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Um café para despertar
Il existe, aujourd'hui, dans le monde, quatre types d'organisations de Commerce Equitable qui assument différents rôles dans la chaîne commerciale, de façon à relier les producteurs du sud avec les consommateurs du nord : les organisations de producteurs, les organisations importatrices, les "Magasins du Monde" et les initiatives de certification. Fonctionnement de ces organisations. Cores do Globo, Association pour la Promotion du Commerce Equitable, propose également un petit état des lieux du commerce équitable au Portugal (le commerce équitable s'y étant développé assez tard par rapport au reste de l'Europe), avec en prime des adresses pour savoir où acheter équitable au Portugal.
Les alternatives au développement
On coupe les moteurs ! Stop le développement ! Les slogans ne manquent pas pour protester contre le développement outrancier auquel nous assistons dans les pays occidentaux, au détriment parfois des pays en voie de développement. Toutefois, il convient de réfléchir aux alternatives au développement, aux choix qui se proposent à nous pour assurer la pérennité de l'humanité. Ce dossier aborde le sujet en faisant s'exprimer divers intervenants issus de milieux différents, de pays différents, mais ayant tous la volonté d'un monde plus équitable.
Le café bio et/ou du commerce équitable...
Cet article présente différentes légendes relatant la découverte du café. A cela s'ajoute un historique dans lequel on apprend par exemple que le café arrive en Europe au XVIIe siècle. Quelques notions de botanique concernant le caféier, ainsi que les différences entre les espèces arabica et robusta sont évoquées. Les définitions du café biologique et de la torréfaction sont données. Enfin, il est rappelé que le café doit être consommé à faible dose pour garder la santé.
Un café moins amer pour les producteurs
En 1986, l'association Solidaridad qui s'occupait du Chiapas, région pauvre du Mexique, a lancé l'idée de créer une filière allant de la production à la consommation, réduisant le nombre d'intermédiaires afin de permettre aux producteurs de café de la région de vivre décemment de leurs récoltes. Deux ans après, le label Max Havelaar était mis en place. Ce système garantit aux producteurs, réunis en coopérative, un prix minimum pour le café et favorise l'utilisation de techniques de production respectant l'écosystème. Tous les acteurs de la filière sont soumis à un cahier des charges rigoureux en termes de qualité et de traçabilité et la moitié des cafés bio vendus dans le monde provient des coopératives agréées par l'association. Aujourd'hui 700 000 familles bénéficient des règles de Max Havelaar, 17 pays sont concernés en Amérique Latine, Afrique et Asie, 47% des boutiques bio proposent du café Max Havelaar. Depuis peu, l'association propose du thé labellisé et prochainement, chocolat, miel et jus d'oranges seront commercialisés.
Des objets artisanaux aux produits bio
Après quatorze ans passés à commercialiser à un prix juste pour producteurs et consommateurs des objets artisanaux, la société Andines passe à la vitesse supérieure en mettant sur le marché européen des produits alimentaires fabriqués en Amérique du Sud et en Afrique dans le respect de l'environnement. Andines, qui doit son nom à celui de la région des Andes, importe et distribue des produits artisanaux (2000 références) réalisés dans 14 pays du monde et fonctionne selon les critères du commerce équitable. Pour la culture de produits alimentaires qu'Andines distribue, la société privilégie le naturel. Les produits, provenant d'Amérique Latine et d'Afrique, sont donc obtenus sans engrais chimiques, ni pesticides.
L'or liquide de l'Atlas
Produit alimentaire aussi délicieux que rare, l'huile d'argan est produite au Maroc par une population berbère pour laquelle elle est une source de revenu essentielle. La société française Argania a pris en charge la commercialisation et la médiatisation de l'huile de l'arganier dans le cadre d'un partenariat équitable avec le peuple de cette région. Pour commercialiser cette huile au goût de noisette, outre la vente dans des magasins de choix, la société a choisi de faire connaître ce produit aux grands cuisiniers exerçant leurs talents aux quatre coins du monde. La firme s'est aussi donnée pour mission l'aide à la préservation des arganiers, espèce végétale menacée.
La république des bananes
Acheter une banane aujourd'hui est avant tout une question de choix : choix idéologique, choix éthique, choix économique. L'apparition sur le marché de bananes biologiques vient de la prise de conscience du producteur et du consommateur. De la part du consommateur, c'est la prise de conscience de l'importance d'une alimentation plus saine produite dans le respect de l'environnement et des mécanismes de la nature. De la part du producteur, c'est la prise de conscience des limites de la production conventionnelle chimique, de ses répercussions sur l'environnement et des graves problèmes sanitaires et sociaux qu'elle cause.
