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L'agriculture biologique
L'agriculture biologique est une des voies préconisées comme alternative à la crise que traverse l'agriculture. Elle suscite un intérêt croissant non seulement de la part du consommateur mais aussi de la part des divers acteurs du monde agricole. L'auteur revient, en introduction de l'ouvrage, sur le contexte du développement de l'agriculture à l'issue de la seconde guerre mondiale et la favorisation de systèmes de production intensifs par la Communauté Economique Européenne (mécanisation et spécialisation des exploitations, consommation de carburants, d'engrais chimique..., systèmes de production intensifs) ; sur des notions statistiques (un agriculteur nourrissait en moyenne sept personnes en 1960 et plus de trente en 1990 tandis que sur cette même période, la part du budget des ménages consacrée à l'alimentation est passée de 40% à 18%) ; sur le succès controversé de l'agriculture moderne : eaux polluées, sols dégradés..., endettement des agriculteurs... et la remise en cause de la course aux rendements, dans les années 80, jusqu'à l'usage de l'expression "Agriculture biologique" et sa définition pour laquelle le législateur a retenu "Agriculture n'utilisant pas de produits chimiques de synthèse". L'auteur évoque ensuite, en huit chapitres, les caractéristiques et le développement de l'agriculture biologique : - Une histoire mouvementée ; - Les producteurs ; - Principes, méthodes et techniques ; - Bilans économique et écologique ; - Réglementation et contrôle ; - Transformation, commercialisation, consommation ; - Recherche, développement et enseignement. Cette édition 1998 du livre de Catherine de Silguy est une troisième mise à jour (la 1ère édition datant de 1991, la seconde datant de 1997).
L'agriculture biologique
L'agriculture biologique est une des voies préconisées comme alternative à la crise que traverse l'agriculture. Elle suscite un intérêt croissant non seulement de la part du consommateur mais aussi de la part des divers acteurs du monde agricole. L'auteur revient, en introduction de l'ouvrage, sur le contexte du développement de l'agriculture à l'issue de la seconde guerre mondiale et la favorisation de systèmes de production intensifs par la Communauté Economique Européenne (mécanisation et spécialisation des exploitations, consommation de carburants, d'engrais chimique..., systèmes de production intensifs) ; sur des notions statistiques (un agriculteur nourrissait en moyenne sept personnes en 1960 et plus de trente en 1990 tandis que sur cette même période, la part du budget des ménages consacrée à l'alimentation est passée de 40% à 18%) ; sur le succès controversé de l'agriculture moderne : eaux polluées, sols dégradés..., endettement des agriculteurs... et la remise en cause de la course aux rendements, dans les années 80, jusqu'à l'usage de l'expression "Agriculture biologique" et sa définition pour laquelle le législateur a retenu "Agriculture n'utilisant pas de produits chimiques de synthèse". L'auteur évoque ensuite, en huit chapitres, les caractéristiques et le développement de l'agriculture biologique : - Une histoire mouvementée ; - Les producteurs ; - Principes, méthodes et techniques ; - Bilans économique et écologique ; - Réglementation et contrôle ; - Transformation, commercialisation, consommation ; - Recherche, développement et enseignement.
L'agriculture biologique
L'agriculture biologique est une des voies préconisées comme alternative à la crise que traverse l'agriculture. Elle suscite un intérêt croissant non seulement de la part du consommateur mais aussi de la part des divers acteurs du monde agricole. L'auteur revient, en introduction de l'ouvrage, sur le contexte du développement de l'agriculture à l'issue de la seconde guerre mondiale et la favorisation de systèmes de production intensifs par la Communauté Economique Européenne (mécanisation et spécialisation des exploitations, consommation de carburants, d'engrais chimique..., systèmes de production intensifs) ; sur des notions statistiques (un agriculteur nourrissait en moyenne sept personnes en 1960 et plus de trente en 1990 tandis que sur cette même période, la part du budget des ménages consacrée à l'alimentation est passée de 40% à 18%) ; sur le succès controversé de l'agriculture moderne : eaux polluées, sols dégradés..., endettement des agriculteurs... et la remise en cause de la course aux rendements, dans les années 80, jusqu'à l'usage de l'expression "Agriculture biologique" et sa définition pour laquelle le législateur a retenu "Agriculture n'utilisant pas de produits chimiques de synthèse". L'auteur évoque ensuite, en huit chapitres, les caractéristiques et le développement de l'agriculture biologique : - Une histoire mouvementée ; - Les producteurs ; - Principes, méthodes et techniques ; - Bilans économique et écologique ; - Réglementation et contrôle ; - Transformation, commercialisation, consommation ; - Recherche, développement et enseignement. Cette édition 1997 du livre de Catherine de Silguy est une deuxième mise à jour (la 1ère édition datant de 1991).
