaine d'années plus tard, le suisse Hans Müller développait l'agriculture bioorganique basée sur l'importance de la fertilité du sol. Aujourd'hui, le pays compte environ 5 300 fermes biologiques soit 8,2 % du nombre total d'exploitations agricoles. Jusqu'en janvier 1998, date où le cahier des charges national Ordonnance Bio est entré en vigueur, l'agriculture biologique suisse avait trois cahiers des charges privés dont Bio Suisse, le plus ancien. La Suisse a également son Institut de Recherche en Agriculture Biologique, l'IRAB, créé en 1974 et qui s'occupe exclusivement de la bio : information et documentation, recherches sur les cultures spéciales, la comptabilité, les marchés bio, les aspects écologiques, la santé... Etat des lieux de la filière en Suisse, pays bio, mais aussi et avant tout, pays où l'agriculture en général se conjugue avec respect de l'environnement.
L'agriculture biologique acquiert ses lettres de noblesse
Le point de vue de différents acteurs de la filière bio (industrie laitière, ministère, chambre d'agriculture, consommateur, distributeur, éleveur) sur les garanties que l'agriculture biologique doit offrir en matière de contrôles.
Agriculture biologique : fiches techniques*
Bio : une crédibilité à préserver
Devant les différents scandales qui se sont déroulés cette année, la filière bio constitue une valeur refuge et bénéficie d'une envolée importante. La crédibilité du bio est toutefois à préserver et, pour cela, la filière doit encore progresser au plan de la maîtrise de la traçabilité des produits et aussi en terme d'obligation de résultats ; Des questions se posent au niveau de la profession : comment instaurer une traçabilité des quantités (question aigue en céréales et en lait) ? Faut-il étendre l'obligation de certification aux opérateurs de transactions commerciales sur les matières premières ? Comment se protéger des problèmes de résidus de pesticides qui affectent les produits bio ?
Dossier tomate : Comment définir la qualité de la tomate ?
En interrogeant les ingénieurs du CTIFL, qui publient un article sur les critères de qualité de la tomate dans Infos CTIFL, il ressort que des composants du goût de la tomate comme les sucres et acides sont facilement quantifiables et peuvent servir de moyens partiels d'évaluation de la flaveur. En revanche, les composés aromatiques sont plus difficilement identifiables. Seule l'analyse sensorielle par des dégustateurs permet de caractériser et quantifier leur niveau d'expression. Quant à la texture, premier critère qualitatif perçu par le consommateur, elle est délicate à apprécier sur ce fruit hétérogène composé de parois charnues et de loges occupées par les graines entourées de gel.
Dossier tomate : Facteurs de variabilité de qualité
"Même s'il est encore difficile d'établir des ""règles de conduite"" précises dans la quête de la qualité, les travaux menés par le CTIFL montrent que le choix variétal, le stade de maturité et la température de conservation interviennent sur les composants de la qualité gustative de la tomate."
De la dure habilité à parler de durabilité
La durabilité fait depuis quelques années régulièrement son apparition dès qu'il est question des perspectives de développement urbain, industriel ou rural. Actuellement, les diagnostics de durabilité mesurent des indicateurs quantitatifs. L'objectif de l'étude de Véronique Leblay était de réfléchir à une approche qualitative pour évaluer la durabilité environnementale d'une ferme. Cette approche est basée sur une réflexion concertée entre l'agriculteur et le conseiller technique. Le diagnostic ne délivre plus de note mais fait le point sur les plaies sérieuses que l'on choisit de soigner en priorité.