Agricultura biologica, globalizaçao e comércio justo
Le 24 Juillet 2000, Bernward Geier, directeur exécutif d'IFOAM, en visite au Portugal, est intervenu lors d'une conférence à la Maison de l'Environnement et du Citoyen (Porto). Son discours s'est surtout axé sur les liens étroits existant entre l'AB et le commerce équitable, les solutions envisagées par le monde de la bio pour venir à bout des problèmes qui découlent de la globalisation du marché, et le développement exponentiel de l'agriculture biologique partout dans le monde.
Consommateur / producteur : solidarité sous caution
Interview de Daniel Pepers, chargé de mission à Familles Rurales où il suit les dossiers de l'agro-alimentaire et des services publics. A ce titre, il est membre du Conseil National de la Consommation et siège, entres autres, à la Commission Nationale des Labels et des Certifications, à l'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments, à la Commission de sécurité du consommateur vis à vis des risques. S'il comprend les valeurs du commerce équitable, il exprime également des attentes très nettes envers les producteurs.
L'exigence aura toujours raison du laxisme : entretien avec Christine Barthet-Mayer
En tant que membre de la Commission de l'Agriculture et du Développement Durable du Parlement Européen, Christine Barthet-Mayer a eu la responsabilité de conduire le rapport qui est à l'origine du REPAB. Aujourd'hui, elle se dit satisfaite par le Réglement Européen adopté, déplorant toutefois que celui-ci soit moins strict que le cahier des charges français. Militante dans l'âme, c'est avec conviction qu'elle entend soutenir le développement de l'agriculture biologique et faire progresser le Plan Pluriannuel de Développement dès qu'elle aura pris la présidence de la Section Bio au sein de la CNLC (Commission Nationale des Labels et des Certifications de produits agricoles et alimentaires). Entretien avec une personnalité politique confiante et impliquée dans l'avenir de la bio.
Groupe intergouvernemental sur la banane et sur les fruits tropicaux-Première session-Gold Coast (Australie), 4-8 mai 1999
Ce document résume les résultats de deux études : la première sur la banane biologique, la seconde sur la banane du commerce équitable. Il traite les deux études de façon séparée et passe en revue dans chaque cas, la situation actuelle du marché, ses perspectives d'expansion et les conséquences éventuelles pour les petits et les moyens producteurs.
Kann der biologische Landbau die Welt fair ändern?
L'article met en lumière les mauvaises conditions de production et de valorisation des produits, autrefois appelés "marchandise coloniale" tels que le thé, le café, le cacao, les bananes : application d'énormes quantités d'engrais de synthèse et de pesticides, chute des prix,... Comme le souligne l'auteur, il serait fort souhaitable qu'à l'avenir, l'agriculture biologique et le commerce équitable se développent "main dans la main" pour défendre la même cause : assurer l'alimentation du monde et établir une culture alimentaire, respectueuse de l'environnement et socialement juste.
Quality & Communication for the Organic Market
Interventions de la 6ème Conférence IFOAM sur le Commerce qui s'est tenue du 20 au 23 octobre 1999 à Florence, Italie. Après un tour d'horizon du commerce des produits biologiques dans le monde, les échanges d'informations ont porté sur : - les moyens de réglementer le marché mondial, - les aspects éthiques et sociaux de l'agriculture biologique, - la communication et l'information à destination des consommateurs, - les supermarchés, - la qualité des produits, - les OGM, - les plantes à fleurs et ornementales, - l'écotourisme, - les textiles biologiques.
Le développement du commerce équitable
L'exemple de la démarche de Max Havelaar se multiplie. Le commerce équitable s'étend peu à peu à d'autres produits que le café. La banane, le cacao, le sucre, le miel, le thé et le jus d'orange vont faire partie de ces produits qui permettront aux producteurs d'être mieux rémunérés et aux consommateurs d'avoir bonne conscience dans leurs achats.
Free trade is not fair trade
Début Décembre 1999, l'Organisation Mondiale du Commerce s'est réunie à Seattle pour mener diverses négociations. Les décisions prises par l'OMC concernent tout être humain et touchent différents domaines comme, entre autre, la sécurité alimentaire, l'étiquetage des produits biologiques, les OGM, le bien-être animal, la protection de la vie sauvage, la conservation des forêts,... Tim Lang, quant à lui, s'interroge sur les conséquences internationales (pas forcément positives !) des accords sur le GATT (dont la nouvelle version a été signée en 1994, à Marrakesh, au Maroc, après 7 années de négociations et, dont la mise en oeuvre est assurée par l'OMC depuis 1995), et il nous fait part de ses craintes concernant la mauvaise direction prise par le commerce actuel : "Ce système oppose les agriculteurs les uns aux autres et aboutit à toujours plus d'intensification... Et, qui prend en compte le prix du fuel (et on ne parle pas nécessairement d'argent !) ? Le trou dans la couche d'ozone toujours plus important ?..."