L'agriculture biologique a de l'avenir dans le tiers-monde
Grâce à des projets de Swissaid (parrainage et financement de projets visant à promouvoir l'agriculture biologique), des villages entiers se reconvertissent en Colombie à la culture biologique du café. La formation est la clé du succès. Voici l'histoire de Bérénice Torres, aujourd'hui paysanne bio alors que ce n'était pas son but premier.
Le bio venu d'ailleurs
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De plus en plus consommatrice de produits biologiques, la France connaît un déficit de production de matières premières certifiées bio, ce qui l'oblige à s'approvisionner au-delà de ses frontières. Quels sont les modalités de ces échanges et leur ampleur dans les différentes filières ? Le présent dossier aborde ces questions, avec en première partie, des précisions sur le cadre réglementaire concernant les importations en provenance des Pays Tiers et de l'Union Européenne. La deuxième partie du dossier présente un état des lieux des importations par filière : céréales et oléoprotéagineux, fruits et légumes, produits animaux.
Le cheval : Energie douce pour l'agriculture
Joseph Pousset est agriculteur dans l'Orne, il utilise la traction animale depuis trente ans et, dans cet ouvrage, il livre son expérience et donne tous les éléments pour travailler la terre avec un cheval. Très complet, ce traité bénéficie aussi de nombreuses illustrations techniques. Au sommaire : La longue histoire du cheval ; Le cheval de trait aujourd'hui ; Savoir choisir un cheval de trait ; L'écurie ; Alimentation du cheval de trait adulte ; Reproduction, élevage et dressage ; Eléments de pathologie et de médecine vétérinaire ; Les soins particuliers aux chevaux de traits ; Outils et machines agricoles traditionnels ; L'attelage et la conduite des chevaux ; Recherche d'un outillage, d'un harnachement et d'un attelage modernes et performants ; Le travail du sol au cheval ; Autres travaux au cheval ; Savoir combiner tracteur et cheval ; Traction animale et Tiers-Monde.
La défense de l'environnement : stade ultime de "l'impérialisme"?
Depuis près d'une décennie, les efforts de la communauté mondiale pour répondre aux défis de l'environnement ont fait les frais d'une profonde divergence entre pays riches et pays pauvres. Des économistes et des écologistes de pays en développement soutiennent que les négociations sur l'environnement sont presque exclusivement impulsées par les Etats du Nord. Sous prétexte de sauver la planète, affirment-ils, le monde industrialisé exerce un nouveau genre de suprématie : "l'impérialisme vert".
Le défi Max Havelaar
Le commerce équitable repose sur un échange commercial Nord/Sud respectueux des conditions de travail et de rémunération des producteurs des pays en voie de développement. On découvre, dans ce document, les principes de l'organisme humanitaire Max Havelaar, qui authentifie les produits qui répondent aux règles strictes du commerce équitable, les différents labels existants ou à venir comme le café, le thé, le cacao, le jus d'orange, la banane et le miel, ainsi que les conditions de vie de ces producteurs.
Le développement du commerce équitable
- Photocopies possible
L'exemple de la démarche de Max Havelaar se multiplie. Le commerce équitable s'étend peu à peu à d'autres produits que le café. La banane, le cacao, le sucre, le miel, le thé et le jus d'orange vont faire partie de ces produits qui permettront aux producteurs d'être mieux rémunérés et aux consommateurs d'avoir bonne conscience dans leurs achats.
