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Les assises de la qualité en GMS
Organisées pour la première fois, les Assises de la Qualité ont été l'occasion d'un débat riche entre les producteurs, transformateurs, distributeurs et consommateurs. Ce dossier est la synthèse de la conférence du 3 février 1998 qui s'est tenue dans le cadre du Salon des Produits d'Origine et de Terroir.
Bio et commerce équitable
Le commerce équitable s'ouvre de plus en plus à la bio. Après le café biologique, on trouve désormais dans ce circuit d'autres produits bios : poudre de cacao, thés divers, quinoa, noix d'Amazonie, bananes... Mais à côté de ces produits certifiés biologiques, d'autres produits à l'appellation parfois plus ambiguë se retrouvent aussi sur les étals des Magasins du Monde. La bonne foi des associations de commerce équitable n'est pas en cause, mais on peut regretter que ceci ajoute encore à la confusion déjà grande chez les consommateurs de la bio.
La bio à deux vitesses : qui a intérêt ?
Va-t-on s'orienter vers une bio à deux vitesses et un retour des marques, seules à même de donner des garanties sérieuses au consommateur ? L'évolution récente du projet de réglementation animale européenne le laisse craindre.
La boucherie Kervern
Rencontre avec André Lagrange, qui dans les années 80 acquiert la boucherie Kervern, et commence une production biologique.
Bretagne Viande Bio : des producteurs s'organisent pour commercialiser
En 1991, une dizaine de producteurs de viande bio désireux de trouver des débouchés pour leurs produits, se regroupent avec deux bouchers et un salaisonnier et créent Bretagne Viande Bio, association ayant pour but d'organiser la commercialisation de la viande. 7 ans plus tard, la structure a développé son activité et les clients se bousculent. Si certains en doutaient encore, voilà un exemple qui montre que les producteurs ont tout intérêt à s'organiser ensemble pour développer de façon cohérente la bio.
Le coco de Paimpol : une A.O.C. remise au goût du jour par le Syndicat de Défense du Coco de Paimpol
Ce coco de Paimpol se différencie des autres haricots demi-secs car c'est le premier haricot à obtenir une A.O.C.. Il est de forme quasi sphérique et a un tégument très fin. Autrefois considéré comme une culture dérobée, le coco pouvait succéder à un blé ou à une pomme de terre. Aujourd'hui, il s'inscrit dans un cycle de rotation culturale sur deux ans entre une culture de choux et une culture de céréales. Grâce aux progrès techniques, la culture du coco a évolué. Présentation et technique culturale du Coco de Paimpol.
Didier Leboeuf : un apiculteur qui a du piquant
Installé dans un tout petit village du Piémont Pyrénéen, Didier Leboeuf pratique l'apiculture depuis 8 ans. En bio, naturellement, et avec un esprit d'invention qui ne s'est pas démenti au cours des années.
Des Farmers aux pays des écolabels
Des agriculteurs américains sont venus en Europe à la recherche de formes alternatives de production et de mise en marché. En France, une partie d'entre eux ont pu ainsi découvrir la filière Roquefort, les fruitières du Jura, la vente collective directe en Rhône-Alpes et les magasins coopératifs ou marchés biologiques de Saint-Etienne. Pour ces visiteurs, la durabilité de l'agriculture française repose sur une chose essentielle : les terroirs, et sur la capacité à construire des filières équitables et stables.
Faut-il réglementer la bio ? (suite)
Nous avons constaté qu'il été encore très difficile pour le consommateur de comprendre le pourquoi de la bio et aussi le comment. C'est pourquoi, cet article essaye de nous éclairer sur la différence entre cahier des charges, label, certification et contrôle.
Garder le contact avec le consommateur
"Visite à Verton dans le Pas-de-Calais, du GAEC ""Les Mésanges"" où deux maraîchers associés adhèrent depuis leurs débuts à ""Nature & Progrès"". Pour eux cette mention est synonyme d'un lien étroit avec leurs clients."
Le guide du consommateur bio : reconnaître, choisir et consommer les vrais aliments bios
70 % des aliments sont aujourd'hui produits ou transformés industriellement, multipliant les toxi-infections alimentaires. Aussi, de plus en plus, un courant très porteur pousse les consommateurs à fuir ces produits et à se tourner vers le bio. Malheureusement, le succès de l'alimentation biologique a attiré tous ceux qui peuvent tirer profit du mot Bio, et celui-ci recouvre parfois des produits qui n'en ont que le nom. Comment reconnaître les vrais bios ? Comment les choisir ? Les utiliser ? Où les trouver ? L'auteur nous livre le fruit de plusieurs années d'enquête dans cet ouvrage exhaustif, où les conseils pratiques et adresses utiles complètent un dictionnaire de tous les aliments bios, des plus élémentaires comme les fruits, aux plus élaborés comme les plats cuisinés. L'auteur, journaliste spécialisée dans le domaine de l'alimentaiton biologique, de l'homéopathie et des plantes médicinales, fait le point sur la législation en France et en Europe pour préserver les cultures bio, et sur les trois labels bio ; il permet aussi de retrouver sur toute la France, les adresses des marchés et des magasins spécialisés ou non faisant du bio.
Les labels et la bête
Les signes de qualité se multiplient mais quel est le bénéfice pour les consommateurs qui s'y retrouvent de moins en moins ? Entre label rouge, logo AB et marques diverses, la clarté n'est pas toujours au rendez-vous, notamment car les cahiers des charges correspondants sont inconnus. Jusqu'où ira-t-on dans la segmentation du marché par la labellisation ?
Massif-central : le défi bio : colloque agriculture biologique (St Flour, 17/04/98)
Mayenne : des kiwis sous tunnels
A Bouchamps-les-Craon en Mayenne, Philippe Chazé a réussi le pari de vivre du kiwi. Sur quatre hectares sous tunnels, il en récolte 80 tonnes par an qu'il vend en direct à la grande distribution régionale, et dans les magasins bio. Reportage.
Midi-Pyrénées : vastes terroirs pour la bio
La région Midi-Pyrénées, composées de 8 départements, est la plus vaste région française et présente une SAU équivalente à la superficie du Danemark. Malgré tout, l'agriculture biologique n'y représente que 0,51 % de la SAU régionale. Elle est pourtant la première région agrobiologique française avec 13 972 ha en agriculture biologique et en conversion à la fin 1996, et représente à elle seule 10,2 % de la SAU bio française.