Faim zéro : En finir avec la faim dans le monde
En 2000, les Nations Unies établissaient les « objectifs du millénaire » visant à réduire drastiquement, en quinze ans, le nombre de personnes souffrant de faim dans le monde. Mais, en 2015, on comptera autant de personnes qui ont faim qu'en 2000 et qu'en... 1900, soit 850 millions. Toutes les dix secondes, un enfant continue à en mourir. Cette situation a souvent d'autres conséquences néfastes : insécurité, guerres, piraterie, terrorisme, émigration sauvage, épidémies. Dans son livre, Bruno Parmentier estime que la faim provient d'abord d'un phénomène politique, et que son élimination relève donc de l'action politique. Certains pays remportent ainsi des victoires, tels la Chine, le Viêt-nam ou le Brésil - avec son programme « Faim zéro » -, alors que d'autres stagnent, comme l'Inde, ou reculent, comme la plupart des pays d'Afrique subsaharienne. Malgré le réchauffement de la planète et l'augmentation de la population, malgré l'accaparement des terres ou la production d'agrocarburants au détriment des aliments, des solutions existent pour que tous les êtres humains mangent à leur faim, dès lors que les États se décident à agir : « renutrition » d'enfants en danger de mort ; encouragement des techniques de production agricole agroécologiques, y compris dans la petite agriculture familiale ; soutien ciblé au revenu des mères de famille fragilisées ; promotion de nouvelles alliances financières public-privé, etc. On peut y arriver, explique ce livre, si les citoyens, leurs organisations et leurs gouvernements reconnaissent la faim comme le principal problème que doit affronter l'humanité.
Les firmes agro-industrielles veulent redorer l'image des OGM sur le dos des pays du Sud
Malgré leurs beaux discours d'aide au Tiers-Monde, les firmes agro-industrielles ont du mal à cacher leurs objectifs réels : la conquête de parts de marchés toujours plus importantes, et la main-mise sur le marché des semences via les brevets sur les plantes transgéniques...
France : la politique d'importation "pays tiers"
Les transformateurs bio confrontés à l'obligation d'importer des matières premières se trouvent aujourd'hui pénalisés par rapport à leurs concurrents étrangers. Le système actuel de contrôle et d'autorisation mériterait d'être remplacé par un dispositif plus équitable et plus efficace.
Hunger und Profit
Jusqu'à présent la technologie génétique n'a satisfait ni d'un point de vue technologique ni d'un point de vue économique tous les espoirs franchement euphoriques qu'elle a suscités. Peut-elle peut-être apporter une contribution notable au problème de la faim dans le monde ? L'auteur place le débat de la technologie génétique et de la protection de l'environnement dans le contexte du tiers monde.
Nous redeviendrons paysans - Pour l'avenir de nos enfants ! : 6ème édition
La première édition date de 1987. Dans cette sixième édition, l'auteur constate que l'analyse qu'il faisait alors de l'agriculture, des élevages industriels, de la manière dont on traitait la terre, loin d'être alarmiste, correspondait bien à une situation dont on a vu par la suite, par exemple avec la vache folle, qu'elle pouvait conduire à des accidents. Avec cet ouvrage, Philippe Desbrosses traite des grands scandales de la condition animale dans les élevages industriels. Il aborde également la question des végétaux, en soulignant que la plupart des terres cultivées sont « déshabillées » de leur substance fertile, avec une diminution forte de l'humus. Riche en informations sur les mécanismes de pollution et de dégradation des agro-systèmes, le livre fait aussi le point sur l'apport des techniques utilisées par les agriculteurs biologiques pour repenser les modes de production, et fait part des raisons de croire à un changement.
Onze questions clés sur l'agriculture, l'alimentation, la santé, le Tiers-Monde
La santé - le bien le plus précieux - est, pour des centaines de millions d'hommes, un objectif inaccessible. Inaccessible dans le Tiers-Monde, où sévissent la malnutrition et d'innombrables maladies parasitaires. Inaccessible pour beaucoup dans les pays industrialisés, où le cancer et les autres maladies de civilisation frappent des hommes et des femmes de plus en plus jeunes. Les armes modernes, pour conserver ou retrouver la santé, sont la surveillance médicale, les vaccinations, les médicaments. Mais nous avons délaissé d'autres armes, beaucoup moins coûteuses et plus efficaces à long terme : un mode de vie équilibré, une alimentation saine, l'élimination des produits toxiques dans notre environnement. Une bonne alimentation est le point de départ. Elle pourrait être accessible à tous, mais il faut pour cela changer l'agriculture, les technologies agro-alimentaires et les habitudes de consommation. Pourquoi ces changements sont-ils nécessaires ? Comment peut-on les mettre en oeuvre ? Le présent ouvrage apporte à ces questions des réponses nouvelles et réalistes, qui mettent en oeuvre des techniques simples, créatrices d'emploi, peu exigeantes en capital, non polluantes, sans risques pour la santé. Des techniques adaptées aux pays pauvres, mais qui intéressent tout autant les pays industrialisés.
